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Et maintenant ? Que faire ? Beaucoup d’argent a été perdu en bourse en très peu de temps. Une seule interrogation : quelles perspectives pour l’avenir ? Il est nécessaire de cesser les polémiques et de visualiser celui-ci avec réalisme. Mais, avec un peu plus d’optimisme malgré ce paysage apocalyptique. L’histoire jugera les erreurs des uns et les aberrations des autres. La crise économique, on peut parler de récession, est déjà présente. Le krach boursier prolonge les convulsions économiques. La bourse plonge, le pétrole s’effondre, l’or chute et l’immobilier est rempli d’incertitudes…

TRIBUNE : Où mettre son argent ? Nous insistons sur la béatitude du financier sage : bienheureux le détenteur du Livret A ! A la différence de 2008, la crise d’aujourd’hui est d’abord économique.

La bonne question à se poser est la suivante : j’ai besoin de quoi ? Un complément de ressources ? Donc, il me faut un placement qui rapporte des intérêts, sans aucun risque. Un capital pour l’avenir et dans l’immédiat ? Je n’ai pas besoin de complément de revenus ? Donc, il faut opter pour un placement qui ne rapporte rien…d’autre que le maintien du pouvoir d’achat de mon capital ! L’erreur permanente faite par les salariés est de prendre une fiscalité sur des intérêts dont ils n’ont pas besoin.

Quant au troisième objectif de l’épargne, il est, rappelons-le, la facilité de la transmission de mon patrimoine vers mes descendants. Imaginons simplement un épargnant qui souhaite solder un placement retraite aujourd’hui. C’est tout bonnement impossible puisque cela n’engendrera que des pertes.

La retraite par capitalisation est à proscrire, tout comme l’assurance-vie. Sauf si on doit à tout prix obtenir des liquidités : il ne faut pas vendre les valeurs en chute libre (les portefeuilles de titres, les SICAV, FCP, SCPI…).

Dans un premier temps, il est préférable de suspendre les versements mensuels vers ces placements à hauts risques ! L’orientation de l’épargne, c’est l’objectif assigné. Observons de cette constante : la rentabilité élevée d’un placement s’accompagne d’un risque élevé.

 

Des placements à réaliser avec sagesse et discernement…

 

Ceux qui proposent des placements à 12 ou 15 %, alors que sur les marchés on trouve des taux négatifs, sont des escrocs ! Les placements purement bancaires rapportent peu. Soit, mais ils sont sans risques. Si l’on veut protéger son épargne : la chute de l’or est de courte durée et on peut estimer que les cours repartiront à la hausse.

Certains spécialistes pensent qu’acheter l’once d’or en dessous de 1 400 dollars US, c’est faire une bonne affaire pour l’avenir. Et si ma banque venait à faire faillite ?

Retenons que les comptes de chèques sont garantis jusqu'à 100 000 euros, par personne et par banque. Si vous avez 250 000 euros : optez pour la formule suivante, ouvrez trois comptes dans trois banques différentes. L’assurance-vie est garantie jusqu’à 70 000 euros par personne et par compagnie. La première démarche pour les plus jeunes est d’acheter avec du crédit, sa résidence principale.

Dans l’avenir, les banques seront plus restrictives dans l’octroi des prêts. A la différence de 2019, elles vont se figer sur la règle de remboursements inférieurs au tiers des revenus de l’emprunteur.

Certains conseillers proposent d’acheter en bourse, d’acquérir des options de vente… La sagesse doit conduire à fuir, pour l’instant, tout placement en lien avec les marchés financiers.

Faire confiance aux conseillers financiers des banques requiert de la modération, voire de la prudence ! Au niveau des réseaux, l’expertise juridico-financière des conseillers de clientèle est à écouter par deux fois. 

Un boulanger n’est pas nécessairement un excellent pâtissier et un spécialiste de la confiserie et du chocolat. Pourtant, il propose à ses clients l’ensemble des produits liés à ces spécialités !

