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Le chanteur du groupe corse, I MUVRINI, était de passage au Silex d’Auxerre ce lundi 12 février à l’invitation de Bernard DAVID, directeur du Centre de formation du club de football de l’Yonne. Deux heures durant, Jean-François BERNARDINI a évoqué face à la jeunesse sportive de l’Yonne le respect de l’autre et les bienfaits de l’altruisme en dénonçant les violences qui banalisent notre quotidien. Y compris dans le milieu du sport.

AUXERRE : Devenir un véritable acteur, voire un artisan besogneux, de cette noble cause que représente la lutte contre les excès de violence autour de nous. Tel était l’enjeu principal de cette causerie proposée dans le cadre des actions de formation menées auprès des futurs professionnels du Centre de formation de l’AJA par le chanteur de l’Ile de Beauté.

Plus connu en qualité de leader charismatique de la fameuse formation qui sillonne la France entière en interprétant des airs traditionnels, Jean-François BERNARDINI a voulu témoigner des dangers occasionnés par cette violence gratuite qui pollue toutes les strates de notre société. Le sport n’étant pas épargné par ces phénomènes en forte recrudescence.

Par le biais de sa fondation « UMANI », le chanteur a illustré ses propos passionnants en puisant ses références explicatives parmi les neurosciences, la psychologie mais également en analysant des faits concrets ayant émaillé l’actualité des faits divers. Un discours riche et vrai qui a eu comme conséquence d’inciter les joueurs et les éducateurs présents à une utile réflexion sur les comportements de l’humain en ce XXIème siècle.

Plusieurs personnalités politiques et institutionnelles du territoire Icaunais assistèrent à cette conférence qui aura ouvert le temps d’un après-midi à davantage de réflexion de la part des participants…


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Réunis en assemblée générale à Auxerre, les édiles du territoire le plus septentrional de Bourgogne (maires, présidents de communautés de communes), ainsi que les partenaires majeurs des collectivités ont dévoilé leurs axes stratégiques à l’amorce de cette nouvelle année. Un exercice traditionnel pour la structure associative de 344 membres pilotée par Mahfoud AOMAR qui aura joué les tribuns avec sa verve habituelle lors de cette soirée qui devait se clôturer par la remise des trophées des « Marianne » récompensant les collectivités les plus dynamiques…

AUXERRE : Constatant avec satisfaction la bonne tenue des comptes de l’exercice 2017 (l’équilibre du budget a été respecté sans avoir eu recours à de quelconques augmentations), le président de l’AMF 89 annonça tout de go que le budget prévisionnel 2018 serait à l’identique du précédent. Il salua la saine gestion de la structure avec ses 12 000 euros d’excédents, un chiffre qui devait attester l’aspect florissant de la trésorerie. Ce qui est loin d’être le cas par ailleurs pour de nombreuses associations du territoire.

La relance du CDAD aura été l’une des priorités

Le cap sera maintenu cette année en matière de formation. Le programme décliné auprès des élus mais aussi des secrétaires de mairie se poursuivra : le contenu de ces sessions étant très apprécié de leurs bénéficiaires qui en ont testé les fruits à maintes reprises. Puis, déroulant de manière conventionnelle le rapport moral de sa présidence, Mahfoud AOMAR insista sur les points cruciaux de l’exercice écoulé. La relance du Conseil départemental d’accès au droit (CDAD) intègrera l’une de ses priorités vécues l’année dernière sur laquelle il marquera un long temps d’arrêt.

« Cet outil qui permet de favoriser l’accès au droit à toutes les personnes de notre département a repris de la vigueur en 2017. Des permanences sont désormais proposées à Avallon, à Auxerre et à Sens offrant ainsi la possibilité de faire circuler des informations juridiques à la population… ».

En novembre, les représentants de l’AMF 89 ont effectué un voyage d’étude au parlement de Bruxelles (une immersion au cœur de l’Europe) jugé très pertinent selon l’orateur. Dans le même registre, il y a eu aussi en fin d’année un déplacement instructif au ministère des affaires étrangères. Quant au voyage à Strasbourg, berceau de l’Europe, il est en cours de finalisation.

