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Le D-Day pour le « Two Way » : Arnaud CHASSERY traverse la Manche à la nage pour une noble cause…
juillet 01, 2019Un texto de quelques lignes qui tombe sur le smartphone juste avant de passer à la postérité. Il est 9h13 sur les côtes britanniques. Le nageur de l’extrême Icaunais prévient l’ensemble des médias et ses partenaires qui le suivent pas à pas au détour de ses ultimes préparatifs de l’imminence de son départ. Ce lundi 01er juillet correspond donc au jour J ! Dans moins d’une heure, Arnaud CHASSERY se lancera dans l’eau virevoltante et froide de la Manche pour y accomplir une double traversée du Channel. Un pari fou et audacieux que le sportif de l’Yonne appréhende avec l’enthousiasme d’un athlète de vingt ans auréolé d’une foi inébranlable en sa bonne étoile…
SHAMPIRE HOE (Angleterre) : Pas de report, cette fois-ci, pour la tentative de double traversée de la Manche à la nage du sportif de Joigny : Arnaud CHASSERY. Le courageux garçon s’est élancé de la côte britannique ce lundi 01er juillet. Il était 10h45, heure locale, quand le sportif de l’extrême s’est enfin jeté à l’eau après qu’il ait rongé son frein, en attendant les conditions optimales pour vivre sa nouvelle aventure maritime.
Dame Météo s’est finalement montrée clémente avec celui qui par le passé a déjà réussi d’autres défis impressionnants aux quatre coins de la planète. On se souvient de l’ascension extraordinaire du Kilimandjaro en Tanzanie aux côtés de l’élu handicapé, Yann JONDOT. Ou de l’inénarrable exploit vécu avec Philippe CROIZON dans l’ambitieux projet de rallier les cinq isthmes continentaux à la nage !
Ce lundi 01er juillet, la fenêtre s’est donc ouverte avec tout ce que cela implique en termes de conditions favorables à ce nouvel exploit. Peu de vent et visibilité optimale malgré la fraîcheur persistante de l’eau : la Manche ne fait pas de cadeau puisqu’elle a accueilli le nageur dans son élément aquatique à 15° !
Cap vers Wissant !
Toutes les trente minutes, le service de ravitaillement et de surveillance du nageur se concentrera avec vigilance sur le suivi de cette opération d’exception. Le « Two Way », la double traversée, n’est pas chose aisée en vérité. Arnaud CHASSERY devra parcourir environ 120 kilomètres pour près de trente heures de nage non-stop dans un environnement quasi hostile, au beau milieu des porte-containers, des cargos et autres méthaniers. Sans omettre les courants qui peuvent jouer de vilains tours au sportif.
Ce défi représente aussi un subtil moyen de communication pour faire connaître la cause sociétale que soutient Arnaud CHASSERY. Le nageur s’est en effet engagé dans cette aventure peu commune pour devenir le porte-voix des personnes en situation de handicap. Plus particulièrement, les jeunes qui souffrent de troubles comme la dyslexie, la dysphasie ou la dyspraxie. En concentrant ses efforts au profit de l’association ALOPIAS.
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Le constructeur lance une nouvelle motorisation essence : MAZDA réussit là où d’autres se cassent les dents…
juillet 01, 2019L’identité de ce nouveau moteur à allumage par compression fait penser à l’un des personnages androïdes qui évolue dans la série culte de la « Guerre des Etoiles ». SkyActiv-X ! Pourtant, cette motorisation novatrice n’est pas le fruit de la science-fiction ! Elle a pour vocation d’équiper les nouvelles Mazda 3 et les CX-30, lancées dès le mois de septembre, et d’optimiser leurs performances.
PARIS : Alors que la plupart des constructeurs mondiaux se jettent à corps perdu et à grand renfort d’investissements dans de nouvelles formes de motorisation (hybride, électrique…), la marque japonaise se distingue en prenant un chemin diamétralement opposée à celui emprunté par ses condisciples.
Elle mise tout, ou presque, sur un moteur à essence qu’elle qualifie déjà de révolutionnaire : le « SkyActiv-X ».
Cet assemblage de technologie et de mécanique suscite bon nombre d’interrogations. Voire de convoitises parmi les acteurs de la filière automobile. Il est d’ores et déjà disponible sur la nouvelle Mazda 3. Celle-ci devient ainsi le premier véhicule de grande série à disposer de ce type de motorisation : c’est-à-dire un bloc essence à allumage par compression.
Objectif avoué de l’ingénierie nippone : gagner davantage de couple à l’aide de ce moteur que sur leurs équivalents alimentés en essence. Le tout, en consommant moins, il va de soi !
D’une puissance de 180 chevaux à 6 000 tours minute, offrant un couple maximal de 224Nm à 3 000 tours minute, ce bloc moteur confirme l’appétence de la marque pour ces technologies où règnent encore les combustibles traditionnels.
Côté consommation, tout en étant respectueuse de la réglementation actuelle, la marque affiche un score de 4,4 l/100 km. Quant aux rejets de Co2, ils se situent en dessous de 100g/km.
Bref, une performance très appréciable pour les distributeurs de la Mazda 3 et du CX 30 qui bénéficieront de ce moteur.
La nouvelle Mazda 3, pourvue de cet additif dont on parle tant, arrivera en concession dès la prochaine rentrée de septembre. Suscitant l’enthousiasme des professionnels. Ils ne manqueront pas, par ailleurs, d’assurer le lancement officiel de ces produits de manière visible.
Présent la semaine dernière à Varsovie pour assister à la convention européenne du constructeur japonais, Yves JEANNIN, dirigeant du groupe éponyme sur les départements de Seine-et-Marne, de l’Aube et de l’Yonne, se dit impatient de commercialiser ce petit bijou fait de modernité et de performance. Le lancement de ces nouveaux véhicules dotés de cette motorisation supposera des opérations de marketing et de communication pour le groupe.
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La campagne de notoriété s’est avérée efficace : la ville de Sens en haut de l’affiche dans le métro…
juin 29, 2019La toute première campagne de marketing territorial instituée par la Ville de Sens en région francilienne a fait beaucoup parler d’elle au moment de sa diffusion. De très belle facture au niveau de l’esthétisme et de la recherche iconographique, les affiches, au nombre de trois, choisies à la suite d’un vote par les habitants de la localité devaient habiller sept cent cinquante emplacements dans le métro. Illustrant différents aspects de la qualité de vie que l’on trouve à Sens, elles ont renforcé la notoriété de Sens qui dispose de beaucoup d’atouts à faire valoir. Tant au plan culturel et patrimonial, que dans le domaine touristique et amélioration du cadre de vie…
SENS : Nom de code stratégique de cette campagne publicitaire réussie : « Sens Intense ! ». Durant plusieurs jours, les voyageurs qui empruntent d’ordinaire les lignes de la RATP dans la capitale de l’Hexagone ont eu le loisir de se familiariser avec les bienfaits de la ville septentrionale de l’Yonne, ses opportunités touristiques et surtout la qualité de son art de vivre. Bref, d’en connaître davantage sur les plaisirs offerts par une agglomération distante d’une petite centaine de kilomètres de leur grande métropole.
Les slogans incitaient vraiment à la découverte et à la curiosité : « 360 ° de patrimoine à une heure de Paris ». Le visuel de cette première affiche dévoilait la richesse du patrimoine de la ville icaunaise. « 37 kilomètres de douceur à une heure de Paris ». Une manière réussie et champêtre de rappeler que les chemins de halage du bord de l’Yonne étaient propices à de belles balades en vélo. La troisième, enfin, rappelait la gastronomie et ses succulences : « 102 grammes de convivialité à une heure de Paris », avec comme point d’orgue photographique, une énorme gougère absolument appétissante qui s’offre au regard gourmand des usagers du métro…
Conçue par les services ad hoc de la ville, en accord avec les élus, la campagne de sensibilisation de la ville icaunaise a atteint ses objectifs. Elle a généré plus de 100 000 vues parmi la population de la capitale qui ne pouvait manquer d’apercevoir l’un des panneaux d’affichage devant l’accueillir.
Le projet se voulait mobilisateur en amont de sa conception. Il l’a été. Un scrutin était proposé aux Sénonais durant deux mois. Ceux-ci s’exprimèrent sur le choix de trois affiches parmi sept possibilités devant couvrir les panneaux d’affichage placés dans le métro parisien.
Déclinée du 29 avril au 05 mai, cette campagne novatrice au plus près de points névralgiques de la capitale a su faire mouche. Logique quand on sait que quelque trente millions de personnes visitent chaque année l’une des plus belles villes du monde.
