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Il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Ni réaliser le rêve de son existence. Encore moins de vouloir prendre sa destinée en main ! A 34 ans, Jimmy GONDET se lance un défi de taille. Mais, pas de quoi l’affoler, lui qui pratique le football depuis bientôt deux décennies. Tout juste, est-il lucide quant à la pérennité de son projet : « j’ai misé gros et je joue ma carrière sur cette entreprise ». Un show-room de belle facture, 300 mètres carrés idéalement situé en zone commerciale à Monéteau où il propose ameublement et agencement de l’habitat sous la marque « ECOCUISINE ». C’est tout frais : les portes se sont ouvertes pour la première fois ce mercredi…

 

MONETEAU: Le vrombissement d’une perceuse altère quelque peu la qualité de la discussion avec notre interlocuteur. Logique : deux ouvriers s’affairent prestement afin de terminer la pose d’un ensemble cuisine, situé près de la porte d’entrée. Certes, tout n’est pas encore installé dans la nouvelle enseigne qui a ouvert ses portes ce mercredi à 10 heures. Mais, cela ne saurait tarder.

D’autant que d’autres corners présentent, eux, une configuration bien différente de la cuisine modèle, avec ses tiroirs offrant le rangement de nombreuses victuailles, son plan travail prêt à l’emploi et de lumineux éclairages qui donnent cette impression d’être chez soi, juste avant de se mettre à table !

Un peu plus loin, le regard se pose sur une cuisine au décorum si british et cosy. On en sentirait presque les effluves d’un breakfast éclectique à la londonienne qui viendrait titiller les narines des plus gourmands.

Prolixe dans ses explications, Jimmy GONDET, hôte de cet endroit, nous propose le tour du propriétaire, histoire de se faire une idée du concept ! Disons, une vision plus approfondie de ce nouveau show-room, terminé après quatre mois de réhabilitation avec des artisans du cru – le bâtiment accueillait à l’origine un revendeur de piscines -, aujourd’hui entièrement consacré à l’ameublement de la cuisine et à l’agencement de la maison.

 

 

Un maillage de plus de 110 vitrines commerciales à l’échelle nationale…

 

Nom de baptême de la boutique, implantée en zone commerciale près de Cora : « ECOCUISINE ». Un patronyme sobre mais explicite qui allie à la fois la double notion sémantique d’écologie et d’économie. Pas si bête ! Une marque nouvelle ? Oui à l’échelle de l’Yonne mais pas au niveau de l’Hexagone puisque cette licence de marque, apparue dans l’Est de la France en 2005, compte à date plus de cent dix vitrines de la sorte réparties aux quatre coins de notre territoire de cocagne. Jusque-là, les aficionados de ce concept novateur – des cuisines innovantes à base d’un design haut de gamme proposées à des tarifs hyper concurrentiels – devaient se rendre à Troyes ou à Dijon pour y découvrir sa philosophie.

Désormais, c’est chose faite, l’Yonne dispose d’un magasin à l’estampille de cette enseigne fondée par la famille FRANCOIS.

Ici, un terme est à soustraire d’office du vocabulaire à utiliser dans les conversations : « low cost » ! Comme s’en explique Jimmy GONDET, gérant de la boutique, à la tête d’une petite équipe de trois collaborateurs (Charlène FLEURY, chargée de la communication et du marketing, Eva BENTO, commerciale et spécialiste de la gestion et Alban LECOQ, commercial), tous férus de la vente de cuisines et d’ameublement.

« Le terme « éco » est employé pour traduire la parfaite alliance qui existe entre la notion écologique que l’enseigne est fière de mettre en avant et la notion d’économie qui permet de proposer des solutions d’aménagement à moindre coût pour les clients ».

 

 

Proposer des cuisines de qualité au juste prix…

 

Dans les faits, l’enseigne adopte une attitude plus responsable envers sa clientèle. S’intéressant à la fréquence et au panier moyen de ses courses alimentaires effectuées et au retour de la découverte client. Comme autrefois, semble-t-il.

« Notre credo est simple, ajoute Jimmy GONDET, nous souhaitons refaire des cuisines au juste prix, respectueux du budget initial des clients… ».

Des budgets qui peuvent osciller en moyenne entre 8 à 10 000 euros. Bref, de la cuisine et de l’ameublement accessibles à tous.

