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Présent à Dijon, la semaine dernière lors de la signature de la convention de partenariat avec la Région Bourgogne Franche-Comté, le numéro un du groupe EDF a salué l’opportunité heureuse de cette initiative bipartite. Celle-ci permettra d’accélérer la transition énergétique au cœur des territoires ruraux de notre contrée. Développée dans un esprit de fraternité et de solidarité territoriale, cette stratégie représente l’une des thématiques chère à la culture d’entreprise véhiculée par le biais de ses engagements par le producteur et distributeur d’énergie.

DIJON (Côte d’Or) : Promouvoir des solutions sobres et bas carbone dans l’intérêt général du territoire. Limpide et illustré d’exemples, le message du président-directeur-général du groupe EDF, Jean-Bernard LEVY aura été compréhensible de tous. C’est-à-dire d’une assistance composée d’élus et de représentants institutionnels à l’écoute attentive de l’explication de texte, constructive autour de la transition énergétique, prononcée par le dirigeant du groupe leader de la production et distribution d’énergie.

S’exprimant à la tribune de l’hémicycle du Conseil régional, Jean-Bernard LEVY commenta longuement la genèse de ce texte qui accroît le partenariat, signé aux côtés de la présidente de Région, Marie-Guite DUFAY.

Premier producteur d’électricité régional à partir d’énergies locales et renouvelables, EDF fournit aujourd’hui 100 % d’électricité de manière « décarbonée » à notre territoire. Une identité décisionnelle qui devrait perdurer dans le temps.

« Dans le cadre du Plan solaire qu’EDF a annoncé fin 2017, nous allons continuer à développer sur le territoire de Bourgogne Franche-Comté ces énergies renouvelables, précisa le PDG LEVY.

Ainsi, trois nouveaux projets de fermes photovoltaïques, des dossiers encore à l’étude à l’heure actuelle, devraient se finaliser dès 2019. Avant que d’autres concepts de cette même typologie ne viennent s’agréger aux projets initiaux.

La Bourgogne Franche-Comté : un territoire à énergie positive et zéro déchet d’ici 2050

Adhérent aux actions prioritaires menées par la Région (l’emploi, l’environnement et la fraternité), EDF désire à son tour contribuer à la mise en œuvre de cet essor. Comment ? En développant l’activité économique et l’attractivité des territoires qui composent la Bourgogne Franche-Comté.

« Ces items représentent les possibles champs de coopération définis par la convention que nous venons de parapher, argumente le PDG du groupe EDF, il nous faut mener en partenariat des opérations concrètes visant à promouvoir des solutions sobres, performantes et bas carbone dans tous les secteurs : les bâtiments résidentiels ou tertiaires, les activités industrielles, mais aussi les transports en favorisant le rayonnement de la mobilité électrique et/ou hydrogène… ».

Une série de projets répondant à l’optimisation de la meilleure efficacité énergétique.

A son actif, le groupe national développe déjà différents modes de production d’énergie novateurs, à l’instar de la valorisation des déchets ménagers ou la production de chaleur à partir de biomasse, notamment le bois.

« A titre d’exemple, ajoute Jean-Bernard LEVY, je citerai le rôle essentiel joué par notre filiale DALKIA qui, exploite aujourd’hui sur la Bourgogne Franche-Comté, quatorze réseaux de chauffage urbain, vingt-six chaufferies biomasse et huit cogénérations. Raccordés aux réseaux de chaleur, ces bâtiments réduisent le Co2 de près de 3 000 tonnes annuellement… ».

Autre volet devenu incontournable dans le mix énergétique préconisé par EDF et l’encouragement accordé aux énergies renouvelables : la voie conduisant à la méthanisation.

« Nous avons instruit plusieurs projets en ce sens et réalisé, en partenariat avec la Région, nos premiers dossiers de récupération d’énergie auprès d’industriels, confie le PDG du groupe, ce qui nous prouve l’efficience de notre complémentarité… ».

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Favoriser le développement de l’activité économique et de l’emploi local…

Affirmant son ancrage territorial, suivant ainsi une politique efficace orientée vers l’emploi, EDF génère aujourd’hui plus de 700 millions d’euros d’achats auprès des entreprises de la région.

