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C’est le 23 avril prochain que seront décernés à Lons-le-Saunier les prix régionaux du challenge « Initiatives Associations », porté chaque année par la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté. Mais, pour y parvenir, il fallait obligatoirement franchir le cap sélectif de la phase départementale ; celle-ci a eu lieu récemment à Auxerre…

AUXERRE : Ils étaient 23 dossiers de candidature à se présenter sur la ligne de départ de ce PIA 2020, le fameux « Prix Initiatives Associations ».

Du disparate et de l’éclectique, à coup sûr parmi ces challengers potentiels qui n’avaient qu’un seul et unique objectif pour celles et ceux de leurs responsables à les avoir inscrit : remporter la mise !

C’est-à-dire la précieuse obole de mille euros offerte par la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, instigatrice de ce concours. Celui-ci a pour vocation chaque année de désigner la structure associative la plus méritante selon des critères précis.

S’adressant à des entités impliquées dans l’un des six domaines suivants (culture, environnement, patrimoine, solidarité, sport amateur et éducation), le challenge national qui se répercute parmi les caisses régionales de l’établissement financier permet de mettre en lumière une association qui se distingue dans l’un de ses projets.

Ce sont in fine 18 lauréats départementaux qui bénéficient de ces récompenses et du coup de projecteur médiatique apporté à leur projet.

Dans l’Yonne, Bouchons 89 et REPAIR CAFE Auxerre ont eu les faveurs d’un jury composé d’acteurs institutionnels et économiques de notre territoire.

 


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Dans la vie, il est indispensable d’atteindre son objectif ! Un(e) entrepreneur(e), comme un(e) sportif(ve), se doit de posséder la vision de son entreprise et ses buts, à cinq ans (ou trois ans, voire dix ans). Chacun sait ce qu’il doit en attendre, pour sa vie personnelle, pour servir ses clients, pour apporter sa contribution à la société. Ainsi, clarifier son « intension profonde » permet d’affiner sa ligne stratégique, conjointement à ses valeurs…

 

TRIBUNE : Ce travail sur soi, seul(e) ou accompagné(e), crée des bases solides. Ce sont les fondements mêmes de la création et du développement de son entreprise. Quelle que soit la nature de son activité et sa dimension envisagée. Mais, la route est parfois semée d’embûches.

On se sent « débordé(e) » en permanence, avec l’impression de ne pas y arriver. On a une « to do list »… qui n’en finit pas de grandir. Dans notre tête, tout se bouscule : ce qui n’a pas été fait, ce qu’il faut initier, ce temps qui manque toujours, la mauvaise conscience, les doutes, l’absence de confiance…Il y a aussi la frustration permanente et la dispersion !

Finalement, on en arrive à manquer de recul, à réagir aux circonstances, au lieu de faire ses propres choix, en parfaite conscience.

Et s’il était temps de travailler en mode « Focus » ?

 

Les atouts de cette méthode à s’approprier…

 

Il va permettre de reprendre le contrôle de son esprit, et celui des choix indispensables à son entreprise. De pouvoir gérer son temps, en se consacrant à ce qui est essentiel, en éliminant les tâches qui n’ont pas d’impact direct sur son objectif. Il permettra aussi d’apprendre à travailler plus efficacement, en se concentrant sur des tranches horaires courtes. Savoir exactement ce que l’on va faire, comment le faire, et dans quel timing ! Mais aussi créer un « momentum » régulier, dans son business : à base de motivation et d’énergies régulières, génératrices de conditions favorables.

Voici quelques clés fondamentales pour adopter le mode « Focus ». Sur une période de trois mois, soit 90 jours, on va choisir « One Thing » (une chose), sur laquelle on va focaliser toute son énergie.

Souvent, au début, il est difficile, pour les entrepreneur(e)s, de choisir entre leurs différents projets. Par exemple, entre travailler sur son site web, développer sa communauté sur les réseaux sociaux ou se doter de sa propre chaîne « You Tube », et faire des « webinaires ».

