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La restauration de l’ancien grenier de l’édifice destiné à l’accueil de l’atelier de fabrication numérique et la réhabilitation de l’ancien enclos et du jardin de la ferme cistercienne constituent les priorités de ce chantier de sauvegarde patrimoniale en 2018. En présence d’une quarantaine de partenaires économiques, institutionnels et élus locaux, les responsables de l’association qui fédère désormais plus de 400 adhérents ont officialisé leur partenariat avec les représentants de la Fondation du patrimoine de Bourgogne…

VENOUSE : Créée en 1996, l’association Grange de Beauvais assure la restauration et l’animation de l’une des quinze granges cisterciennes dépendantes de l’Abbaye de Pontigny dont celle se situant sur la commune de Venouse. Elle est propriétaire de ce site où ces bénévoles passionnés d’histoire et férus de convivialité comptabilisent 10 000 heures de travail par an.

Divers organismes soutiennent cette valeureuse initiative : le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le Département de l’Yonne, la Communauté de communes Chablis Villages et Terroirs ou encore la Chambre de Commerce et d’Industrie. Reconnue association de l’année 2016 par la CCI et France Bleu Auxerre lors des Trophées des Grands Crus, finaliste de la fameuse émission de Stéphane BERN sur France 2 (« Sauvons nos trésors »), la Grange de Beauvais ne laisse personne indifférent dans le sérail. Pas même le CAUE 89 et la Fédération départementale des foyers ruraux qui encouragent ce projet depuis ses origines.

La Fondation du patrimoine : un précieux auxiliaire institutionnel…

Directeur général de la Fondation du patrimoine, Philippe BEDEL présenta sa structure et le soutien que cette dernière apporte aux porteurs de projets avec qui elle collabore. Dans le cas présent, l’organisme à vocation institutionnelle recueillera les dons dans le cadre de souscriptions réalisées par des particuliers, mais aussi des entreprises. Les généreux donateurs bénéficiant d’un crédit d’impôt de 66 % pour les particuliers et de 60 % pour les entreprises du montant de leurs dons. La fondation reversera ensuite au porteur de projets les dons collectés augmentés d’un abondement de l’ordre de 15 à 20 %, après déduction de 6 % de frais de gestion.

Grâce à cette action, l’aménagement de l’ancien grenier s’inscrira parmi les priorités à venir. Comme devait le préciser le président Patrick HENRY.

« Un espace de 70 mètres carrés accueillera l’atelier de fabrication numérique du lieu. Ouvert à tous, cet espace de coworking en milieu rural facilitera l’accès au haut débit et le partage d’équipements. Cet atelier sera au service du patrimoine pour profiter des nouvelles technologies de l’image, avec l’utilisation de drones, la photogrammétrie, la numérisation 3D… ».

On devrait y trouver également un espace de confection et de fabrication avec des imprimantes 3D, une brodeuse numérique, un plotter de découpe, un médialab et une antenne de généalogie.

Encourager la vocation de ferme cistercienne de l’endroit…

Jean-Claude HEROLT, vice-président de l’association, expliqua ensuite que la grange devait retrouver sa vocation de ferme cistercienne en profitant de la restauration de l’ancien enclos des frères convers de trois hectares autour de l’édifice.

« Pendant un an, devait-il préciser, un comité d’experts sous la direction de deux ingénieurs paysagistes de l’association PARC ont élaboré un projet se composant autour du parking existant et le conservatoire des cépages de deux jardins. Le premier, à vocation maraîchère, sera un lieu de production en collaboration avec FESTINS de Bourgogne et sera cultivé selon les techniques naturelles en agroécologie. C’est-à-dire sans engrais chimiques et sans pesticides. Nous travaillerons à l’aide d’espaces ressources pour y trouver la matière organique nécessaire à la couverture et l’aggradation des sols. Le second, d’inspiration médiévale, empruntera les formes classiques de cette typologie de jardin avec trois espaces naturels qui se succèderont : le jardin des confitures, celui des plantes oubliées, et enfin le jardin des tisanes et aromatiques. L’arbre étant le dénominateur commun aux deux jardins pour créer un espace à vocation écologique, pédagogique, collaboratif mais aussi à vocation touristique… ».

Saluant la finalité de ce concept qui se développe depuis une vingtaine d’années, le président du Conseil départemental, Patrick GENDRAUD, le député André VILLIERS et la conseillère régionale Aurélie BERGER soulignaient la vision attrayante que la Grange de Beauvais développe pour créer une animation touristique et du lien social.

Bâtie à vocation pastorale dont l’origine remonte à 1237, la Grange de Beauvais est un véritable lieu de mémoire où s’affairent tous les mardis et samedis une trentaine de bénévoles assidus à la tâche. Cette mission déclinée au service du patrimoine, de l’humain, de l’innovation, de la nature et du territoire intègre cinq projets essentiels.

Ceux-ci s’articulent autour de la poursuite de la restauration de cette ferme exceptionnelle, la restauration et l’aménagement de l’ancien enclos de trois hectares des frères convers, l’optimisation des lieux par l’apport de nouvelles technologies, le développement de manifestations culturelles mais aussi pédagogiques, et enfin la création d’un centre touristique majeur au service du renforcement de la cohésion sociale et de l’animation du territoire.

Intervention des étudiants de l’ESSEC de Cergy Pontoise…

Cinq étudiants de l’ESSEC en première année de master et leur professeur ont confirmé leur participation dans le cadre du projet « entreprises » pour l’établissement d’une étude de faisabilité d’un site touristique à la ferme cistercienne.

« Nous leur avons donné un cahier des charges, précise Jean-Claude HEROLT, et nous attendons mi-janvier un plan de travail avec un rapport d’étape mi-mars avant la présentation du rapport définitif vers le 15 juin en présence des bénévoles à la Grange de Beauvais… ».

Les responsables de l’association sont en contact permanent avec ces étudiants enthousiastes afin d’orienter leurs recherches.

« Nous éprouvons beaucoup de fierté d’avoir été retenu par cette grande école de commerce sur ce projet insolite… ».

Un projet qui offrira d’autres belles aventures à l’avenir…


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Décembre 2016, le cinéaste auxerrois proposait une approche personnelle de l’agro-écologie, avec un court-métrage « Paysans de demain » produit par l’EPLEFPA des Terres de l’Yonne, et le concours de la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté. D’autres partenaires se mobilisaient autour de ce projet ambitieux et novateur à l’instar de la Région et de la Chambre régionale d’agriculture. Ce film de 7’45’’ fut réalisé en présence de lycéens et d’étudiants mais aussi du corps enseignant enthousiaste par la contribution apportée à ce documentaire. « La Bio pour tous », nouvel opus conçu à l’automne dernier, renforce cet engagement que le créateur autodidacte mène depuis plusieurs années en faveur de la cause agricole et de son évolution naturelle vers le biologique…

AUXERRE : Présenté en avant-première devant des élus de l’Yonne, à l’automne 2017, « La Bio pour tous » n’est pas un court-métrage anodin. Relatant les exemples concrets de deux établissements du secteur de l’agro-alimentaire local, la fromagerie de Souilly, VARLET et le moulin BOISNARD, ce reportage d’une dizaine de minutes conçu sans l’once d’une quelconque aide financière tourne en boucle par le canal des réseaux sociaux vers un public de profanes et d’adeptes qui en assure depuis la promotion.

L’agriculture biologique, créatrice d’emplois et vertueuse au niveau sanitaire, est expliquée à travers les débouchés professionnels de ces deux structures qui aujourd’hui se sont taillées une solide réputation parmi un public de connaisseurs, voire de fidèles.

Autoproduit par l’un des pionniers et fervents défenseurs de cette diversification légitime, Jean-Michel DELAGNEAU, l’oncle de Pascal, ancien conseiller général et ancien maire de Gurgy, ce document illustre les enjeux économiques inhérents à la stratégie environnementale de l’univers agricole. D’une manière positive, traduite par les témoignages des responsables de ces unités professionnelles qui ont fait le choix de s’orienter vers cette démarche qualitative et protectrice de Dame Nature.

L’Yonne : un territoire fortement ancré dans les valeurs du bio

Affichant une croissance de 15 % en 2017, la pratique de l’agriculture biologique est encouragée par les instances représentatives de la filière agricole, à commencer par la Chambre consulaire et les différents organes institutionnels de ce milieu corporatiste. Son développement ne date pas d’hier. Les précurseurs ont débuté leurs expériences au sortir des années soixante, dès 1974 avec la création d’un premier groupement d’agrobiologistes qui devait fédérer une dizaine d’éleveurs de l’Yonne et de l’Aube.

