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Uniques en France alors que leurs origines proviennent d’Alsace, ces collectes d’offres d’emploi glanées auprès des entreprises de l’Yonne ont suscité, comme à chaque édition, un très net engouement. Et même s’ils furent un peu moins nombreux que la saison dernière (155 personnes recensées), les participants de cette cuvée 2018 ont su donner corps et âme pour obtenir de précieux renseignements sur les besoins actuels de recrutement de tout type d’entreprises. Une démarche personnelle particulièrement complexe à mettre à profit qui devait se solder par l’identification de 384 offres…

AUXERRE : Au-delà du simple fait de prospecter et de dénicher des offres professionnelles dont certaines sont totalement méconnues de Pôle Emploi, le concept transcende les populations privées de travail en les motivant et en les responsabilisant. Cette quête après un Graal parfois difficile à approcher est vertueuse à bien des égards. Non seulement, elle rompt l’isolement que vivent bon nombre de « chercheurs de boulot ». Mais, en outre, elle représente la juste illustration de la cohésion sociale et de la solidarité, nécessaires au rebond de cette typologie de personnes qui ne doit pas se résumer à la reconnaissance de statistiques mensuelles.

La solidarité, j’y reviens : on moissonne pour l’autre !

Depuis que le concept a pris son rythme de croisière, les regards sur les demandeurs d’emploi ont changé. Surtout auprès des employeurs qui voient en ces pèlerins d’un genre nouveau des personnes volontaires, des gens qui se bougent et ne restent pas béats et passifs à attendre que la Providence leur tombe enfin dessus tout cru.

Cette année, et malgré la défection de la Communauté de l’Avallonnais (seule la ville d’Avallon avait confirmé sa présence au projet), ce sont les sites d’Auxerre, d’Avallon et de Joigny qui ont reçu les « moissonneurs » dans leurs entreprises. Un total de cent cinquante-cinq collecteurs dont 57 % de femmes. Question tranche d’âge, la majorité de ces participants (43 %) se situait entre 26 et 45 ans. 39 % intégraient la catégorie des seniors, soit plus de 45 ans. Les moins de 26 ans ne furent in fine que 18 %.

Plus surprenante, la répartition par niveaux d’études. 29 % se situaient au-delà de bac + 2. Le niveau VI agglomérait une forte proportion de candidats pour 42 %. Quant à la solidarité, elle est constante. Tout au long de l’année. Depuis la phase préparatoire du concept, c’est-à-dire les semaines qui précèdent l’exercice de collecte. Mais aussi, durant les Moissons, avec le concours des très nombreux partenaires de la sphère institutionnelle et économique qui entourent ce processus. De prime abord, les collectivités et l’Etat.

Les présences de Muriel VERGES-CAULET, représentant la Région, de Valérie LEUGER, pour le Département ou de M. DESCHAMPS, de la Ville d’Avallon confirmèrent l’engagement de ces structures à ce concept décliné depuis plusieurs saisons par la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois et Pôle Emploi. Un engagement qui se traduit dans les faits par le financement de l'opération, sans lequel rien ne pourrait se faire.

« Quand cent personnes retrouvent un travail, directement ou indirectement à partir des « Moissons », et qu'ensuite leurs ressources (c’est-à-dire le salaire) est le fruit de leur activité professionnelle et pas celui d'allocations dites sociales au sens large du terme, les « Moissons » représentent alors un coût d'environ 1 000 euros par personne en emploi, déclara Guy PARIS, président de la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois et premier adjoint à la Ville d’Auxerre, combien économiser en face en aide sociale ? ».

Des résultats probants, une fois encore…

Au cours de son intervention, Guy PARIS prit soin de comparer les deux dernières éditions au niveau de leurs résultats. En 2017, les « Moissonneurs » avaient collecté 113 offres d’emploi inconnues des services de Pôle Emploi. Pour ce nouvel épisode, sur les 384 offres récupérées, 115 intégraient la catégorie des offres cachées. Cinquante-quatre d’entre elles étofferont le site de l’agence pour l’emploi.

« Nous constatons toujours des réticences du côté des employeurs à diffuser largement leurs offres, analysait le président de la Maison de l’Emploi de l’Auxerrois.