« Nos activités de production et d’ingénierie nous permettent de répondre présent en toute circonstance, avec l’appui de nos 5 000 collaborateurs, et par le biais de toutes les entités du Groupe confondues, ajoute Jean-Bernard LEVY, une chose est sûre : avec la signature de cette convention, EDF demeurera un contributeur majeur de l’industrie régionale en Bourgogne Franche-Comté ».

Expliquant que l’insertion professionnelle des jeunes constituait une priorité essentielle à ses yeux, le PDG du groupe s’est engagé ouvertement en faveur de l’emploi. Citant, en qualité de principal donneur d’ordres du pôle de compétitivité national pour le nucléaire (« NUCLEAR VALLEY »), basé à Chalon-sur-Saône, que cette filière générait sur le territoire 45 000 emplois directs et indirects.

« Nous avons à renforcer une ambitieuse politique de formation, et d’aide à l’emploi, pour permettre aux entreprises de recruter des personnels qualifiés. Nous avons une approche identique pour les nouveaux métiers du solaire, ou de l’éolien. Pour ne citer que deux exemples : cela se concrétise grâce à la mise en place d’une formation dédiée à l’exploitation des parcs photovoltaïques au lycée de Montbard ou le lancement de l’école de production de Chalon-sur-Saône. L’objectif étant de former des jeunes aux métiers de l’usinage. Mais, dans tous les cas, il s’agit pour notre groupe de développer résolument l’emploi local pour répondre aux besoins de la filière énergie et plus largement de la filière industrielle, en favorisant l’insertion professionnelle des jeunes… ».

La fraternité, le troisième axe prioritaire de cette convention…

Comme devait le rappeler le président directeur général du groupe EDF dans ses propos, « la solidarité intègre la notion culturelle de service publique de l’entreprise. C’est notre ADN historique ! Fort de cela, aucun territoire ne doit être négligé, aucun habitant ne doit être exclu de cette démarche de transition énergétique.

Dans le cadre de cette convention, nous nous efforcerons de rechercher avec l’ensemble de nos partenaires des complémentarités entre l’urbain et le rural. Afin que personne ne soit laissé de côté, et que chacun puisse contribuer, avec ses capacités, à cette évolution sociétale… ».

C’est dans cet esprit consensuel et positif que ce partenariat prend donc forme dorénavant. Au bénéfice de toutes les personnes qui résident en Bourgogne Franche-Comté.

 


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Une enquête flash circule depuis quelques jours via les outils numériques de communication auprès des membres de la Confédération des moyennes et petites entreprises (CPME) et de l’Union des métiers de l’industrie hôtelière (UMIH) de l’Yonne. Objectif de ce sondage spot : connaître les effets réels de la crise revendicatrice qui secoue le pays sur le quotidien des entreprises de notre territoire. Ces informations, une fois récoltées, serviront de base de réflexion aux représentants de ces deux syndicats patronaux. Ces derniers transmettront les fruits de leur enquête à leurs instances nationales mais aussi aux services de la préfecture…

AUXERRE : Du concret pour mieux cerner la véracité du contenu informatif du moment. C’est le souhait liminaire du président départemental de la CPME, Olivier TRICON. Pour se faire : le responsable du syndicat patronal des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, en accointance avec l’antenne icaunaise de l’UMIH, a décidé de concevoir sa propre enquête d’opinion. Pour savoir ce que vit sa base.

La consultation se diffuse depuis quelques jours à l’ensemble des adhérents des deux organismes. En toile de fond, il s’agit d’évaluer l’impact réel du mouvement des « Gilets jaunes » sur l’économie territoriale. Et d’en tirer de précieux enseignements.

Connaître les désagréments subis par les entrepreneurs de l’Yonne devenait indispensable au moment où le conflit se durcit parmi les différentes strates de la population. Ainsi, l’étude propose de recueillir les commentaires des entrepreneurs sur la baisse de fréquentation dans leurs entreprises, les conséquences sur leur chiffre d’affaires et les difficultés observées.

