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Elle peut bien se nommer Nathalie DELON. Ce n’est pas vraiment elle, la « star » du jour ! Non, le véritable patronyme à retenir, c’est la douce appellation de « Kyrie » ! Le clown, pourraient rétorquer les seniors ayant connu les heures glorieuses de l’antique ORTF diffusée en noir et blanc en pensant à ce fameux dessin animé ? Que nenni ! Il s’agit d’une jeune chienne, aux côtés de sa propriétaire, maître-chien de son état, qui est le « collaborateur » de VEOLIA. Objectif : détecter les fuites sur le réseau de distribution d’eau potable. Pas si bête, non ?

 

SENS : Sacrée « Kyrie » ! A voir évoluer la « bestiole », équipée de son harnais, qui flaire dans tous les sens pour déceler la faille, c’est « Plutô » impressionnant comme aurait pu le suggérer Mickey, affublé de son célèbre compagnon canin s’il avait eu l’usage de la parole !

Le test, qui in fine n’en était pas un, s’est révélé plus que convaincant. Sur un long linéaire d’une canalisation en PVC – elle ne réagit pas en écoute aux fuites avérées du précieux liquide aquatique, contrairement aux canalisations en fonte -, notre amie à quatre pattes a réalisé des prouesses (elles parurent tellement naturelles, en fait) pour trouver là où le bât blessait ! La fuite d’eau, préjudiciable au système de distribution, assurée par l’opérateur et dommageable pour la note à régler au final par le consommateur !

 

 

Une perle rare à la recherche d’une fuite d’eau…

 

La truffe en alerte, le canidé bien éduqué par Nathalie DELON – si, si, c’est quand même un sacré petit bout de femme d’artiste ! – fait des merveilles, sous les regards toujours ébahis des observateurs.

La patronne de KYROC Consulting a réalisé encore un de ces tours de passe-passe réussi dont elle a le secret tel que Presse Evasion avait déjà pu le constater dans les chemins forestiers de la Nièvre lors d’une opération similaire, placée sous l’égide de tests grandeur nature cet hiver. Obéissant au doigt et à l’œil, et aux délicates friandises qui viennent récompenser le labeur de l’animal, Kyrie est une virtuose dans son domaine. Une perle rare qu’une petite goutte d’eau, voire en version flaque, n’effraie pas !

Surtout qu’au final, ce qui avait valeur de démonstration un brin sympathique s’est finalement muée en opération « commando » réussie avec à la clé, en guise de conclusion, un bilan plus que satisfaisant. Une dizaine de points de fuites potentiels ont ainsi été détectés par le flair sans peur et sans reproche de notre joyeux animal réclamant sa « surprise » ! Et affectueux comme un agneau !

 

 

Des humains forcément sous le charme du canidé…

 

Les techniciens de VEOLIA furent stupéfaits de la probité du résultat : certaines fuites étaient très significatives par leurs bruits distinctifs à l’oreille humaine, d’autres l’étaient nettement moins car quasi indétectables, enfin, certains secteurs étaient localisés dans des zones guère accessibles que seule ce « Indiana Jones » à quatre pattes et aux crocs tenaces avait pu repérer dans ses divagations sur le terrain !

Comment concrétiser positivement l’intuition animale en un véritable outil opérationnel : du pain béni pour les stratèges de VEOLIA !

Forcément, les « humains » ne purent que se ravir de l’expérience devant un tel succès. A l’instar de la présidente du SIVOM du Gâtinais-en-Bourgogne, Mme AITA, de sa vice-présidente Mme PASQUIER ou de M. WILLEMIN, directeur général des services de la Communauté de communes du Gâtinais-en-Bourgogne.

 

 

Entre « surprises » à croquer et méthode minutieuse…

 

Durant quatre jours, la « Belle et la Bête », soit ce tandem de choc antifuites insolite, arpentèrent avec méthode, minutie (et surprises à croquer de temps à autre !) un linéaire investigué compris entre 15 et 20 km afin de chercher la faille en direct sur le terrain.

Compte tenu de la chaleur, Nathalie et Kyrie firent équipe dès potron-minet, voire plus tard dans la soirée, afin d’éviter de fortes températures.   