C’est en 2015 que le réalisateur Pascal DELAGNEAU s’invite avec ses arguments cinématographiques dans le bal promotionnel de l’agrobiologie. L’ancien correspondant de France 3 Bourgogne, puis journaliste reporter d’images et pigiste pour France 2, réalise pour le compte de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, « L’agrobiologie sur sol vivant ». Une première commande qui en appellera d’autres sur ce sujet éclectique et passionnant que le cinéaste affectionne.

Suivront deux autres réalisations à quelques mois d’intervalle, « Pour l’eau cultivons autrement » destinées à la Chambre régionale d’agriculture de Bourgogne et « Bois/Bocage », un document qui illustrera une campagne informative mise en place par la Chambre départementale d’agriculture de la Nièvre.

L’auteur de « La Bio pour tous » aimerait tourner un autre épisode en mettant en exergue de nouveaux producteurs bio, issus de ce territoire en prenant pour exemples les réalisations vécues dans le milieu viticole. L’ouverture à un modèle économique qui engloberait une participation financière des internautes sous la forme de crowndfunding n’est d’ailleurs pas exclue de son raisonnement afin de trouver les subsides nécessaires, finançant l’ouvrage.

Un court-métrage diffusé dans « Ushuaia », un second concourant au festival du film d’art de l’UNESCO…

Auparavant, Pascal DELAGNEAU qui réussit à allier la fiction au documentaire et la tradition à la modernité, avait tourné dans le Cotentin au début du printemps un clip musical esthétique façonné avec le charme poétique des années 1930. L’histoire se déroulant au Nouveau Monde et mettant en scène Oscar Nitu NDOMBASI, chanteur de variétés jazz et membre du groupe OSWANDO JAZZ QUARTET, sur fond de crise sociale.

« Je voulais la liberté », appellation de cet opus remarqué, correspondait à la suite d’une première immersion réalisée à l’été 2014 en Normandie (« Le Grand navire »), conçue par le réalisateur Mike CHEVREUIL, avec la même équipe de comédiens dont la jeune actrice Fanny PHILIPPE.

Le réalisateur Icaunais avait alors su relever le défi de ce concept ambitieux joué en plusieurs actes en imposant sa griffe personnelle.

Il est vrai que l’un de ses documentaires antérieurs (1991), « Une trace au Soleil levant », concocté avec le concours d’un surfer jurassien qui exerçait sa discipline sportive au Japon, eut les honneurs de l’émission culte de la télévision française, « Ushuaia » produite par l’actuel ministre de l’Environnement Nicolas HULOT. Il fut primé à maintes reprises dans des festivals internationaux.

L’année suivante, « Icône 1 », film d’art et d’essai, dévoilait le travail de l’artiste peintre sculpteur Jean-Marie DURET et son combat acharné en faveur de la sauvegarde des livres. L’œuvre devait être retenue parmi la sélection officielle du 17ème festival du film d’art de l’UNESCO.

S’installant au début des années 2010 sur l’île de Beauté, Pascal DELAGNEAU multiplie reportages et prises de vues avec des sujets propres à l’actualité politique, des portraits, mais aussi des illustrations de la vie quotidienne et profonde des insulaires avec lesquels il noue de solides liens d’amitié.

La musique, l’art et la nature intègrent progressivement ses sources d’inspiration sans pour autant qu’il ne s’intéresse encore à des thèmes à connotation économique. De retour dans l’Yonne, le réalisateur est aujourd’hui en quête de nouvelles collaborations, synonymes de créativité et de qualité.


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Balayant avec un zeste d’humour le dixième anniversaire de la fameuse crise économique de 2008, celle des « subprime » qui démarrait à l’automne de cette année-là aux Etats-Unis, le président de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne, Olivier TRICON, formulait des vœux résolument optimistes devant une cinquantaine d’adhérents ce lundi 08 janvier dans les magnifiques locaux du « Comptoir des Vins », nouvel établissement fonctionnel depuis peu à Auxerre.

AUXERRE : Adressant un remerciement appuyé à son ancienne collaboratrice, Christine LABOUE BILLEBAULT, partie au début de la période estivale rejoindre les rangs de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, le président de l’antenne départementale de la CPME, le syndicat de défense des droits et des intérêts des petites et moyennes entreprises, s’est voulu optimiste lors de sa présentation officielle des vœux.

