Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Le béton prêt à l’emploi est-il en passe d’être condamné à très court terme au profit du bois d’importation ? Au-delà de la crise sanitaire actuelle et de son impact négatif sur tout un pan de l’activité économique, les professionnels de cette filière des travaux publics s’inquiètent des sombres perspectives qui se présentent devant eux en 2021…

 

DIJON (Côte d’Or) : 2020 ne fut pas réellement une année porteuse d’optimisme. Mais que dire du nouvel exercice en cours ? Les inquiétudes persistent du côté de la filière béton. Une chose s’avère exacte : la corporation souffre et semble résignée.

L’an passé, l’UNICEM (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) faisait état d’une perte de 10 % sur l’activité du béton prêt à l’emploi et d’une chute de 8 % pour les granulats.

Même avec les aides financières fournies par l’Etat dans le cadre du plan de relance, les entreprises ne devraient pas retrouver leurs niveaux de 2019 d’ici le mois de décembre.

Pourtant, la fédération régionale n’a pas encore enregistré de dépôts de bilan. Cela a été confirmé il y a peu par son président Christophe BAUDUIN.  Le secteur emploie près de trois mille cinq cents salariés. Une niche dans le monde si éclectique des travaux publics.

Cependant, les effets de la crise économique imputables à la COVID sont encore très vivaces dans les esprits.

Malgré un léger rebond survenu au troisième trimestre, 2020 aura sonné le glas de bon nombre d’espérances. La plupart des gros chantiers ont été stoppés net au plus fort de la crise avec la longue période de confinement qui s’en suivit et l’application des mesures de sécurité sanitaire très strictes.

 

 

RE 2020 et REP : mêmes orientations défavorables à la filière…

 

Tout n’est pas noir néanmoins. Il existe quelques perspectives heureuses en Bourgogne Franche-Comté avec de nouveaux chantiers à venir visant à améliorer l’état des routes nationales et de certaines voies ferroviaires. Des travaux qui intègrent les subsides du plan de relance territorial.

L’UNICEM prévoit au plan conjoncturel un sensible mieux en 2021. Il se traduirait par une infime progression de 0,5 % pour le béton prêt à l’emploi et de 4 % pour les granulats. On reste toutefois très loin des réalisations obtenues en 2019.

L’autre grand sujet de préoccupation qui perturbe Christophe BAUDUIN concerne la RE 2020 (Réglementation environnementale) et la REP pour le bâtiment (responsabilité élargie du producteur).

 

 

La RE 2020 à sa lecture approfondie ne joue pas en faveur du béton. Elle encourage les constructions à partir du bois. Quant à la REP, le consommateur risque de pâtir en bout de course des surcoûts liés au recyclage alors que les conditions sont de plus en plus drastiques pour la filière des matériaux de construction.

Enfin, l’envolée des prix de certains matériaux ne devraient pas favoriser les marchés.

D’où une source d’inquiétude supplémentaire pour le représentant de l’UNICEM Bourgogne Franche-Comté qui espère le retour de jours meilleurs...

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’industriel chinois James ZHOU, actionnaire majoritaire du club de football icaunais, a fait des heureux en livrant une dotation de 810 000 gants de protection au centre hospitalier d’Auxerre. Il y a quelques semaines, le patron d’ORG Packaging avait déjà remis cinquante mille masques au Département…

 

AUXERRE : La période des étrennes est pourtant loin derrière nous mais James ZHOU continue à assurer la distribution des surprises en ce premier trimestre de l’année. Non seulement, elles sont belles mais de taille, au vu des volumes qui sont concernés !

Généreux envers la capitale de l’Yonne, l’entrepreneur chinois a fait montre une nouvelle fois d’altruisme en expédiant depuis l’Asie plusieurs palettes contenant 810 000 paires de gants protecteurs dont font usage les personnels soignants de l’hôpital.

 

 

Ce geste intervient un an après celui qui avait déjà permis à l’établissement sanitaire de bénéficier de cent mille masques, trente mille tests PCR et trois mille blouses de protection.

Les services du Conseil départemental avaient reçu en début de mois cinquante mille masques aux vertus protectrices.

L’acheminement de cette livraison providentielle a été assuré par le personnel du club de football.

 

Thierry BRET

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Comment est appréhendé le télétravail dans les entreprises de notre territoire ? Alors que le chef du gouvernement ne cesse de marteler, conférences de presse à l’appui, que ce dispositif doit être mis en place à tout prix dans les sociétés qui le peuvent afin de lutter contre la propagation de l’épidémie, le préfet de l’Yonne se rendra au siège de GROUPAMA Yonne mardi pour y recueillir des témoignages…

 

AUXERRE : Près de 40 % des entreprises de l’Hexagone sont encore réfractaires à l’idée de développer des activités en télétravail malgré le contexte sanitaire ambiant.

