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Perceneige est sûrement l'une des communes les plus septentrionales de l'Yonne. Au loin, on aperçoit les imposantes cheminées fumantes de la centrale de Nogent. L'Aube, depuis ce village agricole, n'est qu'à quelques kilomètres de là…Installons-nous au « Relais ».

 

PERCENEIGE : C'est avec plaisir que l'on pousse de nouveau la porte de ce restaurant-bar, qui était fermé depuis quelques temps déjà. La souriante Isabelle et sa brocante sont parties du côté de Thorigny-sur-Oreuse, m'a-t-on dit !

La décoration est un peu allégée depuis lors. Mais, l'imposant comptoir demeure, autour duquel les paysans (noble mot s'il en est !) discutent tracteur et rendement. Le mini-golf, sûrement moins à la mode qu'antan, est toujours là dans le jardin.

Un patron débonnaire propose l'apéritif. Il explique ensuite qu'entrée et dessert sont en libre-service. En général, le buffet d'entrées est bien rarement fabriqué maison, sauf au relais de Courtemaux, proche de Courtenay !

Hélas, c'est le cas ici. Toutes ces entrées se ressemblent avec leur assaisonnement « gélatino-acide » si caractéristique : salade de betteraves, salade piémontaise...

Plutôt qu'un choix de six entrées industrielles, ne vaudrait-il pas mieux trois entrées seulement, mais faites maison ?

 

 

 

Où sont les oignons qui rissolent, les lentilles qui glougloutent ?

 

Avec la raréfaction constatée actuellement du beau métier de cuisinier, on peut malheureusement craindre que de plus en plus de « restaurants » procèdent de la sorte, désormais. A l'instar des trop nombreuses chaînes qui enlaidissent nos entrées de ville. L'honnête cuisine faite maison (l'oignon qui rissole, la daube qui mijote, les lentilles qui glougloutent…) aurait-elle pris du plomb dans l'aile ? On peut hélas le craindre.... Ce serait dommage pour la réputation culinaire de la France, mais hélas, les faits sont là.

La tomate farcie et son riz nappé d'une sauce industrielle sont du même acabit. On mange sans se régaler. Quant aux desserts, installés dans l'armoire réfrigérée, la pâle imitation d'un gâteau basque à la crème incertaine (de surcroît le froid n'arrange rien...), et l'entremet nappé d'un sirop chocolaté à l’origine industrielle ne sont vraiment pas terribles.

 

 

Une empreinte culinaire à reconstruire…

 

Alors qu'à cinquante mètres de là, dehors, un cerisier attend qu'on le soulage de ses fruits rougeoyants. Un clafoutis tout simple (beurre, lait, œuf, farine, sucre) serait quand même bien meilleur que tous ces « machins industriels »....

C'est triste ! On a l'impression de se retrouver dans un restaurant sans aucune âme culinaire. Sans cuisinière ou cuisinier, tout simplement....
Félicitations aux repreneurs des établissements ! Ils sont bien  souvent courageux. Mais, là, « Au Relais », il ne manque plus désormais que de la cuisine-maison. Comme au restaurant du canal à Migennes avec une gamme tarifaire identique…

 


En savoir plus :

Les - : absence de cuisine faite maison.

Les + : le service est aimable et souriant.

Contact :

Le Relais

27, Rue des Coquelicots

89260 PERCENEIGE

Tel : 03.86.88.93.66.

Fermeture le mercredi

Menu à 15 euros.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Un peu haut « perché », le cadre de cette assemblée générale extraordinaire ? Celle devant accueillir la totalité ou presque des associés qui constituent le premier cercle financier de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique. L’atypisme de l’esthétique théâtre de Brienon-sur-Armançon collait à merveille avec l’ambitieux concept, dévoilé par les instigateurs de ce rendez-vous entrepreneurial faisant appel à une levée de fonds. Prometteuse, en vérité, puisque la récolte s’est montrée in fine alléchante, avec 135 000 euros à la clé…

 

BRIENON-SUR-ARMANCON : Pas mal, pas mal, la première levée de fonds proposée par les porteurs du projet, déjà bien avancé, de la future SAS Pôle Son Vibration Acoustique ! Il n’aura suffi que de quelques semaines pour récupérer la coquette somme de 135 000 euros auprès de potentiels investisseurs du cru, entrant au capital social de la future entité, afin de mettre de l’eau dans les rouages de ce qui devrait être à terme une aventure entrepreneuriale très surprenante.

