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La filière de l’agriculture bio a le vent en poupe en Bourgogne Franche-Comté. Pour enfoncer davantage le clou autour de ce sujet ô combien d’actualité, la présidente de la Région effectue un déplacement ce mardi 12 novembre en terre de l’Yonne afin de parapher le contrat de développement de ladite filière. Avec, en guise de passage obligé lors de sa venue à Chablis, la visite de la brasserie locale qui propose des breuvages 100 % issus du biologique et du domaine viticole Jean COLLET et Fils…

CHABLIS : Qui ne connaît pas les subtiles variantes goûteuses de la bière « MADDAM » dans notre département ? Depuis 2016, date de la création de cette brillante société qui a su se faire un nom en qualité de brasserie artisanale et bio dans le saint des saints de la viticulture bourguignonne, la structure ne cesse de croître et d’optimiser son savoir-faire. Désormais, bien au-delà de sa zone de chalandise initiale.

Mardi après-midi, une personnalité du sérail politique et institutionnel de notre contrée régionale, sa présidente, Marie-Guite DUFAY, aura à cœur de découvrir l’antre professionnelle des deux compères de cette très belle aventure professionnelle, les cousins Alexis et Vianney MADELIN.

L’immersion à la Brasserie de Chablis (véritable identité de la structure qui véhicule commercialement sa marque MADDAM) devrait permettre à l’élue de la Bourgogne Franche-Comté de réaffirmer sa volonté de soutenir le développement de la filière bio dans le secteur agricole/viticole.

D’ailleurs, l’élue transformera l’essai en procédant à la signature du contrat de filière agriculture biologique à l’issue de cette visite qui l’aura menée également au domaine Jean COLLET et Fils à Chablis.

Pour mémoire, quatre de ces contrats spécifiques qui prônent les bienfaits de cette nouvelle tendance agricole ont été signés en 2018. Ils s’appliquaient au lait conventionnel, à la viande bovine, à la viande porcine et aux grandes cultures.

Accompagnée de Christian DECERLE, président de la Chambre régionale de l’agriculture et des deux co-présidents du Réseau Bio Bourgogne, Philippe CAMBURET et Patrice BEGUET, la représentante de l’exécutif régional apposera son paraphe au bas d’un document qui précise les stratégies mises en place pour l’agriculture biologique au cours de ces trois prochaines années.

Fruit d’une large concertation établie avec le concours du Réseau Bio et celui des chambres consulaires, ce document offre aux différents acteurs de la filière la garantie des moyens et des actions au service du développement de leur filière dans un cadre pluriannuel.


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La manifestation  en soutien aux personnels hospitaliers, toujours en proie à de sérieux doutes professionnels depuis plusieurs mois, s’est déroulée ce samedi dans les rues de la préfecture de l’Yonne. Elle aura vu la présence des représentants de la liste, « Auxerre Ecologie, la Ville envie ». Une participation qui trouve sa pleine légitimité pour leur chef de file, Denis ROYCOURT. Car, les questions de santé publique demeurent prioritaires au sein de leur formation…

AUXERRE: Favorables à une médecine préventive, les leaders de l’écologie auxerroise ne pouvaient en aucun cas se soustraire à un tel rassemblement consensuel, qui défendait les valeurs d’une offre sanitaire de qualité et de proximité.

Il n’a donc été nullement  anachronique d’observer la présence d’une délégation de la liste écologiste, « Auxerre Ecologie, la Ville envie » lors de cette marche populaire en faveur d’une cause solidaire : le soutien aux personnels du centre hospitalier de la capitale de l’Yonne.

Dans un bref communiqué, la tête de file écologiste, Denis ROYCOURT, s’en est expliqué : « la priorité doit être redonnée aux soins, à l’accueil des malades et à leur bien-être, à l’aspect médical qui doit primer sur l’administratif. On ne gère pas un établissement sanitaire comme une simple marchandise… ».

 

Les liens ténus entre le milieu de la santé, la prévention et notre environnement…

 

Défenseur d’une véritable politique de santé publique à préconiser de manière impérieuse dans les années à venir, les responsables écologistes reconnaissent que beaucoup de chercheurs ont montré les liens ténus entre la qualité de notre environnement, l’air que l’on respire, l’eau que l’on boit, la nourriture que l’on absorbe, les produits que l’on utilise et la santé des personnes vivant dans cet environnement.

Soutenir le personnel de l’hôpital via leurs revendications dans leur lutte pour davantage de justice sociale s’inscrit donc dans un schéma de pure logique intellectuelle pour les têtes pensantes de la formation écologiste locale.

« Tous ensemble, nous devons nous mobiliser en faveur de la santé et du renforcement de sa qualité, sans omettre les valeurs humaines et le respect de celles et ceux qui les véhiculent à travers leurs métiers… ».

Une cause noble à laquelle beaucoup souscrivent désormais dans le sérail politique du landerneau icaunais. Dont les écologistes qui l’ont fait savoir fort justement.

 

 

 


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L’implantation de cette enseigne régionale leader dans la distribution et l’entretien de poids lourds dans l’une des zones industrielles situées en périphérie de Sens vient d’être entérinée par le conseil communautaire du Grand-Sénonais. D’ici le terme de 2022, ce nouveau site commercial et SAV à l’estampille du constructeur néerlandais DAF sera fonctionnel sur quinze mille mètres carrés de terrain zone des Vauguillettes…

SENS : Ce n’est plus un secret de Polichinelle pour personne. D’autant que le Conseil communautaire du Grand-Sénonais a pu analyser il y a peu le moindre des éléments réunis dans ce dossier avant de faire connaître sa décision à l’issue d’un scrutin. Celui-ci s’avère positif ; le contraire eut été étonnant…

Le groupe LEFEVRE dont le siège social et administratif est installé depuis des lustres sur la commune de Pontigny est en phase de pouvoir acquérir quinze mille mètres carrés de terrain dans la zone des Vauguillettes à l’est de Sens. L’entreprise a reçu la bénédiction officielle de l’organisme institutionnel pour procéder à cet achat essentiel à son développement.

Déjà présent à Malay-le-Grand sur une superficie de six mille mètres carrés lui permettant d’accueillir techniciens et mécaniciens dans son pôle logistique, DAF LEFEVRE voit grand avec le presque triplement de ses activités.

 

 

Non seulement, le groupe dirigé par Fabrice LEFEVRE délocalisera son site originel, devenu au fil des ans trop exigu pour y recevoir ses sept mécaniciens. Mais, en outre, son projet va inclure la pose d’une station de chargement destinée aux véhicules électriques.

De deux à quatre bornes y seront déployées dans le futur pour alimenter les besoins de poids lourds moins consommateurs en énergie fossile. D’autant que le constructeur batave promet des nouveautés révolutionnaires du côté de ses produits motorisés.

Ce qui aurait pu apparaître de facto comme une sérieuse entrave à l’essor de l’entreprise (le manque d’espace) s’en trouvera désormais éradiquée. En bénéficiant d’un garage poids lourds plus spacieux ainsi que d’un show-room de belle taille et ergonomique, le groupe LEFEVRE qui investira 1,6 million dans le projet, peut raisonnablement accroître sa prégnance sur ce secteur d’activité à fort potentiel.

 

Un article réalisé avec le partenariat de la Ville de Sens et de la Communauté de communes du Grand-Sénonais.

 

 


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Le concept se nomme Cristal. Transparent et conçu sur-mesure, il se veut universel. L’offre se destine aux familles : ces dernières bénéficiant pour la première fois d’un forfait bancaire généralisé. Ce dispositif en phase de test depuis 2018 a obtenu gain de cause de la part de ses instigateurs. Le pilote ayant répondu à ses attentes, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté a décidé de franchir le pas et de le commercialiser sur l’ensemble du territoire. Mise en application dès le mois d’octobre…

DIJON (Côte d’Or) : Répondre aux besoins de tous que l’on soit en couple, avec ou sans enfant, et ceci dans le cadre d’un même forfait packagé, c’est ce que propose depuis peu l’établissement bancaire régional à sa clientèle.

En effet, depuis un an, et après avoir vu ses tests spécifiques corroborer ses attentes, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté est devenue le pilote de ce dispositif novateur à destination des familles.

Aujourd’hui, l’établissement est la première banque à décliner ce type d’initiative bancaire à vocation familiale.

Jugée pratique et économique par ses auteurs, l’offre « Cristal » ne nécessite qu’une cotisation mensuelle unique pour la gestion de tous les comptes bancaires des membres d’une même famille. Et ce, quel que soit le nombre d’enfants !

Ainsi, grâce à ce forfait, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté aborde un nouveau virage dans ses choix stratégiques. En s’inspirant des opérateurs téléphoniques incontournables ou encore de l’opérateur NETFLIX, l’établissement colle au plus près des aspirations consuméristes du moment.

Grâce à cette offre personnalisée applicable à l’ensemble de la même fratrie, la banque mutualiste se donne une excellente opportunité de booster sa relation à la clientèle.

 

Un coût unique pour une multitude de fonctionnalités…

 

L’outil favorise la proximité dans la relation à l’autre. Un item demeurant l’un des credo forts de la société. Mieux : elle permet à un conseiller commercial de suivre chaque relation établie avec le client de manière assidue.

Dans l’absolu, cette offre déclinée intègre un certain nombre de services quotidiens proposés par une banque : un compte, une carte bancaire, diverses fonctionnalités digitales et ce fameux conseiller dédié. Celui-ci faisant office de pivot inaliénable dans la relation à travailler en direct auprès de la clientèle.

Y accéder est simple par essence. Le coût d’une cotisation mensuelle fixe suppose que chaque client peut personnaliser son équipement en fonction de sa situation personnelle.

Trois services peuvent y prétendre aisément : « Essentiel », « Confort » ou « Premium ». A l’aide de ce concept novateur, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté s’enrichit de cette nouvelle expérience professionnelle pérenne, en optimisant plusieurs fonctionnalités en ligne qui assurent une gestion simplifiée et personnalisée des comptes de sa clientèle.

Un forfait né et testé dans notre région qui devrait s’élargir progressivement à l’ensemble de l’Hexagone dans les semaines à venir...

 

 


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Au cœur de l’actualité depuis plusieurs semaines, la réforme des retraites n’est toutefois pas une obligation. Contrairement à d’autres mesures, prises tout récemment. N’étant pas soumis à une quelconque pression financière sur le sujet, le gouvernement peut se permettre d’évaluer les besoins de chaque régime de retraite à son rythme, et de réfléchir posément. Avant de présenter une série de propositions au cours du premier semestre 2020. C’est ce qu’ont précisé la porte-parole du gouvernement, Sibeth NDIAYE et le secrétaire d’Etat à la protection de l’enfance, Adrien TAQUET, lors de leur venue à Auxerre, dernièrement…

AUXERRE : Une chose est certaine avant que ne tombent sur les télescripteurs médiatiques les premières propositions faites par le gouvernement au cours des six prochains mois : la réforme des retraites concernera les citoyens nés après 1963.

Elle ne devrait s’appliquer qu’à partir de 2025, en sachant que tout ce qui a été acquis le reste avec un calcul favorable, voire plus avantageux pour le futur bénéficiaire.

La visite en territoire icaunais des deux représentants du gouvernement PHILIPPE n’avait d’autres prétentions que de pouvoir expliquer les grands principes de cette réforme qui fait crée le débat parmi la société française.

Un préambule confirmé par les propos de la porte-parole, Sibeth NDIAYE, qui rappela l’importance de ces rencontres auprès des citoyens pour les membres du gouvernement.

« Nous devons nous présenter à eux et écouter en retour ce qu’ils pensent réellement de ce projet de réforme… ».

Une cinquantaine d’Auxerrois eurent ainsi ce privilège d’en savoir davantage sur les arcanes du pouvoir et les réflexions qui en résultent sur un thème chaud bouillant qui pourrait bien mettre la France dans la rue d’ici peu.

Pédagogue, l’experte es communication du gouvernement prit soin de se lancer dans une explication de texte détaillée autour du mode de calcul de la retraite ; tel qu’il fut statué au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.

A l’époque, précisa-t-elle, le chômage était inexistant, avec un régime universel et un quota d’actifs équivalent à quatre salariés pour un retraité.

Puis vint le temps de l’adoption des 42 régimes spéciaux (ceux qui occasionnent autant de remous dans la sphère sociale et corporatiste), avant que le système accuse le coup après l’arrivée du baby-boom et de son flux grandissant de jeunes retraités sur le marché de l’oisiveté. Soit aujourd’hui, un actif et demi pour un retraité. On l’aura compris : le système a du plomb dans l’aile…

 

 

Un retour au régime universel où tout le monde bénéficierait des mêmes droits…

 

Dans un second temps, l’intervention du charismatique porte-voix de l’Etat s’orienta sur les parcours de vie. Ceux qui évoluent avec un profil plutôt linéaire.

«  Auparavant, poursuit-elle, les gens exerçaient un seul métier durant leur carrière professionnelle. Le plus souvent dans la même entreprise. Et ce jusqu’à l’âge de la retraite. Aujourd’hui, nous constatons des changements tant sur les métiers exercés avec des passages du privé au public ou vice-versa, que sur le cumul de plusieurs régimes, entrecoupé parfois de périodes de chômage… ».

Sibeth NDIAYE ne manqua pas d’évoquer la féminisation des carrières. Celles-ci étant souvent interrompues par des grossesses, voire des temps partiels, avec au final en guise de résultante pour une femme sur cinq, une retraite obtenue à 67 ans.

La porte-parole de Matignon aborda ensuite dans ses explicatifs les grands principes de ce projet de réforme.

Il s’agira avant toute chose de conserver le régime par répartition qui sécurise le système, en revenant néanmoins à un régime universel, où tout le monde sera placé à la même enseigne.

« Chaque heure travaillée donnera droit à des points y compris les petits boulots saisonniers tenus par des étudiants, ajouta la représentante de l’Etat, un seuil minimum contributif de mille euros serait également mis en place… ».

Plusieurs interrogations fusèrent de l’assistance dans l’écoute. Ainsi, Sibeth NDIAYE confirma que le montant du point serait fixé par les exécutifs avec les organisations syndicales, que celui-ci serait indexé sur les salaires des actifs et non sur le point de l’inflation.

D’autres idées furent abordées plus en aval de la réunion : la création d’un carnet de travail numérique afin de suivre l’évolution des personnes au travail. Ce qui pourrait englober la connaissance de leurs droits, la pénibilité, la santé, le handicap, le chômage qui serait pris en compte.

Il y aurait enfin la possibilité de proposer une valorisation progressive pour les femmes avec la prise en compte d’enfants, et ce dès la première naissance.

Des pistes de réflexion qui ont nourri une rencontre studieuse et passionnante, avant que ne soit présenté le futur schéma gouvernemental dès le printemps.

Maryline GANDON

 


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