Pourvue d’une centrale d’achat, « ECOCUISINE » négocie ainsi ses commandes au meilleur prix auprès du principal fournisseur allemand, le groupe NOBILIA. Une structure industrielle qui sort près de 4 000 modèles de cuisine par jour de ses cinq unités de productions outre-Rhin. Précisions : l’industriel germanique va rentrer au capital du distributeur national, preuve de la confiance que le groupe accorde à son partenaire.

Quant au chiffre d’affaires prévisionnel espéré au terme de 2024, il s’élève à 1,1 million d’euros. Un sacré challenge pour Jimmy GONDET et son équipe, mais pas impossible à réaliser selon le patron de cette nouvelle structure qui veut se démarquer de la palette concurrentielle locale, opérant sur ce marché. D’ici six mois, il sera temps de tirer les premiers enseignements de cette nouvelle aventure et si possible d’accroître l’équipe avec une collaboratrice supplémentaire qui ferait aussi de gestionnaire de l’administratif.

Pour l’heure, l’équipe se réjouit de recevoir ses premiers visiteurs dans ce show-room aux allures modernistes, parfois original – il suffit d’admirer les tableaux des quatre singes aux allures rock’n’roll et humoristique pour s’en convaincre accrochés aux cimaises - et dans un univers recherché (c’est l’œuvre d’Eva et de Jimmy) et de préparer la phase inaugurale officielle de cette enseigne, prévue avec moult invités le jeudi 08 février prochain. Un esprit sain dans un corps sain : une maxime qui pourrait s’appliquer à la perfection à cette équipe…

 

Thierry BRET

 

 


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C’est presque devenu une habitude pour cette figure politique et associative de la vie sénonaise. Une distinction supplémentaire qui vient s’ajouter à d’autres titres de gloire dont la médaille de Chevalier dans l’Ordre des Palmes académiques qu’il avait obtenue en 2012 pour services rendus à l’Education nationale. Lors de la récente cérémonie des vœux, le maire de Sens Paul-Antoine de CARVILLE a donc remis la médaille de la Ville à Charles-Hervé MOREAU. Une récompense honorifique logique pour un homme  qui a consacré beaucoup de son temps à cette agglomération depuis 1988…

 

SENS : Il avait choisi de vivre à Sens pour des raisons professionnelles – une nomination au titre de directeur de la division agencement de salons de coiffure pour l’enseigne WELLA – et cette ville le lui rend bien ! Figure de la vie locale, contributeur à la création en 1997 du lycée Saint-Etienne en sa qualité de président de l’OGEC, l’organisme qui assure la gestion des établissements scolaires privés et président très actif de la structure associative PENELOPE BARRE – l’entité dispose de sa fameuse boutique favorisant la récupération et l’insertion -, Charles-Hervé MOREAU s’est donc vu décerner la médaille de la Ville de Sens, aux termes de la traditionnelle cérémonie des vœux, accueillie dans le grand salon de la mairie.

 

 

L’ancien élu municipal qui a travaillé longtemps aux côtés de Marie-Louise FORT aura eu l’opportunité de se distinguer durant ses divers mandats vécus entre 1995 et 2000, puis de 2014 à 2020, par sa bonne gestion des finances et son implication dans une multitude de dossiers : le programme Cœur de Ville, le complexe Roger Breton, un marché couvert totalement renouvelé, les travaux concernant l’église Saint-Pregts.

Source d’inspiration pour Paul-Antoine de CARVILLE, l’actuel édile de Sens, Charles-Hervé MOREAU devait être longuement applaudi par le parterre de personnalités politiques et institutionnelles, une fois épinglée de cette nouvelle médaille qui traduit un engagement sans faille…

 

Thierry BRET

 


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La liberté d’expression est l’une des ultimes libertés qui existe encore dans les démocraties. Ce qui en fait une profonde différence avec les régimes autoritaires qui gangrènent progressivement bon nombre de pays de la planète. Sans que cela ne perturbe nullement les Occidentaux, aveugles, que nous sommes ! A l’aune de 2024, nous vivons sur une planète à feu et à sang qui ne demande qu’à imploser devant tous les coups de boutoir sordides et impérialistes des tyrans et autres dictateurs de tout poil. Quand ce ne sont pas les terroristes qui s’y collent. Alors neuf ans après le drame de 2015, demeurons à jamais « Charlie » pour mieux défendre notre liberté…  

 