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Recenser et comprendre les problèmes des entrepreneurs…

Tâter le pouls de leurs adhérents afin de mieux comprendre leurs problématiques actuelles devenait un impératif pour les responsables de la CPME. Avec son corollaire sur l’économie.

« Il nous faut comptabiliser l’ensemble des méfaits et des pertes économiques qu’ont eu à subir nos adhérents pour avoir un aperçu réel de la situation, explique Olivier TRICON, ces informations constitueront un socle de données importantes que nous adresserons ensuite à nos instances nationales ».

Les éléments informatifs de cette enquête, élaborée à chaud, se destineront aussi aux services de la préfecture de l’Yonne. Histoire de traduire dans les faits, et commentaires à l’appui, ce que pensent réellement les chefs d’entreprises des TPE et PME de l’Yonne des effets sournois de la contestation populaire sur leur outil de travail.

 

 

 

 

 


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Les élus, sont-ils les meilleurs ? « Il faut booster le revenu des classes moyennes » disait récemment un député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée Nationale. On a vu la semaine dernière que ce sont les ménages aux revenus les plus modestes qui avaient le plus été touchés par la réduction du pouvoir d’achat au cours de ces dernières années. Mais, il ne semblait pas nécessaire à notre député-économiste de « rebooster » leurs revenus…

CHRONIQUE : L’Institut des Politiques Publiques (IPP) confirme le caractère pénal des taxes pour les foyers aux faibles revenus. La part des ressources consacrées à la hausse carbone est trois fois supérieure pour les ménages modestes que pour les ménages aisés.

La messe est dite. Ah, pardon, restons laïques : « le gilet jaune est mis !».

Christine LAGARDE, directrice générale du Fonds Monétaire International (F.M.I.) a lancé un cri d’alerte : « Les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe » !

C’est bien le cas lorsqu’on entend notre député-économiste, dire qu’il faut « rebooster » le pouvoir d’achat des classes moyennes. A Versailles non plus, en 1789, on n’avait pas conscience de ce qui se passait.

En octobre 1789, c’était des femmes du peuple et non pas de la classe moyenne qui venaient demander du pain au roi et à la reine. Maintenant, ce sont leurs descendants qui disent qu’ils n’ont plus d’argent pour acheter du carburant de façon à pouvoir circuler et aller au travail librement. Car, ils n’ont pas d’autre moyen de transport. Au lieu de marcher sur Versailles, ils enfilent des gilets jaunes. Que s’est-il passé après 1789 ? Nous le savons ! Que se passera-t-il après 2018 ? Nous ne le savons pas encore.

Notre député-économiste, membre de la commission des finances de l’Assemblée nationale, fait partie de l’élite visée par Christine LAGARDE lorsqu’elle dit que les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe.

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Les élites, mais qu’est-ce que c’est ?

L’élite …là, arrêtons-nous un instant. Qu’est-ce que l’élite ? Par une évolution classique du sens des mots, le mot élite est pris aujourd’hui comme signifiant « les meilleurs ». Que non ! Revenons à l’étymologie. Ce mot vient du latin, « elegere » qui signifie élire. Nous sommes en plein dans le mille : l’élite, au sens originel du mot : ce sont les élus.

Posons-nous alors cette question : sommes-nous sûrs que les élus sont les meilleurs ? Demandons-le aux Gilets jaunes en premier lieu et aux Français en deuxième lieu. La réponse, nous la connaissons. La classe politique ne jouit pas d’une grande considération de la part des Français.

Voyez la dernière élection dans l’Essonne où il s’agissait de remplacer à l’Assemblée nationale un ex-premier ministre, Manuel VALLS, qui est allé chercher au soleil, au-delà des Pyrénées, de nouveaux électeurs. Son ancien adjoint se présentait. Le taux d’abstention s’est élevé à 82 %. Il a recueilli 54 % des voix, c’est-à-dire qu’il a été élu par 9,7 % des électeurs.

On ne peut pas mieux démontrer la désaffection des électeurs, c’est-à-dire des Français pour l’élection d’un député. Ajoutons qu’il a su opérer un virage salvateur : il est passé du Parti socialiste à La République en Marche.

« Paris vaut bien une messe », disait Henry IV. Un siège de député vaut bien une petite désertion. Et, ainsi, notre nouveau député LREM fera bien parti de l’élite !

Pour terminer, je m’adresse directement aux lectrices et aux lecteurs de « Presse Evasion » : « Pensez-vous, chères lectrices, chers lecteurs, que les élus soient les meilleurs ? ». Faites-nous l’honneur de vous manifester et d’envoyer un e-mail à « Presse-évasion » afin de connaître votre réponse.

Emmanuel RACINE


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Inscrit dans sa politique de gestion du risque, le déploiement de services d’accompagnement en santé pour favoriser la prévention et l’organisation du parcours de soins est devenu l’un des axiomes essentiels de la Caisse primaire de l’assurance maladie en France. Près de 15 millions de personnes souffrent aujourd’hui de pathologies chroniques, dont plusieurs milliers sur le seul département de l’Yonne. En s’engageant aux côtés des patients, l’organisme veut apporter une aide tangible aux assurés afin qu’ils deviennent les véritables acteurs de leur santé…

AUXERRE : Depuis une décade, l’engagement mené par les services de la C.P.A.M. n’a jamais faibli d’un iota. Au contraire. Face à la hausse croissante des maladies chroniques observées à travers l’Hexagone et les risques de complication inhérents à ces pathologies, l’Assurance maladie ne cesse d’intervenir auprès des assurés pour les alerter sur les dangers bien réels qu’ils encourent en cas de manquements.

Plusieurs programmes de santé sont ainsi déclinés désormais. De prime abord, ils favorisent la prévention. Mais, surtout, ils facilitent l’organisation du parcours de soins. En garantissant une pérennisation de celui-ci aux assurés bénéficiaires tout au long de leur existence.

Dix ans après la mise en exergue des premiers accompagnements, l’Assurance maladie renforce son dispositif. Elle l’a élargi à la prévention primaire. La grippe, le diabète, l’asthme, les problèmes bucco-dentaires sont autant de thématiques importantes qui ont complété le nécessaire dépistage du cancer, le retour à domicile après une hospitalisation, l’aide au sevrage tabagique ou la vaccination.

SOPHIA diabète : des répercussions positives sur le suivi des  patients…

Apparu en 2008, le programme d’accompagnement des personnes diabétiques SOPHIA recense à ce jour 4 627 adhérents. Soit plus d’une personne sur trois concernées sur le territoire de l’Yonne par cette insidieuse pathologie. Ce service offre un bilan positif de son action. Non seulement, le suivi de la patientèle a gagné en efficience, mais en outre, le coût de sa prise en charge pour la collectivité est moindre.

Ombre au tableau sur un aspect purement statistique, on est encore loin du compte au niveau de la mobilisation globale des malades. 12 031 personnes sont éligibles à ce service. Il reste encore un long travail d’information et de sensibilisation pour la C.P.A.M. qui se veut philosophe vis-à-vis de cette situation.

Ces efforts de communication se muent par un élargissement des canaux. Les inscriptions en ligne, par le biais des outils numériques, se sont multipliées après juin 2017 grâce au support, ameli.fr.

SOPHIA asthme : des débuts prometteurs dans l’Yonne

Etendu aux patients asthmatiques dès le printemps dernier, le service SOPHIA asthme enregistre 196 bénéficiaires. Pour un total de 2 263 personnes éligibles. Optimistes, les responsables de la Caisse primaire de l’assurance maladie s’attendent à une recrudescence des adhésions dans les mois à venir. Notamment, auprès de la tranche d’âge des 18/44 ans.

Repérés parmi les fichiers de santé, les inscriptions, sous le sceau du volontariat, demeurent gratuites pour les assurés.

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Grâce à la structure TAB’AGIR, l’accompagnement au sevrage tabagique permet d’obtenir également de bons résultats parmi la population icaunaise. L’opération « Mois sans tabac », relayée par les médias, contribue à la réussite de ces animations.

Conséquence, plus de 400 personnes ont été ainsi sensibilisées aux accueils de la C.P.A.M. et du C.E.S. (le centre d’examens de santé) de l’Yonne à Auxerre. Une soixantaine d’entre elles se sont inscrites à une consultation formelle de lutte contre les effets tabagiques.

Une nouvelle phase a d’ailleurs été franchie en 2018 avec le passage du forfait d’aide au sevrage de 150 euros par an et par assuré, à une prise en charge de droit commun des traitements nicotiniques de substitution.

Le retour à domicile soutenu par le programme PRADO

Depuis 2010, il existe trois volets à ce programme. Ils ont été mis en place pour accompagner le retour des personnes après une hospitalisation. Ainsi, les jeunes mamans après leur séjour à la maternité.

1 578 bénéficiaires de ce service ont pu profiter de cet accompagnement dans l’Yonne à fin septembre. Dont 157 mères qui ont pu être suivies dans le cadre d’une sortie précoce. PRADO concerne les jeunes mamans ayant accouché par césarienne depuis 2014.

Qu’il s’agisse d’opérations orthopédiques, digestives, gynécologiques ou autres, les interventions chirurgicales entrent dans le champ d’application de ce programme. 195 personnes ont été concernées cette année dans ce cadre précis.

On peut y ajouter aussi les pathologies chroniques (insuffisance cardiaque, bronchopneumopathie, plaies…) : elles se sont rapportées à 132 patients.

Grâce à ce système qui favorise le maillage territorial et la complémentarité offerte par l’ensemble des professionnels de santé, PRADO obtient des résultats très encourageants. Le taux de mortalité est d’ailleurs impacté et ramené à 2,9 % au lieu de 3,5 % dans le cas où on s’approprie ce programme de reconduction à domicile dans un cadre largement optimisé.

Dans l’Yonne, 2 062 assurés avaient bénéficié de ce processus à fin septembre.

Le Centre d’examens de santé (C.E.S.) : le bras armé de la C.P.A.M.

Complémentaire à la médecine de ville, le rôle du C.E.S., opérationnel depuis 1968, est de préserver la santé des personnes fragiles et précaires. Si la structure réalise plus de 8 400 bilans annuels, elle assure en parallèle des contrôles habituels le rattrapage vaccinal, opération qui est proposée dans le cadre du bilan de santé depuis cette année.

L’éducation thérapeutique des personnes vulnérables s’inscrit parmi ses priorités. Le centre travaille en s’appuyant sur des unités mobiles (celles d’Avallon, de Sens et de Tonnerre) afin de renforcer son action.

Enfin, pour être tout à fait sur ses missions, le C.E.S. est également intégré dans le dispositif de dépistage du renoncement aux soins.

 

 


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Encore auréolée de sa série de concerts qu’elle a donnés au Théâtre des Muses dans la principauté monégasque, la chanteuse icaunaise clôt l’année 2018 de la plus belle manière qu’il soit. Elle invite ses fidèles mélomanes à la suivre dans son cheminement artistique lors de deux ultimes prestations, proposées dans sa ville natale de Sens.  Les 15 décembre, sur la scène du coquet théâtre local, l’interprète des œuvres éternelles de Piaf et de Barbara offrira un florilège de morceaux, issus du répertoire éclectique de la chanson française. Cerise sur le gâteau : la « jolie fleur » de ce « Jardin de soi » hétéroclite dévoilera ses compositions personnelles. Immortalisés, les récitals seront captés en perspective d’un premier opus en live…

SENS : Samedi 15 décembre à 16 heures et à 20h30. Ce sera un ultime tour de piste à honorer pour l’artiste sénonaise, avant qu’elle ne tire le rideau sur une année particulièrement dense. Ces deux récitals qu’elle accorde à son public originel, celui de sa ville natale qui l’a toujours suivi depuis ses débuts, ne devraient pas être dépareillés des autres rendez-vous scéniques qui caractérisent ses remarquables prestations.

Chaleureux, enthousiastes, enivrants, magiques. En communion fusionnelle avec son public, l’ambassadrice de charme de cette terre de l’Yonne, dynamique et lyrique, exporte les facettes protéiformes de son talent au-delà des frontières de l’hexagone.

