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La Journée nationale contre le sexisme s’est tenue sur Zoom en cette année 2021. Elle aura vu la participation de nombreuses femmes, représentant toute la richesse des mouvements féminins en France. Quant au thème initial retenu, il évoquait « l’argent et les violences économiques subies par les femmes… ». Un phénomène très peu connu mais ô combien en phase avec l’actualité…

 

TRIBUNE : Depuis un an, la crise sanitaire et économique a aggravé les inégalités femmes/hommes, en France, comme dans le monde entier. Concernant les violences domestiques, toutes les données disponibles montrent une forte augmentation en Europe, en Asie, en Australie et en Amérique.

En France, on constate 30 % d’appels supplémentaires sur les numéros de téléphone dédiés aux violences physiques.

Le chemin est long et difficile. Et si, dans l’Hexagone, des mesures ont été prises sur le plan social, l’accent reste à mettre en œuvre pour les violences économiques que subissent au quotidien les femmes.

Sur le plan de la vie privée, 20 % d’entre elles qui appellent le 3919 parlent de contrôle de l’argent du foyer par le conjoint violent, et 55 % des femmes victimes sont salariées.

L’autonomie financière est déterminante pour l’égalité dans le couple. Les outils économiques actuels, pensés par des hommes pour une société dirigée par des hommes, ne permettent pas d’intégrer l’égalité. Beaucoup de réformes restent donc à faire, pour favoriser l’émancipation économique des femmes, notamment sur le plan des aides sociales, voire du système fiscal…

 

Des disparités dans les aides financières au détriment des femmes…

 

Le « violent économètre » recense les risques économiques aux différents âges de la vie d’une femme. Dès dix ans, c’est un outil de prise de conscience pour les femmes et pour tous les parents.

« Pouvoir décider, par un choix éclairé, afin d’être actrice de son autonomie financière et économique, garantit la liberté » selon Corinne HIRSCH, Vice-Présidente du Laboratoire de l’Egalité, membre du club Femmes Ici et Ailleurs.

Sur le plan professionnel, l’accès aux financements reste difficile pour les femmes. On constate deux fois plus de rejets de demandes de prêts bancaires venant d’entrepreneures au féminin. Les réponses positives le sont pour des montants sensiblement moins importants que les prêts accordés aux hommes.

Quelques chiffres dans le domaine de la création de musiques actuelles : 17 % de femmes auteures, compositeures à la SACEM, 14 % de femmes directrices de labels de musique, 20 % des demandes de financements de projets présentés par des femmes (et dans lesquels on trouve 80 % d’hommes !).

« La solution aujourd’hui, c’est, comme je l’ai fait, de monter son propre label, avec, dans mon cas, 99 % de femmes. Cela permet de rééquilibrer la tendance, sans violences sexistes » témoigne Katel, artiste, productrice et Interprète

Il existe fort heureusement des pistes : des bonus d’aides à la production d’albums présentant une parité femmes/hommes, des programmes de mentorat au féminin. Sachant enfin qu’au niveau de l’éducation et de la formation, 55 % des filles sont dans les conservatoires de musique, pour seulement 5,4 % de femmes instrumentistes !

 

Sur 87 familles de métiers, 13 sont considérées comme mixtes…

 

C’est le cas pour les métiers du secteur de la Tech, où le niveau de sexisme est particulièrement élevé. Cela est décourageant pour beaucoup de jeunes filles d’étudier dans ces filières. En France, il n’y a que 25 % de femmes diplômées alors que ce pourcentage est en diminution ces dernières années, contrairement à l’Europe où la progression est de 23 %.

Dans les premières années de l’exercice de la fonction, beaucoup de femmes diplômées quittent les entreprises du secteur pour se réorienter.

C’est une prise de conscience qui se pose que cette non-mixité dans ces entreprises. Comme l’exemple des logiciels de reconnaissance faciale, fiables à 99 % pour reconnaître les hommes contre 35 % de taux d’erreurs pour reconnaître les femmes … Cela demande à être suivi d’actions concrètes.

