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A l’instar de Louis XIV et de ses successeurs, qui sera le prochain « roi-président » à avoir l’audace et le courage de le déclarer ? L’historien François FURET avait raison. La Constitution de 1958 n’est que le reflet d’une monarchie constitutionnelle. Les deux grands monarques de la Vème République furent incontestablement Charles de GAULLE et François MITTERRAND ! La réforme constitutionnelle intégrera-t-elle le programme de certains candidats ? Quel est l’état des lieux aujourd’hui ? A quelques mois de l’échéance présidentielle, le pays entre dans une période de turbulences, ponctuée de sondages de toute nature…

 

TRIBUNE: Si l’élection avait lieu à date, pour certains instituts de sondage, Marine Le PEN gagnerait le premier tour des élections présidentielles du printemps 2022. Le sortant, Emmanuel MACRON, l’emporterait ensuite au second tour. Du déjà vu après le scrutin de 2017.

Mais, d’autres sondages donnent une tendance inverse ! Toutefois, le plus intéressant mais ô combien inquiétant est que plus de 70 % de nos compatriotes ne veulent pas d’un nouveau duel entre ces deux candidats. Sur le plan des idées, on voit disparaître le clivage traditionnel socialisme/droite libérale. MACRON a réussi à faire croire que les idéaux de gauche ou de droite n’ont plus aucun sens et qu’il faut se situer au-dessus des partis ! Mais quel idéalisme et pour quelle idéologie ?

L’idéal donne la priorité à l’homme, au citoyen. L’idéologie risque d’enfermer l’humain dans un sectarisme historique.

A part quelques doux rêveurs, ceux du « grand soir », le communisme et ses approches marxistes-léninistes n’ont engendré que des dictatures et des faillites économiques retentissantes.

 

Pour être écologiste, il faut être forcément socialiste !

 

De son côté, la pensée libérale et capitaliste prônée par Adam SMITH et Milton FRIEDMAN porte les germes des disparités, des inégalités et des révoltes sociales.

Henri JANSON avait raison : « Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme, le communisme, c’est le contraire ! ».

Que dire de l’écologie ? Nous sommes loin du philosophe naturaliste Henry David THOREAU qui passe pour être un précurseur de ce modèle de pensée. Le problème français fixe l’écologie dans les bornes d’un socialisme dit « républicain », anticapitaliste et prompt à créer des déficits économiques pour des raisons idéologiques.

Il existe un décalage entre les aspirations nationales, en matière de respect de la nature et des décisions qui paraissent aux antipodes de la raison : fermeture immédiate des centrales nucléaires, interdiction des sapins de Noël, suppression des caméras urbaines pour la sécurité…

 

 

Le mouvement des « Gilets jaunes » va naître précisément de l’application d’une taxe sur l’essence en faveur de l’écologie. Or, les aspirations de notre jeunesse, en matière écologique, ne sont pas prises en compte par Europe Ecologie Les Verts. Le non-sens, c’est que pour être écologiste, il faut être socialiste !

Rassurons-nous, les partis politiques traditionnels répondent aussi très partiellement aux aspirations des Français !

Le taux d’abstention le démontre. Finalement, le président est élu par une minorité d’électeurs qui, depuis les années 1980, ne vote pas pour tel candidat mais contre les autres. C’est ainsi que la France est devenue ingouvernable.

 

Une configuration d’autodestruction à gauche ?

 

 

Au Parti Socialiste, on confronte une mosaïque d’idées éparpillées façon puzzle. Pas ou peu d’idées centralisatrices, capables de fédérer le PS autour d’un candidat incontesté. Ségolène ROYAL a bien été tentée par l’aventure d’une campagne de primaire, avec Jean-Christophe CAMBADELIS et Christiane TAUBIRA. Ces deux-là se voient pousser des ailes !

Si François HOLLANDE semble exclu de la compétition, Olivier FAURE (actuel secrétaire général du camp socialiste) souhaite une alliance avec les Verts, tandis que Benoît HAMON envisage un rapprochement avec Jean-Luc MELENCHON.

Quant au tandem Anne HIDALGO/Yannick JADOT, il n’aboutira pas à inverser la situation déliquescente de la gauche. Afin de calmer le jeu, Julien DRAY estime qu’il est nécessaire de s’unir autour « d’idées forces » avant de désigner un candidat possible. Grâce au lancement de la « primaire des idées ».