Lundi 

L’évènement est devenu un rituel pour le plus grand plaisir des mélomanes, épris de musique classique et autres amateurs d’une « sieste canapé », après les excès du réveillon. Chaque année, ce sont plus de 50 millions de personnes à travers le monde, qui regardent et écoutent le concert du Nouvel An de l'orchestre philharmonique de Vienne en Autriche. Un évènement retransmit en direct dans plus de 90 pays. Dirigé cette année par le chef d’orchestre allemand Christian THIELEMANN, il s’est appuyé une fois encore sur ses fondamentaux. A savoir la dynastie STRAUSS et ses valses bleutées. Mais dans l’enceinte de la salle dorée du « Musikverein », l’on est bien loin du célèbre slogan BENETTON et de ses « couleurs du monde ». Que ce soit parmi les musiciens ou dans le public, le type caucasien semble être la seule règle, hormis de-ci de-là quelques silhouettes asiatiques. La distinguée société viennoise se veut « white is white ». Et moi qui croyais qu’en musique deux noires valaient une blanche ! 

 

 

Mardi

Un détenu a été retrouvé pendu le matin de Noël dans sa cellule de la prison départementale. Un drame presque « ordinaire » au regard des chiffres, avec en moyenne, un suicide tous les trois jours en milieu carcéral (125 en 2022), qui fait de la France l’un des pays « champions » en la matière au sein de l’Europe. Ce quarantenaire auxerrois qui avait été condamné à une peine de 14 mois d’emprisonnement après l’agression de sa mère en mai 2023 était libérable dans quelques jours. Diagnostiqué bipolaire, de quel suivi médical bénéficiait-il ? Sa place était-elle derrière les barreaux ou dans un centre spécialisé ? Avec cette question en suspens : serait-il ressorti moins ou plus dangereux pour lui-même et pour la société une fois sa peine purgée… ?

 

 

Mercredi

Partira…? Ne partira pas…? Sur fond de rumeurs et d’incertitudes, l’avenir d’Elisabeth BORNE à Matignon est en suspens depuis les vœux présidentiels du 31 décembre et les « remerciements » qui lui furent décernés par Emmanuel MACRON. Un mot dont le redoutable double sens semble sceller le sort de celle qui le 16 mai prochain, aurait fêté ses deux ans au poste de Première ministre. Quel dommage ! Il ne lui restait plus que cinq séances pour égaler le record d’articles 49.3 déposés, toujours détenu par feu Michel ROCARD, champion toutes catégories qui y eu recours à 28 reprises !

 

  

Jeudi

Une figure historique de la construction européenne s’est éteinte. Jacques DELORS s’en est allé à l’âge respectable de 98 ans, après avoir occupé la scène politique quatre décennies durant. Mais de l’homme, l’on gardera surtout le souvenir de ce dimanche 11 décembre 1994, lorsqu’interrogé par Anne SINCLAIR dans son émission culte « 7 sur 7 », il renonça en direct devant des millions de téléspectateurs à se présenter aux futures élections présidentielles. Un rendez-vous manqué avec le destin, lui qui était donné favori dans les sondages et le seul, alors à gauche, à prétendre pouvoir endosser un jour le costume présidentiel. Une décision intime qui provoquât la surprise et fit débat, mais tout à l’honneur de celui qui sut placer sa vie personnelle et sa famille avant toute autre chose. A l’heure où les prétendants à la fonction suprême sont légion et pour certains déjà dans les starting-blocks, son exemple est peut-être à méditer…

 

Vendredi     

Marées noires et galettes de blé noir d’accord, mais pas d’enfant noir ! Il aura suffi d’une photo d’un enfant de couleur en habit traditionnel pour que la une du nouvel opus du « Peuple Breton », mensuel progressiste publié par l’Union Démocratique Bretonne (UDB) qui fêtera cette année ses 60 ans, déclenche une avalanche de commentaires racistes et mette le feu à la « facho-sphère ». Pour ces nostalgiques de la « race pure », hors de question qu’un enfant métis vienne « souiller » le Gwenn Ha Du, drapeau symbole de la Bretagne créé il y a près d’un siècle qui, comme chacun sait, comporte neuf bandes horizontales, quatre blanches et… cinq noires ! « À chacun, l’âge venu, la découverte ou l’ignorance » écrivait en 1970 l’essayiste breton Morvan LEBESQUE dans son pamphlet, « Comment peut-on être breton ? » .Certains ont déjà fait leur choix…

 

 

Samedi

C’est Dallas à Douchy ! Le paisible village du Loiret auréolé du prestige de compter parmi ses habitants l’un des plus grands acteurs du cinéma français n’en finit pas de servir de scène aux déchirements de la famille « DELON-Ewing »… Alain, le patriarche, en passe de porter plainte contre son fils Anthony, après que celui-ci ait effectué la même démarche à l’encontre d’Hiromi ROLLIN qui, se présentant comme la « compagne d’Alain, a elle-même porté plainte contre toute la fratrie. Sans oublier la fille, Anouchka, dénonçant dans le même registre les deux précités… Même un « Samouraï » n’y retrouverait pas ses petits ! Il est toujours triste de voir un clan se déchirer ainsi, en privé comme en public. Pauvre « Clan des Siciliens » !

