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Projet bénéficiant du label « Année européenne du patrimoine », les « Rencontres européennes des Villes jumelles d’Auxerre » focaliseront l’intérêt de bon nombre d’acteurs institutionnels, politiques et économiques du 13 au 16 septembre. Autour de la thématique, « quand le passé rencontre l’avenir », un programme riche en animations se déclinera en présence de plusieurs délégations étrangères dont celles des Allemands de WORMS et des Polonais de PLOCK. Des ressortissants du Bénin (OUIDAH) participeront également à ces échanges placés sous le sceau de la fraternité entre les peuples et la déclinaison de projets innovants à vocation culturelle, touristique, éducative et économique. Présidente de la Maison des Jumelages, de la Francophonie et des Echanges internationaux, Marité CATHERIN nous livre ses impressions à quelques jours de l’ouverture de ce premier rendez-vous.

AUXERRE : La ville d’Auxerre va accueillir ses cités jumelles, françaises et étrangères, dans le cadre de « Rencontres européennes ». Quels sont les fondements et les attentes de cette première manifestation dans l’Auxerrois ?

Cette première manifestation s’inscrit dans le cadre de la mission confiée par la ville d’Auxerre à notre association « La Maison des jumelages, des échanges internationaux d’Auxerre et la Maison de la francophonie Bourgogne Franche-Comté ». Elle tend à autant renforcer l’image de la ville à l’international, qu’à rendre visible cette dimension auprès des habitants de notre agglomération et à les inviter à venir participer à nos activités !

Quelles sont les délégations qui y prendront part ?

Nous accueillerons des délégations de Worms (Allemagne), Plock (Pologne), Saint-Amarin (France) et Ouidah (Bénin).

La thématique de ce rendez-vous international s’articule autour du patrimoine, du fait du calendrier où seront organisées les traditionnelles Journées en France. « Quand le passé rencontre l’avenir » en est le slogan. Expliquez-nous cette phrase à l’échelon de cet évènement…

Nous avons choisi ce slogan car il nous semble très connecté à notre époque, recouvrant à la fois le patrimoine matériel et immatériel, l’humain – ce sont des rencontres - et la dimension environnementale.

L’existence des jumelages date de l’après-guerre et la nécessité impérieuse de construire l’Europe dans la paix et la fraternité. Ce principe vertueux apparaît-il toujours comme un véritable enjeu aujourd’hui ?

Oui bien sûr, nous portons ces valeurs la paix et la fraternité. C’est une forme de l’engagement citoyen ! Mais, il existe des tensions actuellement en Europe qui nous invitent à cultiver des liens privilégiés entre Européens à travers ce type d’échanges.

La célébration du cinquantenaire des relations avec la ville de WORMS…

Le présent projet a été labellisé au plan national « 2018 Année européenne du patrimoine culturel ». Il vous a été décerné par la Commission européenne. En quoi votre dossier a séduit les membres de cette commission et par quels aspects ?

C’est l’aspect novateur de ce projet qui a séduit, je pense, la Commission européenne. Et la thématique, fil rouge de ces Rencontres, à savoir l’Economie du Patrimoine.

Comment résumeriez-vous à l’heure actuelle le dynamisme de ces jumelages qui permettent à Auxerre de rayonner en France et en Europe ?

Bien évidemment le dynamisme de ces jumelages varie selon les villes jumelles A la fois par l’implication des personnes qui les animent et également, il faut le reconnaître aussi, par le contexte politique des pays où se situent  nos villes jumelles.

Nous célébrerons ce week-end-là les cinquante ans de jumelage entre Auxerre et Worms, ville avec laquelle nous avons des échanges réguliers scolaires, associatifs, culturels, sportifs et avec laquelle nous envisageons des échanges économiques. Honnêtement, il faut dire que c’est moins facile en ce moment avec l’Angleterre dans le contexte du BREXIT !

Plusieurs acteurs institutionnels, économiques et associatifs ont apporté leur soutien à l’organisation de cet évènement. Quels ont été leur centre d’intérêt devant ce projet ?