Poursuivant sur l’énoncé des statistiques, Guy PARIS rappela qu’en 2017, 55 % des « Moissonneurs » avaient retrouvé une solution de retour à l'emploi par le biais de formations et de stages alors que 31 % trouvaient un emploi durable.

L’élu d’Auxerre salua aussi le travail effectué par le Collectif Emploi 89, structure associative apparue lors de moissons antérieures (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).

Enfin, il ne désespère pas semer sur l’ensemble du territoire national les graines de ce concept dont l’Auxerrois s’enorgueillit avec succès depuis tant d’années. « Un récent article publié sur le site du Commissariat général à l’Egalité des Territoires valorise notre action : il suffirait de peu pour que notre expérience soit portée ailleurs. Et je l’encourage vivement… ».

Concluant par cette belle pensée de Sénèque, « ce n'est pas parce que c'est difficile que l'on n'ose pas mais parce qu'on n'ose pas que c'est difficile…», Guy PARIS entend redonner confiance en accompagnement aux côtés de ses partenaires les demandeurs d’emploi dans cette œuvre collective et solidaire…


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Les budgets prévisionnels, validés lors du dernier Conseil d'administration de l’association, affichent des résultats annuels excédentaires de l’ordre de 20 000 euros par an. Un chiffre probablement revu à la baisse en raison d’une réduction de 12 % de la subvention FSE, signifiée il y a peu, aux responsables de l’entité icaunaise. Profitant de la récente assemblée générale, le président Guy PARIS a analysé le bilan de l’exercice écoulé avant de se projeter sur les perspectives de développement 2018/2019. Pérenniser le nombre de sorties vers l’emploi et valoriser la formation afin de répondre aux besoins de la situation professionnelle constituent plus que jamais le socle inaltérable d’un outil qui a accompagné 35 salariés sur le chemin de l’insertion cette année…Interview.

AUXERRE : Quels sont les premiers enseignements que vous dégagez de l’année écoulée ?

De prime abord, je dois rappeler que la nouvelle gouvernance de l'association a été installée fin 2016. Elle a su assumer totalement ce premier exercice 2017. Il n'est pas dans mes intentions de culpabiliser les acteurs précédents, mais avec un compte de résultat en déficit de 61 568 euros fin 2016 et des fonds associatifs réduits à néant, les perspectives de redressement étaient sombres. Les fondateurs de cet atelier d'Insertion avaient eu une idée remarquable en créant ce concept : apporter du service aux uns et permettre un retour ou un démarrage dans l'emploi pour d'autres. On est en plein dans ces belles valeurs de l'économie sociale et solidaire. Et toute la motivation, la détermination de l'équipe qui m'a accompagnée dans ce challenge reposait, et repose toujours, sur cette utilité sociale de permettre à des personnes d'avoir un emploi, une reconnaissance dans la société et de construire ou reconstruire un projet de vie. En clair, 2017 fut une année de transition. Nous avons dû apprendre, en commettant sûrement des erreurs, mais avec un engagement remarquable, à nos côtés, de professionnels, d'élus, de décideurs, de l’État (l'UT89 de la DIRRECTE), du Département, de la Communauté d'Agglomération, de la Fédération des Foyers Ruraux et de l'accompagnement DLA, de Bourgogne Active et de nos partenaires financiers, de l'OAH…

Nous avons gagné une première manche avec un retour à l'équilibre budgétaire, un développement de l'activité, et une nouvelle dynamique.

« L’arrivée de Mathilda de ALMEIDA est une providence : elle incarne cette bouffée de jeunesse dont nous avions besoin… »

Néanmoins, AMIDON 89  a vécu des périodes délicates au cours de ces douze derniers mois. Avec de surcroît le départ en retraite de la responsable originelle de l’association…