Or, Paris perd chaque année l’équivalent de 12 000 personnes au profit de la proche banlieue ou de la province. Soit en proportion la population de Sens qui quitte la capitale tous les deux ans. Un phénomène qui ne date pas d’hier et qui selon l’INSEE devrait perdurer jusqu’en 2025.
Permettre le réveil de la ville en promouvant son attractivité…
Soucieuse de valoriser l’image de marque et la qualité de vie proposée par la ville, la municipalité de Sens s’est lancée dans une vaste campagne grand public pour affirmer son identité. Et surtout sa volonté de pouvoir accueillir de nouveaux résidents. Ainsi est né le concept de marketing territorial : « Sens Intense ». Il a suscité un commentaire de l’édile, Marie-Louise FORT ; lors de sa présentation officielle.
« Grâce à cette première campagne d’envergure nationale, nous prenons date avec le réveil de notre ville au plan de son attractivité. Sens possède de sérieux atouts à faire valoir : nous avons donc opté, à l’aide de cette nouvelle étape de communication, d’en traduire l’expression la plus fine de son caractère… ».
Cette phase novatrice de communication englobe la création d’une marque de territoire, le fameux nom de code « Sens Intense », la réalisation d’un film promotionnel (celui-ci a été visionné plus de 60 000 fois), un film conçu en format court et qui se destine à alimenter les réseaux sociaux, la mise en place d’un compte Instagram. Sans omettre, la fameuse campagne promotionnelle dans le métro de la capitale.
A l’avenir, l’opération pourrait se réitérer. Peut-être en la mutualisation afin d’en minimiser les coûts, pourtant maîtrisés.
Un article réalisé en partenariat
avec la Communauté du Grand-Sénonais et la Ville de Sens…
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La confiance, l’atout gagnant à accorder à ses équipes : une stratégie indiscutable pour Solenne DUTHOIT…
juin 27, 2019Riche d’expériences en communication d’entreprise, cette spécialiste de la relation publique possède son leitmotiv intérieur : « il faut laisser les idées venir de l’équipe en lui faisant confiance… ». Il est vrai qu’une bonne dose de confiance ne peut qu’exalter l’enthousiasme de vos collaborateurs et la manière de manager une équipe. En la renforçant. Voire en la solidifiant. Bref, c’est un conseil simple sur le papier. Pourtant, par quels moyens peut-on l’appliquer raisonnablement au quotidien ? Dirigeant de www.deciderjuste.com, notre contributeur Philippe CARPENTIER qui accompagne les entrepreneurs lors de moments clés de leur existence a rencontré la jeune professionnelle. Un entretien paru dans son blog « 16h44 », où son interview nous procure des éléments de réponse précis…
TRIBUNE : Que vous vous trouviez en Bourgogne, en Franche-Comté, en Ile-de-France, en Touraine ou encore dans les Hauts-de-France, il est probable que vous ayez côtoyé un jour ou l’autre Solenne DUTHOIT. Sa riche expérience en communication d'entreprise, en relation presse, en innovation ou dans le secteur du logement social lui permet aujourd'hui de transmettre à son tour son savoir managérial. Avec une décennie d'accompagnement de structures para-publiques ou privées à son actif, Solenne DUTHOIT a su se forger sa vision panoramique du management tel qu'il se pratique en France. Elle s'est confrontée aux spécificités de chaque territoire. Elle nous partage aujourd'hui sa conviction : un management fondé sur la confiance génère une équipe forte et un fonctionnement durable et solide. Explications !
Solenne, que se passe-t-il lorsqu'on mise sur la confiance comme principe de management ?
La confiance doit permettre au manager de laisser les idées émergées de son équipe. Elles sont plus riches, elles rendent le groupe plus fort. Les individus sont plus épanouis et le management devient plus souple. Ses projets choisis que réalisent les membres de l'équipe leur tiennent à cœur. Ils y croient d'autant plus qu'ils sont très souvent les mieux placés pour savoir ce qui est bon pour le client ou pour le produit. Si on accompagne son équipe avec cet angle de vue, en lui offrant une liberté d'action, alors elle se sent supportée au premier sens du terme – de l'anglais to support : soutenir – c'est-à-dire coachée, accompagnée et soutenue par son manager. Par ailleurs, le manager est renforcé dans son rôle, dès lors qu'il injecte des signes de reconnaissances sincères envers les membres de son équipe.