Autre temps fort évoqué par Mahfoud AOMAR : plusieurs formations qui ont été proposées sur l’évaluation des charges, le marché public, les responsabilités assurantielles avec le procureur du Tribunal de grande instance d’Auxerre (une première où participèrent cent-vingt élus). Au vu de ce succès, une seconde séance informative s’organisera à Sens ces prochaines semaines. Le cadre formatif étant inéluctable aux yeux du président de l’AMF 89, la structure associative déclinera en 2018 des cycles pédagogiques à destination de l’ensemble des représentants des conseils municipaux.

« Nous porterons aussi un programme de formation qui se réalisera de manière intensive sur un domaine parfois fort complexe, la commande publique… ».

Quant à la conception de l’annuaire des élus de l’Yonne, le dossier est actuellement au point mort au grand dam de Mahfoud AOMAR qui souhaiterait que la totalité des maires de l’Yonne s’investissent en apportant une réponse positive afin d’entériner définitivement ce concept. Trois cent-vingt élus ont pour l’heure renvoyé les renseignements obligatoires et nécessaires à l’élaboration du document. Il reste à convaincre les réfractaires à cet outil de communication pourtant utile.

Une structure en voie de progression riche de 344 adhérents

Aujourd’hui, la structure englobe 344 adhérents sur 428 communes identifiées sur l’Yonne et treize intercommunalités. Soit une zone géographique qui accueille 309 000 habitants. Radieux, Mahfoud AOMAR devait annoncer un taux de progression de 111 % depuis 2015.

Favorable à l’éclosion des neuf nouvelles communes qui ont vu le jour après le rapprochement de certaines d’entre elles, le président de l’Association des maires de l’Yonne considère que ce choix de créer de nouvelles entités relève de la bonne volonté de chacun. Il n’y est donc pas opposé.

Commentant des statistiques nationales faisant montre de la confiance des Français envers leurs édiles (sept de nos concitoyens sur dix apprécient le travail réalisé par leur élu municipal), Mahfoud AOMAR rappela que ces derniers jouissaient d’une très belle cote de popularité. Le rôle et le positionnement de l’AMF dans l’Yonne n’y étaient peut-être pas étrangers avec le pluralisme politique affiché librement au sein de la structure et cette volonté commune de faire bouger les lignes dans la même direction.

L’étroite osmose entre l’Etat et les collectivités locales…

S’adressant à la tribune, le préfet Patrice LATRON évoqua le partenariat étroit et efficace entre l’Etat et les collectivités.

« Sur le dossier de la sécurité civile qui a été mobilisé suite aux inondations, nos services ont tout mis en œuvre pour assurer à ce jour les indemnisations d’une trentaine de communes sur les 76 localités ayant déjà envoyé leurs dossiers, transmis au ministère de l’Intérieur. L’Etat a aussi sensibilisé les professionnels de l’assurance à agir très vite sur ces modalités pratiques... ».

Puis, tour à tour, le représentant de l’Etat s’attardera durant son propos sur les résultats obtenus en matière de sécurité publique (+ 23 % de cambriolages constatés lors du dernier semestre 2017 alors que l’année amorce une baisse des infractions de l’ordre de 8,8 %) et l’essor de la participation citoyenne impulsé en parallèle grâce à la signature de conventions avec les polices municipales.

« Je souhaite aussi une modernisation de nos institutions avec la dématérialisation, renchérissait-il, le pourcentage d’actes télétransmis par les services municipaux est de l’ordre de 65 %. Nous devons aboutir à une complète dématérialisation des actes budgétaires afin que les mairies puissent se doter d’une administration moderne et simplifiée ».

