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Les cinquante-neuf journalistes, membres du jury européen, n’ont eu que des yeux de Chimène pour la petite citadine du constructeur nippon. Succédant à la Peugeot 208 qui s’était hissée sur la plus haute marche du podium la saison dernière, la Yaris 4 remporte le prestigieux titre de voiture de l’année 2021. Une distinction qui auréole de gloire le site de production de l’automobile : celui qui est situé près de Valenciennes dans le Nord…

PARIS : La victoire de la Toyota Yaris 4 au titre de véhicule de l’année 2021 sur le continent européen possède par ricochet des attaches hexagonales. Forcément, la petite citadine est produite sur les chaînes du constructeur japonais au sein de l’usine de Valenciennes Onnaing dans le nord de la France.

Ce lundi 01er mars, cinquante-neuf représentants de la presse continentale ont dû procéder à un choix extrêmement cornélien : la désignation par un vote de l’automobile de l’année.

Ce titre est décerné depuis 1964 sur le Vieux Continent par les journalistes de la presse spécialisée. La quatrième mouture de la Yaris élaborée par Toyota rejoint donc au palmarès son auguste ancêtre, celle de la première version qui en l’an 2000 avait déjà fait succomber le jury.

 

 

Toyota dans le nord de la France, c’est déjà une histoire ancienne synonyme de succès. Trois cent mille automobiles devraient sortir de son unité de production cette année avec la quatrième version de la Yaris mais aussi deux autres modèles, la Yaris Cross et un SUV programmé en fabrication au cours de l’été. Au terme de 2021, l’usine d’Onnaing accueillera 3 600 collaborateurs.

Quant au palmarès, signalons que la Toyota coiffe sur le fil la Fiat 500 électrique et la surprenante espagnole Cupra Formentor. La première française, la Citröen C4, termine à la septième place de ce classement continental.

 

Thierry BRET

 

 


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Ca y est : cela bouge enfin du côté d’Aux R Parc !  Les premiers coups de pelle mécanique modifient depuis quelques semaines la physionomie de cet immense espace paysager d’environ cinquante hectares devant accueillir les futurs emplois de l’agglomération auxerroise. On connaît déjà le nom de deux entreprises qui érigent leurs infrastructures sur le site. Le dossier sera suivi désormais par Félix BEPPO, nouveau développeur de l’attractivité économique au sein de l’Agglo.

APPOIGNY : C’était le 12 juin 2019 dans le cadre d’une cérémonie protocolaire suivie par la fine fleur de la sphère institutionnelle et économique départementale.

Deux entreprises apposaient ce jour-là sous un énorme chapiteau par l’intermédiaire de leurs dirigeants leurs signatures sur un document officiel les liant au projet Aux R Parc, la nouvelle zone d’activité du nord de l’Auxerrois. Quinze ans après les tractations originelles de ce dossier et une multitude de fouilles archéologiques qui seront rondement menées, Aux R Parc prend enfin corps et âme.

Sous la forme de différents chantiers de terrassement et de montage des futurs bâtiments qui accueilleront d’ici quelques semaines ses deux premiers occupants : la PME YCARE, spécialiste de l’exploitation de carrières, de mines et de travaux publics, et le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité, ENEDIS.

Disposant de trente-trois lots, Aux R Parc est un concept d’attractivité territoriale porté par la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, en étroit partenariat avec l’agence Yonne Développement.

Initiés en juin 2018, les importants travaux d’aménagement de ce site auront nécessité un investissement de près de vingt millions d’euros au total. L’Etat, la Région et le Département y apportèrent leurs contributions à l’aide d’une enveloppe de deux millions d’euros correspondant à des subventions.

 

 

Rappelons que ce projet doit accueillir des entreprises de différentes tailles et à forte valeur ajoutée. Si possible, en les délocalisant de l’Ile-de-France.

Si l’on connaît désormais l’identité des deux premières structures professionnelles qui s’y implanteront cette année, plusieurs contacts ont d’ores et déjà initiés par les services de l’Agglo et de l’agence Yonne Développement, dont la mission première est le développement économique de notre territoire.  