La conjoncture économique de ce début d’année, certes, ne ressemble pas à l’exercice antérieur même si la vigilance et la prudence demeurent encore des règles fondamentales à respecter vis-à-vis de l’exécutif. Surtout lorsque l’on est à la tête de son outil de travail personnel.

Valoriser les entreprises ayant une démarche RSE…

Espérant davantage d’avancées favorables aux entrepreneurs de la part de cette présidence étatique que de la précédente, Olivier TRICON survola en quelques points les grands traits de cette actualité économico-sociale qui constitue le socle des réformes voulues par Emmanuel MACRON et appliquées depuis quelques semaines par son Premier ministre, Edouard PHILIPPE.

A propos de la loi Entreprise qui donnera lieu au Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE) au printemps, le responsable départemental des PME a expliqué que ce projet de loi supposait la modification de l’objet social de l’entreprise.

« Or, précisait-il, modifier le code civil en imposant à tous un objet social intégrant toutes les parties prenantes de l’entreprise ne serait pas une meilleure solution ».

On le sait, la CPME, soutenue par plus d’une vingtaine de ses fédérations professionnelles, a transmis aux pouvoirs publics un document de réflexion et de propositions concrètes sur le thème de la concurrence équitable entre les différents acteurs économiques.

« Nous plaidons depuis longtemps pour une valorisation et une reconnaissance des entreprises ayant une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), gage de performance économique mais aussi sociale et sociétale… ».

L’approbation autour de la relation de confiance à instaurer…

Quant au projet de loi « pour un Etat au service d’une société de confiance », adopté par le Conseil des ministres du 27 novembre et déposé depuis à l’Assemblée nationale, il est encouragé par les instances supérieures de la confédération.

« La CPME approuve sans réserve la volonté affichée de restaurer une relation de confiance avec une administration modernisée et simplifiée, devait ajouter en second lieu, Olivier TRICON. Si l’intention est louable, c’est la mise en œuvre qui déterminera l’utilité de ce texte. Il est notamment nécessaire que la première erreur ne donne lieu à aucune sanction pécuniaire tant dans les domaines douaniers que fiscaux et qu’un délai soit prévu pour la mise en conformité… ».

A contrario, la CPME réfute l’idée de permettre aux banques de ne plus fournir le taux effectif global (TEG) aux entreprises lors d’une demande de crédit. « Ce serait une véritable erreur car ceci limiterait encore plus la comparabilité des offres et pénaliserait incontestablement les TPE/PME, devait renchérir le président de l’Yonne.

Prélèvement à la source : la CPME s’inquiète…

Le prélèvement à la source fut un autre thème évoqué lors de ces premières retrouvailles de 2018. « Les entrepreneurs ne cachent plus leur inquiétude vis-à-vis de cette mesure fiscale décalée au premier janvier 2019. Comme les charges et les coûts financiers seront plus lourds à supporter pour les petites et moyennes entreprises, nous proposons une compensation financière et une limitation des sanctions. Si rien ne change, les chefs d’entreprise se verront menacer de cinq années de prison et d’amende pouvant s’élever à 300 000 euros en cas de non-respect de la confidentialité : ce qui est impossible à garantir à l’échelle d’une PME, encore moins au sein d’une TPE… ».

D’autres exemples de réformes, liées à la fusion AGIRC/ARCO, l’assurance chômage ou le développement de l’apprentissage apportèrent quelques réactions à chaud du leader charismatique du syndicat patronal de l’Yonne.

Les redressements et les liquidations judiciaires en baisse dans l’Yonne

Saluant l’excellent travail de la nouvelle chargée de développement, Emmanuelle MIREDIN, qui depuis sa prise de fonction n’a cessé de faire grossir le rang des effectifs (huit nouveaux membres étaient présentés ce lundi), Olivier TRICON cédait la parole au président du Tribunal de commerce, Pascal BAILLY, qui livra quelques statistiques rassurantes sur l’état de santé des entreprises locales.

« Nous avons observé une diminution à hauteur de 50 % du nombre de redressements judiciaires sur notre territoire au cours de ces douze derniers mois, expliqua-t-il, quant à la baisse du nombre d’entreprises en liquidation, elle est de 20 % cette année. Nous avons constaté en toute logique davantage de sauvegarde de sociétés… ».