 

Dimanche

 

Neuf ans après, la douleur est toujours aussi présente et le combat contre toutes les formes d’obscurantisme plus que jamais d’actualité… Neuf ans jour pour jour, que les frères KOUACHI décimaient la rédaction du journal « Charlie Hebdo », laissant derrière eux douze cadavres et un traumatisme aux accents d’éternité. Son directeur et rescapé du massacre, RISS, le confesse douloureusement : « Je crois qu’on ne guérit pas vraiment… ». Rien n’est jamais acquis sur le terrain de la liberté d’expression. Le combat ne fait que commencer, n’en déplaise à certains élus qui ont fait d’un prétendu « religieusement correct » un cheval de bataille mettant à mal la liberté d’informer et de rire. A jamais Charlie !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Le nom de sa société, elle le doit à sa grand-mère, Mireille. Du côté de sa maman. Une contraction réfléchie du mot qui lui a permis de créer « MEILLE ». Un prénom qu’elle porte aussi en seconde position après celui, nettement plus dans le vent, de Louanne. Très tendance dans sa version musicale, comme chacun le sait ! On ne peut d’ailleurs souhaiter que la même réussite à ce petit bout de fille souriante et dynamique, portant fièrement ses 26 printemps, qui s’est lancée en 2023 dans une folle aventure : le stylisme et la mode. En développant sa propre gamme de vêtements.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Elle a de la suite dans les idées, la demoiselle ! Et surtout, elle sait parfaitement où elle va. Et là où elle veut aller par rapport à l’avenir professionnel qui se présente à elle. Une « gamine » qui veut en découdre avec les codes traditionnels du monde du travail où la jeunesse n’aurait pas trop sa place pour entreprendre. Qu’on se le dise mais Louanne CHENET a bien les pieds sur terre. Même si elle s’aventure dans un univers, celui du stylisme et de la mode, parfois parsemé d’embûches, qui peut l’amener à vivre ses rêves ; tout éveillée !

 

 

A 26 ans, la jeune femme est déjà à la tête de son entreprise, baptisée sobrement « MEILLE ». Un jeu de mot obtenu avec le prénom « Mireille ». Celui de sa grand-mère maternelle, qu’elle porte en seconde identification. Réalisant son chiffre d’affaires uniquement par l’intermédiaire du numérique et de sa référence sacralisée : Internet. Ses clientes, de tout horizon et de tout âge, vivent à Paris. Ou ailleurs, selon les cas. Paris où elle se rend très régulièrement pour y accroître son business lors d’opérations de vente éphémères au Carreau du Temple, dans le troisième arrondissement.

2024 pourrait correspondre à une extension de sa zone d’influence. Côté vente et distribution, il va de soi ! Car, elle le reconnaît bien volontiers ; pour l’heure la souriante Louanne n’est encore guère connue dans le landerneau originel. Pourtant, elle est une adepte des circuits courts et de la production locale. Déjà, les tissus avec lesquels elle réalise toute une garde-robe, y compris les accessoires, proviennent de matières « upcyclées ». Sa marque de fabrique, en quelque sorte, pour celle qui ne désire pas encombrer davantage la planète.

 

 

« Le must, pour moi, dit-elle, c’est de réaliser mes confections avec des produits made in France, tout en étant proche de Paris... ».

Concevoir librement ses « vêtements de la bonne humeur », comme elle se plaît à dire. Sa gamme chromatique n’engendre pas la mélancolie et se veut éclectique selon les tissus travaillés ; elle aime jouer avec les formes, les volumes, la longueur, les jeux de texture, les carreaux, les rayures, offrant ainsi une palette complète et insolite de ses propres visions géométriques.

