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A peine rouvert depuis le 12 mai après l’interminable période de confinement et voilà que la triste nouvelle s’est déjà répandue très vite par le biais des réseaux sociaux. Le spécialiste des articles de sports d’extérieur a décidé de fermer les portes de sa vitrine commerciale dans peu de temps. Un arrêt qui semble définitif. Il a fait l’objet d’une longue explication de texte dans un communiqué…

AUXERRE : « The end » pour l’enseigne RABASKA ! Elle avait pourtant coutume de faire régulièrement le buzz sur les réseaux sociaux grâce à ses opérations évènementielles. Des actions que ses deux gérants, Vincent DUPUIS et Quentin THOUVENOT, animaient de main de maître !      

La boutique attirait les aficionados des sports extérieurs dits OUTDOOR (running, trail, randonnée, etc.). Elle ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir malgré sa réouverture ce mardi 12 mai après une longue période de léthargie imputable à l’épidémie de coronavirus.

Sur leur page Facebook, les deux co-gérants de la structure apparue à Auxerre en 2018 expliquent longuement cette décision mûrie et réfléchie : elle n’est pas la résultante directe de l’infection virale qui sévit à l’heure actuelle sur la planète.

Interrogé sur cet état de fait, Vincent DUPUIS n’a pu que confirmer cette information de très mauvais augure pour une enseigne qui avait réussi à la force du poignet et avec une cote de sympathie grandissante sur les réseaux sociaux de se faire un véritable nom de référence.

« Nous avons subi de plein fouet le mouvement des Gilets jaunes. Puis, celui inhérent aux réformes de la retraite. Maintenant, ce sont les affres du coronavirus qui nous ont obligés à demeurer porte close durant deux mois, constate un brin désabusé Vincent DUPUIS, notre trésorerie n’a pas tenu… ».

Au final, les pertes de la société s’élèvent à 20 000 euros. Malgré un chiffre d’affaires annuel de 250 000 euros. Il en aurait fallu davantage pour sortir l’entité de l’ornière dans laquelle elle se trouvait.

Malgré l’organisation d’évènements de qualité (les championnats de France de bûcheronnage concoctés à Auxerre, la multiplication d’animations sur le parvis du magasin), rien n’y fera. L’ombre du Tribunal de commerce se profilait davantage à l’horizon.

 

 

Une chute qui a débuté au démarrage de la société…

 

Mais, comme l’explique avec souci de transparence Vincent DUPUIS, la véritable cause de cet échec se situe au début de l’aventure des deux professionnels. Ils ouvrirent de manière prématurée leur magasin afin de répondre aux exigences et aux besoins de l’organisateur du CRAZY RACE FESTIVAL. Un évènement de sinistre mémoire dans le landerneau où les deux entrepreneurs s’étaient engagés en qualité de partenaires dans une opération prévue du 07 au 09 septembre 2018. Celle-ci, ayant avorté avant terme, n’eut jamais lieu.

RABASKA, à l’instar d’autres partenaires de renom sur la place auxerroise, consacra une enveloppe budgétaire conséquente à ce projet qui fut rayé du calendrier dix jours avant son échéance et ce, à la surprise générale. Faute d’un quota important du nombre de réservations garantissant la faisabilité de l’animation.

Pourtant, l’enseigne réussit par la suite à devenir l’une des vitrines les plus en vogue au plan national sur son segment d’activité. Multipliant les soirées à thèmes, les conférences, les phases de test d’équipement, et les échanges avec la communauté d’amis sous formes de soirées apéritives.

Mais, le manque de visibilité aura eu raison des appétences volontaristes de l’entreprise. Et surtout plombera sa croissance commerciale.

« A la fin de l’année 2019, précise Vincent DUPUIS, tout fut mis en œuvre pour quitter le secteur où nous étions pour emménager dans la zone des Clairions. Malheureusement, le local que nous avions repéré n’a pas pu nous revenir… ».

De Charybde en Scylla, la scoumoune s’est abattue sur le sympathique duo qui voyait ses pertes s’envoler au fil des mois malgré un fonctionnement correct de la boutique.