La tessiture de sa voix, cristalline, mêlant puissance et douceur, joue sur les octaves et la respiration. Elle se pose délicatement sur les textes écrits par des auteurs qui ont su servir avec panache les plus grands noms de la chanson et variété françaises.

« Jardin de soi » : un voyage intimiste parmi l’univers de l’artiste

Barbara, Piaf, Greco, mais aussi Dalida, Jeanne Moreau ou encore Françoise Hardy s’invitent avec délectation sous la lumière des projecteurs dès que la « Môme » Christelle entre dans la danse.

Le set se déroule ainsi pendant près de deux heures avec bonheur, grâce à l’interprétation sensible d’une artiste qui ne triche pas avec ses émotions. Ni avec celles et ceux qui l’apprécient.

Nous conviant à un voyage intimiste dans ce « Jardin de soi », la chanteuse, devenue mâture et ultra professionnelle jusqu’au bout des ongles depuis qu’elle promène sa silhouette sur des scènes internationales (Pologne, Russie, Etats-Unis…), grâce au travail dévoué de son époux, Pierre, manager, producteur et organisateur de concerts parfois improbables, baisse la garde.

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Déjà à travers le sens déontologique de ce double récital, baptisé « Jardin de soi ». Une subtile référence littéraire qui se joue de l’étymologie autour du jardin secret (celui que l’artiste porte bien ancrée en elle), du jardin d’Eden (ce côté paradisiaque qu’elle souhaite procurer à ses aficionados lors de ces précieux instants partagés sur scène) et du simple jardin botanique, où éclosent de belles pépites, ces pétales de roses qui prennent l’apparence de chansons superbement distillées, formant d’incomparables bouquets de fleurs à l’envoûtante beauté.

Ensuite, parce que pour la première fois, la chanteuse se met à nue. Par le truchement de ses textes et compositions. Christelle LOURY, femme rebelle mais aussi femme conquérante dans ce milieu artistique parfois machiste revendique les atours de la féminité. Les conditions de celles-ci au cœur d’une société où elles sont de plus en plus malmenées…

Fraîches, incisives, narratives : ces chansons qu’elle a su élaborer patiemment en prenant le  temps de la réflexion et du phrasé juste évoque l’amour, le quotidien de l’existence, la vie, tout simplement. L’auteure flirte aussi avec des thèmes plus actuels comme l’environnement.

Le calibrage hors pair d’instrumentalistes de métier

L’inaltérable compagnon de route musicale, pianiste et arrangeur de son état, François MAGNIER officiera de manière prépondérante derrière le piano. Lui, le musicien qui a collaboré avec Michel LEGRAND, Robert HOSSEIN et Luciano PAVAROTTI. Excusez du peu, mais l’artiste de l’Yonne sait s’entourer de réelles pointures pour porter haut son niveau de prestation scénique. Christelle a choisi de confier les notes de basse à un ancien partenaire du regretté Didier LOCKWOOD, Flavio PERRELLA.

Leader du groupe « BUZZTOWN », le guitariste Hugues RENAULT régalera le public de sa virtuosité, en égrenant les notes avec dextérité technique. Quant au batteur et percussionniste, qui complète ce quatuor, Jean-Baptiste PINET, il est issu de la grande famille des musiciens de jazz. Autant le dire : c’est  un surdoué des fûts et des toms.

Et le public, dans tout cela ? Outre le principe naturel de venir applaudir l’artiste pour la qualité de sa prestation, il aura lui aussi un rôle essentiel à interpréter. En parfaite osmose avec la philosophie et le concept participatif de ce spectacle.

Une petite carte lui sera remise avant le show. Ce document servira à cocher les préférences musicales de chacun. Les morceaux les plus plébiscités par l’auditoire devant constitués ensuite la liste de chansons qui figurera sur l’enregistrement public. L’album, soit sous la forme d’un CD, soit disponible en téléchargement sur le numérique, permettra de prolonger ces instants de magnificence culturelle dont on ne se lasse jamais.

Christelle LOURY en concert au théâtre de Sens le 15 décembre 2018 à 16 h et à 20h30.

Réservation : 03.86.83.81.00.

Site : www.theatre-sens.fr

 


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