Un laboratoire de produits cosmétiques a été approché par les services ad hoc qui travaillent à l’essor du site.

En poste depuis le 01er février, Félix BEPPO, directeur du développement de l’économie, l’attractivité et la transition écologique de l’Agglo de l’Auxerrois, intègrera parmi ses missions principales le suivi très attentif de ce dossier porteur de dynamisme et d’emplois.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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La crise de la COVID-19 a débuté en France il y a presque un an. Des vies ont été profondément bouleversées. Les restaurants et les bars, notamment, ont été fermés pour préserver la santé d’autrui. Ces fermetures n’ont pas été sans conséquence. Et ce, pour les étudiants. Perte de jobs, perte de logement, décrochage scolaire : comment parviennent-ils encore à subvenir à leurs besoins ?

TRIBUNE: D’après l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), 21,8 % des jeunes français âgés de 18 à 25 ans se sont inscrits au chômage au troisième trimestre 2020.

Au total, sur un an, le taux de chômage a progressé davantage pour les jeunes (+ 2,6 points) que pour les autres classes d’âge. Ces chiffres se lient avec la crise sanitaire actuelle. Le chômage chez les jeunes a donc un impact important et ce d’autant plus lorsqu’ils sont étudiants.

Ces derniers doivent alors jongler entre les cours des universités et leurs besoins physiologiques si nous suivons la pyramide du psychologue Abraham MASLOW. Avec la perte d’un job étudiant, les cinq besoins de cette pyramide sont remis en cause. Leur environnement devient rapidement anxiogène. 

Depuis le #étudiantsfantomes, beaucoup se sont mobilisés. Un groupe de travailleurs du numérique a décidé de créer un site Internet : Etudiantsfantomes.fr ainsi qu’une page sur les réseaux sociaux tel que Twitter et Instagram afin que les étudiants puissent témoigner anonymement ou non pour partager leurs sentiments.

Ils se confient par ailleurs : « Globalement, ce qui revient majoritairement, ce sont des incertitudes et de l'anxiété face à celles-ci. On est tous dans cette situation-là plus ou moins, mais pour les étudiants c'est encore plus lourd à supporter parce qu'il y a une pression concernant la réussite scolaire. Et ça s'ajoute à la précarité financière de certains et à l'absence de contacts humains qui sont vraiment primordiaux pour les jeunes de 20 ans aujourd'hui. »

« Sans job étudiant, je ne sais même pas si je pourrais payer le loyer du mois de mars sincèrement. » https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/ted/

Autre témoignage recueilli un peu plus loin :

« Je galère à payer mon loyer et toutes les factures qui vont avec. Je maigris car je ne mange quasiment rien et ça a grandement affecté les études l’année dernière. Je  devais trouver un travail pour réussir à payer mon loyer : je donnais des cours particuliers. Cela m’a permis d’arriver limite à la somme requise par mois avec les APL mais maintenant je n’ai plus rien ». https://www.etudiantsfantomes.fr/temoignages/anonyme-25/

 

 

 

Une mobilisation nécessaire des milieux associatifs et syndicaux…

 

Les associations et les syndicats se mobilisent pour aider ces jeunes en détresse. Des distributions alimentaires sont organisées pour leur redonner un peu d’espoir.

Par ailleurs, quatorze syndicats appellent à une journée de mobilisation le 16 mars. Dans un communiqué, ils font le point sur la situation avant de revendiquer onze idées qui selon eux doivent être mises en place.

Ils déclarent : « De plus en plus d’étudiant·e·s sont obligé·e·s de se tourner vers des organismes de distribution alimentaire toujours plus surchargés ou renvoyé·e·s à une solidarité familiale ». Ils y ajoutent : « Les jeunes sont les premier·ère·s à subir les effets de la crise économique sur l’emploi. »

D’autres associations agissent pour aider les étudiants. Ô Cœur de la Rue distribue de la nourriture aux sans-abris.

Voyant que les étudiants vivaient une situation de plus en plus précaire, ils ont décidé d’avoir une seconde cible.

Anissa MEDDEB, une des deux fondatrices de l’association, se livre : « 70 % de nos bénévoles sont justement des étudiants car nous avons actuellement un partenariat avec l’EM de Strasbourg. En échangeant avec eux, ils nous ont confié qu’ils ne pouvaient pas manger à leur faim. Certains d’entre eux venaient marauder le soir en ayant avalé qu’un seul repas de la journée par difficulté financière. »

Aujourd’hui, la situation est très précaire pour certains d’entre eux. Ils essayent de survivre tant bien que mal en allant à des distributions alimentaires. Ou, en tentant de retrouver du travail. Pas si simple, en vérité…

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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La ville de Sens a signé une convention de partenariat avec la Banque des Territoires de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 23 février. En présence du numéro un de la Caisse des Dépôts. La portée de cet accord concerne la création d’un poste de manager de commerce, une fonction ô combien stratégique au développement du centre-ville et de son attractivité économique…

SENS : Bien que la capitale du nord de l’Yonne se distingue par le maintien de la foire et de la fête foraine en centre-ville depuis plus de cent ans, le commerce de proximité vit des heures bien sombres à l’instar de nombreuses autres villes de l’Hexagone.

En 2014, naissait une volonté de redynamiser le centre-ville afin de lutter, entre autres, contre la vacance des locaux commerciaux. De l’essor du e-commerce à l’extrême cherté de certains locaux, la ville de Sens avait du pain sur la planche.

 

La Banque des Territoires réaffirme son soutien à la ville de Sens...

 

Un premier poste de manager de centre-ville avait été créé la même année, dans le cadre du programme FISAC (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce).

Aujourd’hui, directeur de l’OCAGS (Office de Commerce et de l’Artisanat du Grand Sénonais), Francis SARLIN avait pris ses fonctions le 01er août, jusqu’en décembre 2015. Il avait été missionné pour la réhabilitation du marché couvert et le développement du commerce en centre-ville, notamment.

La ville de Sens renouvelle l’expérience avec l’embauche d’Yvelise Ameline en tant que manager de commerce pendant deux ans. Un poste financé à hauteur de 40 000 euros par la Banque des Territoire, soit 70 % de son besoin de financement.

Cette aide financière fut donc actée sous forme de convention paraphée ce mardi par Marie-Louise FORT, édile de la ville et présidente de la Communauté d’agglomération du Sénonais, et Eric LOMBARD, directeur général de la Caisse des Dépôts.

 

 

Un partenariat mis en place dès 2018...

 

Cette convention est l’occasion de réaffirmer des objectifs communs comme le développement du territoire en termes de transition énergétique et écologique. Mais elle vient aussi renforcer une collaboration de longue date.

La Banque des Territoires, partenaire du programme national « Action Cœur de Ville », s’investit effectivement dans le développement du commerce sénonais depuis 2018. Elle l’avait rapidement associée au dispositif « Centre-ville de demain » et avait participé à l’élaboration d’une stratégie de renforcement des commerces de proximité.

Ce partenariat s’était notamment concrétisé par une étude réalisée par des élus et des techniciens, avec le concours de l’OCAGS. Les experts avaient conclu que le centre-ville était trop important pour une ville comme Sens, avec des commerces vacants plutôt aux extrémités du centre historique.

Il fallait recentrer le parcours marchand au cœur de la ville. D’où les nombreux travaux en cours tels que le réaménagement de la Place Drapès.

 

 

L’impact des actions menées au cœur de la ville de Sens...

 

 

Le directeur général de la Caisse des Dépôts a par ailleurs souligné le dynamisme de la ville de Sens au niveau démographique, entre autres, qui se caractérise par « un afflux régulier d’habitants ». Il a ajouté que « pour que cette dynamique se poursuive, il est important d’investir, de transformer, ce que vous faites Madame la maire… ».

Le dirigeant estime que depuis 2014, les actions menées par la ville, et plus particulièrement par le manager du centre-ville, ont porté leurs fruits puisque le taux de vacance des commerces est passé de 25/30 % à quasiment 10 %.

Pour lui, ces initiatives doivent être complétées par d’autres démarches comme un accompagnement des commerçants dans la digitalisation.

Un outil qui peine néanmoins à trouver preneur dans le Sénonais malgré une vraie nécessité imposée par la crise sanitaire et en dépit des encouragements de l’OCAGS.

 

Floriane BOIVIN

 


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Il n’est pas question de baisser les bras ! Le message du secrétaire d’Etat chargé du Tourisme, des Français de l’étranger et de la Francophonie Jean-Baptiste LEMOYNE aux parties prenantes du dossier est, on ne peut plus clair. Tout sera mis en œuvre par le gouvernement (Elisabeth BORNE et Olivier DUSSOPT sont associés à la réflexion) pour que les salariés de FM LOGISTIC soient accompagnés dans la quête d’un nouvel emploi et que le site de Savigny devienne pérenne.

PARIS : La lettre est adressée par le secrétaire d’Etat en charge du tourisme aux élus concernés par cette nouvelle affaire de délocalisation. Un courrier qui précise les intentions de Jean-Baptiste LEMOYNE sur l’épineux dossier qui vient grever la vie économique territoriale, celui de FM LOGISTIC.

Depuis quelques jours, le Gâtinais, et plus globalement les départements du Loiret et de l’Yonne, sont affectés par cette source d’inquiétude supplémentaire qui place 230 salariés dans une situation délicate et hasardeuse. La perte inéluctable de leurs emplois, avant le terme de 2021.

Les différentes parties prenantes, soit la société propriétaire des bâtiments de Savigny-sur-Clairis ARGAN, CARREFOUR qui les loue et l’entreprise logisticienne FM LOGISTIC qui les exploite, ont précisé publiquement les raisons de cette cessation d’activité lors d’une rencontre se déroulant en présence des organisations syndicales le 11 février. Le terme préalablement défini d’une période d’exploitation du site ne devant pas dépasser une durée triennale.

Pour autant, face à la menace de la fermeture de cet endroit si stratégique de 57 000 mètres carrés, le représentant du gouvernement qui a pris acte des faits ne compte pas en rester là.

Non seulement, il a pris attache avec les dirigeants des trois sociétés concernées afin de connaître leurs positions. Mais, il a également mis dans la boucle deux de ses homologues du gouvernement, Elisabeth BORNE, le ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion et le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, Olivier DUSSOPT. Une personnalité politique qui visitait, il y a peu encore, les infrastructures de la SAS BOUDIN à Maillot.

« Tout sera mis en œuvre pour accompagner les salariés et faire en sorte que le site soit pérenniser…ont précisé en chœur les trois représentants de l’Etat.

Commentaire de l’élu de l’Yonne : « Nous avons des atouts à faire valoir pour attirer des activités et maintenir des emplois sur la zone de Savigny-sur-Clairis… ».

 

 

 

 

Un comité de pilotage a été décidé en accointance avec le préfet de l’Yonne, les représentants des entreprises, les élus locaux et les responsables des trois sociétés. Son rôle est la mobilisation en faveur du maintien de l’emploi sur ce secteur septentrional du département.

En parallèle, les services de l’Etat, et tout particulièrement l’unité départementale de la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE) se mobilise pour suivre de manière scrupuleuse la procédure envisagée conformément aux dispositions du Code du Travail.

De leurs côtés, les trois sociétés partenaires du concept originel souhaitent attirer dans les meilleurs délais un ou des nouveaux acteurs économiques sur le site.

Sachant que les bâtiments existants (pourvus des dernières normes, ils peuvent recevoir des structures logistiques créatrices d’emploi plutôt que du simple stockage statique) sont très recherchés à l’heure actuelle par la filière de la logistique. Une lueur d’espoir pour redonner un peu de baume au cœur du Gâtinais, éprouvé par cette décision ?

 

Thierry BRET

 


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