Parlant chiffres, le préfet ne pouvait clore son discours sans aborder le montant de la DETR (à l’identique de 2017 soit une enveloppe de plus de 14 millions d’euros) et la dotation de soutien à l’investissement qui s’élève à 4,2 millions d’euros.

« L’Etat est à vos côtés, devait marteler Patrice LATRON, avec cette réelle volonté de travailler différemment. L’Yonne doit saisir les opportunités économiques qui correspondent aux besoins des entreprises, tout en assurant la promotion de l’apprentissage et en encourageant la mobilité. Nous restons à l’écoute pour que l’ensemble des procédures soient appliquées et coordonnées dans le territoire ».

Quant à Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental, il rappela le rôle prégnant  de son organe institutionnel auprès des collectivités et le soutien apporté aux initiatives promotionnelles, à l’instar des trophées des Marianne, un véritable encouragement à la dynamique territoriale.


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C’est officiel : le jeune défenseur originaire de la Réunion a paraphé aux côtés du président de l’AJA Francis GRAILLE ce lundi son premier engagement professionnel avec le club bourguignon. Une confirmation importante dans la carrière de ce natif de l’Outre-Mer qui conforte son choix avec son club de prédilection. Ce dernier ayant assuré sa formation…

AUXERRE : Déjà sélectionné en équipe de France à de maintes occasions (U 17/U 18), Jean Harisson MARCELLIN rejoint l’effectif des professionnels du pensionnaire de Ligue 2.

Polyvalent, s’adaptant au schéma tactique du jeu, le jeune sportif né le 12 février 2000 qui avait intégré le centre de formation à l’âge de 16 ans, de manière simultanée à la venue du troisième gardien Sonny LAITON, vivra sa troisième saison avec de nouveaux objectifs.

Très technique avec son jeu de tête, créatif et aimant l’anticipation, le jeune garçon évoluera dans un rôle de défenseur même si à l’origine ce dernier avait débuté en occupant le milieu de terrain.

Satisfait de ce nouvel engagement, le club souhaite les meilleurs augures pour le néo-professionnel ; gageons qu’il brille très vite sous les couleurs de l’AJ Auxerre dès les prochaines rencontres…


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Le PIA (Programme d’investissement d’avenir), dispositif d’incitation entrepreneuriale à l’innovation, est mis en exergue en Bourgogne Franche-Comté par BPI France et la Caisse des Dépôts. Les contenus de la troisième mouture, applicable en 2018, viennent d’être dévoilés à une soixantaine de chefs d’entreprise réunis par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne à l’invitation de son président Alain PEREZ. Les dossiers de candidature peuvent d’ores et déjà être déposés…

AUXERRE : L’organisation administrative française ne doit en aucun cas pénaliser l’initiative à l’économie. En guise de préambule à ce rendez-vous explicatif concocté autour des dispositifs d’investissement, le président de la chambre consulaire de l’Yonne s’est montré plutôt déterminé dans ses propos liminaires.

Pour lui, le financement des entreprises représente un élément vital à la pérennité et à la croissance d’une activité économique. Et cet accompagnement intervient dès le montage financier à l’origine d’un projet jusqu’à sa propension à se développer grâce à de l’ingénierie et de l’innovation.

« C’est la mission principale de la Chambre de Commerce et d’Industrie, martelait-il avec insistance, le renfort de nos équipes dédiés au service industrie l’atteste incontestablement avec le travail effectué par son responsable, Olivier BOURDON, et ses six collaborateurs… ».

Les bienfaits attendus par le PIA dans l’environnement économique local…

Ce prologue aux échanges qui allaient suivre tombait à pic pour rappeler la dimension structurelle de la CCI vis-à-vis des porteurs de projet et de ceux qui les font croître. Si détecter les pépites à l’export intègre également le champ de compétences de l’organisme, l’innovation individuelle représente un autre socle incontournable mis en valeur avec la création des pépinières d’entreprise. Commentant la thématique du jour qui sera ensuite abordée par Pierre-Etienne GIRARDOT, chargé de mission économie et innovation auprès de la préfecture de région, Alain PEREZ salua ce troisième programme d’investissement d’avenir comme une très belle opportunité.