La curiosité : être associés à une première ! Et la perspective d’amorcer des relations économiques pour les partenaires privés et publics…

Lorsque l’on pense jumelage, systématiquement on fait référence à la culture, la pratique de la langue, le sport, le folklore…Quid de l’économie qui fait toujours figure de parent pauvre de ce type d’initiative relationnelle ? Vous-mêmes, avez pris la décision en 2015 de vous doter d’une commission économique, organe intégré à votre structure associative. Quels sont ses objectifs ?

Effectivement, depuis deux ans, nous avons mis en place une commission économique qui a pointé l’importance de ce thème dans nos relations internationales dans un souci d’ouverture et de valorisation des atouts de l’Auxerrois. Ces premières Rencontres découlent directement de ces réflexions. Nous continuerons à promouvoir les langues – nous organisons tous les soirs des cours d’anglais, d’espagnol et d’italien -, la culture, le sport et le folklore pourquoi pas ! C’est la demande qui détermine notre offre…

Revenons aux trois jours intenses que vous avez concoctés avec la commission ad hoc qui gère ce dossier. Quels seront les points essentiels de ce programme de visite ?

Nous profiterons bien sûr des Journées du Patrimoine pour faire découvrir la ville lors d’une visite guidée par l’association « Weekend ludique ». Au-delà de cela, nous leur ferons apprécier le dynamisme d’entreprises locales, comme « Festins de Bourgogne », référence en gastronomie et en export, d’établissements de formation professionnelle avec le lycée des métiers Vauban et la Maison des Compagnons du Devoir. Nous leur ferons aussi déguster de bons petits plats et des vins de notre terroir !

Puisque le thème de ces « Rencontres » sera orienté autour du patrimoine, quels sont les monuments architecturaux que vous allez mettre en exergue lors du séjour des délégations internationales ?

La Préfecture nous fait le plaisir d’accueillir les délégations lors d’une visite privée le samedi matin. L’Abbaye Saint-Germain sera aussi à l’honneur car elle accueillera le colloque au cours duquel sera présenté par exemple son musée, ainsi que le Clos de la Chainette…

Une table ronde pour développer les initiatives économiques…

Le 14 septembre, une table ronde proposée à l’Abbaye Saint-Germain s’intéressera plus spécifiquement à l’économie du patrimoine. Qu’entendez-vous par là ?

Ce jour-là, à 15 heures, à l’Abbaye Saint-Germain, un colloque ouvert au public traitera spécifiquement de l’économie du patrimoine. Nous voulons mettre un coup de projecteur pour ouvrir le concept de patrimoine, ne pas le limiter aux vieilles pierres. Pour nous, c’est la valorisation du patrimoine immatériel, humain, bâti, numérique, artistique ou naturel. Des personnes ont marqué notre territoire comme l’abbé Deschamps et le Patronage laïque Paul Bert, devenu le club phare d’Auxerre l’AJA. Le patrimoine se doit d’être vivant et évoluer. Pour exemple la Grange de Beauvais, à l’origine élément économique agricole de l’Abbaye de Pontigny qui est animé aujourd’hui par une association ouverte aujourd’hui à l’agriculture biologique, et à des activités numériques et culturelles.

Peut-on allier précisément le développement économique à la nature même de bâtiments ou d’édifices chargés d’histoire ?

Oui bien sûr. Le tourisme en est le meilleur exemple. Rendre attractive la ville et son patrimoine est porteur de développement économique dans de nombreux secteurs d’activité. Une entreprise peut aussi décider de valoriser un élément fonctionnel de son activité. Par exemple, l’entreprise 110 Bourgogne a choisi de faire décorer ses silos par un artiste « graffeur » et en rendre un élément décoratif, en représentant un pêcheur en bord de l’Yonne…

A ce propos, existe-t-il de nouveaux projets de jumelage en perspective ? On pense parfois à la Hongrie, à des villes africaines (Bénin). Quelles conditions sont nécessaires pour optimiser une telle démarche relationnelle entre les peuples ?

Pourquoi pas un jumelage avec l’Espagne ? Des adhérents nous le demandent. Préalablement à un jumelage officiel, on étudie les centres d’intérêt de chacune des deux villes. Nous pouvons aussi mettre en place des partenariats thématiques, hors jumelages, comme nous l’envisageons avec la ville francophone du Bénin, Ouidah, présente lors de ces Rencontres.