Mais, en embuscade, pointe Arnaud MONTEBOURG qui poursuit allègrement la tournée de promotion de son dernier livre avec séances de dédicaces et rendez-vous médiatiques à la clé.

On n’est en plein flou artistique et dans une configuration d’autodestruction à gauche. Cerise sur le gâteau : le PS se familiarise avec les contraintes d’un néolibéralisme subit. Un plan social se préfigure au sein de la structure du parti. Les finances sont au plus bas et la dette importante : ce qui risque de compromettre la future campagne présidentielle.

Du côté de Jean-Luc MELENCHON, La France Insoumise rêve toujours du « grand soir » hypothétique. Après « l’Etat, c’est moi », le slogan du patron de LFI est devenu : « la République, c’est moi !».

Crise sanitaire oblige, Jean-Luc MELENCHON pourra développer son don d’ubiquité grâce à la technique des hologrammes ! Il compte bien en user et en abuser ! Il ne croit guère à une candidature unique de la gauche, si ce n’est l’espoir d’un rapprochement avec les communistes.

A ce jour, le leader de La France Insoumise ne peut engranger que 9 % des voix ! Une candidature unique à gauche change profondément la donne avec 25 à 30 % de voix possibles au premier tour !

Le Parti Communiste, enfin, oscille entre le soutien à Jean-Luc MELENCHON, comme en 2017, ou la présentation d’un candidat unique. La décision sera prise lors d’un vote les 07 et 09 mai 2021. Le PC a vu, à partir des années 1970, son influence diminuer et réduite à la portion congrue.

On peut la corréler à la fin du monde ouvrier, de ses grandes luttes syndicales, CGT en tête, tout au long de la première moitié du vingtième siècle. La désindustrialisation de la France parachève définitivement le phénomène. Le communisme en Russie a perdu sa substance. Les Italiens ont supprimé le mot « communiste » de leur parti historique. Quant aux Chinois, ils ont inventé, le « communisme capitaliste ». Il faut être chinois, d’ailleurs, pour comprendre. Il n’y a qu’en France, finalement, où le mot communiste perdure et est toujours rattaché à son parti originel…

 

Jean-Paul ALLOU

 

En savoir plus :

 

Le second volet de la tribune à paraître la semaine prochaine portera sur l’état des lieux des forces de droite…

 


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Trente-sept communes de notre territoire bénéficient à l’heure actuelle et, à raison d’une halte d’une demi-journée mensuelle, des avantages multiples de ce service itinérant imaginé par le Département. Jeudi 11 mars, aux alentours de 09 heures, place de la mairie, le véhicule fera une halte à Courson-les-Carrières. Il y sera accueilli par Patrick GENDRAUD qui rencontrera les personnels…

 

COURSON-LES-CARRIERES : Accompagner les Icaunais dans leurs démarches administratives est la vocation première de ce service ambulant qui est accueilli à ce jour dans près d’une quarantaine de communes de l’Yonne.

Partant du postulat que 83 % des localités de moins de mille habitants souffrent de l’éloignement des services publics, le Conseil départemental a trouvé judicieux de répondre à cette véritable problématique en optant pour le joker de l’itinérance programmée.

A bord de cet utilitaire (le véhicule n’a jamais aussi bien porté son nom !), une dizaine de partenaires de l’organisme départemental apportent leur valeur ajoutée. CNAV, CNAM, CAF, Pôle Emploi…y déclinent leurs précieuses informations, utiles lorsqu’il s’agit de renseigner des actifs, des jeunes, des personnes âgées, voire celles en situation de handicap.

Opérationnel depuis peu (le bus s’est arrêté récemment à VENOY dans la localité du vice-président du Département Christophe BONNEFOND ravi de ce service supplémentaire octroyé à ses administrés), cet auxiliaire des Services Publics presque à domicile a pour objectif d’accroître son potentiel d’accueil afin de sortir de leur isolement celles et ceux qui sont éloignés de tout.

Le président Patrick GENDRAUD profitera de l’étape de Courson-les-Carrières pour présenter les fondamentaux de cette mission et saluer le personnel qui y est embarqué.

 

Thierry BRET

 


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Les images sont affligeantes de vérité. Et se passent de commentaires ! Sans filtre, elles traduisent le mauvais comportement des automobilistes qui multiplient au détour des voies d’accès de notre territoire les infractions en tout genre. Ici, c’est un stop qui n’est pas respecté à une intersection. Là, le conducteur se moque comme de sa première chemise du feu rouge qui doit l’immobiliser. A visionner sans modération…

 

AUXERRE : Le département de l’Yonne possède depuis des lustres des caractéristiques surprenantes dans le domaine de la sécurité routière. Avec un nombre de décès qui dépassait encore les quarante disparus la saison dernière, notre territoire caracole allègrement dans le peloton de tête des bonnets d’âne du non-respect du Code de la Route.

C’est l’un de ces territoires où il est très dangereux de circuler dans l’Hexagone, triste constat.

D’ailleurs, plus de 30 % du nombre d’accidents qui surviennent sur l’une de nos voies de communication, sont imputables au non-respect dudit référent officiel que tout bon automobiliste devrait sinon connaître à la perfection, dûment appliquer au quotidien en le maîtrisant. Or, rien ne vaut le visuel pour observer les faits que l’on nous reproche !

Aussi, la coordination de la Sécurité routière de l’Yonne, avec le concours de la Direction départementale de la Sécurité Publique d’Auxerre a fait le choix pour lutter avec davantage d’efficience contre ce phénomène exponentiel d’année en année de promouvoir une action de sensibilisation différente. Mais, plus réelle et percutante.

 

 

S’appuyant sur la participation de l’Ecole nationale de police de Sens, l’organe qui émane des directives de l’Etat a réalisé un court-métrage contenant des images capturées sur nos routes. Un florilège de situations dangereuses dénuées de tout civisme qui est destiné à favoriser une prise de conscience collective.

Malheureusement, le clip n’a pas lieu d’être dans un bêtiser ou à être classifié parmi les perles rares d’un vidéo-gag. Même si l’on visionne parfois des images pittoresques lorsque deux adolescents empruntent la même trottinette pour se mouvoir sur la route.

S’il faut en passer par là pour réduire le nombre de morts, alors oui : il faut regarder ce documentaire à de multiples reprises et s’en imprégner de manière subliminale. Avant de s’asseoir devant le volant.

Peut-être que la prise de conscience collective passe obligatoirement par ce chemin…

 

En savoir plus :

Le lien pour visionner la vidéo est le suivant :

 https://www.youtube.com/watch?v=Cl3ZtoGx6pQ

 

Thierry BRET

 


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Rares étaient les représentants du sérail politique à soutenir en présentiel l’appel à la mobilisation générale des organisations du spectacle ce jeudi 04 mars sur le parvis du théâtre d’Auxerre. Tout au plus, on dénombrera durant cet exercice protestataire contre l’atteinte aux libertés et à la privation culturelle la participation de deux figures locales : l’écologiste Denis ROYCOURT et le coordinateur départemental des Nouveaux Démocrates, Rachid EL IDRISSI…

 

AUXERRE : Mais où étaient donc passées les élites de la classe politique icaunaise, toutes obédiences confondues, en ce milieu de matinée ce jeudi ? Visiblement, ils avaient mieux à faire ailleurs que de soutenir de manière physique l’évènement contestataire proposé place François Mitterrand, à l’appel unitaire des organisations du spectacle.

L’évènementiel était ouvert aux professionnels de la filière, certes, mais être le plus hétéroclite dans sa représentativité n’était pas incompatible, loin s’en faut, avec son bien-fondé.

On aura beau chercher et scruter parmi la foule d’environ deux cents personnes réunies sous les rayons salvateurs d’un soleil matinal (ce qui conférait un peu de gaîté à l’ensemble), peu de politiques s’y distinguaient réellement pour demander la réouverture des salles de spectacle.

Tout juste, aperçut-on parmi les rangs de ces férus de théâtre, de poésie et de manifestations artistiques en provenance de tout le département deux figures de cette sphère pourtant très représentative d’ordinaire qui brillait curieusement par son absence.

 

 

 

Discutant avec des intermittents du spectacle, l’écologiste Denis ROYCOURT était l’un deux. Il n’hésitera pas à s’avancer vers l’estrade pour être parmi les premiers signataires de la pétition officielle réclamant la réouverture de toutes les salles de spectacle de France et de Navarre.

Lui emboîtant presque le pas, dans une file adjacente, le coordinateur départemental de la nouvelle formation politique, apparue en décembre dernier (les Nouveaux Démocrates), Rachid EL IDRISSI retira un stylo de la poche intérieure de son veston avant d’apposer sa griffe au bas du document qui se noircissait petit à petit de paraphes.