« Il s’agira de soutenir les initiatives de développement de ces entreprises régionales que nous encourageons à progresser grâce à des appels à projets. Ce sera un plus incontestable pour rattraper les retards existants vis-à-vis des PME allemandes et italiennes en matière d’export. Juste une indication pour mieux comprendre ces priorités : les sociétés d’Outre-Rhin sont trois fois plus présentes à l’international que les structures de l’Hexagone. Celles de l’Italie le sont deux fois plus ! ».

Enfin, l’ultime argument qui trouve grâce aux yeux du président de la CCI de l’Yonne avec cet apport bénéficiaire du PIA : l’adaptation de la qualification de la main d’œuvre. « Nos entreprises souffrent du manque de ressources qualifiées. Or, aujourd’hui, je suis sidéré de constater l’importance des écarts qui perdurent entre le niveau des offres et des demandes d’emploi vis-à-vis des cursus. Je crois qu’il est essentiel de reprendre le problème à l’origine et de faire en sorte que l’Education nationale oriente davantage les jeunes générations vers les filières de l’industrie, porteuses d’emploi. Une vraie révolution intellectuelle s’impose… ».

Redéfinissant pour conclure le rôle primordial joué par les pépinières qui facilitent l’environnement humain et logistique de toute nouvelle entreprise qui se crée, Alain PEREZ céda la parole à Pierre-Etienne GIRARDOT qui explicita les axes essentiels de ce fameux programme d’investissement.

Changement de paradigme avec un PIA moins élitiste et plus accessible…

Le nouvel outil instauré par l’Etat a subi une sérieuse cure de jouvence dans son approche applicative par rapport aux précédentes variantes. Le PIA, défini en 2017, représente dans sa globalité un montant de 700 millions d’euros pour abonder les projets de la Bourgogne Franche-Comté. Ceux-ci sont multiples et éclectiques. Accompagnement des universités, développement de la recherche, de la santé, pôle nucléaire ou transfèrement des nouvelles technologies en entreprise : ce programme d’aides financières via appels à projets devrait s’avérer salutaire à moyen terme pour redynamiser notre territoire.

Avec la validation de la loi NOTRe au 01er janvier 2016 qui a restreint les compétences économiques de certaines structures institutionnelles et la création de la nouvelle configuration sectorielle des régions françaises, le PIA s’est davantage ouvert aux PME. D’où la constitution de cette enveloppe de 21 millions d’euros à distribuer sur notre contrée. 

« Tout cela se veut très réactif, confirme Pierre-Etienne GIRARDOT, avec des délais raccourcis entre la date de dépôt du dossier et la validation de son acceptation, soit un delta temporel de trois mois ! ».

Charge à BPI France et à la Caisse des Dépôts en qualité d’opérateurs de suivre le processus d’accompagnement une fois que le dossier sera enclenché.

 

Trois items auxquels peuvent prétendre les PME de moins de 250 salariés et les ETI de manière dérogatoire…

Officialisée depuis le 17 janvier, avec l’ouverture d’un site Internet dédié, la campagne informative auprès des entreprises susceptibles d’être intéressées aboutit au dépôt en ligne d’un dossier de candidature qui respecte l’appel à projets (pia3regionalise.bourgognefranchecomte.fr). Le dispositif sera valable sur une période de trois ans.

Le premier de ces projets se rapporte à l’innovation individuelle qu’elle soit d’ordre technologique ou pas. « Cela peut englober le développement de nouveaux produits et les processus de conception, voire de la sous-traitance. Sont admissibles les projets d’entreprise compris entre 200 000 euros et le million d’euros. Les aides, elles, peuvent s’obtenir dans une fourchette qui oscille entre 100 000 à 500 000 euros ».

Explication du représentant de la préfecture de région : « dans ce type de dossier, on ne finance que 50 % du projet d’innovation de l’entreprise… ».