Un mot sur le jumelage avec la ville bretonne de Roscoff : il semblerait que cet accord fusionnel soit au plus mal depuis plusieurs mois avec ce partenaire français. Qu’est-ce qui explique cette situation ? Comment y remédier ?

Au plus mal, il ne faut pas exagérer ! C’est en réflexion. Vous savez un jumelage, c’est une personne morale. Ca naît, vit, se développe, s’essouffle et peut disparaître. Tout dépend du contexte. Nous y étions récemment et les idées ne manquent pas pour relancer ce jumelage …

Parmi les réceptions organisées lors de ces « Rencontres européennes », celle concoctée par la Maison des Compagnons du Devoir retient l’attention. Est-ce un moyen de rendre un hommage à ce système qui encourage l’artisanat de haute facture ?

Oui à plus d’un titre. Ils sont adhérents de notre association. Ils sont jeunes et représentent l’avenir. Les Compagnons du Devoir sont de parfaits ambassadeurs d’un système de formation performant à des métiers artisanaux.

Ces « Rencontres 2018 » en appelleront-elles d’autres à l’avenir à Auxerre ? Quelles seront les résultantes de cet évènement pour notre ville ?

C’est en réflexion avec la commission pour un prochain événement en 2019.

Quand aux résultats de cet événement,  il est un peu tôt pour en parler. Rendez-vous en octobre !

A l’aune de cette nouvelle saison, comment voyez-vous la place des échanges internationaux et de la Francophonie au service du développement économique de notre territoire ?

Tout dépend de la façon dont les collectivités territoriales et les différents organismes entendent de se saisir de cette thématique. Sans leur soutien, nous association, nous ne pourrons pas aller plus loin !


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L’internationalisation représente une priorité essentielle pour les acteurs institutionnels et économiques de la région. Courant juillet, la Chambre de commerce et d’industrie régionale (CCIR), Business France, l’Agence économique régionale (AER) et le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté se sont réunis en présence du secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste LEMOYNE, pour entériner plusieurs conventions de partenariat favorables à l’ouverture vers le monde des entreprises. Une convergence d’esprit permettant de franchir un nouveau cap…

DIJON (Côte d’Or) : Chaque année, la Région consacre près de deux millions d’euros pour accompagner les entreprises dans les phases importantes de leur développement à l’international. Cet accompagnement se traduit en règle générale par de multiples étapes : conseil, prospection, recrutement, implantation. L’organe exécutif intervient alors sous formes d’avances remboursables ou de subventions, à titre individuel ou collectif.

En parallèle, les entreprises positionnées sur l’export peuvent bénéficier de la promotion assurée par la Région sur les salons professionnels, organisés en France mais aussi à l’étranger. Ces opérations se réalisent avec le concours de la Chambre de commerce et d’industrie régionale.

Les bons résultats de la Bourgogne Franche-Comté à l’international…

Se hissant en tête des régions françaises en termes de solde commercial par habitant, le territoire bourguignon-franc-comtois a réalisé plus de 20 milliards d’euros à l’exportation en 2017 pour 17 milliards d’euros d’importations. Placée derrière l’Occitanie et le Grand Est, elle occupe une méritoire troisième place au niveau du solde de la balance commerciale.

A travers sa politique d’internationalisation, la Région a pour ambition de satisfaire les besoins des entreprises du territoire en termes d’attractivité, de commercialisation des produits, de prospection et de rayonnement international. Non seulement, à travers les nouvelles conventions signées en ce mois de juillet, il d’agira d’aider les entreprises à exporter. Mais, l’attirance de nouvelles structures professionnelles sur le territoire intègre ses priorités stratégiques.

Trois conventions partenariales pour étoffer ce dynamisme à l’export…

La première de ses signatures se rapporte à une convention-cadre entre la Région et Business France. Les priorités et les compétences de la Région rejoignent celle de la mission de Business France. Signée par Patrick AYACHE, vice-président de la Région en charge de l’attractivité, du tourisme et de l’export, et Christophe LECOURTIER, directeur général de Business France, cette convention consolide le partenariat entre les deux entités.

