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Et on remet le couvert. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige ! Dans la continuité des précédentes journées d’actions distillées depuis janvier contre la réforme des retraites, l’intersyndicale et ses différentes composantes battront le pavé des rues auxerroises et sénonaises ce samedi 11 mars pour tenter d’infléchir la décision du gouvernement. Une gouvernance qui pour l’heure continue de faire la sourde oreille…

 

AUXERRE : Ils étaient d’après leurs estimations plus de 14 000 manifestants à protester dans les rues des deux principales villes de l’Yonne, mercredi. Combien seront-ils ce samedi pour exiger une vraie réforme sociétale qui soit synonyme de progrès social ?

Plus que jamais l’intersyndicale de l’Yonne, à l’image de l’UF CGT DIR Centre-Est – celle qui tient le piquet de grève au grand giratoire au nord d’Auxerre sans pour autant bloquer totalement la circulation – en appelle à la mobilisation générale pour revendiquer contre le projet de loi « retraites » voulu par la gouvernance et continuer ainsi la démonstration de force dans la rue.

« Les solutions et les financements existent, précise son communiqué, afin de conserver la retraite par répartition basée sur la solidarité intergénérationnelle… ».

 

 

 

Avec son lot de suggestions adressées à l’Etat en matière de parité au niveau des rémunérations entre les femmes et les hommes, la véritable place à accorder aux seniors dans l’entreprise, la fin des temps partiels imposés, la prise en compte des primes dans le calcul des cotisations, mais aussi la hausse des salaires pour tous, etc. La liste est loin d’être exhaustive.

Interrogation de l’un des syndicalistes de l’UF CGT DIR Centre-Est : « est-ce à dire que la France serait moins riche qu’en 1946 ? ».

Une interrogation qui trouvera peut-être sa réponse parmi les slogans qui seront scandés par les manifestants devant se réunir place de l’Arquebuse à Auxerre à partir de 10h30.

 

Thierry BRET

 


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Ce ne pouvait être un déjeuner comme les autres. Et, de toute évidence, les convives, une délégation d’une dizaine d’élus locaux, avaient des choses à dire lors de ces agapes, accueillies dans les salons d’un ministère parisien. En l’occurrence celui du Renouveau démocratique et du porte-parole du Gouvernement Olivier VERAN. Au menu du déjeuner : les sujets concernant le quotidien des  Français et la situation politique locale que ne manquera pas d’évoquer le maire de Seignelay, invité à cet exercice oratoire, Thierry CORNIOT…

 

PARIS : Ce n’était donc pas un lundi ordinaire pour l’édile de Seignelay ! Invité à se joindre à une petite délégation d’élus locaux, reçue à Paris par le porte-parole du Gouvernement et ministre en charge du Renouveau démocratique, Olivier VERAN, Thierry CORNIOT, maire de Seignelay, a pu profiter d’un temps d’échange instructif lors d’un déjeuner au ministère pour s’entretenir avec l’ancien ministre de la Santé.

Il était question lors de ces conversations de sujets essentiels qui préoccupent à l’heure actuelle les Français – ils sont légion depuis le début de l’année ! – et notamment, les problématiques locales.

L’élu de l’Yonne a ainsi abordé la montée des extrêmes et la hausse de l’abstention, vraies sources de préoccupation de bon nombre de citoyens dans l’Hexagone. Le pouvoir d’achat et la flambée des prix que supportent au quotidien ses administrés auront permis à Thierry CORNIOT d’alimenter les échanges durant ce déjeuneur constructif.

 

 

« Nous, les élus locaux, sommes en première ligne, a souligné le maire icaunais devant le ministre, pour apaiser le débat public. Nous sommes les élus les plus accessibles en France. C’est nous que les Français viennent voir en priorité afin de solutionner leurs problèmes. Qui mieux que les élus locaux peuvent faire état de l’opinion et des réalités locales ? ».