Désormais, en attendant la fermeture définitive d’une vitrine qui manquera cruellement au milieu sportif local, une procédure opératoire a été mise en place pour assurer sa fréquentation pendant cette sortie progressive du confinement.

Avant que ne survienne l’inexorable couperet…

 

 

 


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Faire le choix d’une mobilité agile et respectueuse de la distanciation sociale intègre les priorités stratégiques de la plus ancienne marque de deux-roues motorisés au monde encore en activité. Face à la crise sanitaire qui demeure persistante dans l’Hexagone, la solution de mobilité idéale est incontestablement le deux roues pour assurer ses déplacements. Des solutions de financement existent afin d’en faciliter leurs acquisitions. Dont le dernier-né électrique conçu par le fabricant, le Peugeot e-Ludix…

PARIS : Le postulat est simple : pour optimiser au maximum sa sécurité lors de ses déplacements, il est nécessaire d’utiliser un mode de locomotion qui soit adapté au contexte environnemental de l’instant.

C’est-à-dire permettre la distanciation sociale. Et peut-être s’abstenir d’emprunter les transports collectifs qui ne sont pas encore à 100 % de leur capacité du fait de l’absence de leur personnel, et trop perméable à la promiscuité entre les voyageurs.

L’une des solutions qui devrait prendre de l’ampleur d’ici les prochaines semaines, notamment dans les zones urbaines, sera l’usage des deux-roues motorisés en guise de transport individuel. C’est déjà le cas à Paris. Mais, cela le deviendra également dans les villes de province.

Alors que le gouvernement préconise la marche à pied et l’usage du vélo pour se rendre sur son lieu de travail, il apparaît comme une évidence que le scooter possède de très beaux lendemains devant lui.

D’autant que 60 % de nos concitoyens effectuent journellement des trajets pour se rendre dans leur entreprise distante de moins de cinq kilomètres de leur domicile.

Bref, autant d’arguments positifs qui ont su faire tilt chez l’un des concepteurs de ces petits engins aux caractéristiques très impressionnantes : Peugeot Motocycles.

Rappelons que les modèles de scooter 50cc sont aisément accessibles via une formation BSR pour les pilotes âgés de moins de dix-huit ans. Leur conduite ne nécessite pas de permis spécifique. Quant à la gamme supérieure, les 125cc, ils requièrent pour leur maniement une formation de sept heures avec les permis auto, ou ceux des catégories A1, A2 et A4.

L’un des fleurons à l’estampille du constructeur national, le scooter 3 roues développant 400cc, le fameux « Métropolis », se pilote avec le permis auto. Notons qu’il offre des conditions de stabilité optimale y compris pour les béotiens en la matière.

 

 

L’électrique est tête de liste des nouvelles préconisations…

 

Reste l’électrique. Et dans ce domaine, Peugeot Motocycles dispose également des atouts pour satisfaire les demandes consuméristes de ses prospects. La version « e-Ludix » vient à peine d’incorporer la gamme que déjà elle intègre le dispositif mis en place par le gouvernement qui alloue une prime de 400 euros pour aider à son acquisition.

Un coup de pouce qui est compatible avec les aides des régions et des communes éligibles au dispositif qui facilite l’équipement en véhicule électrique.

En outre, le fabricant proposera une offre de leasing à 99 euros par mois dès que l’objet de toutes les convoitises arrivera en concession dans les semaines à venir. Ces offres concerneront aussi bien la clientèle de particuliers que les professionnels soucieux de franchir le pas.  


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Certes, le retour vers la normalisation de la vie scolaire n’a concerné qu’une infime proportion d’élèves ce jeudi matin. Mais, l’enthousiasme des enseignants et des élus (Guy FEREZ et Guy PARIS) faisait plaisir à voir après ces huit longues semaines de privation pédagogique imputable à la présence nocive et sournoise du COVID-19.

AUXERRE: Cela n’a pas été la ruée sur l’or. Mais, quand même. A l’école Henri Matisse qui devait accueillir une quinzaine de bambins ce jeudi vers 8h30, tout a été organisé à la perfection pour que cette reprise de l’enseignement se passe dans le respect absolu des règles protectrices voulues par le gouvernement.