Là aussi, il existe des pistes : le classement des formations scientifiques et techniques selon la proportion de femmes diplômées. 15 % seulement des directeurs d’écoles d’ingénieurs sont des femmes, un score à améliorer notamment avec la loi Sauvadet et la loi Copé-Zimmerman. L’émergence de réseaux de femmes se fait jour dans les entreprises et pour les TPE/PME dans les territoires.

Les médias et la culture ne sont pas en reste avec les disparités. Un exemple flagrant concerne la « disparition » des femmes de 50 ans et plus à l’écran… alors que 52 % de la population féminine majeure est cinquantenaire, voire plus !

Dans les fictions, en 2016 sur l’ensemble des films, seuls 6 % des rôles concernent des actrices de 50 ans et plus. Les rôles de pouvoir sont incarnés par des hommes de 50 ans et plus, à l’âge où les femmes sont, elles aussi, à l’âge de leur puissance et de leur maturité.

 

L’argent public doit être un moyen de promouvoir l’égalité...

 

Venons-en à la sphère publique, et à la distribution de l’argent public, d’une façon générale. Encore plus particulièrement en cette période de crise économique, et sur le concept de l’EGACONDITIONNALITE.

Il repose sur l’idée fondamentale que l’argent public n’est pas neutre, et qu’il doit être un moyen de promouvoir l’égalité.

Il s’agit de conditionner l’attribution de financements publics, ou d’autorisations administratives, au respect d’un certain nombre de principes égalitaires, soit en termes de parité, soit en termes d’égalité.

Brigitte GRESY, présidente du Haut Conseil à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes, rappelle que « le HCE recommande d’appliquer ce principe depuis 2014, et qu’en raison de la crise sanitaire, des montants considérables d’argent public ont été alloués, sans avoir étudié l’impact différencié sur les hommes et les femmes de ces sommes allouées ».

Les périodes de crise ont souvent aussi permis de faire de grands progrès dans certains domaines.

Et si, c’était l’occasion aujourd’hui, d’agir concrètement, pour réduire les violences économiques faites aux femmes !

D’intégrer l’EGACONDITIONNALITE dans l’attribution des financements publics, y compris dans ceux attribuées par les instances locales, départementales, régionales ?

« Ne demandez pas aux femmes de s’adapter au monde … demandez au monde de s’adapter aux femmes » citait Gloria STEINEM. Alors, messieurs, à méditer !

 

Claire DOUTREMEPUICH

 


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Riche d’une expérience de dirigeant et de DRH d’entreprises de plus de 1 500 personnes, Dominique BERIOT est une référence de l’approche systémique en France. Ses conférences données dans les plus grandes écoles ainsi que ses ouvrages préfacés, notamment par Michel CROZIER ou Joël de ROSNAY, sont des incontournables pour le manager d’aujourd’hui. On ne peut que recommander son « Guide systémique du manager d’équipe » paru en 2018 aux éditions Eyrolles.

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, il nous parle d’une tâche quotidienne pour un manager : celle d’émettre une demande à un collaborateur. Souvent formulée de manière approximative, la demande constitue un enjeu au sein d’un management qui mérite d’être amélioré. Dominique BERIOT nous explique l’importance de cadrer ses demandes pour gagner en efficacité.

Dominique, selon vous, la plupart des managers ont une grande marge de progression sur une des tâches qu’ils réalisent le plus fréquemment...  

En effet, tout au long de ma carrière, j’ai été frappé par une chose. J’ai remarqué que lorsqu’un manager formule une demande à un collaborateur, celle-ci cristallise souvent une incompréhension entre les deux parties, et provoque de la déception à l’arrivée. J’ai pu observer cela malgré une implication pleine et sincère de la part du collaborateur comme du manager et j’en ai déduit que c’est la formulation de la demande elle-même qui pose problème. La situation inverse se produit également : un manager reçoit une demande et pense y répondre correctement mais le demandeur, finalement, est déçu par la réponse apportée.