Une déclinaison professionnelle aux réelles opportunités de développement, tant sur l’Hexagone, qu’à l’international. Plutôt rare comme expérience à vivre dans le landerneau icaunais…

Une enveloppe financière qui, ajoutée aux investissements initiaux injectés par les irréductibles supporters du projet, porte les fonds à 150 000 euros. Une levée de fonds qui en appelle désormais une autre puisque les porteurs du projet souhaitent atteindre le chiffre tout rond de 200 000 euros figurant au capital social. Celle-ci devrait se mettre en place dans les prochains jours et se clore vraisemblablement fin septembre.

Des prolongations dont auront évoqué longuement les contours les participants de cette assemblée générale. Ecoutant très attentif les recommandations expertes fournies par Me Harold FORESTIER, du cabinet FIDAL, qui, en bon pédagogue, en expliquera le moindre détail.

 

 

Déjà une vingtaine d’associés dans cette aventure insolite de l’entrepreneuriat…

 

A date, une vingtaine de personnes ont apporté leur contribution financière participative à ce projet. De tout âge (de 22 à 78 ans selon la formule consacrée qui n’aurait pas déplu à HERGE !) et de toutes orientations professionnelles.

Désormais, comme le rappela le président temporaire de la SAS Pôle Son Vibration Acoustique Serge GARCIA (le président de l’association DEFI SON devrait passer la main dès le mois d’octobre conformément à ses désirs), le dépôt de demande d’aides publiques va se concrétiser dans les prochains jours auprès des services ad hoc de la Région Bourgogne Franche-Comté. Objectif : un abondement à montant équivalent de la part de l’organisme régional. La Caisse des Dépôts, via sa filiale, la Banque des Territoires, pourrait être amené à faire de même. Ce serait un sérieux coup de pouce envers le lancement de cette fusée porteuse d’espérance pour l’attractivité économique du territoire et l’employabilité locale.

Les associés de cette nouvelle aventure devaient recevoir au cours de cette rencontre leurs attestations officielles, un document faisant foi de leur investissement financier dans le concept.

Le Pôle Son Vibration Acoustique devrait être opérationnel dès septembre, avec la nomination de trois cadres qui en piloteront la destinée : un directeur exécutif, un directeur en charge de la stratégie, de la communication et de la médiatisation et enfin, un encadrant devant gérer la cellule recherche et développement.

Quant aux perspectives, elles sont bonnes : les premiers contrats avec une dizaine de partenaires industriels déjà en liste d’attente devraient se signer dès le début de l’automne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Acteur de la sécurité incendie mais aussi du diagnostic, du conseil et de la formation sur le territoire de l’Yonne et de l’Aube, auprès des structures publiques comme celles du privé, le groupe DAVEM (SSITEK, CFPI, PROTEKFLAM) autofinancera d’ici peu des travaux d’agrandissement de ses locaux auxerrois. Un sérieux plus qui mènera la société à doubler ses possibilités structurelles…

 

AUXERRE: Si tout se déroule pour le mieux, le dossier sera définitivement clos en 2023 ! Avec en substance, un doublement des surfaces actuelles (plus de deux cents mètres carrés supplémentaires) qui permettra au groupe DAVEM de se doter de locaux professionnels de belle envergure.

Preuve que les choses évoluent plutôt dans le bon sens : le permis de construire vient d’être signé ; il est désormais en consultation auprès des spécialistes du foncier.

L’annonce de ce futur chantier, effectué dans un futur proche au siège de la société, sis chemin de halage de La Maladière à Auxerre, a été faite par le dirigeant de l’entité, son président-fondateur, David CHOMAT.