Second document paraphé ce jour-là au siège de la société EUROGERM à Saint-Apollinaire (une PME qui a su profiter pleinement du levier de l’international pour se développer dans le secteur de l’agroalimentaire) : la convention tripartite entre la Région, Business France et la CCIR.

Profitant de la réforme du commerce extérieur, présentée par le Gouvernement le 23 février 2018, la Région a décidé d’entériner la création d’une « Team export BFC ». Dans l’absolu, cette convention se traduit concrètement par un renforcement des moyens humains pour apporter un service optimum et de proximité aux entreprises locales, et des solutions pour donner le goût de l’international au plus grand nombre d’entreprises.

Enfin, pour conforter la « Team Invest BFC », Business France et l’Agence économique régionale, bras armé de la Région, ont signé la nouvelle convention pour fortifier la prospection d’investisseurs. Il s’agit aussi de renforcer l’attractivité du territoire auprès de nouvelles entreprises.


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La société coopérative de production de Sens vient de se doter d’un tout nouvel équipement nécessaire à sa ligne de fabrication. Commercialisé par l’industriel d’outre-Rhin, KBA, ce dérouleur de bobines garantit une stabilité optimale dans le traitement des feuilles avant qu’elles ne soient imprimées. Tout en réduisant les nuisances produites par l’électricité statique…

SENS : Depuis une quinzaine de jours, le nouveau dérouleur « MABEG » est fonctionnel sur le site de la société d’imprimerie de Sens. Conçu et fabriqué par un gros faiseur de l’industrie allemande, le groupe KBA avec lequel CHEVILLON collabore depuis plusieurs années, cet appareillage ultra moderne et performant sert à optimiser la stratégie technique de la coopérative de production.

Grâce à ce dérouleur de nouvelle génération, l’imprimeur de l’Yonne gagne en qualité de traitement lors de ses diverses opérations. Cet additif à la chaîne de fabrication réduit les effets nuisibles liés à la présence d’électricité statique tout en garantissant une stabilité supplémentaire au dévidage des bobines de feuilles de papier.

Travaillant désormais à partir de bobines de papier dont le poids dépasse aisément la tonne, CHEVILLON avait un besoin impérieux de ce type de dérouleur de dernier cri dont sont équipées aujourd’hui la plupart des structures compétitives sur le marché.

Soutenue par le Crédit coopératif et BPI Bourgogne Franche-Comté dans le montage du plan de financement, la PME dirigée par Damien FOULON a consenti un investissement de 500 000 euros pour se doter de ce nouveau fleuron de la  technologie allemande.


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Comprenant des modèles haut de gamme (Grand Sport, Sports TOURER et Country TOURER), la gamme INSIGNIA sera la première à bénéficier des atouts novateurs de la technologie multimédia validés par l’ingénierie du constructeur d’outre-Rhin. Navi Pro sera de série sur l’ensemble de cette gamme sauf pour le modèle Edition. Désigner de manière élégante et ultramoderne au niveau de leur fonctionnalité, ces auxiliaires multimédia de dernière génération devraient conforter le positionnement du constructeur allemand en matière de connectivité et de divertissement embarqué. Le déploiement se poursuivra sur d’autres modèles tout au long de cette année et courant 2019.

PARIS : Une navigation embarquée optimale qui propose des services connectés de belle facture. Voilà la stratégie déclinée par le constructeur allemand lorsque ce dernier travaille sur l’avenir de l’offre de services multimédia à bord de ses véhicules.

Intuitifs et évolués, ces nouveaux systèmes qui équipent progressivement la gamme des modèles INSIGNIA apporteront de précieuses indications aux conducteurs.

Des informations personnalisées au conducteur…

Des renseignements sur la fluidité du trafic. Mais, également bon nombre de mises à jour se rapportant aux prix des carburants, aux changements de signalisation. En phase avec la récente actualité inhérente à l’adoption de la limitation de vitesse à 80 km/h !

Concrètement, ce dispositif intelligent sera personnalisé selon les profils du conducteur. Jusqu’à cinq personnes différentes propres à conduire le véhicule  peuvent être ainsi définies. Ce système astucieux mettra l’accent sur les pôles d’intérêt de plusieurs automobilistes en charge du véhicule.

Les paramétrages iront des réglages de la climatisation à ceux du système audio en tenant compte des desiderata de chacun. Les destinations favorites, les playlists mais aussi d’autres points d’intérêt peuvent être enregistrés dans un profil personnalisé. Une facilité pour que le conducteur se concentre uniquement sur l’art du pilotage.

Quant aux évolutions de ce processus numérique, elles se rapporteront sur la recherche personnalisée d’un itinéraire, prenant en compte le type de conduite habituel.

Une marque qui a déjà obtenu de nombreux prix en la matière…

Le « Connected Car Award » avait plébiscité par le passé le constructeur allemand. OPEL a apporté de sérieuses évolutions sur le secteur du multimédia embarqué. Le mouvement devrait encore s’accélérer à court terme. La marque de Rüsselsheim prépare de nouvelles étapes à ce renforcement de la connectivité à bord de ses futurs modèles. Une nouvelle génération de systèmes multimédia arrivera dans le cours de l’année sur le vaisseau amiral de la flotte (INSIGNIA).

Pour simplifier encore leur utilisation, les appareils Multimedia et Multimedia Navi Pro disposent d’une nouvelle interface homme-machine privilégiant l’aspect intuitif, en offrant un accès direct aux principales fonctions (par exemple audio, téléphone, navigation) directement depuis la page d’accueil. Les commandes, semblables à celles d’une tablette intégrant par exemple le geste de balayage, se montrent ergonomiques et simples d’utilisation. Le conducteur peut également piloter le système d'infodivertissement à partir des commandes au volant. Le Multimedia Navi Pro peut en outre fonctionner avec une commande vocale intégrée.

Avec l’appareil connecté à Internet (ce qui nécessite d’avoir un smartphone couplé), la fonction Traffic Live regroupe les informations de circulation provenant de multiples sources. La circulation et la météo sont mises à jour en temps quasi réel et intégrées dans le calcul d’itinéraire. Cela permet d’avoir des alertes plus précises ainsi qu’une navigation plus pertinente. En outre, la fonction Live Traffic montre quelles parties de l’itinéraire sont affectées par des retards et quel genre d’incident peut en être la cause.


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Hasard du calendrier ou clin d’œil de la providence, le député Les Républicains de l’Yonne se rendra ce lundi 25 juin à CHAMPIGNELLES pour y débattre, lors d’une réunion publique, des enjeux de l’agriculture face à la mondialisation. Ironie du sort, l'annonce de la probable fermeture de l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort (ENVA), connue ce vendredi 22 juin et qui secoue depuis le landerneau politique, s’invitera très vraisemblablement à la tribune des orateurs. Occasion de connaître la pensée du leader charismatique de la droite républicaine de l’Yonne sur ce sujet déjà brûlant…

CHAMPIGNELLES : Prévue de longue date au centre culturel de la commune de Puisaye, la réunion publique consacrée à l’agriculture d’aujourd’hui et demain devrait connaître un regain d’intérêt supplémentaire ce lundi aux alentours de 18h30 ! Certes, la présence de la parlementaire européenne, Angélique DELAHAYE, en charge des dossiers sur la filière agricole, l’environnement et la sécurité alimentaire, et celle de la sénatrice Dominique VERIEN, apporteront un éclairage nourri sur les attentes et le questionnement des professionnels en proie à de nombreuses tergiversations.  

L’élue lyonnaise, représentante du Parti populaire européen (démocrate-chrétien), détaillera les travaux de la commission spéciale sur les procédures d’autorisation des pesticides. Un sujet au cœur des débats agricoles du moment.