 Comment expliquez-vous cet invariant qui fait perdre en efficacité ?

Ce qui provoque cette incompréhension est assez simple à comprendre, il s’agit avant tout d’un manque de clarté dans la demande. C’est-à-dire que l’objectif réel n’est pas assez ou pas du tout explicite : il est présent dans la tête de celui qui émet la demande mais ne parvient pas jusqu’à celui qui la reçoit. Il se situe à un niveau supérieur, tacite.

Prenons l’exemple d’un entretien pour illustrer le mécanisme. Un manager reçoit trois collaborateurs qui lui font part de leur envie d’évoluer professionnellement. Apparemment, les trois demandes sont similaires du point de vue du manager. En fait, pour chacun des collaborateurs, l’objectif diffère. Le premier espère se sortir d’une situation de conflit et moins subir de stress. Le deuxième escompte un revenu plus important pour satisfaire des besoins familiaux, et le dernier souhaite accéder à plus de responsabilités pour faire avancer sa carrière.

Derrière chaque demande, il y a un objectif propre difficilement décelable dès lors qu’il n’est pas clairement exprimé. Dans le cas où les motivations réelles ne sont pas comprises par le manager, il risque de mal répondre aux attentes des collaborateurs, générant frustrations, incompréhensions. Il y a une perte d’énergie et d’efficacité significative pour tout le monde.

 

 

 Il est donc essentiel d’expliciter l’objectif de niveau supérieur ?

Oui, et pour plusieurs raisons. D’abord, pour vérifier qu’il y a bien une cohérence entre la demande et l’attente réelle. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’un autre objectif se cache au niveau supérieur. Ensuite, pour permettre à son interlocuteur de se saisir pleinement de la demande et avoir ainsi plus de chance de la voir aboutir, car il aura tendance à rejeter la demande s’il n’en comprend pas totalement le sens.

Par ailleurs, en formulant une demande claire, on agit comme libérateur d’énergie. L’autre peut mieux s’impliquer et être plus autonome s’il comprend tous les enjeux. Il y a donc plus de chance qu’il apporte une réponse adéquate. Un cadre clair favorise les actions pertinentes. Pour reprendre l’exemple cité plus haut, le manager pourra travailler avec le premier collaborateur sur un accompagnement à la gestion de conflit et envisager une évolution de la rémunération pour le second, plutôt que l’inverse.

Enfin, celui chargé de traiter la demande disposera d’arguments réels pour la faire valoir. Il sera mieux armé pour conduire le changement, notamment face à des acteurs opposés au projet. C’est toujours plus convaincant d’argumenter que de simplement rétorquer “qu’on m’a demandé de le faire” !

 

 

Pourquoi les demandes ne sont-elles pas toujours traitées ainsi ?

Parce que ce n’est pas si facile à réaliser. L’écoute n’est pas toujours au rendez-vous, ou alors des situations particulières peuvent faire obstacle à la clarté. Dans un environnement international par exemple, certains facteurs peuvent brouiller la communication.

Surtout, un manager peut avoir tendance à se projeter, à imaginer l’objectif qui se cache au niveau supérieur et se faire une idée fausse. C’est l’erreur la plus courante et il faut y être particulièrement attentif. A l’inverse, votre manager n’est pas forcément habitué à ce que vous lui demandiez d’expliquer et de justifier sa demande réelle. Mais vous lui rendez un grand service si vous le faites.

Quels conseils pouvez-vous donner à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre guide pour réussir cet exercice et détecter l’objectif de niveau supérieur à réaliser ?

La tendance naturelle, lorsque l’on formule une demande, est d’en expliquer les raisons et d’indiquer à l’autre la marche à suivre. Il faut parvenir à sortir de ce schéma très directif, expliquer plutôt le sens de la démarche et laisser à l’autre la liberté d’agir. Il faut orienter ses explications sur le but de la démarche plutôt que sur ses raisons.

Et dans le cas où l’on reçoit une demande, l’objectif est d’en saisir les enjeux réels.