Petite, elle aimait s’habiller toute seule, comme une grande. Sa passion créative la gagne alors qu’elle est encore lycéenne. S’arcboutant sur des pièces uniques dont elle seule se vêtirait. Des pièces issues de son imaginaire fécond et créatif. C’est d’ailleurs cette quête de l’unicité qui la pousse dans ses ultimes retranchements : créer sa propre marque de produits. Scolairement parlant, elle évolue dans le milieu du stylisme où elle fait ses gammes en emmagasinant techniques et savoirs, Le modélisme lui convient aussi. Grand bien lui fasse ! L’expérience s’accumule au détour des différents univers de la mode qu’elle côtoie dans la capitale. Elle s’essaie même dans l’image et le shooting. On connaît la suite et le résultat.

Le monde de l’enfant et de l’homme l’interpelle aussi. Pour laisser libre cours à son imaginaire débordant de réalisations à venir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Décor dans son jus et plats en sauce ! C'est l'équation gagnante de ces institutions bourgeoises ou populaires, mais toujours sincères : bienvenue au « Bon Georges », au cœur de la capitale hexagonale, dans le IXème arrondissement, surnommé le « quartier des assurances » ! Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute…

 

PARIS : Direction « Paname » ! C’est si facile d'accès en chemin de fer, comme il se disait antan ! Pas à dire, mais « Le Bon Georges » possède une vraie âme. Les tarifs, malgré une formule-déjeuner à 26 euros, sont plutôt parisiens. Mais, les produits servis sont d'une qualité extrême. Autour de nous, c'est le monde reconstitué en quelque sorte, avec des touristes venus du Brésil, des Etats-Unis ou encore de la plus proche Espagne ! Tous lorgnent sur les œufs mayo qui sont proposés à 9 euros à l'ardoise.

Quant à la carte des vins, elle est opulente et parfois inattendue. Comme avec ce Côte d'Auvergne de Boudes (un vin de Boudes, rien ne boude comme l'atteste le dicton local) qui constitue une agréable surprise en bouche. Mais, aussi un bon rapport qualité-prix.

 

 

 

Le pavé de foie de veau : le classique de la maison

 


L'apéritif est servi sans aucun accompagnement à grignoter. Ce qui au regard des tarifs pratiqués semble un geste aussi peu commercial que mesquin. Cela n'honore pas vraiment nos restaurateurs. L'assiette d'œuf poché arrive impeccablement chaude. Cette entrée est très généreusement servie, entre gros lardons et champignons, et l'on se régale en ce jour humide de fin d'automne. Le genre de plat qui revigore le convive, si besoin était.

En plat, l'un des classiques de la maison, c'est le pavé de foie de veau, agrémenté de sa purée, bien dressée dans de jolies assiettes, qui changent des trop sempiternelles assiettes blanchâtres. C’est un plat qui donne envie d'y planter généreusement sa fourchette. Ici les cuisiniers proposent aussi du gibier en saison (ça aussi, cela se raréfie, dommage car c'est plutôt bon, si l'on est amateur !).

 

 

 

 

Vive les légumes de saison comme les choux de Bruxelles

 

Dans cette maison où l'on mijote, rissole et rôtit, le pavé de biche n'échappe pas à la règle. Il est servi avec une sauce onctueuse, un rien acide (cela facilite la digestion) et accompagné de légumes de saison, dont châtaignes et verdoyants choux de Bruxelles (délicieux légume de saison, un brin laissé pour compte désormais...).

On aimerait en saison, goûter dans cette bonne table, le lièvre à la royale, sûrement LE mets le plus abouti de la Gastronomie française. Ce sera pour l'automne prochain.

En dessert, le marron a droit de cité. Il est à côté du plus classique moelleux au chocolat, qui ici, cohabite avec le dessert emblématique et reconnu de la maison : la mousse au chocolat.

La prune de Souillac (alcool fin et délicat) accompagne ici le café, comme un réconfort ultime,  d'avant la pluie extérieure ! Finalement,  « Le Bon Georges », c'est un « p'tit » coin de la France gourmande, ni plus, ni moins...

 

 

 

En savoir plus

 

Les - : c'est un peu mesquin de ne rien offrir avec l'apéritif ! Une rondelle de saucisson, une gougère, que sais-je encore ? Et surtout, que l'on ne nous évoque pas un surcoût engendré...

Les + : la savoureuse cuisine est emmenée par un service aimable et professionnel. Bravo pour la maîtrise de l'anglais : nos touristes étrangers apprécient.

 

 

Contact :

 

Le Bon Georges

45, rue Saint-Georges

75009 PARIS

Ouverture 7/7, terrasse aux beaux jours

Tel : 01.48.78.40.30.

La formule-déjeuner est proposée à 26 euros.

Métro : station Saint-Georges (ligne 12).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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