Une démarche très raisonnable, tout de même : il n’aurait pas fallu que la recherche fructueuse de fuites sur un réseau de distribution d’eau potable ne se transforme en une véritable corvée, façon « vie de chien » !

 

Thierry BRET

 

 


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Trop, c’est trop ! Même si visiblement le président du groupe du Rassemblement National au sein de l’exécutif de la région Bourgogne Franche-Comté n’arbore la vêture idéale pour s’installer au guidon d’une grosse cylindrée, il a décidé à l’occasion de cette campagne où il concourt pour obtenir les suffrages des électeurs des législatives de défendre bec et ongles les intérêts des motards, ainsi que des automobilistes. Un sujet facile car fortement contestataire dans l’Hexagone !

 

SENS : Serait-ce l’un des rares candidats de cette législative 2022 sur le territoire de l’Yonne à s’être intéressé de très près aux problématiques récurrentes vécues par les utilisateurs de l’asphalte ? En tout cas, force est de constater que les prétendants au sésame suprême, un poste à la députation sous les ors de l’hémicycle du Palais Bourbon, des trois circonscriptions icaunaises ne se sont pas réellement précipités auprès de la Fédération des Motards en Colère de l’Yonne (FMC 89) pour prendre en compte leurs doléances.

Dans le secteur du Sénonais, l’un des candidats à la victoire finale, le Rassemblement National Julien ODOUL, s’y est attelé avec son équipe de campagne, façon échanges constructifs à la terrasse d’un café. Une discussion à bâton rompue, sans fioritures où tous les problèmes ont été étalés sur la table, à commencer par les privations de liberté vécues par les automobilistes et les motards depuis des lustres.

 

 

Des chiffres affligeants pour le porte-monnaie des Français…

 

Les statistiques, d’ailleurs, sont plutôt affligeantes, toute obédience politique mise à part. Les prix des carburants ont progressé de 56 % en l’espace de cinq ans – l’actuelle crise à la frontière russo-ukrainienne ne devrait pas arranger les choses de surcroît dans les prochaines semaines - ; les amendes routières grèvent considérablement les portefeuilles de plus en plus vides des contribuables (1,7 milliard d’euros dont 700 millions pour les seuls radars !) ; les contrôles techniques se sont étendus aux motos à raison de vérifications obligatoires tous les deux ans pour un coût qui excède les 70 euros ; enfin la limitation de vitesse sur les départementales (des nationales qui ont changé de statut en cours de route sans mauvais jeu et sans que l’on sache pourquoi !) pénalisent les conducteurs du quotidien. Les risques encourus à 90 km/h n’ont jamais été prouvés si on les compare à ceux des 80 km/h actuels. Pour couronner le tout, de ce tableau qui n’a vraiment rien d’idyllique : le gouvernement réfléchit à réduire la vitesse de croisière sur les autoroutes la plafonnant désormais à 110 km/h.

 

Baisser la TVA sur les carburants : la priorité…

 

Devant toutes ces réjouissances, sans compter celles plus techniques et vécues au quotidien par les motards, le chef de file du RN veut contrer la politique d’Emmanuel MACRON qui ne cesse de pénaliser tous les usagers de la route en proposant une série de mesures qu’il ne manquerait pas d’appliquer en cas de succès électoraliste de son parti aux législatives.

Citons pêle-mêle la baisse des prix à la pompe en passant la TVA sur les carburants de 20 à 5,5 %, le rétablissement de la limitation de vitesse à 90 km/h sur toutes les routes, la suppression sine die du contrôle technique pour les motards et enfin, concernant le moyen de « flicage » le plus impopulaire de l’Hexagone, en supprimant le retrait de points pour les petits excès de vitesse tout en stoppant le matraquage inflexible des radars. Une feuille de « route » qui pourrait peut-être en influencer plus d’un au moment de déposer le bulletin de vote dans l’urne !