Les explications tiennent en quelques lignes : manque de confiance envers les collaborateurs, problématiques au niveau de la logistique ou peu encore peu de motivation à chambouler l’organisation de l’entreprise. Pire, certains dirigeants ne se sentent pas concernés par ce dispositif.

Pourtant, les messages répétitifs de l’Etat se veulent explicites : dès lors que les activités le permettent, la mise en place du télétravail doit être réalisée par les entreprises. Objectif : freiner la circulation de la COVID-19 dans la sphère entrepreneuriale.

Accompagné de Jean-Michel LOUYER, responsable de l’Unité départementale de la Direction régionale de l’Economie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS), le préfet de l’Yonne Henri PREVOST fera le point sur les diverses questions qui peuvent résulter de cette application : à savoir les droits et les devoirs des employeurs et des salariés, les risques encourus ou sur un tout autre registre, mais aussi sur les aides financières existantes.

Le représentant de l’Etat se rendra au siège icaunais de l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val-de-Loire pour interroger son binôme de dirigeants : Pascal MAUPOIS, président de la Fédération des caisses départementales de l’Yonne et le directeur de l’établissement, Jacques BLANCHOT.

Tous deux apporteront leurs témoignages sur la manière dont est appliquée et vécue le télétravail au sein du spécialiste de l’assurance et de la prévoyance…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi ne se présente pas dans sa configuration habituelle. Cette année, aucune présence physique n’est acceptée. La pandémie et son lot de désagréments ne l’autorisent  pas ! Pour autant, ce rendez-vous revêt de la plus haute importance pour les porteurs de projet et chefs d’entreprise encore néophytes dans l’apprentissage de leur métier...

 

SENS : Cela ne peut pas être pire que l’an passé ! La salle René Binet devait accueillir au printemps 2020 la manifestation en ses murs. Malheureusement, la propagation virulente du coronavirus en a voulu autrement avec l’arrêt systématique de tous les évènementiels prévus sur les mois de mars et d’avril. Nom de code de ce douloureux programme à respecter : le confinement !

Même si la crise sanitaire persiste toujours en ce premier trimestre 2021 plongeant nos concitoyens dans le doute et l’amertume, la question de faire l’impasse une seconde fois sur cet évènement ne s’inscrivait pas parmi les priorités de ses organisateurs.

La Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi aura donc bel et bien lieu. En utilisant les canaux vertueux du numérique ! Conséquence, il suffira d’avoir le regard rivé à l’écran de son ordinateur ou de son smartphone pour suivre le copieux programme concocté par les instances bien pensantes de ce concept.

 

Trois volets fondamentaux de l’entrepreneuriat seront abordés…

 

Le Grand Sénonais, la Fabrique à Entreprendre, le PEIPS (Pôle économique et insertion professionnelle du Sénonais), la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne et l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais (OCAGS) invitent celles et ceux intéressés par la double thématique de prendre date et de s’inscrire au préalable sur le site www.grand-senonais.fr pour y participer.

Durant cinq jours, le fil conducteur de ce rendez-vous interactif sera le témoignage. Celui d’entrepreneurs déjà expérimentés sur le sujet. Celui de formateurs qui ne peuvent que prodiguer les bons conseils. Celui des professionnels de l’information, aussi, puisque ce lundi 29 mars, la fine fleur des médias du territoire sera invitée à s’exprimer sur les us et coutumes des relations presse, l’un des maillons indispensables de la chaîne informative pour faire connaître son entreprise.

 

 

Côté entrepreneuriat, trois volets seront abordés. La création pure et simple d’une société, en parfaite logique. Le volet commercial verra l’intervention de Francis SARLIN, responsable de l’Office du Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais qui évoquera le poids du e-commerce aujourd’hui.

Compte tenu du contexte ambiant, le soutien à l’entreprise et les fonds de relance territoriale constitueront un autre morceau de choix dans ce programme très éclectique.

 

Une table ronde accueillant une vingtaine de dirigeants…

 

L’environnement qui gravite autour du créateur/repreneur ne pourra être ignoré par les intervenants. Retraite, cession, assurances, santé, statuts juridiques, finances, réseaux, psychologie… : les items sont donc pléthoriques. Et prétextes à autant de discussions sans doute animées !

Le Club des Dirigeants de la CCI proposera une table ronde où une vingtaine d’entrepreneurs parleront des problématiques de recrutement (le nerf de la guerre pour bon nombre d’employeurs), notamment dans le secteur industriel.

Le rendez-vous est programmé le jeudi 01er avril à 8h30 sur la chaîne Youtube de l’évènement. Il sera animé par Hervé AUBERGER, responsable du Pôle Formation de la chambre consulaire et directeur de l’Ecole de Gestion et de Commerce de Sens (EGC).

