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Certes, il y a l’AJA qui fait battre le rythme cardiaque des sportifs de la capitale de l’Yonne ! Mais, cela ne suffisait pas pour prétendre glaner quelques lauriers traduisant l’honorable distinction hexagonale ! Le développement du handisport, les actions pédagogiques en faveur du sport-santé et la rénovation d’infrastructures capitales ont fait le reste dans la cité, cher à Paul BERT, puisque intégrant les critères de sélection obligatoires du CNVAS…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le diplôme est paraphé de la signature de la ministre des Sports et des Jeux olympiques/paralympiques – tiens, tiens, une innovation au niveau de la sémantique concernant la fonction, Jeux de Paris oblige ! -, Amélie OUDEA-CASTERA. Il est fièrement brandi sur l’estrade, sous le feu nourri des projecteurs par le représentant de la municipalité auxerroise ayant fait le déplacement jusque dans la capitale des Ducs bourguignons, Hicham EL MEHDI, adjoint en charge des Sports. Il est vrai que  l’on ne reçoit pas tous les jours des accessits nationaux qui mettent en exergue la politique sportive de sa ville. C’est dorénavant chose faite pour Auxerre.

Là où la ville de Sens devait en récolter quatre la saison dernière – visiblement, les institutionnels en poste dans la ville septentrionale de l’Yonne avaient pris le train en marche il y a bien des années déjà -, Auxerre se contentera pour l’heure de deux lauriers honorifiques dans le cadre de ce label  hexagonal, de plus en plus convoité par les agglomérations françaises.

 

 

Déjà 600 villes labellisées pour leur dynamisme autour du sport

 

Apparu en 2017, à l’initiative du CNVAS (Conseil national des Villes Actives et Sportives), ce titre labellisé récompense en les valorisant les communes ayant une forte appétence pour la chose sportive. Celles qui agissent en faveur de l’accessibilité à tous des infrastructures, celles qui privilégient la pratique du sport-santé auprès des familles et des seniors, celles qui développement un programme favorisant l’exercice physique selon un schéma cohérent et ambitieux.

Deux des membres fondateurs du CNVAS, l’Association nationale des élu(e)s en charge du Sport (ANDES) et l’Union Sport et Cycle sont également signataires dudit diplôme qui aura été remis au terme d’une cérémonie conviviale, jeudi soir, aux élus de France et de Navarre, présents à Dijon, en présence de la ministre.

Depuis la création de ce label, ce sont plus de 600 villes de l’Hexagone et des DOM-TOM qui sont détentrices de ce sésame, synonyme de notoriété et d’encouragement à la pratique du sport en règle générale.

Prochaine étape pour la Ville d’Auxerre : la conquête d’un troisième laurier, avant peut-être de remporter le quatrième et dernier accessit possible de ce symbole national. Histoire de pas laisser la ville de Sens, profiter seule de sa suprématie départementale ! Question de saine émulation sportive !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Entre deux verres de rosé-pamplemousse et une trempette bien méritée dans la fraîcheur relative de la « Grande Bleue », la nouvelle est tombée au cœur de la touffeur estivale. Sans crier gare, de manière presque imperceptible pour le commun des mortels, trop préoccupés à s’adonner aux joies de l’hédonisme et au plaisir du farniente sur la plage. En provenance de nos voisins d’outre-Rhin, elle disait ceci en substance : l’Allemagne renonce à l’avenir à la commande de nouveaux trains fonctionnant à l’hydrogène !

Une véritable onde de choc que cette information, à première vue. Une incompréhension à la lecture des manchettes de la presse hexagonale qui s’en faisait l’écho par quelques entrefilets dès le lendemain. Comment cela était-il possible alors que l’on nous vante à toutes les sauces ici-bas les bienfaits émérites de cette technologie avant-gardiste, renouvelable et propre énergétiquement !?

 

 

Un coût d’exploitation trop onéreux à l’usage

 

Et ce, depuis des lustres, ne serait-ce que sur notre seul territoire de Bourgogne Franche-Comté qui en accueille l’un des éléments moteur (sans jeu de mot !) dans la région de Belfort avec la société ALSTOM, encouragée par les institutionnels et politiques du terroir.

