Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

C’est la troisième rentrée scolaire pour l’Ecole de Production de Chalon-sur-Saône depuis qu’elle a été portée sur les fonts baptismaux. L’établissement affiche un taux de réussite de 100 % au CAP depuis ses origines. Un cap vers l’excellence pédagogique vient d’être franchi. Grâce à la digitalisation. L’initiative a reçu le soutien de la Fondation EDF qui a injecté 10 500 euros dans le projet…

CHALON-SUR-SAONE  (Saône-et-Loire) : Apparue en 2017 sous l’impulsion de l’UIMM 71 et du groupe EDF, l’Ecole de Production de Chalon (EDPC) accueille un jeune public âgé de 15 à 18 ans en situation de décrochage scolaire. L’établissement les prépare au diplôme de CAP professionnel dans les métiers de l’usinage. Un vivier de recrutement dont ont besoin la plupart des industriels de Saône-et-Loire.

Fonctionnant comme une véritable entreprise, l’EDPC réalise de vraies commandes au prix du marché au profit de ses clients. Une vingtaine d’élèves effectueront d’ici quelques jours leur grand retour sur le site. Ils y découvriront un équipement numérique flambant neuf mis à leur disposition dans le cadre de leur apprentissage des métiers de l’usinage.

L’école vient de se doter d’un logiciel d’assistance de production par ordinateur, couplé aux machines adéquates. Une mue nécessaire pour gagner en performance technologique.

 

 

 

Cette numérisation des ateliers concerne également la mise à niveau du réseau informatique qui offre des temps d’apprentissage supplémentaires en autonomie sur ordinateur. L’idéal pour la progression intellectuelle des jeunes apprenants.

Grâce à ces précieux auxiliaires technologiques, l’augmentation du volume de pièces fabriquées en réponse aux commandes passées par les entreprises industrielles du tissu local est désormais possible.

 

 

Une numérisation de l’école encouragée par la Fondation EDF…

 

Instigateur de ce projet pédagogique aux côtés de l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie de Saône-et-Loire, le groupe EDF n’a pas hésité à débloquer une enveloppe de 10 500 euros pour financer ce programme de digitalisation.

Fin 2018, l’entité via une opération de mécénat impliquant sa Fondation s’était déjà distinguée en remettant un chèque de 95 000 euros, complété par un don de 25 000 euros du FAPE EDF (Fonds Agir Pour l’Emploi) en faveur de l’insertion par le travail à cet établissement.

La somme fut alors convertie pour l’achat d’une machine à commande numérique destinée à l’usinage de pièces métalliques complexes. Grâce à elle, l’école a pu capter l’intérêt de nouveaux clients industriels et a su développer ses marchés depuis sa mise en service.

Avec ce nouveau geste financier de 10 500 euros accordé ce mercredi lors d’une cérémonie protocolaire, Yves CHEVILLON, délégué régional d’EDF et représentant de la Fondation du groupe EDF en Bourgogne Franche-Comté, a renforcé ce soutien indéfectible fait à l’Ecole de Production du sud de la Bourgogne dirigée par Nicolas PROST.

Un don généreux fort en symboles qui vise à construire l’avenir professionnel de ces jeunes gens.

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A défaut de grives, on mange du merle, précise l’adage ! Dans l’impossibilité sanitaire de pouvoir organiser sa traditionnelle réunion de rentrée avec l’ensemble de ses salariés, le groupe 110 Bourgogne pallie ce manque de convivialité en développant une série de six vidéos à caractère informatif. Cet apport numérique novateur permet de véhiculer plusieurs messages stratégiques aux collaborateurs habitués d’ordinaire à ces retrouvailles présentielles de l’automne…

AUXERRE : Premier clap de tournage pour l’équipe directionnelle de la coopérative 110 Bourgogne, ce jeudi en milieu de matinée. L’une des salles de réunion du siège de cet incontournable de la filière agricole régionale s’était muée en véritable plateau d’enregistrement.

Objectif : recueillir les propos de trois éléments majeurs de l’organigramme du groupe, à savoir ceux du président Gérard DELAGNEAU, du directeur de l’entité, Jean-Marc KREBS et du responsable des ressources humaines, Laurent PONROY.