Mais, cette thématique, intéressante et cruciale pour la pérennisation de tout un pan de l’activité économique de notre pays, ne devrait pas occulter l’autre volet de préoccupation, local celui-là, qui perturbe les esprits chafouins depuis 48 heures. Le dépôt, fort probable, de la clé de l’Ecole nationale vétérinaire d’Alfort sous le paillasson de l’établissement, localisé à CHAMPIGNELLES…

Le hasard de la programmation de cette réunion publique arrive à point nommé pour le député de la circonscription, le Républicain Guillaume LARRIVE, qui ne manquera pas de profiter de la tribune pour s’exprimer. En attendant, il a souhaité répondre à nos interrogations avant de se rendre sur place lundi en fin d’après-midi…

L’engagement appuyé de la Région Bourgogne lors de la création du centre pédagogique…

La présence de ce centre d’application de l’Ecole nationale vétérinaire dans l’Yonne n’est pas le fait du hasard…

Non ! Je tiens à l’école de CHAMPIGNELLES : c’est une antenne, en Puisaye, de l’établissement national de Maisons-Alfort, placé sous l’autorité du ministère de l’agriculture. Elle a été implantée et développée, des années 1970 jusqu’aux années 2000, grâce à l’engagement des élus travaillant au service de la Puisaye. Il y a eu le soutien constant du Conseil régional de Bourgogne, sous les présidences successives de Jean-Pierre SOISSON et François PATRIAT. Député de l’Yonne depuis 2012, j’ai pris le relais de cet engagement, aux côtés du maire de CHAMPIGNELLES Jacques GILET et des élus territoriaux….

L’annonce de cette probable fermeture a surpris toutes les strates de la sphère politique et institutionnelle du département icaunais. Pourtant, rien ne laissait entendre que ce centre pédagogique serait menacé un jour…

J’ai compris que la technostructure du ministère de l’agriculture était hostile à l’école de CHAMPIGNELLES. Qu’elle considère d’abord comme un centre de coût. Avec François PATRIAT, nous avions alors obtenu que Stéphane Le FOLL, alors ministre socialiste de l’Agriculture, bloque les velléités de son administration. Dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale, solennellement, en mars 2016, il m’avait assuré de son engagement : « CHAMPIGNELLES ne fermera pas… ». Une vidéo de notre échange public et le compte-rendu de cette séance peuvent être consultés sur le lien suivant : http://www.assemblee-nationale.fr/…/cri/2015-…/20160163.asp… .

Le refus du ministre de l’Agriculture d’étudier la modernisation du site…

Comment qualifiez-vous la position du ministre de l’Agriculture actuel, Stéphane TRAVERT, que vous avez interrogé ?

Depuis que le gouvernement d’Emmanuel MACRON est au pouvoir, en revanche, le ministère de l’Agriculture est redevenu très hostile au centre de CHAMPIGNELLES. Dès ma réélection, comme député de l'Yonne en 2017, j’ai interrogé, par une question écrite au Journal officiel, le nouveau ministre de l’Agriculture Stéphane TRAVERT sur ses intentions. Je lui ai demandé de s’engager sur la pérennité du centre de CHAMPIGNELLES. Dans sa réponse, il ne s’engage absolument pas et refuse définitivement, en outre, d’étudier l’indispensable modernisation de la salle d’autopsie du Centre d’application icaunais. Là aussi, ma question et la réponse sont consultables sur le lien suivant : http://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-875QE.htm.

Curieusement, aux côtés de Jacques GILET, maire de la commune, vous vous êtes entretenus avec les responsables de cette école le 08 juin dernier à CHAMPIGNELLES. Rien n’avait alors filtré de leurs intentions ?

Je n’ai cessé, depuis lors, d’être en contact avec la directrice de l’école. Effectivement, Il y a quinze jours de cela, le vendredi 08 juin, j’ai pu rencontrer, en présence de Jacques GILET, maire de la commune, le directeur de l’école de Maisons-Alfort, venu spécialement sur le site. Même s'il nous a dit qu’aucune décision n’avait été prise, j’ai clairement compris que les menaces de fermeture ne faisaient que s’accroître…

Quelles seraient les causes, selon vous, de cette décision ?

Elles sont imputables à la logique de recentralisation technocratique qui est celle du gouvernement d’Emmanuel MACRON. Elle est donc extrêmement dangereuse pour le site de CHAMPIGNELLES, en particulier, et pour nos territoires ruraux, en général. Réussirons-nous à faire changer d’avis le gouvernement de M. MACRON ? Une chose est sûre : la mobilisation de tous doit s’accélérer pour préserver l’avenir de nos campagnes !


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