Disperser son temps et son énergie, « un peu sur tout », ne permet pas de franchir une étape décisive, pour avancer vers son objectif initial.

Il est plus efficace de se concentrer sur un projet, comme la loupe permet de concentrer l’énergie du soleil pour allumer le feu, sur une période de trois mois.

Une fois cette étape franchie, place à un nouveau projet et a un autre « Focus », sur une période renouvelée de trois mois. Reste la question déterminante : comment bien choisir son « Focus » ?

Il suffit de répondre à la question déterminante : « aujourd’hui, quel est le projet qui aura le plus d’impact, qui me permettra de générer rapidement des revenus, pour m’approcher de mon objectif ? ».

Si vous avez envie d’aller plus loin dans ce raisonnement : je vous invite à vous procurer le livre de Gary KELLER : « The one thing »…

 

Claire DOUTREMEPUICH

 


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Dorénavant, et dans le cadre de l’accord de partenariat entériné avec l’association qui favorise le développement d’une mutuelle intercommunale sur ce secteur géographique, le spécialiste assurantiel propose des permanences régulières afin d’informer les personnes susceptibles d’être interpellées par ce concept novateur…

JOIGNY: Il y a le temps des rencontres individuelles facilitées par l’accueil de permanences. Il y a aussi, en parallèle, l’essor d’animations collectives, orchestrées sous la forme de réunions publiques.

Les deux vecteurs de communication ont ainsi été validés par les signataires de cette convention de partenariat.

D’un côté, l’un des dirigeants de la plate-forme nationale assurantielle QAPE, Julien MOUCHET. En vis-à-vis, les représentants de l’AMIJ, l’Association d’assurés pour une mutuelle intercommunale, sur ce secteur géographique. Le tout a été réalisé sous l’œil avisé du président de la Communauté de communes, le conseiller départemental de l’Yonne, Nicolas SORET.

Ainsi, dans le concret, la présidente de l’AMIJ, Régine PASQUIER, souhaite favoriser l’accès à l’assurance santé et aux soins des résidents du territoire en conventionnant QAPE qui propose ses offres de service via KOVERS Mutuelle Santé de l’Yonne.

Deux réunions sont ainsi prévues à Saint-Julien-du-Sault le 05 mars à la salle annexe de la mairie (18 heures) et à Joigny, le 27 mars à 18 heures, salle des Champs Blancs. Elles permettront de connaître dans le moindre détail tous les aspects pratiques de ce partenariat.

Côté permanences, l’AMIJ recevra dans les locaux du Pôle Formation de Joigny le 21 février, entre 9h30 et 16 heures, celles et ceux qui veulent en savoir davantage sur ce dispositif. De façon plus directe…

Rappelons que QAPE, porté sur les fonts baptismaux en 2016 par deux professionnels de l’assurance dans le circuit depuis deux décennies, a créé la mutuelle « Santé Cœur de Puisaye » à la demande des élus locaux en Puisaye-Forterre. Un outil qui s’est ensuite mué peu de temps après en « KOVERS Santé de l’Yonne, au niveau de l’Hexagone.

 


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La Saint-Valentin, une fête, une tradition, une légende…La célébration des amoureux est planétaire. On ne récolte pas moins à cette occasion 200 millions de roses (rouges si c’est la passion, blanches pour un amour pur et sans tâche). Et pourquoi ne pas annoncer un divorce en douceur : en lui offrant des roses jaunes ! Bref, un jour de petits cadeaux : ce sont des kyrielles de bijoux, fleurs, chocolats et le fameux dîner aux chandelles qui se profilent devant vous ! In fine, c’est douze 12 milliards de dépenses sur la planète !

 

TRIBUNE : Il existe une différence entre créer un besoin pour faire du business, comme avec Halloween (on a voulu relancer la fête mais ça ne mord pas), et répondre au désir de fêter la Saint-Valentin. C’est une tradition plusieurs fois séculaire ! Il y eu plusieurs saints appelés Valentins. Celui qui nous intéresse s’appelle Valentin de Terni, prêtre au Vème siècle (certains disent même IIIème siècle…). Ce cher curé brave l’interdit de célébrer des mariages. Il fut emprisonné puis tué un 14 février.

Dès qu’un bon chrétien meurt, Rome saute sur sa dépouille et lui colle une auréole ! Le gentil Saint-Valentin, tombé amoureux de la fille aveugle de son geôlier, lui décrit l’environnement, les couleurs du temps…

On raconte que grâce à Valentin la jeune fille retrouva la vue. Un pape décida de célébrer chaque 14 février la fête des amoureux, chastement bien sûr…

Cependant, on fêtait aussi le 14 février comme jour où les oiseaux commencent à s’accoupler ! Toujours en avance sur leur temps, les Anglais seraient les précurseurs de « mariés au premier regard » !

Au XIVème siècle (XVIème pour d’autres), ils décident de former des couples choisis complètement au hasard. Une tradition qui est née dans le milieu aristocratique.

Durant une journée entière, un « Valentin » et une « Valentine » doivent obligatoirement se faire de petits cadeaux, des galanteries, se dire des mots doux...

 

Condamner celles et ceux qui se détestent à s’adresser des mots doux…

 

Cette journée, appelée « Valentinage », se déroule tous les 14 février ! Dès le XVIIIème siècle, la coutume se généralise dans toute l’Angleterre. Fleurissent alors les fameuses cartes de la Saint-Valentin.

Les Britanniques partagent la tradition en Amérique du Nord qui célèbre dans la foulée le « Valentin Day » ! A partir de 1945, les G.I. répandirent, avec le chewing-gum, la fête de la Saint-Valentin.

Aujourd’hui, 64 % des Français font un geste chaque 14 février. On peut noter qu’une femme sur sept s’achète des fleurs ! Alors serait-ce la Saint-Valentin, du business dites-vous ?

Bien sûr qu’il s’agit de dépenses, comme pour n’importe quelle fête. Mais une journée pour dire « je t’aime » c’est plutôt salutaire pour renforcer le système immunitaire !

Une journée pour célébrer l’amour, c’est finalement peu de chose.

Je suggère la reprise du « Valentinage » de nos amis Anglais : choisir au hasard ceux qui sur terre se détestent cordialement et les « condamner à s’envoyer des mots doux.

Au hasard, on pourrait y trouver Palestiniens et Israéliens, Gilets Jaunes et l’Elysée, Turques et Kurdes, Russes et Ukrainiens, Hégésippe SIMON et Paul BIRAULT…

Vous voyez, en fait, que du pur hasard dans ce choix cornélien…

 

Jean-Paul ALLOU  

 

 


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L'intelligence artificielle ne remplacera pas les managers mais les managers qui l'utilisent remplaceront ceux qui ne l'utilisent pas. Résolument optimiste, cette jeune femme a été élevée à la culture de l'utopisme. Débutée dans le domaine de l'événementiel, sa brillante carrière se poursuit aujourd'hui dans celui de la communication. Lorsque le groupe BNP PARIBAS l'encourage à nourrir son potentiel d'innovation, Vanessa saisit l'opportunité de s'immerger au CES (Consumer Electronics Show) de Las Vegas. Avec l'idéalisme et la modestie qui la caractérise, elle revient vers notre contributeur, Philippe CARPENTIER (16h44) sur ce voyage décisif.

TRIBUNE : Ce voyage modifie-t-il votre vision du management. Comment ? 

En effet, certaines présomptions que j'avais sont devenues des certitudes pour moi. D'abord, j'ai vraiment compris à quel point les innovations vont vite, et que ce monde-là n'attend pas. La délégation chinoise présente à Las Vegas était la quatrième en termes de représentativité. Signe de la place prépondérante qu'elle a acquise. Airbnb est devenu le premier provider de chambres sans hôtel et Uber le premier transporteur sans voiture. La capitalisation des NATU (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber), inexistants il y a quelques années, est aujourd'hui supérieure au PIB de la France. BlackBerry, premier sur le créneau des smartphones professionnels il y a quelques années, a quasiment disparu de la scène.

Tout le monde peut être disruptif. Innover est une nécessité pour survivre sur le marché. Nous n'avons pas conscience de la façon dont les choses évoluent, en termes de direction comme de rapidité. 

Je croyais savoir, je connaissais par exemple la loi de Moore selon laquelle la puissance des ordinateurs double chaque année, tandis que leur coût diminue. Mais comme dans la légende de « Sissa », on n'appréhende pas assez le caractère exponentiel des choses. Selon cette légende, Sissa aurait demandé au Roi des Indes, pour le récompenser d'avoir inventé le jeu d'échecs, d'être payé un grain de riz pour la première case, deux pour la deuxième, quatre pour la troisième, etc. Le roi aurait accepté sans mesurer l'importance de la récompense, ruinant ainsi son royaume, la 64ème case valant plus de 9 milliards de milliards de grains de riz !

Des perspectives d’innovation incroyables se sont-elles faites jour lors de ce salon international ?

Oui. IBM, par exemple, travaille sur Watson, un logiciel auto-apprenant impressionnant. Son premier ordinateur quantique réalise en une seconde ce que nos ordinateurs font en 10 000 ans ! Et que nous réserve la puce quantique d'Intel ? Face à Huawei, inexistant il y a quatre ans, l'Iphone va-t-il subir le même sort que BlackBerry ? S'installer dans une voiture électrique et autonome fait prendre conscience que des évolutions qui semblent hypothétiques font en fait déjà partie de notre monde.

Dans le domaine médical, l'évolution en termes de prédiction des pathologies pourrait constituer un progrès majeur. Une start-up vient d'inventer des chaussettes dont les capteurs préviennent le diabète !

Enfin, j'ai compris que l'intelligence artificielle est inéluctable.

 

 

Justement, qu’est-ce que cela va changer dans notre quotidien ?

Son  potentiel est  immense. L'ignorer, c'est prendre le risque de la subir, alors que bien contrôlée, elle favorise l'intelligence, libère du temps pour créer, pour  imaginer, pour écouter les autres... Elle sera positive. Elle peut être à notre service et ne pas servir qu'à nous remplacer. C'est notre responsabilité de nous y intéresser. Elle est inéluctable mais ne peut pas tout : l'Homme n'est-il pas le plus doué pour émouvoir ou donner des frissons ?

Quels sont les souvenirs marquants de ton passage au CES ?

Il y a eu la rencontre avec le patron de NISSAN, qui explique comment la data va modifier la communication. Il est persuadé que la capacité à faire ressentir et à projeter le client dans les usages à venir est une clé de réussite. Quand tu peux faire vivre et ressentir ce que sera la voiture dans deux ans, tu as pris une avance, décisive. Et celle avec un manager de Google qui a montré comment la data sera reliée aux émotions. Voir une start-up expliquer comment, à partir d'un simple fichier Excel de cinquante noms, elle peut créer en quelques minutes cinquante vidéos personnalisées. Est-ce effrayant ou génial ?

J'ai été étonnée de la place majeure de la France, malgré la taille modeste de son marché, et enfin, impressionnée par la qualité des présentations, par l'usage systématique de la vidéo et par le talent des orateurs lors des présentations. À importer chez nous !

 

L'Application

Programmer son benchmark personnel : inscrire dans son agenda deux heures par mois pour aller voir ce qui se passe ailleurs (association professionnelle, TedX, Internet...).

Mobiliser tout ce qui est à portée de clic :

  • Copier, adapter avec un œil critique.
  • Découvrir de nouveaux modes de management.

Philippe CARPENTIER

 

 

www.deciderjuste.com


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