Idem pour la banque : on propose des produits bancaires, financiers, d’assurances, d’assistance en sécurité des personnes et des biens, du téléphone mobile, du service de conseils fiscaux et de transmission de patrimoine, sans une compétence éprouvée dans tous ces domaines. Demain, ils nous proposeront peut-être des masques et du gel hydro allergénique !

 

Vivre en autarcie ne serait-il pas recommandable à l’avenir ?

Pour tous les aspects de la transmission du patrimoine, il est impératif de faire confiance au notaire !

Alors, « Adieu, veau, vache, cochon, couvée… comme le disait Perrette munie de son pot de lait dans l’une des fables de Jean de LA FONTAINE ? Pas forcément. On peut imaginer une relocalisation d’un patrimoine emprunt, de bon sens, vers davantage de sécurité, d’autonomie sans le stress de la fluctuation des cours de la bourse.

Visualisons une propriété (plus ou moins importante) avec une surface boisée (fabriquer ses propres granulés de bois aux fins d’alimenter sa chaudière), un maximum de panneaux solaires, un verger (autonomie fruitière), un grand potager (réalisation de conserves stérilisées), un puits, un étang pour le poisson, des poules (qui ne seront surtout pas de luxe !)…, ne serait-ce point le rêve ?

Bref, pouvoir vivre en autarcie, au cas où ? Après la crise du coronavirus, plus rien ne sera jamais comme avant ! Donc, rappelons-nous la formule chère à l’humoriste Pierre DESPROGES : «  L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense donc tu suis » ! » ! A ne jamais oublier de nos esprits !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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L’heure est au rassemblement. A la concertation, aussi. Mais surtout à l’unité. D’une seule et même voix, l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM) ainsi que trois organisations syndicales représentatives (CFDT, CFE-CGC, Force Ouvrière) se mobilisent pour assurer les modalités d’une reprise progressive des activités industrielles dans des conditions sanitaires optimales…

AUXERRE: Prendre ses responsabilités, c’est l’affaire de tous. Chacun le sait. Dans la filière industrielle, l’initiative initiée par l’UIMM et trois organisations syndicales représentatives (CFDT, FO et CFE-CGC) n’a d’autre objectif que de remettre l’appareil industriel en route. Après quelques moments de flottement, survenus en toute logique la semaine dernière.

Il est vrai que face à l’inquiétude croissante liée au contexte si étrange de la pandémie virale, et après avoir observé une légère dichotomie dans les discours officiels, les quatre alliés de circonstance avaient pu observer le ralentissement, voire la cessation partielle ou totale des activités sur le territoire. Mais, il est essentiel que la vie économique et sociale de la Nation soit restaurée. Dans le droit et le respect sanitaire que chaque salarié peut attendre et espérer.

Comme le précise Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie, « il en va de l’avenir de notre pays et de notre industrie ainsi que la préservation des emplois ».

Conséquence : l’IUMM et ses partenaires syndicaux demandent aujourd’hui que les entreprises identifient en priorité les activités vitales nécessaires à leur fonctionnement, à celles des filières utiles au pays, ainsi que celles intra-filières.

 

 

 

Le respect des consignes pour garantir la sécurité dans le travail…

 

« En concertation avec les salariés et leurs représentants, nous demandons expressément que les entreprises adaptent scrupuleusement leur environnement de travail en mettant en place les mesures organisationnelles, collectives et individuelles, qui facilitent la sécurité sanitaire de tous, ajoute Claude VAUCOULOUX, c’est-à-dire la mise en pratique des distances de sécurité, les gestes barrières, la mise à disposition d’équipements individuels (gants, masques…), de produits désinfectants, du lavage des vêtements de travail, voire d’une nouvelle organisation dans le travail… ».

Sachant que ce plan de prévention est adaptable et suit l’évolution de la situation au jour le jour. Jugées indispensables, ces dispositions permettent selon les quatre partenaires de créer des conditions favorables d’un retour progressif à l’activité.

En conformité avec les instructions qui émanent des ministères de la Santé et des Solidarités, et du ministère de l’Intérieur.