In fine, les nouveaux locaux relookés à la sauce de l’agrandissement devraient tutoyer avec les cinq cents mètres carrés de surface, accueillir davantage de bureaux et être pourvus d’une aire de stationnement pouvant recevoir jusqu’à trente-sept véhicules.

 

 

La zone parking sera également équipée de deux bornes de recharge électrique. L’investissement de ce projet de construction est estimé à 250 000 euros. Le groupe DAVEM en assurera l’intégralité du financement avec ses fonds.

Rappelons que le groupe DAVEM et ses trois marques disposent aussi d’une nouvelle antenne localisée à Sens depuis le 01er avril. Troyes est le troisième pôle d’intérêt de ce spécialiste de la sécurité incendie. Le groupe intervient dans de nombreux secteurs pour y garantir le respect des règles sécuritaires : les centres hospitaliers et les EHPAD, les industries, l’hôtellerie-restauration, les centres commerciaux, etc. Il emploie dix-huit collaborateurs…

 

Thierry BRET

 

 


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Cela ressemble étrangement à la fameuse émission qui fit les beaux jours du monde cathodique, « Vis ma vie ! ». Sauf que dans le cas présent, ce fut moins long et immersif ! Mais, qu’importe les comparaisons ! Le vice-président de la Région en charge des finances, du développement économique et de l’emploi s’est prêté de bonne grâce à l’exercice sans renâcler : concevoir ses premiers éclairs et croissants aux côtés de l’un des maîtres de la boulange icaunaise, Laurent BISSON !

 

CHEVANNES : Plantons le décor. Celui-ci est pour le moins singulier. Le lieu, déjà, est sans équivoque. L’arrière-cour de l’une des plus gustatives boulangerie-pâtisserie, grâce à ses produits, de notre territoire, celle tenue par Laurent BISSON, et son épouse. Des esthètes des métiers de bouche et de l’artisanat, avec un grand « A ». Un maître de l’apprentissage et de la transmission des valeurs. Là, dans les soupentes de leur très belle vitrine se déroule presque un « conseil de guerre » autour de la filière qu’il est impératif de préserver, voire de sauver tant les contraintes et les charges actuelles pèsent sur les épaules endolories des professionnels qui ne savent plus à quels saints se vouer. A défaut de ne pouvoir recruter convenablement et honorer ainsi les carnets de commandes.

 

 

Un tablier de professionnel comme tenue de travail !

 

Face au couple qui tient vaille que vaille le cap malgré tous les aléas de l’existence – le mental chez lui est primordial -, un petit aéropage d’institutionnels, heureux de se trouver là. On y recense Dominique NUNES, porte-étendard de la CNAMS de Bourgogne Franche-Comté, Jean-Marc THIRION, secrétaire général de l’U2P régionale – l’Union des entreprises de proximité, celles que préfèrent et de très loin les Français ! -, David MARTIN, son représentant sur le territoire de l’Yonne et Jean-Pierre RICHARD, ce dernier possédant la double casquette d’ambassadeur de la CAPEB de l’Yonne – une confédération positionnée sur le bâtiment, domaine un peu trop éloigné des métiers de bouche sauf si on loupe la cuisson de son pain en le rendant dur comme du fer ! -, et de présider à la destinée de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat depuis l’automne.

Tous n’ont d’yeux que pour l’un des invités qui ayant revêtu un tablier de professionnel va dans quelques instants (et en quasi exclusivité devant nous) s’adonner à une technique – un art ? – qu’il n’est pas censé maîtriser, soit la conception d’un éclair, avant de réitérer l’expérience dans une autre partie de l’atelier où se confectionnent les croissants.

 

 

 

La boulangerie-pâtisserie, le matin ; l’ébénisterie, l’après-midi…

 

Exercice périlleux de surcroît pour les non-manuels, auquel vont tous se soumettre les visiteurs du jour (sauf Jean-Pierre RICHARD qui préfère se concentrer sur la dégustation desdits croissants produits lors de la fournée du matin, en quoi il a parfaitement raison car élaboré avec du beurre, ils sont très goûteux !).