 

Thierry BRET

 

 


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Treize ! Ne serait-ce pas un chiffre porte-bonheur pour les lauréats de ce rendez-vous honorifique ? Un évènement, biffé dans les agendas de celles et ceux qui créent de la valeur ajoutée à leur entreprise et qui espèrent briller sous le feu nourri des projecteurs ? Concours proposé chaque année par la Banque Populaire régionale et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat,  ce prix distinctif récompense l’audace, l’excellence et l’innovation. Trois mots incontournables qui qualifient ce que doit être réellement un entrepreneur…

 

SEIGNELAY : Ils n’ont pas d’idées les chefs d’entreprise de l’Yonne ? Que nenni, « ma brave dame » ! Ceux de l’artisanat, des services et du commerce qui ont pu longuement expliquer face à un public de spécialistes – la fine fleur de la sphère économique du cru – la vision de leurs projets professionnels ont su démontrer l’inverse !

D’ailleurs, pour avoir su titiller la fibre experte et toujours aiguisée des membres du jury, les dossiers de candidatures devraient être tirés au cordeau. Les banquiers n’ont pas, en effet, la réputation de faire les choses à moitié lorsqu’ils analysent prévisionnels en main un projet professionnel et ses perspectives !

 

 

L’humilité s’invite à ce rendez-vous…

 

Alors, oui, Yann NUNES, directeur de territoire de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté (n’omettons pas les Pays de l’Ain !), ne pouvait qu’afficher un large sourire dès sa prise de parole introductive. Le garçon marquait ainsi son soulagement après la délicate période de confinement qui aura pu perturber le déroulé des éditions antérieures.

Il est vrai que le « Stars et Métiers » se déguste, quel que soit le millésime, comme un bon vin. La convivialité y est de mise. Les sourires des lauréats traduisent leur sincérité. Il n’y a pas de tralalas superfétatoires dans la mise en scénographie de ces artisans qui bossent durs pour y arriver. L’humilité est aussi au rendez-vous. Bien exprimée, elle peut faire couler parfois des larmes…

Le cru 2022 aura permis à 31 entreprises d’être distinguées au plan régional. Dont trois sur le territoire de l’Yonne, dans les catégories suivantes : l’innovation, la responsabilité et l’entrepreneuriat. Seule la quatrième discipline, celle de l’exportation, aura fait défaut, confirmant son absence depuis plusieurs années dans le panorama de l’Yonne. A croire qu’il n’y a pas d’artisans qui écoulent leur production à l’international ?

 

 

 

Des entrepreneurs en vrais capitaines de vaisseaux…

 

Installé dans le paysage de l’évènementiel économique depuis 2007, le prix « Stars et Métiers » est aujourd’hui inscrit dans le marbre pour celles et ceux qui tentent depuis leur chance. Figurer sur le devant de la scène, trophée en main, représente un moment de joie, additionné de fierté pour ces couples d’artisans, parfois, ces associés, souvent, ou ces personnes individuelles qui réussissent leur parcours professionnel et le font savoir publiquement.

La responsabilité managériale, le dynamisme qui va de pair, la concrétisation de besoins technologiques, bref, la stature de l’entrepreneur qui se mue au fil du temps et des expériences en capitaine de vaisseau sur l’océan plus que mouvementé de l’entrepreneuriat sont autant de critères de choix qui permettent de la part d’un jury de désigner un vainqueur.

 

 

Des idées plein la tête pour faire avancer les entreprises…

 

Les lauréats ? Parlons-en, justement. Non seulement, ils ont vu tomber dans leurs besaces la coquette somme de mille euros pour leur activité. Mais, en outre, ils auront eu l’opportunité oratoire de pouvoir livrer à chaud leurs commentaires.

Ce sera le cas de Damien BELLAT, de la société éponyme, une SARL, qui concourait pour l’obtention du Prix de l’Innovation. La création d’un système de câbles chauffants antigel pour les vignes aura séduit le jury, conquis par cette mise à profit de l’automatisme au service de la viticulture.

Puis, Sébastien LUCAS accèdera à la scène. L’entrepreneur parlera de son activité, orientée vers l’impression d’étiquettes (une SASU baptisée sobrement « LUCAS Etiquettes » a été créée) et plébiscitée dans la catégorie « Responsable ». Où démarche environnementale et hausse des emplois ont su faire le reste dans le choix des jurés.

Dirigeant de la structure « ACTP Micro Injection », Eric RAGOT rejoint ensuite le plateau pour y recevoir à son tour son précieux sésame. Catégorie : « Entrepreneur ». La société stocke suffisamment de matières premières et de produits finis afin de pouvoir répondre à ses clients dans des délais très courts. Une longueur d’avance qui se sera retrouvée in fine lors de la prononciation du verdict, officialisant son prix !