Les parents accompagnaient leurs chères têtes blondes jusqu’à l’entrée du bâtiment, donnant des nouvelles de leur progéniture aux enseignants après ces longues semaines d’enfermement et de doutes.

Certains exprimaient quelque peu leurs appréhensions. D’autres firent un petit salut à leur enfant avant de venir les chercher sur le coup de midi pour le déjeuner.

Accompagné de son premier adjoint, Guy PARIS, le président de la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois et maire d’Auxerre Guy FEREZ a pris la température ambiante en constatant de visu de quoi il en retournait.

Un élu qui in fine sera satisfait par cette reprise de l’activité pédagogique même par le petit bout de la lorgnette. Quatorze enfants étaient concernés par ce retour à la vie scolaire dans cette école.

 

 

Saluer le travail des services municipaux et de l’Education nationale…

 

Ils étaient plus d’une trentaine dans le second établissement visité au cours de cette matinée, à l’école des Rosoirs.

Accueilli par la directrice Sophie FEVRE, le maire d’Auxerre eut droit à la visite en règle de l’établissement. En suivant de manière scrupuleuse la signalétique placée au sol qui garantit la distanciation physique.

Il put aussi s’entretenir avec quelques enseignants qui reprenaient leur rôle de pédagogue aux côtés de leurs jeunes apprenants et partager avec eux leurs ressentis sur cette expérience unique en son genre.

Le maire n’aura pas manqué de saluer la mobilisation et le travail fourni par les services municipaux (« ils ont œuvré d’arrache-pied depuis plusieurs jours ») pour que les conditions de cette reprise soient les plus optimales possibles. Ainsi que l’implication du personnel de l’Education nationale, plus que jamais sur le pont afin de rassurer les parents les plus circonspects.

 


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De nombreux établissements scolaires accueilleront ce jeudi 14 mai une proportion encore faible de têtes blondes dans les salles de cours sur notre territoire. Mais, la Ville de Sens n’ouvrira pas ses écoles. La décision signifiée ce mercredi par la présidente de la Communauté de communes du Sénonais est sans appel et pour cause. L’élue ne veut prendre aucun risque : deux cas suspects au COVID-19 lui ont été signalés parmi le personnel éducatif…

SENS : Cela aurait dû être un peu la fête dans l’esprit de nombreuses familles ce jeudi matin aux alentours de huit heures. Mais, ce désir de retrouvailles si attendues entre les enfants et leurs enseignants tournera court.

Les élèves des grandes sections de maternelles, de cours préparatoire et de cours moyen deuxième année, préparés à la reprise de leur scolarité après huit longues semaines de confinement, joueront finalement les prolongations en demeurant chez eux.

Contre toute attente, la nouvelle du report de la reprise de l’école a été annoncée ce mercredi après-midi par un communiqué de presse à l’estampille de la présidente de la Communauté de communes du Sénonais et maire de Sens, Marie-Louise FORT.

Mais, la cause de cette annulation séance tenante est plus que recevable et s’inscrit dans le cadre légitime du principe de précaution.

Informée le matin même de l’existence de deux cas suspects de coronavirus au sein d’une équipe pédagogique d’une école locale, Marie-Louise FORT, après s’en être entretenu avec l’inspecteur d’académie Vincent AUBER, a pris soin de stopper net le processus menant à la reprise de la scolarité et de le reporter à une date ultérieure.

 

 

Une reprise envisageable une fois les résultats des tests connus…

 

Les services de l’Education nationale et de l’Agence régionale de Santé (ARS), en attente des résultats de tests effectués sur ces personnes, informeront les autorités locales d’ici la fin de la semaine, à défaut en début de semaine prochaine.

Dans le même temps, la recherche de personnes ayant été en contact avec les cas suspicieux d’être infectés par le virus est à l’étude.

Prudente, Marie-Louise FORT prône la carte de la sécurité optimale. Ne souhaitant pas exposer la santé des enfants et de leur famille, ni celle des agents municipaux, ni celle des personnels de l’enseignement.

En conséquence, la reprise vers un semblant de normalisation scolaire n’est pas immédiate. D’autant que l’élue ne bougera pas d’un iota tant que les résultats des différentes investigations sanitaires ne lui seront pas communiqués par les services ad hoc de l’Agence régionale de Santé.   