Le second volet de ce programme se rapporte aux filières. Dans ce cadre spécifique, il concerne des structures ayant choisi de travailler sur des concepts communs mutualisés et désireuses de partager des infrastructures et leur savoir-faire. L’objet de ces futurs investissements se situe entre 500 000 euros et quatre millions d’euros.

Quant au troisième et ultime item, il a pour vocation l’adaptation à la qualification de la main d’œuvre. Les aides potentielles pouvant être obtenues peuvent s’élever de 500 000 euros jusqu’à deux millions d’euros.

Sur un plan pragmatique, le comité de sélection où se retrouvent l’ensemble des partenaires adossés à ce concept (BPI France, Etat, Région, Caisse des Dépôts) se réunira de manière régulière afin de délivrer son verdict. Les aides étant distribuées sous la forme de subvention ou sous la forme d’avance récupérable à taux zéro.

Plus d’argent à délivrer que de projets déposés sur le territoire…

On l’aura compris, ce dispositif n’a d’autre vocation que d’inciter le maximum d’entreprises de la région à déposer des dossiers de candidature. Avec un bémol rédhibitoire, cependant : ces structures se doivent d’être en bonne santé financière.

Nonobstant, le PIA ne représente pas la seule mesure intéressante à laquelle peuvent prétendre à ce jour les PME de Bourgogne Franche-Comté. Le programme d’investissement d’avenir national 3, proposé selon les principes d’un concours à l’innovation, assure des montants supérieurs au million d’euros. Des projets à 5 millions d’euros peuvent obtenir également l’accréditation du comité de sélection. Seule ombre au tableau de ce modèle très vertueux : chaque année, la totalité des aides ne trouve pas de destinataires. Faute de dossiers de candidature ! Un paradoxe qui pourrait être évité…

Pour être tout à fait complet, Pierre-Alain TRUAN, délégué innovation de BPI France, devait conclure cette session en évoquant les aides annexes mais importantes qui existent dans ce paysage d’incitation à l’innovation : PRESTA INNO (8 000 euros octroyés pour 70 % du coût de la prestation), concept destiné aux entreprises de moins de 250 personnes qui n’ont pas bénéficié d’aides à l’innovation depuis deux ans ou encore le Fonds régional pour l’innovation (FRI) qui s’adresse aussi bien aux entreprises qu’aux structures associatives.


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La pratique de séances de réflexologie plantaire destinées à soulager et à détendre le personnel ainsi que les encadrants qui travaillent au sein de l’établissement d’Auxerre est révélateur d’une certaine ouverture d’esprit. Prodiguées par une professionnelle, Chantal NIRLO, qui exerce avec le statut d’indépendante, ces cures de bien-être pour les pieds, mis à rudes épreuves au quotidien dans l’univers des maisons de retraite pour les auxiliaires de vie et les aides-soignantes, se révèlent mirifiques afin d’apporter un peu de repos salvateur et surtout rééquilibrer les fonctions vitales de notre organisme. Par simples pressions des pouces appliquées sur les zones sensibles de la voûte plantaire où l’influx nerveux est très réactif, la séance peut s’avérer parfois douloureuse mais surtout énergisante et efficace pour redynamiser son enveloppe corporelle. Des arguments qui ont su séduire la direction de la résidence des Saules ORPEA : elle n’a pas ergoté en optant pour la déclinaison de ces séances envers ses patients et son personnel…

AUXERRE : L’initiative est plutôt rare en milieu professionnel : elle mérite donc d’être relatée. Surnommée la « magicienne » par l’ensemble du personnel de la résidence des Saules ORPEA, la réflexologue plantaire Chantal NIRLO ferait-elle des prodiges en exerçant son savoir-faire bien huilé sur la plante des pieds de sa clientèle ?  