Ces récompenses furent offertes sous les yeux de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne (aux anges devant la pertinence de ces différents concepts) et Jean-Michel CHARNU, président de la SOCAMA, leader du cautionnement mutuel dans l’Hexagone, un partenaire clé du réseau des Banques Populaires et de la chambre consulaire.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Les impacts du numérique sur l’environnement sont multiples. Ils sont présents à toutes les étapes du cycle de vie des ordinateurs et autres objets connectés, de l’extraction de métaux précieux employés pour leur fabrication, à leur transport et leur utilisation. Avec ce constat sans appel : le numérique représente aujourd’hui plus de 4 % des émissions de gaz à effet de serre à travers la planète. Un chiffre appelé à doubler d’ici 2025. Le sujet est d’importance et n’a pas échappé à l’association « NumYco ». Pour sa première table ronde, le jour de son inauguration, elle avait choisi comme thème, « Les enjeux environnementaux du numérique ».

 

AUXERRE : Aussi paradoxal que cela puisse paraitre, plus on « dématérialise », plus on utilise de matière et d’énergie. Cobalt, Indium, Silicium, Tantale…, autant de métaux rares à l’extraction particulièrement polluante, nécessaires à la fabrication d’ordinateurs ou smartphones. La simple consultation d’une vidéo en streaming pendant une heure équivaut à la consommation annuelle électrique d’un réfrigérateur !

Aux impacts environnementaux du numérique, se rajoutent aussi des impacts sociaux, rappelle Alexandre FOULON, président de « NumYco « : « dès l’instant où l’on va faire fabriquer dans des pays étrangers où les règles du travail et notamment concernant les enfants, ne sont pas tout à fait les mêmes que chez nous… ».

 

Entretenir ses appareils numériques grâce aux mises à jour régulières…

 

Autre problématique majeure, celle du recyclage et de la valorisation des anciens matériels. D’autant qu’en trente ans, la durée d’utilisation moyenne d’un ordinateur a été divisée par trois, passant de onze à quatre ans. Pour Christophe IENZER, conseiller numérique à la CCI de l’Yonne, le sujet est d’autant plus prégnant qu’il y a urgence à trouver des solutions : « je suis aujourd’hui enseveli sous une montagne d’appareils électroniques en fin de vie, sans réelles solutions proposées pour leur recyclage, avec le risque final de les voir envoyés dans des montagnes de déchets en Afrique ou enfouis dans le sol. La difficulté étant de trouver des entreprises pouvant me proposer des solutions concrètes pour me débarrasser de ces appareils et leur donner une deuxième vie, récupérer leurs composants, recycler les plastiques, etc. ».

D’où l’importance, souligne Alexandre FOULON à prioriser dans ses achats, des matériels avec une durée de vie plus longue, « et de les entretenir en faisant notamment des mises à jour régulières permettant de les conserver ainsi plus longtemps… ».  

 

 

 

Réduire l’empreinte écologique : la priorité pour tous les acteurs de l’économie…

 

Pas de solutions « miracle » mais une dynamique se met en place progressivement avec le label « numérique responsable », une démarche globale visant à réduire l’empreinte écologique, sociale et économique des technologies liées à la communication et l’information. Autant d’axes d’action multiples, dont certains restent toutefois à identifier, explique Silvère DENIS, délégué général de BFC Numérique : « nous réfléchissons à la mise en place d’un diagnostic à proposer d’abord aux entreprises numériques et demain, plus largement à l’ensemble des acteurs économiques, pour pouvoir identifier plus finement l’impact du numérique et surtout, par où commencer pour s’améliorer. Aujourd’hui, cela reste très compliqué d’identifier les axes sur lesquels on peut agir et le bénéfice que l’on peut en attendre, mais c’est un domaine qui va évoluer rapidement, ne serait-ce que par la législation… ».