Mais si en tant que manager, je suis convaincu que mon équipe n'est pas assez autonome pour fonctionner de cette façon, comment puis-je aller dans cette direction ?
Déjà, il faut identifier les raisons de cette méfiance, qui peuvent être multiples. C'est précisément le job du manager de comprendre ce qui se joue. Puis, de mettre en place le terreau qui permettra aux « graines » de la confiance de germer. Ensuite, il faut envisager des hypothèses. Peut-être que le manager ne donne pas les bons signaux de confiance ou de droit à l'erreur, figeant l'équipe dans la retenue et l'empêchant de prendre des initiatives. Peut-être que ça fait tellement longtemps que l'équipe n'a pas été sollicitée qu'elle ne sait plus le faire. Il y a également le fait que si l'équipe n'a pas été sollicitée depuis longtemps sur la dimension de la créativité, les collaborateurs ne savent plus le faire.
Peut-être, enfin, que le manager n'est pas à l'aise avec la remise en question et qu'il lui faut travailler ce goût du risque, le dépassement de ses freins personnels ?
Avec un peu de formation et d'envie, le processus peut s'enclencher très vite. La formation externe peut être une aide et jouer le rôle de déclencheur. Il ne faut pas non plus sous-estimer l'autoformation de l'équipe qui apprend d'elle-même si les conditions sont fécondes. Il y a des cas dans lesquels le manager lui-même, se laisse transformer par son équipe...
Quels obstacles pourraient amener un manager à ne pas choisir cette voie ?
Je vois trois poids qui pourraient peser sur les épaules du manager et le freiner dans cette démarche. Le premier, c'est celui de la culture de l'entreprise, qui, si elle est fortement hiérarchisée va inciter à l'immobilité. Les structures hiérarchiques lourdes, sans volonté forte de la gouvernance, ne favorisent ni la remise en question, ni l'innovation. Le second tient à la personnalité du manager qui peut avoir des freins personnels et une peur de faire confiance. La solution, c'est d'avancer de manière progressive en se rassurant avec un cadre minimum. Le troisième relève du goût du risque. Relâcher son contrôle, faire confiance, c'est un saut dans l'inconnu qui peut faire peur mais aussi s'avérer tout à fait grisant. En fait, lâcher prise amène presque toujours à un renforcement de l'équipe. Et c'est bien sûr plus facile lorsque la gouvernance de l'entreprise y est associée, mais l'équipe a sa propre marge de manœuvre, dès lors qu'elle est motivée.
En conclusion, que dites-vous aux managers qui hésitent à franchir le pas ?
Que même dans des contextes très hiérarchisés, quand on instaure un climat de confiance, l'équipe joue collectif. Qu'ils vont voir des collaborateurs se transformer, souvent de façon significative. Qu'ils vont voir émerger des initiatives pertinentes, innovante, parce que chaque membre va développer son sens des responsabilités. Qu'ils verront disparaître peu à peu les formule gratuite (« ce n’est pas moi qui l'avait décidé… ») la bonne foi et l'entraide se développer. Travailler les uns avec les autres devient plus facile lorsqu'il n'y a pas la crainte de la sanction, et le collectif est à la fois plus efficace et plus riche. Bref, je leur dirais que leur équipe va devenir plus forte, plus compétente et plus autonome ! Enfin, je leur dirais que leur rôle de manager va lui-même évoluer, qu'ils pourront se consacrer à d'autres missions comme le développement de nouveaux produits, de nouveaux partenariats. Qu'ils vont s'épanouir également. Je n'ai jamais vu une équipe en vouloir à son manager de l'avoir laissée évoluer et s'épanouir. Au contraire, le respect qui se construit dans cette relation est solide et durable...
L'Application 16h44
En tant que manager :
J'arrête de monopoliser la parole en réunion, mon temps de parole est égal à celui des autres membres de mon équipe.
Je laisse l'équipe (dont je fais partie) prendre en main la réunion et définir l'ordre du jour. J'installe un tableau où chacun peut inscrire les idées, thèmes et temps de parole associés.
Je décrypte et j'accueille positivement les initiatives sous-jacentes ou proposées par les collaborateurs.