Seul le dispositif organisé avec le concours de l’Education nationale en faveur des enfants des personnels soignants et des acteurs de la lutte contre l’épidémie est maintenu à ce jour.

 

 

 


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Les maux physiques sabotent de manière éhontée le bien-être du quotidien. Ils s'offrent une prise en charge par la médecine dite généraliste. Ces soins sont abordés d'un point de vue organique et académique depuis des siècles. Mais, une question se pose : la science est-elle exacte ?

TRIBUNE : Intégrer le facteur physique, psychologique, social et spirituel dans les pathologies corporelles est à affilier à bien des maux. Cette médecine plus spirituelle est à l'apparence d'un vagabond : tant de gens se fourvoient de l’authenticité de sa fiabilité. En effet, ce raisonnement est dissocié des codes sociétaux et des bien-pensants. Alors que...

Certaines pratiques thérapeutiques soutiennent une descendance plus alternative comme la médecine douce et holistique qui aborde le corps dans sa globalité. Ces approches sèment des graines pour ancrer dans le corps et la matière des raisonnements différents. Etre authentique dans ses désirs !

Le corps énergétique dans lequel nous évoluons est très souvent impacté par des éléments extérieurs. Ces phénomènes du quotidien sont des chéneaux qui s'imbriquent tels des pics dans nos énergies.

Le premier bouclier est d'éviter les « punch line » ambiantes. Elles affaiblissent notre carburant. Il nous faut une cuirasse bien huilée pour tous les projectiles pointés avec courage du côté pile.

De plus, le formatage familial et sociétal empêche quelquefois d'être dans son axe. Là, le corps va interagir à toutes ses contraintes par l'expression de la douleur. Tout acte ou pensée qui sera en inadéquation à ses valeurs déposera un symptôme.

 

Deux types de douleur : celle qui est aigüe, celle qui est chronique…

 

Cette connivence entre le corps et l'esprit où la symbiose d'une parfaite harmonie se réfute de tout « mal a dit ». La maladie est souvent et légitimement connotée à de la souffrance. Mais ne serait-elle pas de prime abord un atout  pour se reconnecter et se recentrer sur soi ? Le traduire aussi légèrement est pourtant une injonction à la réalité.

Oui, la douleur est positive. Elle vient telle une plaie à vif ouvrir une défaillance psychosomatique. Elle relaie l'état d'être d'un passé à digérer ou d'un présent à l'action inexistante.

Relayé dans le manuel « Soins palliatifs, prise en charge antalgique » du docteur Christian de BEIR, ce dernier établit la douleur sous deux aspects : la douleur aiguë et la douleur chronique.

« La douleur aiguë représente un signal d'alarme utile qui a une valeur d'alerte de durée brève qui survient brutalement et qui disparaît souvent en traitant la cause.

Dans une seconde expérience, la douleur chronique répond à un ensemble plurifactoriel. C'est un patient qui présente depuis trois à six mois une expérience sensorielle, émotionnelle, cognitive et comportementale perçue et exprimée comme délétère. Ce syndrome doit être considéré comme une maladie en soi ».

 

Un contrat entre le corps et l'esprit...

 

Ne nous fourvoyons pas ! Le corps et l'esprit se margent à un contrat à durée indéterminée. L'union de ces deux polarités est indissociable pour une bonne santé. Ils sont unis pour l'éternité dans une communion à faire fructifier.

Pour une cohabitation durable, une cohésion dans ces champs d'action du quotidien doit être actée.

Chaque entrave à un alinéa pointera efficacement en gras ce qui ne va pas. Et là, la douleur n'a pas de miracle sauf à s'écouter pour éviter des désagréments récurrents.  

Les cellules positivent à un esprit forgé : à l'amour, au respect de soi, à la joie, à l'harmonie et surtout à l'écoute de ses propres envies.

Testez et vous serez surpris : c'est la loi spirituelle du donné/recevoir.

Quoi qu'il arrive, lorsqu'il pleut, cherchez les arcs-en-ciel. Lorsqu'il fait noir, recherchez les étoiles... 

Lyvia ROBERT

 


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