Les avis convergent en ce sens et aucune des salariées travaillant dans l’établissement auxerrois ne manquerait pour rien au monde la fameuse séance réparatrice. Proposant trois heures d’intervention au sein de la structure, Chantal NIRLO a réussi à vaincre un signe indien : faire adouber par une direction d’établissement les bienfaits d’un tel concept en entreprise.

« J’ai assuré un jour une séance démonstrative destinée aux résidents, à leurs familles et au personnel, explique cette dernière, Françoise RICHARD, directrice de la Résidence des Saules ORPEA et Corinne SANTOS, responsable d’animation, se sont montrées enthousiastes à ce que je leur présentais. Cela a fait tilt positivement et je ne le regrette nullement… ».

Diplômée de réflexologie plantaire, technique anti-stress de plus en plus répandue dans l’environnement du bien-être à la personne, Chantal NIRLO, entrepreneuse de l’Yonne, apporte la maîtrise de ses gestes pour refouler la nervosité engrangée sur le lieu de travail.

Face à la récurrente problématique du stress mais aussi aux soucis articulaires observés par certaines collaboratrices, l’établissement sanitaire cherchait depuis longtemps une réponse adéquate à son questionnement. Sitôt déclinées au sein de la structure, les séances préventives de Chantal NIRO ont eu le succès escompté auprès des 45 personnes officiant parmi les divers services de l’entreprise.

Une séance de quinze minutes proposée toutes les trois semaines…

Sur inscription préalable, la réflexologue plantaire consulte à chaque session une dizaine de personnes dès qu’elle pose sa valise au dernier étage de la maison. La liste d’attente ne cesse de grandir à chaque rendez-vous. Quant au retour informatif des bénéficiaires de ces séances judicieuses, il est très positif.

Dans un univers propice au calme et à la parfaite quiétude, la « magicienne » n’a pas besoin de s’exprimer par la voix pour déceler la moindre douleur occasionnée par ses gestes. Une petite plainte acidulée émise par la cliente en traitement témoigne de la secousse énergétique qu’elle a ressentie suite à une palpation plus délicate à négocier qu’une autre.

Une multitude d’ateliers destinés à épanouir les collaborateurs…

Parallèlement, la responsable de la résidence des Saules ORPEA a élargi ces recherches de bien-être à d’autres prestataires. Sur un rythme similaire que celui de la réflexologie plantaire, la sophrologie a fait une incursion remarquée dans la fameuse maison où le moral et l’état physique du personnel sont primordiaux.

La sophrologue Amélie GAUTHIER intervient auprès du personnel en lui apprenant des exercices de respiration indispensables à l’évacuation du trop-plein de stress. Par petits groupes de 5 à 6 membres, la spécialiste développe un vrai programme d’exercices décontractants où le travail sur soi-même est nécessaire pour retrouver toute sa plénitude.

Depuis novembre, un atelier théâtre, mêlant astucieusement le personnel et les résidents, facilite les échanges entre les deux communautés. En travaillant la prise de parole et le placement de la voix. Mais, aussi en imaginant des histoires et en écrivant un spectacle qui sera donné au terme de la saison. Une démarche analogue, mais concernant cette fois-ci l’apprentissage de la langue anglaise, offre l’opportunité à Sarah HOLLOWAY, professeur de son état, de mettre en pratique sa maîtrise innée de la langue de SHAKESPEARE au profit des collaborateurs de la résidence.

« Les cours sont donnés pour le personnel soignant une fois par semaine, soit durant une heure et demie, confie Corinne SANTOS, l’assiduité est requise d’autant que les élèves emmènent des devoirs à la maison ! Le personnel suit ces cours pendant ses heures de repos… ».

Si le bien-être, les loisirs, les animations diverses et variées ou le sport occupent le quotidien des seniors, la résidence des Saules ORPEA qui comprend aussi une unité protégée accueillant dix-sept malades d’Alzheimer, place son personnel dans d’excellentes conditions pour qu’il puisse s’épanouir de manière optimale. Un pari tenté depuis quelques années et qui visiblement a parfaitement réussi !


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