Satisfait de cette démarche étatique, Thierry CORNIOT a apprécié l’écoute d’un Olivier VERAN très réceptif aux propos de chacun des élus de proximité. De son côté, Olivier VERAN, soucieux de poursuivre ces efforts en matière de pédagogie à mettre en œuvre pour relayer auprès des Français « tout ce qui est fait pour les protéger » continuera à l’avenir à entretenir ce lien direct avec les élus locaux, venus des quatre coins de l’Hexagone. Histoire de conserver ce précieux fil d’Ariane, avec la réalité du terrain.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Rançon du succès oblige, la romancière, journaliste et animatrice des réseaux sociaux – son blog automobile « Charlotte au volant » y attire toujours autant d’aficionados férus de critiques décapantes - se prépare à faire ses valises afin d’assurer la promotion et les séances de dédicaces qui vont de pair, après la publication de son dernier opus. Troisième volet d’une saga épique, mettant sous le feu des projecteurs une curieuse héroïne un brin décalé – toute ressemblance avec l’autrice serait-elle donc fortuite ?! -, « Le Journal d’une pétasse confinée » sort de son isolement pour mieux se faire connaître à travers l’Hexagone !

 

AUXERRE: La mayonnaise fonctionne toujours. Sa texture est tout aussi savoureuse en bouche qu’à l’identique de ses précédents opus, comme peuvent l’être les historiettes de l’héroïne principale de ce roman peu ordinaire à mettre entre toutes les mains si votre moral ne vire pas nécessairement vers le beau fixe ! Et même si notre « Pétasse » semble totalement blasée, perplexe et anéantie après deux ans de crises sanitaires à répétition et autant de périodes de confinement au fil des pages de ses nouvelles aventures, il n’en reste toujours que le meilleur à prendre : soit la quintessence de bons mots et d’attitudes désopilantes qui l’a font réagir face à des situations existentielles des plus cocasses.

Publié voici quelques semaines, le nouveau volet de cette trilogie à la manière plus drolatique et décalée que le triptyque marseillais de Marcel PAGNOL rencontre déjà le succès auprès d’un lectorat (pas seulement féminin d’ailleurs), devenu fidèle et accro aux écrits pittoresques de la romancière icaunaise. Oui, peut-on dire en filigrane dans son œuvre, que l’on peut rire de tout, même d’un contexte engendrant la déprime, l’anxiété à outrance, l’angoisse et la névrose. Bref, bienvenue dans le monde aseptisé dans lequel l’humanité a vécu durant plus de deux saisons avec la COVID pour seule compagnie ! Une épreuve difficile à surmonter pour une « Pétasse » qui se respecte !

 

Une tournée de dédicaces qui passe par Cannes et Valence…

 

Après quelques séries de dédicaces, plutôt fructueuses ceci dit au niveau des ventes de l’ouvrage, accordées dans le microcosme auxerrois, Anne-Charlotte LAUGIER en baroudeuse et aventurière qu’elle est de temps à autre lorsqu’elle se décide à tester derrière le volant la nouvelle production motorisée d’un constructeur automobile à l’autre bout de la France, en est quitte pour assurer désormais la promotion de son bouquin, commercialisé sur toutes les bonnes plateformes de vente en ligne.

Un périple qui va l’emmener du côté de la Saône-et-Loire, non loin de Mâcon, la cité chère à LAMARTINE, à Crèche-sur-Saône le 11 mars, dans l’Aube voisine, à Troyes pour deux dates les 25 mars et 08 avril – la ville où les vitraux sont rois ! -, avant de pousser le voyage un peu plus loin du côté de la Côte d’Azur à Cannes, puis à Valence, à Tours, etc. Des pérégrinations livresques à la rencontre de son public conçues en partenariat avec le groupe CULTURA qui lui offre un corner à chaque étape de ce Tour de France, devant s’étendre au fil des semaines.

Jamais à court de projets – elle incarne également le personnage emblématique de son œuvre épistolaire sur la scène théâtrale seule devant le public -, Anne-Charlotte LAUGIER poursuivra-t-elle sur sa lancée en publiant de nouvelles péripéties de son héroïne dans les mois qui viennent en s’inspirant de l’actualité intense du moment (« Le Journal d’une Pétasse face à la réforme des retraites », « Le Journal d’une Pétasse confrontée à l’inflation galopante »…) ? Quoi qu’il en soit : les sujets où elle peut immerger son affriolant personnage ne manquent pas et pour le reste, la romancière possède les arguments et le talent pour les narrer…

 

 

En savoir plus :

« Le Journal d’une Pétasse confinée » est paru aux éditions RAMSAY.