D’excellentes nouvelles annonciatrices d’une année 2018 qui pourrait s’avérer prometteuse pour les affaires ? C’est avec ce souhait que devait se conclure cette manifestation bon enfant par la suite avec la dégustation de la traditionnelle galette…


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Après la gamme originale de tagliatelles « I sea pasta », la start-up néerlandaise qui propose à travers ses créations biologiques des bienfaits réels en matière de santé lance aujourd’hui un second produit, un lard d’algues, véritable alternative au traditionnel bacon. Sain et durable, ce produit végétarien issu à 100 % d’ingrédients de la mer possède un goût naturellement salé et fumé. Une fois cuit, il devient très croustillant et offre des saveurs incroyables à découvrir à satiété…Un pari audacieux pour le concepteur de la marque, Willem SODDERLAND.

PARIS : Les spécialistes de la nutrition s’accordent à le dire : aujourd’hui, les algues représentent une réelle opportunité en matière de nourriture saine, tout en étant la plus durable au monde. La France constitue un marché abordable pour la société batave, SEAMORE ; celle-ci ayant décidé de relever le challenge en proposant depuis peu sur le marché consumériste un nouveau concept, « I sea bacon ».

« J’ai testé et je me suis régalé ! » : l’aveu du fondateur de la société d’Amsterdam…

 Alors que la moitié de la production d’algues trouve ses sources sur les côtes bretonnes, la start-up, âgée de 18 mois, commercialise depuis peu dans une cinquantaine de magasins parisiens (NATURALIA) des packs permettant de savourer ces produits maritimes. L’entreprise devrait étendre très rapidement en 2018 son réseau de distribution vers d’autres types de points de vente qui feraient écho à ce légume de la mer aux vertus nutritionnistes intéressantes.

Fondateur de la société, Willem SODDERLAND, explique les raisons qui l’ont poussé à se passionner pour ces algues à la succulence avérée.

« Nous avons entendu parler d’une variété qui pouvait imiter le goût du bacon. Personnellement, j’ai souhaité tester ce produit… ».

Le test s’est avéré concluant pour le responsable de la société des Pays-Bas. « Les magnifiques algues pourpres se sont transformées en quelques secondes en un bacon vert et croustillant après les avoir mises dans une poêle : je me suis régalé ! ».

Les vertus de ce nouveau produit sont ainsi clairement identifiées : « I sea bacon » ressemble à s’y méprendre à la fameuse viande de porc séchée, les graisses saturées en moins.

« D’ailleurs, ajoute le patron de SEAMORE, aucun cochon n’a besoin d’être sacrifié pour nourrir l’humain : la nature est ainsi préservée… ».

Se nourrir d’algues, une réalité qui devrait croître dès 2050…

Utilisé dans des préparations aussi diverses que variées telles que le hamburger, les quiches, les salades et les recettes avec les œufs, ce lard d’algues s’avère très goûteux, voire succulent.

Les Français, fin gourmets et férus de cuisine à la saveur affirmée, devraient y trouver leur compte. Plusieurs chefs étoilés ont déjà intégré le concept dans leur cuisine. A l’instar d’André GERRITS, la toque du restaurant néerlandais « AMSTERDAMMERTJE » aux Pays-Bas. Et ce n’est pas fini…

« Avec une potentielle pénurie de nourriture qui, en 2050 devrait concerner 9 milliards d’individus, SEAMORE désire apporter une réelle solution dans la problématique nutritionnelle », précise Willem SODDERLAND.

Dix-huit mois après sa création, SEAMORE a déjà lancé deux produits dont le « I sea pasta » composé de délicieuses algues organiques sauvages « Himanthalia », aux Pays-Bas mais aussi en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Suisse et en Australie.

La France intègre désormais la liste des pays à satisfaire en priorité pour la jeune start-up ; d’autant que la structure possède à son actif de nombreuses récompenses internationales…


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Profitant d’une visite il y a quelques années d’un sanctuaire de la faune animale à Prétoria, le chef d’entreprise de Sens, co-gérant de la société de communication « NET.COM », a eu l’immense privilège de rencontrer Kevin RICHARDSON, le plus grand spécialiste au monde de l’étude comportementale des lions. Depuis, Thomas ne cesse de se rendre régulièrement en Afrique du Sud afin de défendre la cause du roi des animaux, élevé dans des parcs spécifiques avant d’être livré en pâture lors de safaris où le félin est impitoyablement abattu par des chasseurs nord-américains et asiatiques qui n’hésitent pas à débourser près de 60 000 dollars pour obtenir un trophée. Un ouvrage, paru en février 2017, « Tsavo le résilient » aux Editions du Net, tiré de la plume incisive de l’entrepreneur sénonais, témoigne de cette triste réalité…que chacun doit découvrir avant qu’il ne soit trop tard…

SENS : Disponible depuis l’hiver dernier sur toutes les plateformes numériques ainsi que chez les libraires de l’Yonne, « Tsavo le résilient » se présente sous la forme d’un gros pavé, très agréable à la lecture. Derechef, sa couverture surprend le curieux avide de connaissances. Une magnifique tête de lion au regard profond orne celle-ci et sensibilise le futur acquéreur à poursuivre sa quête. Elle sera exhaussée : son contenu ne peut laisser indifférent. Il nous fait prendre conscience que notre monde ne tourne plus vraiment bien rond en ce début de XXIème siècle et que la cupidité et l’argent maîtrisent les idéaux des sociétés dites modernes et bien pensantes. Au détriment de la nature, de l’environnement, du climat, de la cause animalière…et en bout de chaîne de l’humain lui-même…

Une première œuvre qui induit beaucoup de réflexions…

Et s’il n’est guère facile aujourd’hui de pouvoir se faire éditer, le comité de sélection de cet ouvrage, les Editions du Net, n’a pas tergiversé une seule minute en acceptant de publier la première œuvre de ce chef d’entreprise, inféodé à l’essor de la communication digitale et de haute technologie.   

Sensible à la cause écologique et animale, le comité éditeur a eu raison de soutenir l’initiative de l’entrepreneur Sénonais, âgé de 41 ans qui a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la sauvegarde du roi de la savane. Parfois d’une grande brutalité mais avec tellement de réalisme, l’auteur nous entraîne à travers les lignes de cet opus remarquable dans un monde à faire froid dans le dos sur les intentions réelles de l’homme envers les animaux.

L’histoire se résume ainsi : depuis des millénaires, l’homme se répand sur toute la surface de la Terre, de manière incontrôlée et sans un regard pour les autres formes de vie qu’il massacre, le sourire aux lèvres. Aujourd’hui, la planète identifie ce comportement comme celui d’un parasite qui colonise et détruit son hôte, et face à sa mort prochaine elle décide d’éradiquer ce fléau. L’antidote s’appelle « Tsavo ». C’est un lion aux proportions démesurées et aux capacités tout à fait singulières. A ses côtés, un immense groupe d’êtres humains que la vie et les hommes eux-mêmes ont broyé de leur violence sans limite : les résilients. Tapis dans l’ombre de nos civilisations depuis une éternité, ils sont en attente de l’appel de « Tsavo » : prêts au sacrifice de cette incontrôlable humanité pour sauver la planète et toutes les autres espèces.

Pour la première fois depuis son apparition, l’humain devra s’adapter à une vie sans violence ou mourir. Pour la première fois, il n’aura plus le choix et devra respecter cette Terre qui lui a donné la vie. Ou disparaître, des griffes et des crocs de « Tsavo » et de son armée. C’est la résilience même de l’humanité qui sera sondée…

Ce cheminement initiatique est en fait le prélude à un second volume plus criant de vérité encore que Thomas DA ROVARE a déjà partiellement écrit. « CANNED HUNTING », traduisible par la locution suivante « Chasse en boîte » paraîtra d’ici quelques semaines.

Le sanctuaire de Kevin RICHARSON a valeur de refuge animalier…

« Récemment, le film « Blood Lions » a dénoncé la pratique de la chasse en boîte, précise Thomas DA ROVARE, aux côtés de « L’homme qui murmurait à l’oreille des lions », Kevin RICHARDSON, je me suis personnellement très investi dans cette lutte contre ce fléau. L’idée me concernant n’est plus d’en parler autour de moi mais de m’engager véritablement sur le terrain en étant davantage dans l’action pour faire quelque chose. S’investir différemment, c’est aussi créer cette pierre à ajouter à l’édifice à travers l’écriture... ».

Tous les ans, à raison d’un séjour automnal en Afrique du Sud, Thomas se ressource au gré de ses visites dans le sanctuaire tenu par son ami Kevin RICHARDSON. Trente-sept lions y coulent des jours heureux. Originaires des parcs spéciaux destinés à la chasse, ils ont été accueillis par l’équipe du comportementaliste sud-africain, leur sauvant la vie par ce geste généreux. Aux côtés de 47 hyènes et de quatre léopards voués à une mort certaine : celle donnée par les chasseurs de fauves.

« Ce parc n’est naturellement pas ouvert au public, confie Thomas, mais attention, il ne recueille pas de lions d’ordinaire ; sauf deux spécimens qui ont été remis par un cirque espagnol (dont un animal handicapé et rendu aveugle à cause des flashes des appareils photographiques) parce que condamnés à l’euthanasie il y a trois ans… ».

Une vingtaine de personnes exercent leur talent professionnel dans ce sanctuaire animalier. Une centaine de personnes, membres de l’association CATCH, suivent de très près l’évolution des espèces animales qui y vivent.

« L’objectif de ce sanctuaire est d’assurer des actes permanents de prévention et d’avoir une approche éducative auprès des scolaires et surtout des adultes, explique Thomas DA ROVARE, la sensibilisation est le plus important. C’est expliquer que l’animal issu de la faune sauvage doit le rester. Et que les objets en ivoire sont à rejeter et non pas lieu d’être commercialisés… ».

Le massacre inutile et par plaisir de la faune sauvage en Afrique…

Dans les enclos des parcs spécifiques où les lions sont enfermés, les animaux subissent les effets pernicieux d’une drogue qui leur est administrée. Elle annihile leur volonté de se mouvoir. Relâchés ensuite dans un cadre naturel, très étroitement surveillés par les organisateurs de safaris, les animaux sont alors massacrés en règle. Une poudre fabriquée à partir du corps de l’animal s’expédie en Chine à prix d’or, engendrant plusieurs centaines de millions de dollars pour les industries qui travaillent à cette basse besogne.

« Kevin RICHARDSON dénonce ce massacre perpétré depuis des années contre les lions alors que la population mondiale diminue chaque année. 80 % de l’espèce a été détruite. Dans vingt ans, il n’y aura plus aucun lion vivant dans la nature… ».

Dès lors, avec son ouvrage, l’entrepreneur de l’Yonne souhaite que la société réagisse face à cette extinction programmée. Tout comme celle qui concerne les girafes, les éléphants ou les hippopotames.

« La plupart des dirigeants de la planète se voilent la face dès que l’on évoque ce dossier brûlant, ajoute l’écrivain entrepreneur, comment la première nation du monde, les Etats-Unis, peut être contre l’amélioration écologique et défendre les valeurs intrinsèques de cette chasse destructrice sur le continent africain ? Il existe près de 200 fermes d’élevage de lions en Afrique du Sud qui fonctionnent en parfaite légalité car ce sont des établissements privés, tenus par les blancs de l’Afrique du Sud. Huit mille félins y sont enfermés, prêts à être abattus. L'objectif est clair : proposer aux chasseurs (souvent étrangers) des lions et des lionnes sur catalogue, au nom d’un « sport » qui consiste en fait à abattre un animal drogué, enfermé dans un enclos minuscule sans la moindre chance de survie. Les tarifs varient en fonction du sexe, de l’âge et de quelques autres critères, mais la vie d’un félin s’achète de 7 000 dollars (la lionne) à 40 000 dollars (le mâle de huit ans). Il est à noter que de telles industries existent aussi pour les éléphants, les girafes et les rhinocéros. Près de 1000 lions sont abattus chaque année lors de ces chasses. Sous couvert de développement économique et de création d’emplois, ils bénéficient des soutiens en haut lieu, voire ceux de la communauté internationale… ».

D’ailleurs, la tête de Kevin RICHARDSON est mise à prix depuis plusieurs années. Il vit reclus dans son sanctuaire et le fréquenter n’est pas sans risque.

Quelques pays, à l’instar du Zimbabwe et du Kenya, agissent en faveur de CATCH et d’autres associations de la protection animale. L’ancienne Rhodésie à interdit temporairement la chasse aux lions durant…trois jours ! Tandis que le Kenya devait brûler l’ensemble de son stock d’ivoire.

Thomas DA ROVARE a pris des contacts avec la représentante française de CATCH à Paris pour intercéder en faveur de Kevin RICHARDSON et de sa lutte contre les tueurs de lions. Il aimerait aussi se rapprocher du ministre de l’Environnement Nicolas HULOT afin de le sensibiliser à la connaissance de ce problème qui concerne l’extinction de ces espèces sauvages dont la Terre ne peut se passer.


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