Après des recherches, nous avons détecté que la meilleure question à poser est, en fonction du contexte : Pour obtenir quoi ? Pour aboutir à quoi ? Pour parvenir à quoi ?

L’idée est de passer du « pourquoi », qui induit la causalité, au « pour quoi », « vers quoi » afin de mettre l’interlocuteur face à sa demande. En agissant ainsi vous précisez les cibles, vous permettez la clarification des objectifs et vous permettez à l’interlocuteur comme à vous-même de mener les actions pertinentes.

 

  

L’Application

Dès maintenant : mettez-vous en situation ! Un directeur fait savoir à son chef de service qu’un collaborateur devrait se comporter autrement. Vous êtes le chef de service, comment recevez-vous cette remarque ? La demande est floue, imaginez les questions que vous devez vous poser pour la clarifier.

De quel comportement s’agit-il ? En lui demandant un changement de comportement, vous souhaitez obtenir quoi de sa part ? Tentez d’identifier l’objectif réel de cette remarque qui vous est adressée.

Cette semaine, sur cinq demandes que vous recevez ou formulez, astreignez-vous, à en traiter au moins une selon la méthode exposée le type de questionnement proposé. Augmentez le recours à cette méthode les semaines suivantes.

 D’ici un an, intégrez complètement cette recherche systématique de l’objectif de niveau supérieur à la demande, ainsi serez-vous en mesure d’améliorer le traitement ou l’émission de demandes et pourrez-vous en constater un gain d’efficacité !

Si vous souhaitez aller plus loin et apprendre à exprimer ou traiter globalement une demande, vous trouverez des réponses dans l’ouvrage de Dominique BERIOT ; il vous accompagnera de manière claire et opérationnelle.

 

Entretien réalisé par Philippe CARPENTIER

www.deciderjuste.com

Blog 16h44

 


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Les activités des travaux publics découlent des programmes menés par les collectivités territoriales. A hauteur de 70 % ! Autant dire que les élus sont de précieux sésames en vue de l’obtention de nouveaux marchés. Mais, ces derniers doivent impérativement jouer le jeu. S’ils ne veulent pas mettre en péril les entreprises de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : Le message ne peut pas être plus limpide. Il émane de Vincent MARTIN, le président de la puissante Fédération régionale des Travaux Publics de Bourgogne Franche-Comté (FRTP).

Ce dernier n’a pas tardé à réagir aux récents propos du chef de l’Etat qui présentait les nouvelles annonces gouvernementales jeudi soir. Un ressenti qui se présente à double entrée.

D’une part, il y a la satisfaction du représentant patronal de pouvoir continuer à travailler malgré le troisième confinement élargi à l’ensemble de l’Hexagone. La filière ne sera pas impactée par les restrictions qui sont  imposées dans le cadre de la politique sécuritaire en matière de santé.

D’autre part, il y a le rassurement de toute la corporation, reconnue pour son utilité à la Nation. Il est vrai que les citoyens n’auront pas à souffrir de perte d’alimentation des foyers en eau et en énergie ou de l’absence de réseaux de communication.

Mais, l’essentiel du propos est ailleurs. Plutôt bien ciblé vers les représentants des collectivités territoriales.

 

 

Le plan de relance doit être mis en œuvre de manière rapide…

 

Alors que le secteur représente plus de 1 200 entreprises dans notre seule contrée (soit une déclinaison de plus de onze mille emplois), Vincent MARTIN appelle tous les élus à favoriser la commande publique. Le nerf de la guerre existentiel de cet édifice professionnel qui ne pourrait vivre sans.

D’autant que le plan « France Relance » voulu par l’Etat offre de réelles opportunités financières à la réalisation de projets et autres chantiers qui étaient en instance de décision avant la COVID.

Toutefois, souligne le patron de la filière, « la mise en œuvre de ce plan de relance sur notre territoire doit être rapide… ».C’est la condition sine qua non à sa réussite.

A ce titre, le président de la FRTP rappelle que « les préfets demeurent des partenaires indispensables pour le dynamisme de la commande publique… ».

Un message clair qui leur est également destiné. La FRTP ne peut pas être plus audible avec cette annonce…

 

Thierry BRET

 


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En matière de mobilité urbaine, le constructeur d’Outre-Rhin en connaît un rayon ! Le lancement de deux nouveaux scooters sur le marché mondial d’ici peu devrait le confirmer. En concessions dès le mois de mai, les BMW C 400 X et C 400 GT présentent un certain nombre d’améliorations techniques devant séduire ses futurs utilisateurs…

 

PARIS : BMW ne se positionne pas uniquement sur le marché de l’automobile haut de gamme. Sa ligne de produits deux roues séduit chaque année de plus en plus d’aficionados de grosses cylindrées et de modèles, nettement plus adaptés à la conduite en zone urbaine.

Dans ce domaine, celui des scooters de taille moyenne qui répondent aux critères d’exigence de la mobilité en centre-ville, l’enseigne allemande dispose d’une véritable stratégie de conquête sur le continent européen.

D’ici quelques semaines, deux nouvelles offres vont agrémenter le marché. Propres à la gamme à l’estampille de BMW MOTORRAD, elles ont été redessinées et pensées pour optimiser les déplacements urbains. Offrant au passage de nouvelles gammes chromatiques et des lignes à la touche de modernité renforcée.

 

 

 

 

 

 

Si l’an passé, le groupe BMW a commercialisé plus de 2,3 millions de véhicules de tourisme de par le monde, sa filiale deux roues a connu, à moindre mesure, le succès en plaçant à la vente près de 170 000 modèles.

Des résultats qui ont permis de dégager un bénéfice avant impôt sur cet exercice 2020 de 5,222 milliards d’euros pour un chiffre d’affaires s’élevant à 98,990 milliards d’euros.

De quoi satisfaire les 120 726 collaborateurs constituant l’effectif de l’entreprise allemande au 31 décembre 2020 !

 

Thierry BRET

 

 


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Programmé la saison dernière à pareille époque, l’évènement ne put se dérouler pour cause de pandémie. De guerre lasse, les organisateurs annulèrent ce rendez-vous, le reportant en 2021. Il nous revient sous une forme 100 % digitalisée les 01er et 02 avril. Cerise sur le gâteau : la déléguée interministérielle en charge de ce thème Claire COMPAGNON en fera l’ouverture officielle…

 

AUXERRE: C’est une certitude garantie à 100 % ! Claire COMPAGNON, déléguée interministérielle chargée de la mise en œuvre de la stratégie nationale autisme au sein des troubles du neuro-développement, ouvrira l’évènement numérisé, concocté les 01er et 02 avril par l’EPNAK et ses partenaires !

Le bras droit de la secrétaire d’Etat en charge des personnes handicapées Sophie CLUZEL a fait savoir via sa responsable de communication par des échanges de mails qu’elle ouvrirait la manifestation ce jeudi 01er avril en milieu de matinée par une brève allocution.  

Ne pouvant être présente physiquement à Auxerre pour les raisons sanitaires que l’on connaît, la représentante de l’Etat a enregistré au préalable un discours retransmis ensuite aux suiveurs de cette manifestation sur Zoom.

L’information a été confirmée ce lundi en fin d’après-midi par le directeur général de l’EPNAK (Etablissement Public National Antoine KOENIGSWARTER) Emmanuel RONOT.

La présence de la responsable numéro un du dossier « autisme » en France confère un crédit supplémentaire à cet évènementiel qui accueillera de nombreux spécialistes de la pathologie et de sa prise en charge durant ces deux journées.

Destinées aux professionnels du secteur de la petite enfance, ces Journées de sensibilisation verront la participation de plusieurs partenaires : le Département, la Ville d’Auxerre, la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) mais aussi un club service, le KIWANIS Club Auxerre, présidé par Jean-François FINANCE qui a succédé à Claude GUILLEMOT.

 

Thierry BRET

 


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