Dans les faits, ce n’est nullement l’inventive technologie ayant fait ses preuves qui est remise en cause par le ministère des Transports de Basse-Saxe, devant s’exprimer face à la presse fin juillet sur le sujet. Si le côté technique ne fait pas défaut, à quoi alors imputer cette surprenante volte-face de l’une des compagnies ferroviaires régionales germaniques qui fut pourtant la première à avoir adopté l’hydrogène comme source d’alimentation de ses trains ?

Je vous le donne en mille : la réponse ne tient qu’en un seul mot, son coût ! Une raison plutôt malvenue en pareille circonstance et en période de crise économique alors que les prix des billets du transport ferroviaire grevant le budget des voyageurs ne cessent de s’envoler en version astronomique depuis longtemps.

 

 

Une flotte électrique à batteries au lithium six fois moins coûteuse mais...

 

A ce titre, l’Allemagne n’est pas la seule à avoir manifesté son désintérêt devant cette technologie pourtant qualifiée de si prometteuse au niveau du développement durable mais trop onéreuse au niveau de son exploitation. En France, on n’est pas en reste puisque du côté de Montpellier, dans l’Hérault, décision fut prise l’an dernier par la métropole de geler une commande de 51 bus à hydrogène et de la privilégier par une flotte électrique à batteries, six fois moins coûteuse. D’autant qu’en bout de course, et cela n’est précisé par personne que les surplus budgétaires de fonctionnement seraient immanquablement répercutés auprès des usagers de ces lignes lors de l’achat de leur titre de transport...On imagine aisément la note plutôt salée à la sortie !

Comment alors démocratiser de façon acceptable les transports collectifs (ferroviaire, bus…) et réduire le flux des véhicules « impropres » sur les routes de France et de Navarre (les thermiques évidemment !) si les tarifs appliqués pour les emprunter au quotidien deviennent ultra prohibitifs ? Un casse-tête chinois qui ne semble pas avoir été résolu pour l’heure par toute l’intelligentsia hexagonale qui fait des yeux de Chimène à l’hydrogène…

 

 

Une flotte diesel vétuste et polluante avec 4 millions de tonnes de CO2 rejetés

 

En Allemagne, le retour en grâce des trains électriques à batteries, fonctionnant au lithium (la belle affaire quant au niveau de son exploitation et des dégâts occasionnés à la planète pour l’extraire !) revient donc au goût du jour.

Ces trains sont plus compétitifs et permettront d’éliminer petit à petit les flottes de ces antiques rames diesel devenues trop poussives et polluantes au fil des ans.

Une flotte de trains à la vétusté éprouvée, circulant encore dans la plupart des pays de l’Union européenne et de ses régions rurales, afin de desservir de petites lignes qui aura rejeté dans l’atmosphère la bagatelle de plus de 4 millions de tonnes de CO2 ces dernières années !

Morale de l’histoire : la locomotion par hydrogène serait-elle déjà en manque d’oxygène pour pouvoir subsister !?

 

Thierry BRET

 


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Le 11 juillet 2024, l’Yonne verra la flamme olympique traverser son territoire au cours de plusieurs étapes lors d’une journée d’exception qui s’annonce déjà mémorable par son intensité, ses animations sans doute proposées par la vie associative et sportive, le possible engouement du public (?), son originalité visuelle. Mais, c’est sûr : les Jeux de Paris ont déjà débuté dans notre département avec cette vaste campagne d’affichage qui est placardée sur les abribus des villes principales. Histoire d’égrener peut-être le compte à rebours qui nous rapproche de l’évènement ?   

   

Lundi 

C’est un drame qui se joue à moins de 2h30 d’avion de Paris. Selon l'ONG « Human Rights Watch », plus d’un millier d’exilés d’Afrique subsaharienne ont été déportés par les forces de sécurité tunisiennes dans une zone militaire désertique bordant la frontière libyenne, sans eau ni nourriture. Déjà 27 migrants ont été retrouvés morts de soif et plus d’une centaine sont « portés disparus ». La conséquence d’une flambée de violences racistes abondée par les propos xénophobes du président Kaïs SAIED à leur encontre. Des naufragés de l’existence qui jusque-là, survivaient en travaillant dans les champs pour moins de 20 dinars par jour (environ 6 euros). Peu d’échos dans les médias, à l’exception d’un reportage diffusé le 03 août dernier, sur « France 2 », avec cet avertissement éloquent en préambule : « Attention, certaines images peuvent heurter les plus sensibles »… Combien de temps encore, continuerons-nous à regarder ces femmes et ces hommes mourir sous nos yeux, dans  l’indifférence et le silence ? Devenue au fil des années une destination touristique majeure du bassin méditerranéen, la Tunisie est aussi appelée « pays du jasmin », du nom de cette fleur blanche emblématique, symbole de pureté, de douceur de vivre et de… tolérance !