En tant que membre de l'équipe :
J'ose proposer cette année à mon manager une initiative ou un projet nouveau que je vais mettre en œuvre et qui apporte à l'équipe comme à moi-même.
Philippe CARPENTIER
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Le site « Au Plaisir des Mets » des FESTINS dévoile ses secrets de fabrication à Gérard LARCHER…
juin 27, 2019Les retrouvailles entre Gérard LARCHER et Didier CHAPUIS ont été chaleureuses. Forcément : le souvenir de la précédente visite du troisième personnage de l’Etat demeurait toujours vivace dans les mémoires respectives. A l’époque, ce dernier n’avait pas encore endossé la vêture de président du Sénat. Même si l’investissement de l’ancien élu de Rambouillet empruntait déjà une tangente intéressante sur l’échiquier national. D’ailleurs, cette immersion antérieure au sein de l’entreprise icaunaise l’avait conduit à découvrir les infrastructures historiques des FESTINS à CHEMILLY sur Yonne. Cette fois-ci, il n’en fut rien. Evelyne et Didier CHAPUIS réservaient à leur hôte de prestige un aperçu complémentaire de leur savoir-faire professionnel en l’accueillant sur le site, plus récent, « Au Plaisir des Mets ».
APPOIGNY : Affable, ayant le contact facile, le président du Sénat possède ce sens inné de la relation humaine. Et le montre bien, lors de ses déplacements. Arborant un large sourire, il a pris soin de saluer chacun des collaborateurs du groupe FESTINS lors de sa découverte du site du « Plaisir des Mets ». Un petit bijou de modernisme technologique au service d’une entreprise qui rayonne bien au-delà de ses frontières originelles.
Se remémorant son précédent passage dans cette structure (à l’époque le site des FESTINS à Chemilly), Gérard LARCHER, revêtu des habits de circonstance, multiplia les interrogations auprès de son guide et hôte du jour, Didier CHAPUIS, pour ne pas manquer le moindre détail des secrets de fabrication proposés in situ.
Organisée sur une plage horaire d’une soixantaine de minutes, la visite de la société, chère à Evelyne et Didier CHAPUIS depuis plus de 25 ans, permit à ces derniers de fournir les codes d’accès de leur mode opératoire au président du Sénat sur leur philosophie de l’entrepreneuriat.
Celle basée sur la prise de risques maîtrisée et la conquête de nouveaux marchés. Celle orientée sur les investissements nécessaires afin d’améliorer la productivité et la qualité tout en préservant l’humain. Celle qui se calque au quotidien sur la satisfaction d’une clientèle internationale et nationale, constituée de grands comptes de la restauration, des transports et du service.
A la découverte des particularismes du site professionnel…
Bref, le petit groupe de visiteurs – un aéropage de personnalités politiques composé des deux députés de l’Yonne (Guillaume LARRIVE et André VILLIERS), de la sénatrice Dominique VERIEN et des fidèles attachés parlementaires – progressa avec soif de découverte, en s’attardant dans chacune des pièces de la récente infrastructure puisque fonctionnelle depuis moins d’une décade.
Le site d’ « Au Plaisir des Mets » possède ses particularismes. Ici, la confection de mousses au chocolat qui se destineront ensuite à la consommation nationale. Là, la préparation des sandwiches et autres plateaux repas qui seront servis à bord de l’Eurostar ou du Thalys afin de sustenter les milliers de voyageurs les plus affamés.
Mention spéciale également pour le pôle pâtisserie et viennoiserie où s’affairent en permanence des préparateurs méticuleux. La cellule chaude, enfin, où se concoctent les plats cuisinés. Elle aura suscité beaucoup d’intérêt de la part des suiveurs d’une visite, certes réalisée au pas de charge (contraintes inhérentes à un agenda très chargé), mais très explicite sur l’approche professionnelle des responsables de l’entité.
Avant d’échanger longuement avec les acteurs de la force économique départementale, le président Gérard LARCHER félicita ses hôtes pour la qualité de leur accueil, leur réussite et surtout leurs sens aiguisés de l’entrepreneuriat. Existera-t-il à l’avenir un troisième volet formel dans cette relation qui s’est instaurée de manière épisodique entre la famille CHAPUIS et le président du Sénat ? Il n’est jamais exclu qu’une nouvelle visite s’organise autour de la venue du troisième personnage de l’Etat, curieux du développement économique sur notre territoire…
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