Une initiative qui a été dirigée par la chargée de communication Julie ROSIERE, à la baguette technique puisque la jeune femme prit soin d’enregistrer l’intégralité des sujets évoqués durant cette session.

Un total de six courts métrages est prévu pour aborder le contexte économique et la situation d’après COVID dans lequel évolue le groupe qui fédère aujourd’hui quatre filiales : NATI VERT, SOREAL, 110 VIGNE et SCIENTECH.

Ces documents seront diffusés en intranet uniquement. Les deux premiers numéros de la série ont été bouclés dans les meilleurs délais ce jeudi matin. Ils seront consultables en ligne dès la fin de la semaine prochaine après les phases de montage et d’étalonnage.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Récemment, Emmanuel MACRON affirmait que « la France prendrait le tournant de la 5G », en fustigeant les réfractaires à cette technologie. Celles et ceux qui préfèrent « le modèle Amish » et qui « souhaitent retourner à la lampe à huile » ! Les Amish vivent en communauté religieuse aux Etats-Unis, en étant hostiles à toute modernité. Or, 70 élus de gauche et des écologistes demandent un moratoire sur cette nouvelle technologie. Y aurait-il des risques à aborder le virage technologique de demain ?

 

TRIBUNE: Le 14 septembre, devant les entreprises du numérique, le président de la République a martelé que la France serait au rendez-vous de l’innovation : la 5G.  L’argument se situe dans le désir d’indépendance technologique de la France.

Disons-le tout de suite, la 5G, pour le téléphone mobile des particuliers, sera d’un intérêt négligeable. Pourquoi ? Cette cinquième génération de la technologie « réseau mobile » est conçue pour répondre à la croissance exponentielle des données et à la connectivité de la société entrepreneuriale d’aujourd’hui. Soit un réseau mobile dix fois plus rapide que la 4G ! En ce qui concerne les applications, la 5G devra favoriser l’agriculture intelligente et tous les objets connectés : ordinateurs, tablettes, téléphones, automobiles, trains…

Des progrès spectaculaires sont attendus : gains de rapidité alors qu’un film en HD est téléchargé en 1h 40 mn, bientôt 20 minutes suffiront. Plus de réactivité : avec le temps de latence réduit à 1 milliseconde. Davantage de connexion : la 5G sera capable de supporter une multitude d’objets connectés simultanément. Plus écologique : la 5G permettra à terme de réduire 90 % de la consommation d’énergie, pour ses utilisations.

Selon les déclarations du locataire de l’Elysée, la mise en place de la 5G se fera progressivement : elle  commencera dès la fin de septembre 2020.

 

De sérieux bémols sont à relever en matière d’indépendance…

 

La 5G, c’est d’abord poursuivre notre dépendance avec la Chine. La présence du géant chinois, HUAWEI, reste dans la continuité de la 4G pour les opérateurs français des réseaux mobiles. 50 % des équipements viennent de l’équipementier asiatique.

Les réseaux européens sont largement ouverts à HUAWEI. Vouloir se passer de la Chine est une ambition complexe et coûteuse. Dans ce domaine, les dominations américaines et chinoises ainsi que l’intensité de la concurrence européenne entre les opérateurs, ont largement contribué à la déconfiture d’Alcatel et Siemens dans le domaine de la téléphonie mobile !

Il n’existe pas de barrières étanches entre l’écosystème des opérateurs et celui des équipementiers. Les problèmes de sécurité concernant les informations en circulation sont clairement posés. La Chine est accusée de violation des systèmes d’information, voire même d’espionnage. Oui, il temps de rouvrir la bataille sur le « cloud ».

 

 

En outre, les problèmes de santé sont posés depuis l’apparition de la 3G et de la 4G. La prolifération d'antennes a provoqué une levée de boucliers de la part de nombreux scientifiques. Plus de deux cents médecins ont d'ailleurs demandé un moratoire sur la 5G. Risques élevés de cancers, dommages génétiques et désordres neurologiques sont notamment mis en avant par ces savants depuis très longtemps. Mais, il nous faut dénoncer la « fake news » qui attribue à la 5G la naissance du coronavirus !

En France, en janvier 2020, deux associations, Priartém et Agir pour l'Environnement, ont déposé un recours devant le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction de l'ordre administratif, pour demander la suspension du processus d'attribution des fréquences de ce réseau. Le coup d'envoi a été donné le 20 décembre 2019. Les deux associations reprochent au gouvernement de se lancer dans un « projet pharaonique », et ce « dans la plus grande précipitation », « sans en mesurer les conséquences ». Elles craignent des risques sanitaires mais aussi les retombées néfastes sur l'environnement et les libertés publiques. Le Conseil d'État a refusé d'accéder à leur demande mais se prononcera sur le fond plus tard. Une décision satisfaisante pour Priartém et Agir pour l'Environnement qui dénoncent « l'absence d'évaluation sanitaire et environnementale du déploiement de la 5G ». En effet, avant toute décision, mieux vaut attendre les conclusions des scientifiques.

 

 

Quid des effets des ondes millimétriques sur la santé…

 

On se souvient des mises en garde des scientifiques qui au moment de la création des lignes de chemin de fer déclaraient que « la fumée des locomotives allait intoxiquer les vaches dans les prés et que le cœur humain ne pourrait pas supporter des vitesses supérieures à 35 km/h ! ». Cependant, les savants ont des outils et des savoir-faire qui doivent permettre d’identifier les risques. « La 5G augmentera l'exposition aux champs électromagnétiques de radiofréquence » ont prévenu les chercheurs. Ils évoquent notamment les ondes millimétriques. D'une portée assez courte, elles vont nécessiter le déploiement de davantage d'antennes relais.

Parmi les effets néfastes de ces ondes millimétriques sur la santé : un risque de cancer, de stress cellulaire, d'augmentation des radicaux libres nocifs, de dommage génétique et du système reproducteur, de déficits d'apprentissage et de mémoire, de troubles neurologiques. La liste est longue mais pas vraiment rassurante. Pour justifier leurs craintes, les experts s'appuient sur une étude du National Toxicology Program américain, la plus vaste jamais effectuée sur le sujet. En France, aucune analyse sérieuse n’a été publiée et nous laisse dans un flou artistique inquiétant. L’Agence de Sécurité Sanitaire déclarait en janvier 2020 qu’il est impossible de statuer sur la dangerosité des ondes incriminées et que le rapport sera sans doute publié au cours du premier trimestre 2021 !

L’attribution des fréquences n’est pas encore établie. La stratégie des opérateurs n’est pas encore claire au-delà d’une volonté affichée. La réaction des consommateurs est inconnue et surtout, l’impact sur la santé publique n’est pas mesuré. Cerise sur la gâteau : l’Etat français a déjà intégré dans son budget, les recettes des attributions de fréquences. Dans ce contexte, « virologico- économico-financier-politico-stratégique », on n’ose pas imaginer les quelconques finalités négatives d’un rapport sanitaire. De toute façon la décision, au plus haut niveau de l’Etat, est prise ! Pour reprendre la citation du président, « ça coûtera ce que ça coûtera »….Mais cette fois-ci, attention, cela pourrait peut-être se comptabiliser en vies humaines…

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’usine de batteries haute tension de TIEXI en Chine a vu ses capacités de production s’accroître au cours de ces dernières semaines. Objectif pour le constructeur d’Outre-Rhin : équiper au plus vite l’un des fleurons de sa gamme électrique, la iX3…

PARIS: BMW a décidé de mettre les petits plats dans les grands en matière de conception de batteries haute tension visant à équiper ses modèles électriques.

L’un des sites chinois où est conçue la cinquième génération de batteries, à TIEXI, a doublé sa capacité de production, bénéficiant aussi d’une extension complète de l’usine.

Ces nouveaux équipements devraient être installés d’ici peu dans la BMW iX3, l’un des fleurons de la gamme.

 

 

Présente en Chine où elle souhaite investir environ 620 milliards de dollars cette année pour ériger un nouveau complexe industriel à Shenyang, capitale de la province du Liaoning dans le nord-est, la firme allemande possède deux autres infrastructures localement.