 

Thierry BRET

 


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C'est toujours un moment chargé d'émotion que la cérémonie des étoiles Michelin. L’année 2023 n'échappera pas à la règle : les larmes des néo-étoilés, une épouse nouvellement deux étoiles disant de son mari « c'est l'homme que j'aime qui fait la cuisine qu'apprécient nos clients.... ». Bravo à tous ces promus courageux bien souvent.

 

AUXERRE: Notre Bourgogne n'a plus vraiment la côte au Michelin : aucune promotion de « bib » gourmand n’est à signaler notamment. Pas de nouveaux premiers étoilés, non plus. Mais, la véritable surprise nous vient de Saône-et-Loire. Si l'on subodorait légitimement une double étoile, on la voyait plutôt atterrir depuis Charolles ou Tournus. Or, elle surgit du côté de Chalon-sur-Saône chez le chef Cédric BURTIN et son restaurant « L’Amaryllis ». Toutes nos félicitations à cet ancien chef de partie du lyonnais Pierre ORSI qui décrocha pour la première fois une étoile dans son restaurant de Sennecey-le-Grand en 2008. Le jour de la naissance de son fiston !

 

 

Dans l'Yonne, rien de nouveau hélas ! Si ce n'est le nouveau référencement du restaurant auxerrois « Le Noyo ».

On peut regretter aussi l'absence  de nouvelles tables étoilées en Champagne-Ardenne, Limousin, Normandie, Picardie, Lorraine. C'est aussi triste qu'indigne pour toutes ces belles régions gourmandes, mais hors des grands axes du tourisme actuel, peut-être...

 

 

 

Le nouveau triple étoile de l’année nous vient de Noirmoutier…

 

Sortant de nos frontières, on peut légitimement se réjouir des trois étoiles obtenues par Céline et Alexandre COUILLON pour leur merveilleuse table « La Marine », sise à L'Herbaudière, sur l’île de Noirmoutier.

Lorsque je les ai connus en 2006, ils avaient glané un « bib » gourmand pour leur modeste restaurant. Ces véritables enfants du Michelin ont gravi ces échelons grâce à leur travail, leur talent, mais aussi de par une certaine pureté non affectée de ce couple  qui, soyons en certain, ne prendra pas la grosse tête (si fréquente à ce niveau !).

La version papier du Michelin 2023 - pour les afficionados - sera mise en vente dès ce vendredi 10 mars. Nous y reviendrons dans une prochaine rubrique de « L’Aile ou la Cuisse ».

 

Gauthier PAJONA

 

 


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L’orage gronde : la retraite par répartition demeure le système premier pour financer notre retraite. Or, la capitalisation est aussi une possibilité d’améliorer l’ordinaire et de bien préparer sa retraite. Dans le labyrinthe des placements possibles, essayons de nous orienter. Je vous invite d’abord à méditer une pensée de Sénèque : « la vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie… ».

 

TRIBUNE : Les agences bancaires proposent de multiples produits et des solutions financières à nos projets de placements et assurances. Nos conseillers ne possèdent pas toutefois la triple compétence de banquier, d’assureur et de financier. Ce n’est pas leur faire injure, mais face aux centaines de produits dont ils disposent, ils ont parfois du mal à s’y retrouver eux-mêmes ! N’oublions jamais que la plus grande carence des réseaux bancaires, c’est le droit !

Quand on veut placer de l’argent, il y a une question essentielle à se poser : quel est l’objectif central que je poursuis ? Pour ma future retraite, il faut des placements qui ne rapportent rien, ou peu, mais qui maintiennent le pouvoir d’achat de mon capital. Quand je suis en retraite, il faut des placements qui rapportent un maximum, mais en contrepartie, le capital s’érode. De plus, n’oublions jamais que la rentabilité est proportionnelle au risque… On peut ajouter la protection des enfants en simplifiant la succession. De toute façon, il sera indispensable de consulter son notaire : l’incontournable en matière de transmission du patrimoine. Il aura un avis éclairé sur les placements que vous envisagez, compte tenu de vos objectifs.

 

L'assurance-vie : un placement adapté…

 

Les contrats d’assurance-vie offrent une grande souplesse pendant la phase de constitution de l’épargne et sur les modalités de sortie. Vous pouvez récupérer vos sommes épargnées, soit sous forme de capital, soit sous forme de rente et vous constituer ainsi des revenus supplémentaires à vie. Elle offre également des avantages fiscaux importants, notamment une fiscalité privilégiée en cas de retrait après huit ans d’ancienneté du contrat. Par ailleurs, en cas de retrait plus tôt, l'impôt s'applique uniquement sur la quote-part de plus-value comprise dans le retrait. En outre, en cas de décès, l'épargne est transmise aux bénéficiaires librement désignés, dans la majeure partie des cas sans droits de succession. Un conseil : vous n’êtes pas tenu de donner le nom du ou des bénéficiaires en cas de décès. Il suffit simplement d’indiquer que le nom est déposé chez le notaire. C’est plus simple lorsque l’on souhaite changer le nom des bénéficiaires en cours de route.

 

 

Le PER (Plan d’Épargne Retraite)…

 

L’assurance-vie est concurrencée par le PER (Plan d’Épargne Retraite). Cette enveloppe juridique et fiscale permet de se constituer un complément de retraite, en plus des régimes obligatoires. Vous pouvez transférer l'épargne des anciens plans (Perp, contrats Madelin…) déjà ouverts sur votre nouveau PER. Le PER est très avantageux fiscalement, puisque les versements volontaires sont déductibles de l’assiette de l’impôt sur le revenu à hauteur de 10 % de vos revenus d’activité de l’année précédente, avec un plafond maximum de 32 909 euros pour 2021.

 

Le PEA : un placement boosté par la loi Pacte…

 

Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) permet d'investir à long terme, majoritairement dans des actions d'entreprises françaises ou européennes, et de générer, après un minimum de 5 ans, une rente viagère exonérée d'impôt sur le revenu. Le PEA bancaire permet d'investir en bourse. Il prend la forme d'un compte titres associé à un compte espèces. C’est plus intéressant pour la préparation de la retraite car le PEA Assurance permet de bénéficier à la fois des avantages du PEA, mais aussi des atouts des contrats de capitalisation en unités de compte. Les conditions de fonctionnement de ce compte sont fiscalement plus avantageuses qu'un compte titres standard. En outre, un peu d’or ne nuit pas. Au début de l'année 2023, la valeur du métal jaune a dépassé le seuil de 2 000 dollars l'once. Investir dans l'or en 2023 semble donc être une bonne idée, surtout compte tenu du taux d'inflation estimé à 6,1 % en juillet 2022.

 

 

 

L’immobilier, un placement toujours à la pointe…

 

Le premier placement immobilier, c’est l’achat de sa résidence principale. Il permet de capitaliser pour sa retraite. Au moment de la retraite, la vente du bien en viager permet un complément de ressources non négligeable. Viennent ensuite les placements individuels et collectifs. Banquiers, assureurs et notaires proposent des placements sous forme de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). L’achat de parts de SCPI offre quelques avantages. Depuis la transformation de l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune) en IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), les patrimoines immobiliers supérieurs à 1,3 million d’euros sont imposables à l’IFI. Les parts de SCPI investies dans des parcs de biens immobiliers entrent ainsi dans ce calcul.

Le démembrement des parts de SCPI peut permettre de réduire sa facture fiscale. Concrètement, il s’agit de séparer la nue-propriété des parts et leur usufruit. L’épargnant achète la nue-propriété et possède les parts de SCPI mais ne perçoit pas les revenus. Il récupérera la pleine propriété des parts à la fin de l’usufruit. L’usufruitier, de son côté, perçoit les loyers pendant toute la durée du démembrement. Cette technique permet d’investir à moindre coût et de ne pas alourdir sa fiscalité (impôt sur le revenu et IFI) pendant la durée du démembrement. Dans le cadre de la préparation de la retraite, il suffit de bien caler la durée du démembrement pour la faire coïncider avec la période de vie active où la fiscalité peut être parfois lourde. Au moment de la retraite, les revenus issus des parts pallient alors la baisse des revenus.

L’achat d’appartement présente des risques : loyers impayés, dégradations, squats… On peut envisager des placements orientés vers l’acquisition de studios pour étudiants : bon turnover des locataires, meilleure actualisation des loyers, et caution des parents. Le LPMP, Loueur en Meublé non Professionnel, est un statut permettant d’investir dans un bien immobilier afin de le louer meublé et de percevoir des revenus peu ou pas fiscalisés. Il s’agit de résidence étudiante est destinée à accueillir pendant plusieurs mois au moins 70 % d’étudiants. Ce qui veut dire qu’elle peut également accueillir 30 % d’autres types de locataires, en priorité des jeunes travailleurs ou des touristes. Le taux d’occupation avoisine donc souvent les 100 %. Les résidences sont exploitées par un gestionnaire exploitant unique qui assure le remplissage de la résidence, son entretien, et assure le paiement des loyers aux investisseurs dans le cadre d'un bail commercial.

Investir dans une résidence étudiante est un placement qui offre des perspectives sur un marché en plein essor : la population étudiante ne cesse d'augmenter, alors que l'offre de logements en résidences couvre à peine un tiers de la demande. C'est, surtout en période d'incertitude économique, un investissement sur une valeur refuge. Avec un ticket d'entrée autour de 70 000 euros, c'est aussi l'opportunité pour les personnes désirant investir dans la pierre avec un budget limité. Le rendement annuel moyen va de 3,5 % à 4 % nets de charges. Sans risque de vacances, d'impayé ni de souci de gestion ou d'entretien. Grâce au bail commercial signé avec la société gestionnaire, c'est un investissement sécurisé et sans imprévu.

 

 

Investir dans des « éco-parking » en profitant des rendements…

 

L’investissement dans des box de voiture ou des places de parking correspond à un placement pour de petits budgets et permet de se constituer un patrimoine progressivement. Les charges sont limitées et pour les box, les dégradations se limitent à la porte. Une nouvelle forme de placement  émerge : l’éco-parking ou la place de parking avec borne électrique. Il s’agit d’un placement immobilier éco responsable et cohérent avec le développement des véhicules électriques. La rentabilité annoncée est de l’ordre de 10 à 12 %. On peut trouver des places de parking à 10 000 euros, mais il faut compter 50 000 euros à Paris et 3 400 euros à Oissel en Normandie…

En tant que propriétaire d’un investissement locatif, vous devez déclarer les loyers perçus sur vos revenus locatifs, et vous acquitter de la taxe foncière. L'emplacement entre dans le calcul de votre impôt sur la fortune immobilière (IFI) à hauteur de sa valeur patrimoniale (prix de l'emplacement moins le montant de la dette immobilière). A Auxerre, nous avons noté une place de parking à 7 500 euros et un box à 12 600 euros.

Précisons que les investissements immobiliers sont soumis à l’IFI. Si vous êtes concernés, il est possible d’y échapper par des montages juridico financiers en intégrant  des SCI familiales : dans ce cadre il est impératif de prendre conseil auprès du notaire.

Il existe un Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) qui protège les titulaires de comptes en cas de défaillance de la banque. Toutes les banques établies en France adhèrent à ce fonds. Les avoirs sont couverts jusqu'à 100 000 euros par personne et par établissement. Votre épargne placée sur un Livret A, un Livret de développement durable (LDD), un Livret d’épargne populaire (LEP) est garantie en totalité par l’Etat, et non par le mécanisme de garantie des dépôts.

Les sommes placées sur ces livrets d’épargne ne sont donc pas décomptées du plafond de 100 000 euros. Il existe aussi une garantie des titres, plafonnée à 70 000 euros par détenteur de compte titres.

En matière de constitution d’un patrimoine, la diversification est vitale. Il ne faut pas oublier l’adage : « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». Et penser à la carte « chance » du jeu de Monopoly : « faites des travaux dans vos maisons » ! En conséquence, tout investissement immobilier doit générer 10 à 15 % de liquidités disponibles sur des livrets par exemple.

Les solutions pour préparer sa retraite par capitalisation sont multiples et peuvent correspondre à tous les cas de ressources et de projets. Il faut s’entourer d’un banquier, d’un assureur, d’un notaire et éventuellement de son avocat. Les consultations sont gratuites. Après, il faut choisir son camp : cigale ou fourmi !

En dernier recours, Voltaire nous propose un ultime conseil : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre »…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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