Au total, vingt-et-un ateliers attendent les internautes (plus de deux cents participations croisées sont déjà assurées à date), sachant que les retardataires peuvent s’inscrire au dernier moment pour choisir leur programme.

 

Thierry BRET

 

En savoir plus :

Semaine de l’Entrepreneuriat et de l’Emploi

Du 29 mars au 02 avril

Conférences, ateliers, ateliers, échanges.

Sur Internet

Inscription sur :

www.grand-senonais.fr

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Trois containers à poubelles en feu. Quatre véhicules de particuliers partis en fumée. Des jets de pierre sur les forces de l’ordre et les pompiers. Triste bilan pour une situation délétère qui gangrène le Sénonais. Le syndicat de police ALLIANCE tire la sonnette d’alarme devant l’ampleur du phénomène. Ces violences urbaines qui gagnent petit à petit les villes moyennes de province…

 

SENS: La situation est de plus en plus alarmante. Et encore une fois, c’est la population de l’agglomération principale du nord de l’Yonne qui en paie les pots cassés.

En l’espace de quelques jours, les flambées de violence s’invitent à la nuit tombée dans certains quartiers de la ville. A la manière d’un sinistre rituel. Dans ceux qui sont déjà pointés du doigt par les services de la préfecture et des forces de l’ordre : Les Champs-Plaisant, Les Arènes et Les Chaillots.

La présence massive de CRS et de renforts extérieurs au soutien des forces locales aura permis d’éviter le chaos mercredi soir. En contenant et en maîtrisant les velléités intempestives de ces casseurs qui ne souhaitent qu’une seule chose : « se faire encore et toujours du flic ! ». Mais, pour combien de temps in fine ?

Chargé de la communication au sein du syndicat ALLIANCE Police Nationale, un organisme majoritaire en France, Eric HENRY parle. Il évoque l’impensable et la situation complexe vécue dans la nuit du 23 au 24 mars.

« Plusieurs groupes d’émeutiers ont orchestré un nouveau guet-apens avec un seul but : « se faire du flic ! ». Vers 23 heures, poursuit-il, l’équipage de police secours accompagné par un véhicule de la police municipale était requis pour des feux de poubelles dans le quartier sensible des Champs-Plaisant.

Sur place, ils ont été accueillis par des voyous cagoulés et armés de battes de baseball ou de barres de fer décidés à en découdre. Ils ont également essuyé des jets de mortiers et jets de projectiles. Le véhicule de la police nationale a été dégradé avec des vitres cassées et la carrosserie abîmée. Quant à celui de la police municipale, il a été touché par des jets de mortiers et autres projectiles… ».

 

Des renforts extérieurs sont nécessaires pour maintenir l’ordre…

 

La venue des contingents de la CRS 02 et de la CRS 40 depuis leur lieu d’emploi (Saclay en Ile-de-France), soit une soixantaine de personnes, a quelque peu rassuré les forces de l’ordre de Sens. Y compris les élus. Mais, cette demande de force supplémentaire est faite jusqu’au samedi 27 mars inclus.

« Or, ajoute Eric HENRY, nous ne savons pas si ces compagnies républicaines de sécurité demeureront à Sens pour le week-end…nous attendons le retour du ministère de l’Intérieur. ».

Le représentant d’ALLIANCE, amer, constate et déplore que « sans des renforts extérieurs (police municipale et gendarmerie nationale), c’est la loi des délinquants qui s’impose et la République qui se met à genoux… ».

Pourtant, il se montre très catégorique sur la physionomie avec laquelle il faudrait envisager la situation.

« Pour inverser la tendance, il faut davantage de policiers sur le terrain – une demande récurrente que font par ailleurs plusieurs personnalités politiques du sérail depuis fort longtemps – et surtout que la justice condamne les contrevenants avec plus de fermeté ».

Accentuer la visibilité de la police dans la capitale du Sénonais, mailler le territoire avec cette présence qui n’aurait rien d’inopportune permettrait de juguler les ardeurs des réfractaires à la loi.

« Tant que la justice n’agira pas avec plus d’intransigeance, il existera toujours des caïds qui tenteront d’imposer leur loi dans les quartiers sensibles, lâche le responsable syndical. Nous ne voulons plus de l’impunité totale… ».

Derrière ces violences urbaines se profilent les trafics en tout genre, notamment ceux qui se rapportent aux produits stupéfiants, herbe de cannabis, héroïne, voire cocaïne.

Les couvre-feux successifs ont quelque peu obéré leurs lucratifs marchés. D’où l’émergence de ces violences urbaines qui en résultent.

Entre 2005 et 2020, Sens a perdu près de 30 % de ses effectifs au niveau des forces de l’ordre alors que la délinquance, elle, a très nettement progressé.

Ceci explique sans doute cela. Un argument auquel il faut ajouter la délicate proximité avec l’Ile-de-France qui déplace ses problématiques vers les villes de la troisième couronne…Dont Sens.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil