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La réalisation d’économies d’énergie et la production de l’électricité constituent deux axiomes essentiels du contenu des nouvelles conventions de partenariat que souhaitent initier de plus en plus le fournisseur d’énergie auprès des milieux agricoles. Pour en savoir plus sur la pertinence et les enjeux de ces accords, Yves CHEVILLON, directeur commerce d’EDF Est, s’est livré au jeu des commentaires…

DIJON (21) : « Nous évoluons dans un contexte énergétique en forte évolution, technologique, réglementaire et même sociale… ».

Intervenant sur le quart Grand-Est de la France pour le compte du fournisseur d’énergie, Yves CHEVILLON, directeur du pôle commerce d’EDF Est, était l’un des signataires de la convention de partenariat qui rapproche désormais le groupe coopératif agricole et agro-alimentaire DIJON CEREALES au spécialiste de l’énergie depuis ce vendredi 23 février.

« Cette convention mentionne bon nombre de pistes de coopérations concrètes dans une vraie logique de gagnant/gagnant entre les partenaires, précise-t-il, primo, il s’agit d’économiser des KWh et dans ce registre, on le sait : un KWh économisé, cela fait du bien à la nature mais aussi à la facture ! ».

L’autoconsommation : une pratique en phase de développement…

S’attardant ensuite sur le rôle des filiales spécialisées du fournisseur d’énergie, le dirigeant d’EDF Est expliqua le mode opératoire de CESBRON, structure inhérente à EDF qui propose des solutions de production et de gestion du froid dans les secteurs des industries alimentaires, de l’agriculture et de la viniculture.

« Il ne faut pas omettre le mécanisme des Certificats d’économie d’énergie qui peuvent contribuer au financement des opérations ; par exemple, pour la mise en place de variation électronique de vitesse sur les moteurs… ».

Quant à la production d’électricité, elle s’appuie sur la propension à intensifier le développement des énergies renouvelables, en premier lieu, la méthanisation et le solaire.

« Sur ce point, continue Yves CHEVILLON, EDF dispose avec sa filiale EDF ENRS de solutions photovoltaïques qui s’installent sur des bâtiments agricoles, notamment dans le cadre des appels d’offre de la Commission de régulation des énergies (CRE). Précisons que de nouvelles dispositions réglementaires permettent de réduire en les mutualisant les coûts de raccordement au réseau électrique ENEDIS… ».

L’autoconsommation est également encouragée. « Nous développons activement des solutions de production allant dans ce sens. C’est ce qui sera décliné sur les équipements agricoles des adhérents de la coopérative régionale DIJON CEREALES. Sur ce volet, ajoute Yves CHEVILLON, EDF possède réellement une expertise interne locale qu’il est possible de solliciter pour effectuer des études de faisabilité, voire un bilan technique et économique… ».

Un plan solaire très ambitieux pour la France…

Récemment, le président de la République Emmanuel MACRON a annoncé la mise en place d’un plan solaire très ambitieux en France. Ce dispositif prévoit une production de 30 GW obtenu à l’aide de panneaux photovoltaïques qui seraient installés sur 30 000 hectares d’ici 2035.

« Les services d’EDF seront très vigilants à ce que plan n’empiète aucune terre agricole en exploitation, confie le responsable du pôle commerce du fournisseur d’énergie, nous recherchons pour ces futures implantations des terres inexploitées, d’anciennes carrières ou des zones de friches. D’ailleurs, une étroite coopération se mettra en œuvre avec les milieux agricoles dans cette quête de terrains… ».

L’angle de la méthanisation fut également abordé par le responsable d’EDF Est. « Nous sommes prêts à étudier avec DIJON CEREALES et ses adhérents tout projet de méthanisation collective, en lien avec notre filiale, DALKIA BIOGAZ. Soit dans le cadre d’une réponse faisant suite à un appel d’offre ; Soit à l’initiative de l’une ou l’autre partie. Voire pour aider la coopérative agricole régionale dans ses réflexions avec des collectivités territoriales… ».

Jouer un rôle où les informations et les conseils circulent abondamment intègre la stratégie actuelle du fournisseur d’énergie régional. L’objectif étant de trouver et d’optimiser des solutions innovantes et technologiques pour développer l’agro écologie en Bourgogne…


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Trouver des sources de revenus complémentaires pour les agriculteurs en cette période complexe vécue par la filière suppose la pratique de la diversité. Les opportunités offertes par la transition énergétique incitent à explorer davantage ces préconisations qui peuvent s’avérer judicieuses. A l’instar de celles adoptées par le GAEC FRANET Frères à Hauteville-les-Dijon (Côte d’Or) qui a mis à profit la construction de nouveaux hangars en 2010 pour installer un générateur photovoltaïque de 43,56 kWc raccordé au réseau, soit environ 300 mètres carrés de panneaux monocristallins. Gains financiers pour la structure : 15 000 euros de revenus en bonus annuel. Cet encouragement à l’efficacité énergétique via le développement des énergies renouvelables dans le secteur agricole a fait l’objet ce vendredi 23 févier d’une signature, celle de la convention de partenariat unissant EDF et la coopérative DIJON CEREALES en vue d’une collaboration optimale…

HAUTEVILLE LES DIJON (21) : Promouvoir l’utilisation et le développement des énergies renouvelables auprès des acteurs des milieux agricoles représente l’ossature prioritaire de ce nouveau partenariat, entériné de manière officielle ce vendredi 23 février par les responsables d’EDF et de DIJON CEREALES. Profitant de la visite et du retour d’expérience de l’exploitation de Bertrand FRANET, équipée de panneaux photovoltaïques depuis huit ans, les dirigeants des deux structures ont formalisé leur accord en présence d’élus de la circonscription, notamment le député de Côte d’Or, Didier MARTIN.

Une articulation de cette convergence d’intérêts en quatre chapitres…

En statuant ainsi les contours pragmatiques de leur nouvelle association, le fournisseur d’énergie régional et le groupe coopératif agricole et agroalimentaire, leader en Bourgogne Franche-Comté, proposent un accompagnement concret sur la maîtrise de la demande d’énergie destinée aux professionnels de l’agriculture.

Le schéma applicatif de cette convention se décline en quatre volets : la communication à travers les informations expertes fournies par EDF sur les solutions énergétiques innovantes, la production d’électricité à partir des panneaux photovoltaïques qui ouvre des perspectives intéressantes vers l’autoconsommation grâce à un contexte règlementaire plus favorable, le développement vers la méthanisation et le biogaz dans un esprit d’agriculture durable (des projets qui nécessitent une taille critique au niveau usuel) et l’emploi du digital avec un large éventail de possibilités qui induit la recrudescence effective des produits connectés (robots, capteurs, drones…).

Sur ce dernier point, EDF épaulera le groupe coopératif sur l’exploitation des données numériques et l’analyse de celles-ci ainsi que pour la mise en place de portails de données, contribuant in fine à l’excellence de la filière. Bien au-delà de simples études analytiques de ces statistiques et renseignements, il s’agira pour les deux partenaires, acteurs clés de l’économie territoriale, d’explorer un projet portant sur l’agriculture péri-urbaine.

Le concept répondrait à la fois aux aspirations sociétales de mieux manger pour les consommateurs et à la professionnalisation optimale des jeunes exploitants très orientés vers l’emploi à bon escient du numérique.

Vers la vitalité et le dynamisme retrouvés des milieux agricoles…

Comme devait le préciser Marc PATRIAT, président de DIJON CEREALES, « l’agriculteur représente toujours le vecteur fondamental de la ruralité au plan économique. Ils sont des acteurs engagés au service de leur environnement. C’est donc en toute logique que les 3 800 adhérents que nous représentons soutiennent cette initiative favorable à l’agro-écologie, à l’agriculture durable et à des perspectives judicieuses en matière de transition énergétique ».

Un propos que le président du groupe coopératif confirma par la décision de son conseil d’administration de parapher un accord de partenariat jugé très satisfaisant.

Quant à Christine HEURAUX, déléguée régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, elle rappela lors de son allocution que les missions d’EDF ne se limitaient pas uniquement à l’exploitation du nucléaire. En effet, le premier fournisseur d’électricité en France est aussi un acteur engagé dans la production d’une électricité bas carbone, avec l’adoption du Plan Solaire ayant un objectif de production de 30 GW de solaire photovoltaïque entre 2020 et 2035.

« Notre devoir, devait-elle ajouter, c’est d’être à l’écoute grâce à cette convention de celles et ceux des professionnels du monde agricole qui veulent être indépendants et autonomes en matière d’énergie… Nous voulons optimiser cette relation en pratiquant une attitude de gagnant/gagnant au service de la planète ».

L’accessibilité des énergies renouvelables au monde agricole apporte indéniablement une image de la vitalité et de dynamisme de l’agriculture dans notre région.


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Alors qu’elle est génératrice de 1 800 emplois sur le seul département de l’Yonne dans les secteurs de l’industrie du papier et du carton (un tiers de ses effectifs), la filière bois souffre d’une réelle inertie en matière de prospective économique. A l’instar des bois français, les grumes ont le plus souvent des destinations européennes car elles sont de moins en moins travaillées sur notre territoire. Un paradoxe complexe et étrange lorsque l’on sait que la forêt en France occupe 50 % des terres disponibles et 30 % de sa superficie. Chaque année, le déficit de ce segment d’activité atteint des abysses, plus de cinq milliards d’euros en 2017 ! De l’avis des spécialistes, il aurait fallu investir davantage dans la forêt. Et, ce ne sont pas les 70 millions de plants annuels qui permettront à la filière de rebondir alors que dans le même temps, l’Allemagne et la Pologne excellent dans leur politique de réintroduction des essences avec respectivement 300 millions et un milliard de plants ajoutés chaque année…

AUXERRE : Par manque d’innovation et d’investissements, et surtout d’une bonne dose de volonté, la filière bois, autrefois porteuse de réelles ambitions, ne cesse depuis de broyer du noir. Alors que l’activité sciage concernait 4,4 millions de mètre cube en 1973, son volume a vertigineusement chuté en 2015, s’établissant à 1,3 million de mètre cube.

« Logique, confie Vincent NAUDET, ancien président de la filière bois en France (FNB), on ne cesse d’importer du bois de sciage de pays florissants sur ce marché, à l’exemple de l’Allemagne et de la Pologne… ».

Produits en France, dans des régions comme le Morvan à l’échelle de la Bourgogne Franche-Comté, les bois sont transformés à l’étranger et nous reviennent ensuite sous diverses variantes. Le comble de l’aberration quand on sait que l’économie circulaire a pris le dessus sur bon nombre de modes opératoires aujourd’hui dans notre société de consommation.

Dans ce domaine comme pour tant d’autres, les effets de la mondialisation se font ressentir de manière impitoyable. Et impactent avec les conséquences que l’on imagine les entrepreneurs du cru.

Rassembler les collectivités forestières au sein d’une structure dédiée…

Jouant les orateurs convaincants face aux élus de l’Yonne, lors de l’assemblée générale des maires de notre département, l’édile d’Avallon, Jean-Yves CAULLET, président de l’Office national des Forêts (ONF), a rappelé les enjeux économiques liés à cette ressource naturelle que représente le bois.

« Le travail de l’Association départementale des communes forestières de l’Yonne est précisément de fédérer toutes les collectivités qui possèdent sur leur périmètre des forêts. C’est-à-dire 193 communes du département. Or, seules 44 d’entre elles nous ont rejoints pour défendre les intérêts de ce levier économique territorial. C’est trop peu quand on sait que l’on doit défendre et protéger les emplois de ces personnes qui officient au sein des 320 structures évoluant sur ce segment… ».

Il est vrai qu’en la matière, le département de l’Yonne dispose de certains atouts non négligeables. Avec 30 % de son territoire couvert de forêts (soit 227 000 ha et privés à 78 %), la partie la plus septentrionale de la Bourgogne dispose de 43 millions de m3 de bois sur pieds dont 88 % de feuillus avec les chênes qui représentent plus de la moitié de ce patrimoine forestier. Un quart de la récolte se destine d’ailleurs au bois énergie. Quant à la forêt naturelle, elle n’a pas de commune valeur avec celle qui a été plantée. Et son traitement rapporte nettement moins…

« Personnellement, renchérit Vincent NAUDET, je considère que l’Etat fait bien son travail au même titre que la société forestière de la Caisse de dépôts qui gère un patrimoine forestier important. Mais, les propriétaires privés ne l’effectuent pas aussi bien dans cette approche de la valorisation des domaines… ».

Anticiper les bouleversements liés aux impacts climatiques…

Côté emploi, même si certains secteurs industriels représentent encore 350 postes à plein temps sur le territoire icaunais (le sciage, la fabrication de meubles et la construction bois), l’ancien responsable de la Fédération nationale du bois n’est néanmoins guère optimiste à long terme : « je me fais du souci pour toutes ces industries qui créent et nourrissent des emplois dans les territoires ruraux. Il est grand temps de traiter le problème de l’investissement et de l’innovation sur ce secteur s’ils souhaitent perdurer…».

D’autant qu’une autre problématique, encore plus cruciale et irréversible, pointe le bout de son nez à la fenêtre de la météo : le changement du climat et ses effets induits sur des territoires comme les nôtres.

« La vitesse de ces bouleversement sur la végétation se constate par des niveaux kilométriques de dix kilomètres en dix kilomètres chaque année. Cela suppose en matière de plantation qu’il va falloir s’adapter très vite à cet état de fait en raisonnant sur une fourchette oscillatoire comprise entre 50 et 100 ans… ».

Dans le cas contraire, si rien n’est pris en compte dans la politique de reboisement, les forêts françaises ne seraient plus aussi productives et plus du tout adaptées aux besoins réels des industriels de l’époque qui utiliseront des essences compatibles avec l’influence climatique du moment.

A titre indicatif, ce sont les résineux qui aujourd’hui sont les variantes arboricoles les plus demandées sur le marché de la Bourgogne Franche-Comté, en particulier le douglas qui nécessite entre 40 et 50 ans de maturité avant la coupe.

Exonérée des droits de mutation et de l’ISF, concédant un avantage sur le revenu, avec le revenu forestier, la forêt demeure toutefois un attrait incitatif en matière de fiscalité.

« En France, beaucoup de personnes sont devenues propriétaires de domaines forestiers afin de transférer leur patrimoine en évitant les droits de mutation. Mais, aujourd’hui, face à ces changements de paradigme, le propriétaire forestier doit être davantage à l’écoute. Car le choix de la forêt et de ses futures plantations ne doit rien aux fruits du hasard : ce sont les futures générations qui bénéficieront des avantages liés à leurs exploitations… ».

Développer la plantation à outrance dans un souci de reboisement et d’exploitation industrielle afin de fixer dans les zones rurales l’emploi représente une nécessité absolue. Pour mieux assurer la transition énergétique de demain, sauvegarder le travail et ne plus être dépendant de l’importation.

Par exemple, le bois plaquette favorise une revalorisation des résineux ou de parties de l’arbre peu valorisées. Mais, autre bémol, les difficultés de structuration de la filière liées à la variation de coût des énergies fossiles et l’absence d’opérateur structurant telle qu’une scierie de belle capacité à connotation industrielle dans l’Yonne freinent la maturation de la filière. Reste que des projets de valorisation de biomasse issue des haies sont à l’étude sur notre département à l’heure actuelle. Représentent-ils encore une piste de réflexion positive pour la réhabilitation de la valeur du bois et de la forêt dans notre environnement économique ? L’avenir nous le dira…

 


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Acteur clé de la Silver économie, la jeune start-up de Joaquim TAVARES propose un accompagnement personnalisé aux seniors en quête d’un habitat ergonomique et fonctionnel qui répond à leurs attentes. Une offre de service spécifique s’ajoutera aux quatre formules standards déjà commercialisées par cette plateforme multimédia et interactive. Offre dont bénéficieront désormais en exclusivité les sociétaires de l’assureur mutualiste régional après la mise en exergue de ce partenariat novateur. Dès le second trimestre, la formule validée par Vincent COUSIN, directeur financier de GROUPAMA Paris Val de Loire et Jacques BLANCHOT, directeur d’établissement de l’Yonne, gagnera du terrain et s’étendra sur les treize autres départements que compte la Caisse régionale de ce professionnel de l’assurance et de la prévoyance…

JOIGNY : Soutenue par l’antenne régionale de BPI France en Bourgogne Franche-Comté, la jeune start-up native du 05 juillet 2016 jouit déjà d’un gage de sérieux et de qualité auprès des établissements visités.

A l’aide de sa plateforme collaborative et surtout comparative du logement senior, PAPYHAPPY (la bien-nommée) ne cesse de progresser, employant une équipe de huit collaborateurs. Plébiscitée en 2017 (Silver Show et AG2R La Mondiale), l’entreprise dirigée par Joaquim TAVARES, un entrepreneur visionnaire, a étendu depuis ses services à l’accompagnement personnalisé.

Outre son territoire de prédilection, la structure de Joigny accompagne les familles et les seniors en quête d’un logement propre à leurs besoins en Bretagne et en région Provence Alpes Côte d’Azur.

Or, cette nécessité de décliner une prise en charge qualitative des seniors en France, notamment au niveau de l’habitat, a fait tilt dans les esprits du futur partenaire mutualiste. Une idée a germé. Créer une offre exclusive destinée aux sociétaires de GROUPAMA Paris Val de Loire, soit un vivier de 300 000 personnes.

Un partenariat qui s’élargira aux 14 départements sous influence de GROUPAMA Paris Val de Loire…

Il n’en fallait pas davantage pour que les deux enseignes unissent leurs atouts et leurs compétences dans ce concept les associant. Partageant les mêmes valeurs de proximité et d’engagement, Vincent COUSIN, Jacques BLANCHOT et Joaquim TAVARES prenaient la judicieuse initiative de parapher la convention de partenariat officialisant leur accord.

« Nous nous engageons à apporter notre soutien aux familles et aux seniors, explique Jacques BLANCHOT, et de les guider dans leur choix afin de leur permettre de trouver la résidence idéale… ».

La première des neuf entités régionales de l’assureur mutualiste dont l’ancrage est au cœur des territoires, a donc entériné ce processus collaboratif le 05 février dernier.

Mais, ce partenariat insolite devrait très vite se déployer à l’ensemble des autres départements de la caisse régionale qui comprend des territoires à forte densité comme ceux de l’Ile de France dont Paris mais aussi le Loiret, le Loir et Cher, l’Oise ou la Somme.


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AUXERRE : Parce que la petite commune icaunaise décline auprès de ses administrés une politique favorable au développement durable, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY), sous la houlette de son président Jean-Noël LOURY, a décidé de décerner la Marianne du développement durable à l’élue, Delphine GRIFFON, lors de la cérémonie distinctive qui a clôt l’assemblée générale de l’Association des maires de France à Auxerre.

La réhabilitation d'assainissements individuels non collectifs réalisée grâce à l'obtention d'une subvention est à l’origine de ce plébiscite honorifique de la part du syndicat départemental d’énergies.

Obtenant des subventions de l’Agence de l’eau Seine-Normandie, le conseil municipal de cette bourgade d’une quarantaine d’habitants localisée dans le Tonnerrois a pu ainsi réhabiliter quarante et une habitations. Une initiative qui méritait bien un coup de pouce médiatique et les encouragements du SDEY…

 

 


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