 

 

Mardi

Deux ans aujourd’hui que Kaboul est tombée aux mains des talibans. Une prise de pouvoir qui a entraîné le pays dans une crise économique et humanitaire sans pareil et fait de l’Afghanistan une prison à ciel ouvert où les droits et libertés des femmes n’ont depuis, cessé de diminuer. En décembre dernier, l’ancien ambassadeur de France à Kaboul, David MARTINON était l’invité des « Conversations de l’Abbaye » à Auxerre, louant le travail mené par le gouvernement d’alors pour organiser l’exfiltration du plus grand nombre possible de ressortissants Afghans. Omettant dans son discours d’évoquer ces centaines de supplétifs, anciens auxiliaires de l’armée française, restés sur place avec leurs familles, à l’issue du pont aérien mis en place. Abandonnés à leur sort, combien depuis ont été arrêtés, torturés, voire exécutés sommairement, pour cause de « trahison » ? Un tragique scénario qui n’est pas sans rappeler le massacre des Harkis « oubliés » par les autorités françaises au lendemain de l’indépendance algérienne. Lorsque l’Histoire bégaie, ce n'est jamais à son avantage…

 

 

Mercredi

De jeunes voyageurs en partance pour l’Islande bloqués à Orly, sans aucune alternative ni solution d'hébergement proposée, après s’être vu notifier par la compagnie Transavia l’annulation de leur vol juste avant le décollage… Des passagers Ryanair abandonnés à leur retour de vacances à Liège, faute d’avoir pu se poser à Beauvais avant la fermeture nocturne de l’aéroport… Des adeptes de la société autocariste FLIXBUS « oubliés » sur une aire d’autoroute, à l’image de cette personne en situation de handicap, dont le voyage entre Besançon et Paris s’est achevé près d’Auxerre… Autant d’anecdotes pour témoigner des « limites du low-cost » en matière de voyages et de la considération toute relative portée aux personnes transportées. Le pire est peut-être à venir, quand on sait qu’il y a quelques années, le patron de Ryanair, Michael O’LEARY, envisageait de supprimer trois rangées de sièges et des toilettes à l’arrière de ses appareils, pour y faire voyager debout une cinquantaine de passagers… Inventant de fait les premiers « wagons à bestiaux » volants !

 

 

 

Jeudi

C’était jour de rentrée ce jeudi à la Réunion. Un évènement qui justifiait sans nul doute le déplacement sur l’île du nouveau ministre de l’Education, Gabriel ATTAL, même s’il est permis de penser que faire plus de 22 000 kms pour un séjour n’excédant pas 48 heures mérite un zéro pointé en matière de bilan carbone ! Par-delà les discours et déclarations de circonstance, l’on retiendra surtout de ce premier voyage officiel, la bourde de l’ancien porte-parole du gouvernement au sujet de « l’immigration mahoraise » frappant la Réunion. Oubliant un peu vite que Mayotte appartenait à la France depuis 1841 et que l’île avait même statut de département depuis mars 2011 après un référendum organisé deux ans plus tôt. L’élève ATTAL a semble-t-il encore du pain sur la planche en matière d’histoire et géographie ! Si ses futures déclarations sont du même tonneau, l’on attend avec impatience et gourmandise un éventuel voyage en Corse…

 

Vendredi

 

Incontournables du paysage parisien, cher au cœur des touristes, les bouquinistes des quais de Seine sont sommés par la préfecture de démonter avant l’été prochain leurs célèbres boîtes vertes, au motif de sécuriser les abords du fleuve pour la cérémonie d’ouverture des prochains Jeux Olympiques. Sans que l’on sache encore si elles reprendront par la suite la place qu’elles occupent pour certaines, depuis 1859. De « vieilles dames » trop fragiles pour un déménagement qui risque bien de leur être fatal…

 

 

Samedi

Depuis Atlanta en 1996, la firme Coca-Cola a pris l’habitude tous les quatre ans, de déclarer sa flamme aux Jeux Olympiques. Cette année-là, pas moins de 125 millions de dollars furent ainsi consacrés à sa publicité, dont plus de 40 millions pour obtenir le droit d’être fournisseur exclusif des boissons vendues dans les enceintes sportives. Déjà partenaires des JO 2024, la firme d’Atlanta parrainera également le relais de la flamme qui sillonnera l’Hexagone. Une flamme prévue passer dans notre département le 11 juillet prochain, comme en atteste cette campagne d’affichage à l’ombre des abribus auxerrois. Votre idéal olympique, vous le préférez comment… ? « Light », « Cherry » ou « Sans sucre » !

 

 

Dimanche

Présenté en comparution immédiate le 11 août dernier devant le tribunal correctionnel de Tours, un homme de 23 ans est soupçonné d’avoir une semaine plus tôt mis le feu à une vingtaine de poubelles, occasionnant au passage l’incendie de treize véhicules et de quelques façades de maisons. Placé en détention provisoire, dans l’attente d’une expertise psychiatrique, il sera jugé le 20 septembre prochain… Une info des plus banales après les émeutes ayant embrasé tout le pays en juillet dernier, à ce détail près que le présumé pyromane, fils d’un major de police était lui-même policier-adjoint à Vierzon depuis quatre ans et devait entrer en septembre à l’école de Police de Rouen. Sans doute ce que l’on appelle avoir le « feu sacré » !

 

Dominique BERNERD

 


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Elle a de la suite dans les idées, la jeune entrepreneuse de Saint-Bris-le Vineux ! Encore toute auréolée par ses quatre distinctions honorifiques obtenues à Charolles le mois dernier, au Concours des fromages fermiers de Bourgogne, Claire GENET innove sur son exploitation si particulière qui a éclos il y a trois ans. Un distributeur à fromages (mais aussi d’autres spécialités du cru) est fonctionnel depuis quelques jours. Histoire de régaler 24h/24 les férus des bons produits de notre terroir…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Ses yeux à la délicate couleur marron en pétillent de joie malgré l’âpreté de la lumière, trop vive à cette heure de la journée ! Fière de la récente installation – l’appareil a été posé à l’entrée du site vendredi dernier -, Claire GENET dévoile sous la chaleur estivale un brin caniculaire l’une de ses toutes dernières nouveautés.

Un distributeur automatique de produits du terroir, faisant forcément la part belle à ses admirables crottins de chèvre, issus de sa production, si savoureux en bouche à la dégustation.

Ce précieux auxiliaire à la vente et à la découverte des produits locaux est accessible à tout moment par le consommateur, puisque positionné hors de l’enceinte de la Ferme d’Ultéria, sur la route menant vers Saint-Bris-le-Vineux.

Un endroit connu et reconnu de tous les amoureux de ce concept éthique si vertueux, incarné par MOBIL WOOD et d’autres structures entrepreneuriales, accueillies sur le site.

Dont la structure portée par la tourbillonnante Claire GENET qui n’arrête pas une minute de se mouvoir malgré la rigueur des températures excessives, entre la traite et la nourriture de son cheptel – 168 biquettes en élevage, tout de même ! -, sa présence dans le show-room pour y vendre des spécialités, de multiples activités ludiques et touristiques auprès des visiteurs de passage, sans omettre la gestion administrative et comptable de la société…

 

 

Une entreprise qui bénéficie du plan « France Relance »

 

Bref, une vraie « Wonder Woman » de l’activité agro-alimentaire locale qui, à son échelle, réussit tout ce qu’elle entreprend. La jeune femme, titulaire d’un diplôme d’ingénieur en agronomie, n’est âgée que de trente-cinq ans…Prometteur !

Mais, c’est aussi pour préserver une partie de son précieux temps entre vie professionnelle et vie familiale que la cheffe d’entreprise a souhaité installer sur site cet appareillage utile à la consommation directe.

Le principe est d’une limpidité, claire comme de l’eau de roche. Requérant l’usage d’une carte bancaire pour les paiements, il suffit simplement de choisir le produit de son choix comme un distributeur de boisson classique par le biais d’une commande numérique afin d’enclencher l’ouverture du petit sas facilitant l’accès à la marchandise réfrigérée.

Outre les crottins de chèvre, le consommateur découvrira toute une palette de spécialités locales comme les confitures de la TRINQUELINETTE, les bières artisanales de la brasserie FAYYAR, des biscuits du Morvan, mais aussi la gamme de yaourts au lait de chèvre faite maison, voire des charcuteries. L’idéal en somme pour concevoir son pique-nique dans la plus pure des traditions gourmandes !

Bénéficiant du plan « France Relance », décliné par l’Etat et la Région en soutien aux entreprises, La Ferme d’Ultéria (ou la Ferme de Claire pour les puristes) profite de cette manne financière intéressante pour s’équiper en matériels facilitant la transformation et la commercialisation de ses produits.

Avec l’installation de ce premier distributeur, un nouveau palier vient d’être franchi pour la jeune entrepreneuse, plébiscitée par une clientèle qui se délecte de ses fromages…

 

Thierry BRET

 


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Le rendez-vous est devenu au fil du temps une institution incontournable que bon nombre d’édiles de l’Yonne biffent avec réel plaisir sur leur agenda automnal.  Plus de quatre décennies après leurs créations, les « Entretiens de Champignelles » attirent toujours  avec le même enthousiasme celles et ceux qui ont soif de connaissances, de découvertes et de rencontres en rapport avec leurs responsabilités d’élus. Un véritable programme de formation qui mettra le cap début novembre vers la capitale hanséatique de l’Allemagne, Hambourg…

 

CHAMPIGNELLES: La feuille de route de l’édition 2023 de ces fameux « Entretiens » - une énième variante qui prend forme au gré des ans et ne semble pas avoir pris une ride – vient d’être dévoilée ces jours-ci par son principal maître de cérémonie, Jacques GILET.

Perturbée bien malgré lui durant deux saisons par les aléas de la crise sanitaire internationale, ce séminaire aux passionnantes réflexions intellectuelles nourries par un parterre d’intervenants de belle facture, devant accueillir des élus de Puisaye-Forterre mais pas que, s’est depuis refait une belle cure de jouvence.

Ce fut un déplacement à Rome et une immersion dans l’Italie de Giorgia MELLONI l’an passé ; ce sera donc l’Allemagne et la visite de l’une de ses villes les plus caractéristiques en matière de développement économique, sise près de la Baltique, Hambourg cette année.

Accueillant les élus du secteur occidental de l’Yonne, qu’ils soient maires, adjoints, conseillers départementaux, régionaux ou parlementaires – n’est-ce pas Dominique VERIEN qui en sa qualité de sénatrice est l’une des aficionados de ces rendez-vous -, les « Entretiens » doivent permettre à tous ces décideurs de la chose publique de mieux appréhender la gestion budgétaire de leurs localités, de mieux s’insérer dans la gestion patrimoniale et de mieux s’informer sur des thématiques choisies annuellement par avance, faisant le sel de chacune de ces éditions.

 

 

Les taxes injustes ou créatives de service au menu

 

Période de sécheresse et de réchauffement climatique oblige, il sera tout naturellement question de l’eau lors de ce colloque à la puissance trois, s’étalant entre octobre et novembre. « L’eau qui n’est pas une ressource inépuisable…, un item abordé au troisième rendez-vous de cette manifestation, le 24 novembre dans la petite localité de Puisaye, au Centre de rencontre.

 

 

Un mois auparavant, soit le 24 octobre, les élus de l’ouest de l’Yonne se retrouveront au même endroit pour y évoquer le financement des communes avec deux taxes et l’appui de l’Etat aux collectivités. Parmi les intervenants du jour, le sénateur Bernard DELCROS, figure politique du Cantal, l’un des porte-étendards de la ruralité en France et membre du groupe Centriste. Il évoquera lors de sa prise de parole « les taxes injustes ou créatives de service ». Pauline GIRARDOT, secrétaire générale de la préfecture de l’Yonne, assistera également à ces travaux. En outre, il sera question de la gestion du patrimoine avec un large volet abordé par les participants l’après-midi.

 

 

Immersion en terre hanséatique à Hambourg

 

Entre ces deux dates, le cap vers l’international offrira l’opportunité aux élus de Puisaye-Forterre de découvrir Hambourg, la ville hanséatique où un copieux programme de trois jours leur sera concocté.

De l’hôtel de ville avec des échanges officiels prévus avec les autorités locales à la visite du port – l’un des plus importants au monde -, sans omettre plusieurs immersions dans les communes environnantes (Rendsburg, Tornesch où la pépinière locale possède des liens très étroits avec les pépinières NAUDET installées près de Saint-Florentin !) : la délégation icaunaise devrait emmagasiner bon nombre d’informations précieuses et utiles, devant nourrir par la suite les débats de ce colloque, proposé en mode triptyque.

 

Thierry BRET

 

 


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