Bref, c’était l’opportunité idéale pour ce nouveau soutien aux idées véhiculées à travers ce mouvement par les députés Aurélien TACHE et Emilie CARIOU de s’illustrer publiquement en soutenant la cause culturelle et la défense de ses valeurs. Un premier engagement public à conserver dans les annales…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une première initiative qui réchauffe le cœur. Même si un sentiment de colère sourde transparaît derrière les propos des différents interlocuteurs. Maître de cérémonie de cette action protestataire qui en appellera d’autres et ce dès le 17 mars, triste anniversaire du premier confinement, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN se satisfait de ce cri du cœur lancé par les artistes. Le public a entendu le message en étant présent, nombreux, à ce rendez-vous…

 

AUXERRE : L’attente synonyme de déprime et d’angoisse est devenue totalement insupportable pour les représentants de la filière artistique. Prise aujourd’hui entre le marteau et l’enclume. Celui de l’immobilisme intolérable qui réduit tous les espoirs à néant au quotidien et ce désir profond de vouloir travailler à tout prix.

Pas la moindre date à se mettre sous la dent et à biffer sur les agendas qui symboliseraient un semblant de reprise des activités culturelles. Pourtant, bon nombre de leurs représentants continuent de travailler sans relâche aux répétitions de leur prochain spectacle.

Besogneux, poussant le sens du professionnalisme jusqu’au bout des ongles, ces femmes et ces hommes qu’ils soient comédiens, techniciens, metteurs en scène, accessoiristes, régisseurs, preneurs de sons ou autres ne savent plus à quels saints se vouer dans ce contexte de crise absolue qu’ils n’avaient jamais rencontrés jusque-là.

 

 

 

Alors quand l’un de leur porte-étendard, le directeur du théâtre d’Auxerre Pierre KECHKEGUIAN s’empare du micro pour demander à la foule de moins en moins éparse sur le parvis de l’édifice culturel de prendre la parole et de s’exprimer : les applaudissements fusent de toute part.

Un cri du cœur public pour démontrer aux yeux de tous que les artistes ne sont pas morts et relégués parmi les dernières pages des quotidiens, dans la rubrique des avis d’obsèques.

 

 

 

Un retour à une existence quasi normale au 15 avril ? Une plaisanterie pour le directeur du théâtre…

 

Certes, les situations des uns et des autres sont très disparates au plan économique. Interrogé à ce propos, Pierre KECHKEGUIAN se veut transparent : « C’est sûr, l’intervention de l’Etat n’est pas négligeable avec le financement des institutions culturelles et le report de l’année blanche. Cela nous permet pour l’heure d’amortir le choc. Mais, pour combien de temps encore si la situation à laquelle nous sommes confrontés avec ces fermetures qui s’éternisent perdure ainsi… ».

Sans ambages, le responsable du complexe théâtral dénonce cette absence de réalisme de la part de la gouvernance. Un non-sens qui crée ce ras-le-bol généralisé, se traduisant dans les faits par cette mobilisation importante (environ deux cents personnes) sur la place François Mitterrand.

Pourtant, le porte-parole du gouvernement Gabriel ATTAL a bien signifié à qui voulait l’entendre il y a vingt-quatre heures face aux médias que « la France pourrait reprendre une existence quasi-normale à la mi-avril… ».

 

 

Des arguments qui n’ont pas convaincu le directeur du théâtre auxerrois. Il enchaîne : « Ces propos me font marrer ! Et quand bien même, si cela se réalisait, on ne pourrait jamais rouvrir les lieux culturels au 15 avril ! ».

L’absence de projection, l’ignorance de ce que l’on fera demain pour survivre pèse sur les épaules. Que veulent-ils exactement celles et ceux qui battent le pavé sous un salvateur rayon de soleil ?

« Nous voulons connaître une date butoir, une simple balise qui nous permettrait de prévoir la réouverture de nos établissements dans des délais raisonnables, lâche Pierre KECHKEGUIAN, de manière à la coordonner, à la structurer et surtout à la financer… ».

Bref, cela se nomme tout bonnement dans la vraie vie l’art de l’anticipation. Un antagonisme supplémentaire qui oppose le milieu artistique aux choix stratégiques du gouvernement ?

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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