Découverte originale que celle-ci ! Elle s’inscrit dans le cadre de l’excellente opération de l’U2P, baptisée sobrement « le Printemps de la proximité ». Une sensibilisation concrète, sur le terrain, servant à mettre en lumière les secteurs et métiers issus de cette « proximité ».    

D’ailleurs, dans sa déambulation du jour, Nicolas SORET – c’est bien de lui dont il s’agit pour ouvrir le bal de l’éclair le plus réussi en manipulant la douille emplie de pâte – hérite de deux points de chute dans sa mini-tournée artisanale : la boulangerie-pâtisserie de Laurent BISSON à Chevannes et l’atelier d’ébénisterie d’art de Julien CORDIER, à Irancy, un professionnel habitué aux visites officielles. N’avait-il pas accueilli un jour le préfet de l’époque Patrice LATRON qui s’était essayé avec bonheur à la découpe de bois en utilisant une scie ?!

 

 

Un « apprenti » boulanger qui a réussi son travail…

 

Nicolas SORET a donc endossé l’habit d’artisan du jour. C’est-à-dire que l’élu régional s’est mis dans la situation (un bref instant) du boulanger-pâtissier pour préparer les ingrédients servant à sa production matinale.

Les éclairs, tout d’abord (pas si facile que cela de leur donner un aspect digne de ce nom sur une table de travail !), puis ensuite, les croissants dont il faut savoir rouler entre les doigts, et avec technicité, la pâte avant d’obtenir le résultat définitif, après l’avoir découpée à l’aide d’un cutter !

Le maire de Joigny aura été également très attentif aux propos de ses hôtes lors des échanges oratoires, prenant soin d’écouter la suite de difficultés et problématiques rencontrées au quotidien par ces professionnels lève-tôt puisqu’exerçant leur labeur dès potron-minet.     

Quant à la production du jour, de l’avis de Laurent BISSON, elle fut bonne à mettre à la cuisson. Le jeune « apprenti » boulanger Nicolas SORET s’est donc bien sorti du pétrin en mettant la main à la pâte !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est de l’or en barre. Une pépite parmi les pépites. Le saint du saint de la haute couture à la sauce franc-comtoise. Créateur, styliste et chef d’entreprise, le talentueux garçon originaire de Besançon a séduit le jury du concours Talents BGE 2022, en glanant deux distinctions, le prix de l’artisanat et le prix de la popularité sur Facebook. Du grand art !

 

JOIGNY : La classe et la distinction. La maturité et le professionnalisme. Le coup de patte, aussi, à l’appréciation visuelle de la robe de mariée, issue de son imaginaire créatif devant subjuguée par la suite le jury.

A la tête de sa structure entrepreneuriale, curieusement baptisée « L’Engrenage » - mais on comprend très vite le sens au fil de ses explicatifs, le Bisontin Bertrand ROMUALD a survolé la récente édition du concours des Talents de la BGE où une vingtaine de chefs d’entreprise régionaux concouraient dans une demi-douzaine de catégories. Nous y reviendrons dans un prochain article pour en donner les impressions d’ensemble.

Parmi eux, catégorie « artisanat » : Bertrand ROMUALD, garçon bourré d’audaces et d’ingéniosité qui, il est vrai, s’est taillé une solide notoriété sur son secteur de prédilection depuis une dizaine d’années.

 

 

Pas étonnant qu’il ait empoché deux titres au terme de ce concours, globalement de très belle facture.

Ingénieux, doué, ayant le sens du marketing et la bosse du commerce, il est normal après coup de retrouver le jeune homme sur ce piédestal, auréolé de succès et félicité chaleureusement par les organisateurs de la cérémonie (Arnaud MERIC et Eric FREYSSINGE pour la BGE) et les partenaires de cette belle opération incitative à l’expression artisanale et à sa promotion (Banque Populaire,  Crédit Agricole, Région, CERFRANCE, FIDUCIAL…).

Ce jeune créateur de mode figure de très belle manière dans « l’engrenage » de la réussite ! A suivre de très près !

 

Thierry BRET

 

 


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