 

 

Des aides financières peuvent être mobilisées en ce sens, rappelle Bénédicte DOLIDZE, coordinatrice du Pôle Transition Écologique de l’Agence Économique Régionale Bourgogne-Franche-Comté (AER-BFC) : « notamment celles de l’ADEME, mais aussi du Conseil Régional, en particulier pour les plus petites entreprises de moins de 50 salariés faisant appel à un bureau d’études extérieur, qui peuvent tabler sur des aides de l’ordre de 70 %. Il ne faut surtout pas s’en priver, au risque de rentrer dans du green-washing… ».

 

 

Un nouveau festival qui verra le jour à Sens dès l’automne…

 

De cette réflexion autour du numérique responsable, va naître à l’automne prochain à Sens, du 19 au 21 octobre, le festival « ArboreSens », premier du genre sur le territoire, consacré aux impacts du numérique sur l’environnement. Avec pour objectif, explique Cyril ALIDRA, directeur du Pôle relation usagers et transformation de l'administration de la Communauté d'Agglomération du Grand Sénonais, « de sensibiliser à la fois sur l’impact du numérique mais aussi de parler de façon positive et montrer les solutions existantes, de partager les bonnes pratiques et cela, à destination du grand public et plus particulièrement, des jeunes générations… ».

Un festival qu’il souhaite d’ores et déjà installer dans la durée et en faire un rendez-vous annuel pour créer une dynamique « d’écosystème territorial ». 

 

Dominique BERNERD

 


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Quelques notes de piano, finement ciselées, sont jouées sur la scène du théâtre d’Auxerre. Cela ressemblerait presque, à s’y méprendre, à la lancinante mélodie composée par William SHELLER, « Un homme heureux ». Au clavier, GEHEL se « chauffe » les doigts avant de reprendre la répétition qui se déroule sous les regards scrutateurs des enseignants. Ultimes instants de répit avant que ne débute le grand spectacle du soir…

 

AUXERRE : Combien sont-ils réellement ? Une soixantaine, quatre-vingts ? Cent ? Voire davantage ? Des élèves de classes de sixième et de cinquième, formant chorales, qui viennent de différents horizons géographiques. Ceux du collège Philippe Cousteau, localisés à Brienon-sur-Armançon. Ceux, également, de Montholon. Leur établissement se nomme « La Croix de l’Orme ». Enfin, il reste les locaux de l’étape ! L’ensemble vocal de Saint-Joseph-la-Salle.

Tous sont présents au théâtre auxerrois dans le cadre du Festival de chorales académiques de l’Yonne programmé toute cette semaine. Ce qui est présenté devant nos yeux, avides de curiosité : c’est le projet « art et culture » porté par une soixantaine d’élèves de sixième/cinquième du groupe scolaire Saint-Joseph-la-Salle. Un projet, où sont intervenues différentes enseignantes dont Noémie CORDET, qui avait en charge la partie « décors ».

Le concept se décline en chansons. Quatre morceaux ont été ainsi créés avec le concours de l’auteur, compositeur et interprète de l’Yonne, GEHEL, en relation directe avec le professeur de musique, Amélie INVERNIZZI et Noémie CORDET, professeure en arts plastiques. Précisons que la conception des décors aura vu l’intervention externe de la structure associative, « Au Bonheur des Chutes », spécialiste de la récupération et de la seconde vie apportée aux objets.

 

L’œuvre de Serge GAINSBOURG comme genèse du projet…

 

Quant aux œuvres musicales, elles sont le fruit d’un travail d’écriture en commun avec GEHEL et les élèves. L’artiste qui sera en concert le 09 juillet prochain à Clamecy (Brasserie de la Canoterie) s’est focalisé prioritairement sur la thématique de l’écologie afin d’élaborer ces nouvelles œuvres ; les textes évoquent l’eau, le plastique ou son recyclage.

La genèse de ce projet est née d’un spectacle que les collégiens auxerrois ont pu apprécier, « Gainsbourg for Kids », lors de sa programmation au Silex. S’inspirant des chansons de « L’Homme à la tête de chou », les néo-compositeurs ont alors construit patiemment la trame de leurs quatre chansons, avec l’appui précieux du chanteur régional, GEHEL.

Accompagné des percussions de Yoann LELIEVRE, GEHEL joue encore quelques accords de guitare afin d’effectuer la balance avec le technicien en charge du son. Tout est prêt avant le grand rendez-vous du soir !

 

Thierry BRET

 


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