Effectivement. C'est toujours un moment délicat que la passation de relais dans un contexte de dégradation de l'activité et des résultats financiers. Les conditions optimales pour faciliter ce passage n'ont pas été au rendez-vous. Une période d'intérim a été assurée tout particulièrement par Evelyne PETIT que je tiens à remercier très chaleureusement pour sa disponibilité et ses compétences. Ainsi, plusieurs mesures réglementaires qui étaient absentes au sein de cette association, ont été mises en place : mutuelle obligatoire avec participation de l’employeur, délégués du personnel, instance de sécurité et conditions de travail, entretiens annuels,  visites médicales, etc. Par souci d'économie, le contrat avec le cabinet d'expertise comptable n'a pas été reconduit. La comptabilité est revenue à Isabelle MEIRONE, trésorière-adjointe. L'exercice fut difficile en particulier sur le suivi de la facturation clients et la récupération des données…

Et c’est ensuite, à l’automne 2017, que rentre en scène et dans le jeu votre nouvelle directrice Mathilda de ALMEIDA. Une nomination qui va s’accompagner de nombreux changements dans le mode fonctionnel de votre organisme…

L’arrivée de notre nouvelle directrice correspond à une bouffée de jeunesse, de dynamisme, de créativité, d'envie de réussir dans ce nouveau job pour lequel elle met toutes ses compétences. Sa fibre associative et sa bonne humeur font plaisir à voir ! Cette jeune femme a effectué ses études supérieures à l'IUT et à l'IFAG à Auxerre, prouvant que la qualité de l'enseignement supérieur dans notre ville n’est pas usurpée. Sa venue a coïncidé avec une kyrielle de nouveautés. Un logo, plus en phase avec notre dynamisme, a été offert par le professionnel Thomas MICHAL.  De nouveaux supports de communication sont apparus. Ainsi que de nouvelles offres de prestations et de services. Avant la mise en exergue d’un mode managérial novateur.

« Une association ne peut pas se soustraire à réaliser des investissements pour progresser… »

Seule ombre au tableau face à ce regain de jouvence, la sempiternelle question concernant les ateliers de Chablis et Saint-Florentin qui, dans le constat financier, montrent un déficit pouvant fragiliser la totalité de l'association. Quelle est votre position à ce sujet ?

C’est simple : le Conseil d'administration persiste à vouloir maintenir ces deux ateliers.  A Chablis, du fait de l'implication de la Ville qui nous apporte un soutien logistique fort et des perspectives de développement, il n’est pas question de baisser les bras. Pour Saint-Florentin, avec un propriétaire de nos locaux qui investit et innove pour nous (en outre, une encadrante aux compétences reconnues est à la tête de la structure), il est exclu de sortir du jeu. Conséquence, le modèle économique est donc repensé en globalité avec des entraides opérationnelles et fonctionnelles. Et une bonne adéquation dispensée avec le service livraison.

A l’instar des entreprises, une association ne peut se soustraire à réaliser des investissements si elle veut continuer à progresser. En ce sens, 2017 fut riche en démarches pour obtenir des financements ?

Oui, il nous fallait renouveler notre parc de machines, pour désencombrer les locaux et offrir un cadre de travail de qualité pour l'accompagnatrice professionnelle, Stéphanie. Je précise, par ailleurs puisque j’en fais allusion, que nos bons résultats en sorties positives lui reviennent largement. Le trésorier, Alain BERNIER, quant à lui, a beaucoup œuvré dans ce domaine logistique avec sa pugnacité et ses connaissances des réseaux. Nous venons de recevoir nos nouvelles machines. Signalons, et avec le concours de l’Office Auxerrois de l’Habitat et de sa direction, que le remplacement de l’adoucisseur d’eau contribue à optimiser un service de qualité. D'autres travaux viennent de se réaliser en 2018 et vont se poursuivre…

AMIDON 89 intègre-t-elle les potentialités offertes par le numérique pour se développer ?

L'informatisation et l'accès Internet sur nos trois sites de production permettent des échanges en temps réel et facilitent la transmission d'informations. La modernisation des modes de fonctionnement des ateliers et cette convergence opérationnelle entre les trois entités valorisent le travail tant sur le plan quantitatif que qualitatif. D’ailleurs, le développement par le nombre de clients s'effectue à un rythme bien supérieur à nos objectifs. Cela efface nos craintes sur la pertinence d'un service de repassage dans les modes de vie actuelle. Le développement de l'activité était l'objectif prioritaire fixé à la nouvelle directrice : d’ores et déjà, il est largement dépassé.

Bien sûr, au-delà de toutes ces considérations, l’objectif essentiel est le retour à l’emploi…

C’est exact ! Notre taux de sortie traduit notre dynamisme puisqu’il est de 70 % !

« 80 % des personnes interrogées ne nous connaissent pas ! Il nous faut changer notre image… »

Un commentaire sur la situation comptable de la structure. Comment s’est soldé l’exercice 2017 ?

Sur un résultat excédentaire de 18 779 euros ! Autant dire que ce bilan est très positif. Il salue la complémentarité et le travail de toutes nos équipes, et le soutien que nous recevons de la part de tous les administrateurs et les élus de Saint-Florentin et de Chablis, ainsi que les partenaires institutionnels (élus et techniciens), privés et prestataires. Une maxime de Nelson MANDELA me vient souvent à l’esprit : « je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends ». Nous avons appris et nous avons gagné une première manche en 2017 !

Serez-vous toujours aussi ambitieux à l’avenir ?

Honnêtement, je réponds par l’affirmative. 2018 s'annonce bien. Même si nous avons toujours une trésorerie fragile. Cependant, nos marges de manœuvres sont grandes pour moderniser nos ateliers, poursuivre notre développement, trouver de nouvelles pistes de formation et de service avec dès maintenant, la couture ; peut-être aussi une petite dose de blanchisserie. Vous savez, un atelier d'insertion par l'activité économique ne doit pas être hors sol. Il doit avoir une organisation et une gestion humaine et financière remarquable. Nous préparons les salariés en insertion à un futur contexte professionnel exigeant. La montée en compétences doit se faire en souplesse mais avec fermeté. Quant à la réussite des personnes dans leur futur métier, elle repose sur l'apprentissage du savoir-faire et du savoir-être. Enfin nous devons être encore plus ambitieux, sur le plan service en assurant une continuité d'ouverture des ateliers tout au long de l'année (plus de fermeture en été). Un autre impératif sera de retravailler notre image et notre stratégie sur le plan marketing : 80 % des personnes que nous avons sondés lors d’une enquête d’opinion ne nous connaissent pas ! Il nous faudra aussi veiller et vérifier régulièrement le degré de satisfaction de nos clients. Nous allons donc continuer à apprendre et nous gagnerons tous ensemble car nos salariés qui sont dans cette belle démarche de retour à l'emploi le méritent…


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Occupant la fonction de directeur technique au lycée Saint-Jean-Baptiste de la Salle de Reims, le successeur de Gabriel ANDREI s’installera à Auxerre au terme de la période estivale afin de préparer sa première rentrée en Bourgogne Franche-Comté. En visite de courtoisie il y a quelques jours dans l’Yonne, Marc BESANCENEZ a pu se présenter au corps enseignant et au personnel administratif, en toute simplicité. Un contact qui s’est avéré judicieux pour ce professionnel âgé de 46 ans dont la motivation professionnelle repose sur le développement du bien commun et du bien individuel…

AUXERRE : Devant une salle très attentive à la formulation de ses propos, le futur directeur du groupe Saint-Joseph La Salle, Marc BESANCENEZ, a tenu à remercier chaleureusement, tout en y incluant un zeste d’humour, son prédécesseur, Gabriel ANDREI.

Pilier emblématique de la vénérable institution pédagogique chrétienne, Gabriel ANDREI quittera entre-temps le département de l’Yonne. Il y avait officié avec brio depuis huit ans. A l’automne, il reprendra les rênes d’un établissement lassalien de l’Ile de France, à la périphérie de Paris.

Se voulant rassurant quant à la manière dont il appréhendera l’avenir de l’école des Frères auxerroise, Marc BESANCENEZ a relaté son parcours professionnel.

Cet ingénieur des Arts et Métiers, passionné par la technologie, a accompli un brillant cursus scolaire en obtenant un DEA. Féru de vibro-acoustique, il est à l’origine du BTS de maintenance industrielle, ouvert à Reims.

Membre du directoire et directeur délégué du groupe La Salle, sa venue devrait coïncider avec la mise en exergue d’une stratégie ne bouleversant pas ce qui a été réussi au cours de ces récentes années.

Faisant montre de qualité d’écoute et d’ouverture relationnelle, le futur responsable du groupe scolaire auxerrois (l’un des plus importants de la région Bourgogne Franche-Comté en termes de fréquentation et de taux de réussite aux examens) veut très vite s’intégrer parmi la communauté éducative de son nouveau point d’attache.


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Fort du succès rencontré la saison dernière, le Syndicat des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne réitère une opération sympathique. Le deuxième concours de photographie, ouvert à tous les amateurs de la discipline, s’inspirera d’un thème très intéressant afin de mieux appréhender l’univers de ce corporatisme : « de la production à la transformation ». Avis aux aficionados de la prise de vue…

AUXERRE : La mise en valeur des milieux agricoles passe aussi par des initiatives populaires, ouvertes à tous. Après une première tentative qui devait se solder par une jolie mobilisation au printemps 2017, le Syndicat des Jeunes Agriculteurs de l’Yonne renouvelle ce concours photographique qui a avait révélé de véritables talents artistiques.

Doté de nombreux lots dont un week-end de villégiature offert pour deux personnes, ce concours aura pour thème, de la production à la transformation. Une source d’inspiration plutôt éclectique devant inspirer les férus du petit boîtier noir à exprimer leur vision artistique et réaliste du monde agricole.

Pour participer, c’est simple. Il suffit d’adresser ses clichés (deux au maximum par participant) au syndicat des Jeunes Agriculteurs par mail à l’adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou en message privé via le compte Facebook du syndicat @JeunesAgriculteurs89.

Des mentions obligatoires doivent figurer à cet envoi : le prénom et le nom de la personne participante ainsi qu’un contact téléphonique, et l’identification de la localité où ont été pris les visuels.

Soumises à l’avis des internautes mais aussi à un jury de spécialistes, les photos doivent impérativement être envoyées avant la date du lundi 16 juillet 2018 minuit. Passé ce délai, il sera trop tard pour espérer gagner les lots mis en jeu…

 


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Cosy, moderne et ouverte vers la lumière, la surface de vente et de présentation de ce professionnel de la décoration et de l’aménagement intérieur de l’Yonne aura nécessité une enveloppe budgétaire de 450 000 euros pour son édification. Une somme de 150 000 euros a permis en sus de concevoir les univers produits dévoilés au public au soir d’une inauguration, emplie de convivialité et de bonne humeur.  

AUXERRE : Construite dans la zone septentrionale de la ville, sur un axe particulièrement fréquenté, de juin 2017 à janvier 2018, la vitrine commerciale flambant neuve de ce spécialiste de l’agencement et de la décoration d’intérieur a été officiellement inaugurée en présence de nombreux invités le 31 mai dernier.

On y aura noté notamment la présence, parmi les personnalités de la sphère politique, du président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, et du président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois, le maire d’Auxerre, Guy FEREZ. Tous deux devant saluer le dynamisme et l’efficience des deux entrepreneurs à la tête de ce concept, Pascal VENTURA et Franck DESBORDES.

Quatre-vingts ans après la création de l’enseigne, en Haute-Savoie, PERENE jouit toujours d’une solide notoriété dans l’univers de l’aménagement de l’habitat en France. Demeurant de surcroît l’un des rares vestiges historiques de la fabrication d’ameublement qui intervient dans l’Hexagone.

D’une surface de 300 mètres carrés au total, le nouveau magasin accueille un show-room de deux cents mètres carrés de linéaire ouverts aux différentes zones de produits, commercialisés par l’enseigne : fenêtres, portails, escaliers, portes, cuisines, bains, menuiserie…

Ciblant des prospects et clients haut de gamme, version CSP +, les deux responsables de PERENE PREMIUM espèrent optimiser le chiffre d’affaires de l’entité grâce à ce support d’accueil. Celui-ci a connu une forte progression avant la période de travaux, de l’ordre de 10 %, offrant l’opportunité à l’entreprise icaunaise de flirter avec le million d’euros.

La perspective d’enrichir le portefeuille d’une clientèle supplémentaire grâce à ce bijou architectural à base de bois dans ce nouvel écrin n’est donc pas une utopie…


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