« Notre objectif est d’assurer la sécurité de tous afin de permettre à chacun de retrouver la confiance et la sérénité nécessaires pour travailler, conclut le délégué général de l’UIMM. L’industrie doit, dès que possible et dans de bonnes conditions sanitaires, retrouver un niveau d’activités satisfaisant dans l’intérêt de l’ensemble de nos concitoyens… ».

A court terme, la résorption des difficultés dans lesquelles notre pays se trouve à l’heure actuelle en serait grandement facilitée. Bref : ce plan d’action commun est plus que jamais l’affaire de tous…

 


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Avant que ne tombe le couperet définitif du confinement qui paralyse depuis la totalité ou presque de l’Hexagone dans sa lutte contre le prédateur viral, l’emblématique journaliste sportif de CANAL + faisait une halte remarquée au lycée des métiers Vauban à Auxerre. Histoire d’honorer l’invitation lancée par les responsables de l’association AJA (voir notre article à cet effet) et d’échanger quelques mots avec Capucine VIGEL, hôte pédagogique des lieux !

AUXERRE : Féru de littérature plutôt que de chiffres et de statistiques, le présentateur vedette du « Canal Football Club » s’est immergé le temps d’une assemblée générale (celle de l’AJA Association) où il devait intervenir en phase de conclusion dans l’antre reconnu au plan national de la filière des métiers de bouche et de l’hôtellerie de l’Yonne. Soit le lycée des métiers Vauban.

Un cadre inhabituel pour accueillir le « Monsieur foot » de la chaîne cryptée qui profitait de son déplacement depuis la capitale pour saluer ses amis auxerrois (Francis GRAILLE, Guy ROUX…).

Avant d’évoquer, après coup, les facettes techniques de son documentaire, « C’est pas grave d’aimer le football », dont la projection in situ fit office de fil d’Ariane avant un débat des plus cordiaux entre spécialistes du ballon rond.

Ce fut aussi l’occasion pour le journaliste, natif de Clermont-Ferrand, de découvrir avec beaucoup d’intérêt l’établissement scolaire que lui présentèrent la directrice des lieux, Capucine VIGEL, et son responsable adjoint, Olivier PEREIRA.

Pour la postérité, et à l’heure du verre de l’amitié avant que le commentateur sportif aille déguster quelques produits du terroir, le président de l’AJA Association, Alain GEHIN, eut la géniale idée d’offrir leur maillot à ces différents interlocuteurs. Histoire de poser avec le sourire pour une photographie qui fera toujours le buzz sur les réseaux sociaux !

 


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Certes, le secteur des travaux publics et du bâtiment continuera après accord avec les ministères concernés à assurer le déroulement des chantiers dans le cadre du service public. Mais, pas à n’importe quel prix ! Faisant état, il y a quelques jours, de sa colère et de sa stupéfaction, le président régional de la Fédération des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, réclamait davantage de protection pour les salariés…

DIJON : Irrecevable ! Inconcevable ! Voire irrespirable, aussi, ce souffle de tension qui a éclaté au grand jour le 19 mars dernier, face à l’envolée de boutique des principaux acteurs de la filière du BTP.

Alors que le président de la République demandait instamment à la population de rester confinée chez elle afin de juguler tant bien que mal les effets dévastateurs de la pandémie de ce coronavirus ; dans le même temps, les ministères ayant un attrait direct à la chose économique intimaient l’ordre à celles et à ceux de nos concitoyens pouvant se rendre sur leur lieu de travail de le faire coûte que coûte.

En ligne de mire : le secteur des travaux publics et du bâtiment était l’un des premiers concernés. Car, évidemment, le télétravail ne pouvant s’adapter qu’à de rares exceptions à cette corporation.

Dans un communiqué de presse qu’il devait rendre public le 19 mars, le président de la FRTP (Fédération régionale des travaux publics), Vincent MARTIN s’insurgeait vertement contre ce double langage peu académique.

« Les chefs d’entreprises sont responsables et veulent assurer la protection des salariés et de leurs familles, et participer ainsi à la mobilisation collective pour enrayer la pandémie... ».

Bref, une position mettant en exergue la prise de conscience solidaire des entrepreneurs face aux risques encourus par leurs salariés.

Se refusant de mettre en danger leur personnel, le porte-flambeau de la FRTP demandait au gouvernement, à l’instar des responsables nationaux et régionaux d’autres fédérations professionnelles comme la CAPEB et la FFB, de suspendre les chantiers immédiatement et ce, pour une durée initiale de quinze jours. L’initiative pouvant être étendue à un mois au minimum…

 

 

 

De nouvelles dispositions seront détaillées dans les prochains jours…

 

Au terme d’échanges soutenus ces jours-ci, les représentants des entreprises du BTP et du gouvernement devaient trouver un terrain d’entente, s’accordant sur plusieurs principes permettant de renforcer, dans les prochains jours, la continuité de l’activité du secteur et la poursuite des chantiers.

Différentes mesures devraient être détaillées dès cette semaine pour accompagner les professionnels du secteur.

Dans le cas des chantiers de travaux publics, comme par exemple les infrastructures de transport ou les travaux de voirie, les grands maîtres d’ouvrage au niveau national et les préfets au niveau local coordonneront et prioriseront les chantiers à poursuivre ou à relancer.

Dans le cas des chantiers très complexes, un délai pourra être nécessaire afin de définir des procédures à adaptées. De même, une attention particulière sera portée pour les chantiers au domicile des particuliers. Surtout lorsque ces derniers sont présents, ce qui est majoritairement le cas en cette période de confinement.

Santé et sécurité deviennent donc les mots d’ordre prioritaires à respecter désormais pour les intervenants de ce secteur. Les dispositions mises en place d’ici peu avec l’assentiment du gouvernement seront-elles suffisantes pour apaiser la colère des fédérations professionnelles et rassurer leurs salariés ?

 

                                                                                                                                                                                                     


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Les stratégies prises par les staffs décisionnels des constructeurs automobiles sont uniformes et se dévoilent les unes après les autres. Après RENAULT et PSA, c’est au tour du japonais TOYOTA de fermer boutique et de suspendre la production de ses véhicules dans ses usines européennes en raison de la pandémie galopante de coronavirus.

PARIS : L’impact économique et social sera indéniable pour le fabricant automobile nippon. Mais, au vu des perspectives de ventes à court terme et des difficultés logistiques à maintenir en état les chaînes d’approvisionnement, il n’existait pas d’autre alternative pour le constructeur que d’arrêter temporairement ses activités. D’autant que la sécurité et la santé des employés guident avant toute chose les choix de l’entreprise.

Voulant faire preuve de réactivité face à la propagation du coronavirus sur le Vieux Continent, TOYOTA a donc organisé jusqu’à nouvel ordre la suspension progressive de ses activités, notamment sur ses sites de production en Europe.

L’arrêt des usines du groupe asiatique est entré en vigueur le 18 mars pour une durée indéterminée. Cela concerne l’unité de production implantée dans la région de Valenciennes (Onnaing). Mais aussi les ateliers de fabrication de Grande-Bretagne, de Pologne, de République Tchèque et de Turquie.

Cependant, les activités indispensables telles que la distribution de pièces pour l’entretien et la réparation des véhicules (ceux de la sécurité publique) sont maintenues.

 

 

 

 

En parallèle, la direction du groupe assure toujours des activités sur les projets portant sur le lancement de nouveaux modèles. En marge du redémarrage.

Depuis l’archipel, d’autres informations ont par ailleurs précisé que « le maintien des opérations dans le réseau de réparateurs et de distributeurs (ventes véhicules neufs et activité après-vente) sera évalué en fonction de la situation de chaque pays, voire de chaque région ».

Précisons que dans les pays où des mesures de confinement ont été adoptées par le gouvernement (ce qui est notre cas dans l’Hexagone), les show-rooms des concessionnaires ont été totalement ou partiellement fermés.

Toutefois, la continuité de service des concessionnaires demeure possible par voie électronique ou téléphonique selon les cas.

 

 


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