Grâce à sa filiale, BMW Brillance Automotive, l’enseigne d’Outre-Rhin a déjà conquis de solides parts de marché dans l’ex-Empire du Milieu, commercialisant 720 000 de ces véhicules sur la seule année 2019.

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

En accueillant le premier colloque d’envergure consacré à la mobilité électrique, la Maison de l’Entreprise a entamé la nouvelle saison sous de très bons auspices. D’une part, le public, composé d’industriels et décideurs, a répondu favorablement à cette invitation (180 inscrits). D’autre part, le plateau d’intervenants était de tout premier choix autour d’une thématique capitale de l’avenir automobile…

AUXERRE : Initialement prévue au mois d’avril, la manifestation dût être reportée en dernière minute aux calendes grecques pour cause de coronavirus. Au grand dam  du trio d’organisateurs, les chevilles ouvrières de ce concept : Florence POULAIN, Jean-Marc DENIS et Claude VAUCOULOUX.

La mort dans l’âme, l’ossature directionnelle de la Maison de l’Entreprise avait dû ronger son frein en annulant sine die l’événementiel, espérant un horizon meilleur et dégagé de toutes ses aspérités sanitaires pour remettre l’ouvrage sur la table.

Cela fut chose faite ce jeudi 10 septembre dès 8h30 sur le site auxerrois. Où il régnait une certaine fébrilité quelques minutes avant d’officialiser ce rendez-vous d’importance sur le parvis.

 

 

Réfléchir ensemble à la transition de la mobilité…

 

Signe de réussite : l’animation aura été très mobilisatrice auprès des chefs d’entreprise qui s’inscrivaient en nombre pour suivre son déroulé.

Il est vrai que le sujet concernait réellement celles et ceux qui entreprennent. La place de la mobilité professionnelle n’étant pas une mince affaire à gérer dans les entreprises. Sans omettre les flux financiers qu’elle peut engendrer dans la constitution d’une flotte à titre d’exemple.

 

 

 

Alors, forcément réfléchir de manière participative et collective aux rêves et aux réalités offerts par ces automobiles d’aujourd’hui et de demain (électrique, hybride, hydrogène…) ne pouvait que faire mouche auprès de ce public très ciblé : les entrepreneurs.

Micro en main, le délégué général de l’UIMM/MEDEF de l’Yonne Claude VAUCOULOUX pouvait lâcher les chevaux à bride abattue avec la verve habituelle qu’on lui connaît en ouvrant de manière officielle ce colloque. Un rendez-vous auquel prenait part en qualité d’observateur le président de l’Agglomération et maire d’Auxerre Crescent MARAULT, sensibilisé par ces items.

 

 

Après métro/boulot/dodo, place à écolo/bobo/vélo ?

 

Pléthore d’interrogations étayaient les propos introductifs du délégué général de la Maison de l’Entreprise. Comment les sociétés feront-elles face à ces enjeux inéluctables que représente la transition énergétique ?

Les solutions sans carbone préconisées avec l’usage de l’électrique, de l’hybride et de l’hydrogène n’apparaissent-elles pas déjà trop obsolètes ? Voire « ringardes » comme le soulignera avec un zeste d’humour Claude VAUCOULOUX en faisant référence à une possible téléportation et ses risques éventuels en mentionnant le film « La Mouche » !

 

 

Lui succédant sur la scène de l’amphithéâtre, Jean-Marc DENIS insista sur les raisons de ce colloque de rentrée. Une réunion qui raviva les souvenirs d’autrefois (ce n’est pas si loin que cela !) où les animations à l’air libre et sans à avoir à supporter les contraintes des masques protecteurs égayaient les calendriers évènementiels de notre territoire. Avec accolades et embrassades de surcroît !

Néanmoins, le désir de valoriser le territoire mais aussi une filière automobile en plein tsunami post-COVID (référence à la sous-traitance) supposait une réaction visible et palpable de la part des trois organismes ayant décidé de porter ce projet : l’UIMM, le MEDEF et le groupement aéronautique GISAéro.

Avoir maintenu la manifestation et la proposer après moult atermoiements en cette période de rentrée est déjà une réussite en soi…

 

 

  


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil