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Conventionnelle eu égard au respect du protocole, la poignée de mains entre les dirigeants de ce spécialiste en négoce de matériaux de construction et l’établissement pédagogique d’Auxerre concrétise une action de mécénat mise en place depuis le 18 décembre. Cette convention de partenariat est la première du genre à être paraphée entre un acteur économique du cru et le centre de formation, dirigé par Gérald JAFFRE. A travers celle-ci, et comme devait le rappeler Vincent EYBERT BERARD, directeur de BIG MAT GOURMAND, l’entreprise y affirme de manière appuyée son attachement à la formation des futurs professionnels de ce secteur d’activité…

AUXERRE : Depuis sa prise de fonction au poste de responsable du centre de formation par l’apprentissage dans le domaine du bâtiment, Gérald JAFFRE désirait créer de véritables passerelles, solides et pérennes, avec des acteurs entrepreneuriaux dans l’Yonne.

Une convention de partenariat reconductible de manière tacite…

C’est désormais chose faite après la signature d’un document qui unit la destinée de ces deux structures à travers le respect d’un cahier des charges finement ciselé.

Le poids lourd de la distribution de matériaux de construction gros œuvre et second œuvre du département de l’Yonne s’engage à fournir les équipements, matériels et marchandises indispensables au perfectionnement des jeunes pousses studieuses qui fréquentent le CFA Bâtiment en quête de savoir-faire et de professionnalisme.

Dans l’absolu, BIG MAT GOURMAND alimentera de manière constante le centre de formation qui accueille aujourd’hui un public de 310 élèves dont 245 apprentis. Ces derniers, répartis dans une dizaine de filières, apprennent les fondamentaux de métiers essentiels de ce segment économique que sont la maçonnerie, la couverture, la zinguerie, l’électricité ou encore la peinture. Ainsi, les matériaux utiles à l’apprentissage de l’un de ces métiers proviendront de l’entité professionnelle qui dispose de plusieurs zones de stockage et de points de vente à Auxerre et à Saint-Florentin.

Des matériaux de construction nécessaires à l’apprentissage des métiers

Située non loin du CFA Bâtiment, l’entreprise présidée par Frédéric GOURMAND éprouvera une aisance certaine au plan de la logistique pour acheminer ces matériaux au centre auxerrois.

Cette dotation de matières premières traduit la volonté du directeur du CFA Bâtiment de creuser un sillon relationnel efficace et durable dans l’intérêt général de son jeune public mais aussi, plus particulièrement, de celles et ceux qui, adultes, suivent la formation continue ou des cours par le biais de l’alternance, un vecteur d’intégration réussie dans le monde du travail.

D’autre part, BIG MAT GOURMAND a aussi contribué à féliciter les élèves de la promotion 2017, lors de la remise traditionnelle des distinctions le jeudi 21 décembre, offrant des lots et cadeaux aux heureux lauréats. Comme un bonheur qui n’arrive jamais seul !

Le CFA Bâtiment pense déjà à l’avenir et se projette vers la nouvelle année 2018 où son responsable, Gérald JAFFRE, espère capitaliser sur d’autres conventions toutes aussi efficientes que cette première mouture qui le comble d’aise…


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Malgré un léger différentiel de – 4 recrues par rapport à l’exercice antérieur de 2016, l’armée de Terre aura converti grâce à l’opiniâtreté des responsables du Centre d’information et de recrutement des forces armées (CIRFA de l’Yonne) 86 dossiers de candidature avec à la clé un contrat d’engagement auprès de la jeune génération sur 457 demandes d’information préalables. 39 % de ces choix conduisant à une carrière professionnelle de 1 à 10 ans s’effectuent vers le corps de l’infanterie, arme blindé et cavalerie, 36 % en forces de soutien (logistique, télécommunication, restauration, maintenance…) et 25 % en forces d’appuis (artillerie, génie, sapeurs-pompiers de la Brigade de Paris…). Un bilan très satisfaisant selon l’adjudant-chef Bruno NIRLO, à la tête du CIRFA, qui présentait les contours de cet engouement lors d’une cérémonie de signatures de la nouvelle promotion de décembre…

AUXERRE : L’armée de Terre recrute et forme chaque année de nouveaux militaires. Ce n’est un secret de polichinelle pour personne puisque de nombreuses campagnes de communication inondent à rythme constant les médias depuis plusieurs mois. Et leur impact sur la frange juvénile de la population est considérable.

Agés de 18 à 25 ans, filles ou garçons indistinctement, diplômés ou sans qualification, ces jeunes gens, issus de toutes les strates sociales de notre société décident de s’engager sur des périodes temporelles à géométrie variable, de une année à dix ans, selon leurs appétences à vivre de nouvelles aventures. Mais, celles-ci ne représentent pas un coup de folie passagère. Mûries, réfléchies, déterminées, le plus souvent en accointance avec le soutien de la famille ou des proches, ces décisions ne sont pas prises à la légère.

Le désir de servir la patrie et de vivre de vraies aventures avant tout…

Œuvrer pour une noble cause, la défense de la patrie et apporter sa contribution à l’honneur de la France, constituent les premiers arguments émis par ces militaires en herbe qui ne manqueront pas de s’aguerrir au contact de leurs supérieurs hiérarchiques pendant leur formation de soldat. Viendra ensuite le temps de la spécialisation au cours de séances formatives intenses.

Car, l’armée de terre, entreprise à part entière, possède une kyrielle de possibilités d’épanouissement professionnel au gré des spécialités qu’elle propose.

« Que l’on soit dans les transmissions, les cuisines, affectés au service médical, comptable et administratif, à l’électricité ou au génie, ce ne sont que des postes à forte responsabilité mêlant obligatoirement rigueur et discipline, explique Bruno NIRLO, en charge de la signature d’une dizaine de nouveaux contrats d’engagement afin de ponctuer le bilan 2017.

Plusieurs acteurs de la vie institutionnelle et économique permettent justement de diriger ces jeunes gens, marqués par les tragiques événements liés aux attentats, de servir la France. Qu’il s’agisse de Pôle emploi, des Missions locales mais aussi des forces de l’ordre (gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers…), tous relaient abondamment les informations distillées à large échelle par les forces des armées françaises. Aujourd’hui, 15 000 postes sont à pourvoir pour ces jeunes gens issus de la génération Z qui désirent embrasser une carrière professionnelle.

 

Un impact économique indéniable sur un territoire…

« Vous savez, ajoute l’adjudant-chef avec le sens pédagogique qui est le sien, ces nouvelles recrues perçoivent un salaire garanti compris entre 700 et 1 300 euros nets chaque mois. Le temps de la durée de leur contrat qu’ils peuvent en outre proroger très facilement s’ils en éprouvent l’envie. Logés, nourris à titre gracieux, ces jeunes comprennent immédiatement la réalité de l’impact économique qui s’offre à eux. Prenons l’exemple de ces 86 nouveaux contrats validés en 2017, cela représente au bas mot 97 000 euros nets de dépenses effectives mensuelles sur le seul département de l’Yonne lors des retours en permission ! ».

Certaines entreprises, partenaires, l’ont parfaitement assimilés et gardent aussi sous contrat des jeunes gens désireux de rejoindre l’armée jusqu’au terme de la procédure d’engagement qui peut courir sur plusieurs mois. C’est le cas de Mc DONALD'S et du spécialiste du traitement téléphonique commercial, la société ARMATIS.

Quant au bilan 2017, il permettra à l’un des jeunes gens de niveau bac +5 d’être incorporé en qualité d’officier en qualité d’architecte ; huit autres personnes iront grossir les effectifs des sous-officiers (ils sont bacheliers) et 77 signataires, ne bénéficiant d’aucune qualification à niveau baccalauréat, deviendront des militaires du rang. Notons que la télécommunication pour 10 % d’entre eux et la logistique (8 %) retiennent l’intérêt des choix en priorité. Réparties sur l’ensemble du territoire national, ces jeunes recrues ont délibérément choisi leurs affectations. Dont une en Allemagne…

Les zones de recrutement de notre territoire se partagent équitablement les origines de cette passion : 38 % des recrues 2017 sont natifs du secteur de Sens, 31 % proviennent d’Auxerre et de ses environs tandis que 25 % vivent dans l’Avalonnais. A signaler que 6 % de ces jeunes pousses viennent des départements limitrophes.


 


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Sécuriser les parcours professionnels des demandeurs d’emploi et des salariés du particulier employeur dans la région Bourgogne Franche-Comté représentait l’ambitieux objectif de cette signature de convention tripartite, survenue il y a quelques jours à Dijon. Le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Pôle emploi et la Branche professionnelle des salariés du particulier employeur ont paraphé les documents officiels qui les lient désormais à ce partenariat valorisant le soutien à la professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile autour des métiers de la petite enfance et de la prise en charge du handicap dans une contrée particulièrement propice…

DIJON : Océane CHARRET-GODARD, vice-présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté et Frédéric DANEL, directeur régional de Pôle emploi n’ont pas hésité un seul instant à l’issue de cette cérémonie protocolaire et des commentaires avisés de l’ensemble des intervenants à apposer leurs signatures au bas des pages des documents officiels. Ceux qui entérinaient cette convention importante et inédite, permettant de sécuriser les parcours professionnels.

Depuis plus d’une vingtaine d’années, IPERIA L’Institut, fort de la confiance des branches professionnelles des assistants maternels et des salariés du particulier employeur, conçoit et déploie le dispositif de professionnalisation du secteur de l’emploi à domicile en forte croissance depuis une décade. L’institut est d’ailleurs devenu au fil des ans le référent incontournable de ce secteur d’activité par le truchement de son expertise et ses conseils prodigués dans le cadre de cette professionnalisation.

Aussi, était-il tout naturel de retrouver ses représentants aux côtés des partenaires institutionnels de ce protocole d’accord mis en place depuis peu. Partant du postulat qu’emploi et formation correspondent aux clés de la dynamique économique territoriale, chacun devait souligner les aspects fondamentaux de ce nouvel engagement.

Un enjeu collectif pour répondre à de véritables besoins identifiés…

Ainsi, la vice-présidente de la Région restait persuadée « que la loi sur la réforme de la formation professionnelle en 2015 a sans aucun doute révolutionné les choses avec l’apparition de la notion de compétences ». « Plus former et mieux former, c’est devenu une priorité pour le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, devait-elle rappeler à l’assistance. Cette convention symbolise les modes de coopération au service de la sécurisation des parcours professionnels des demandeurs d’emploi sur notre territoire… ».

Un item que ne démentait pas Frédéric DANEL, le directeur régional de Pôle emploi. « L’effort autour de la qualification pour un retour progressif vers l’emploi doit être encore plus important dans notre contrée car le niveau de formation est plus bas qu’à l’échelle nationale. Certes, devait-il poursuivre, l’emploi à domicile intègre les secteurs économiques qui recrutent le plus mais paradoxalement, ils éprouvent beaucoup de difficulté à pouvoir le faire… ».

Expliquant que cette convention tripartite représentait une formidable opportunité, le signataire de ce protocole d’accord appelait à une intense mobilisation suite à cet engagement entre les partenaires et à une mutualisation des moyens, notamment ceux visant à s’informer sur les besoins de ce secteur d’activité afin de pouvoir sensibiliser de manière optimale les demandeurs d’emploi à ces métiers.

Une activité économique en forte progression et porteuse d’emplois…

Vice-présidente de la Commission paritaire nationale de l’emploi et la formation professionnelle (CPNEFP) de la branche professionnelle des salariés du particulier employeur, Marielle BROUARD effectuait un focus intéressant sur la réalité de ce secteur qui recense plus de 64 000 particuliers employeurs et plus de 59 000 salariés en Bourgogne Franche-Comté. Attractifs aujourd’hui, les métiers de la famille le seront encore plus demain en présentant de réelles opportunités de développement économique équitable entre zones urbaines et zones rurales. Les projections sont simples : à horizon 2030, près de 45 000 nouveaux postes seront à pourvoir d’où la nécessité impérieuse d’y adjoindre de véritables dynamiques en termes de professionnalisation.

« Entre 2012 et 2016, constatait Marielle BROUARD, nous comptabilisons plus de 5 500 départs en formation continue en modules courts sur l’offre prioritaire de notre branche et celle des assistants maternels du particulier employeur et 1 500 parcours de certification… ».

Innovantes et actives, les branches du particulier employeur ont pu instaurer le titre d’assistant maternel/garde d’enfants qui œuvre à la reconnaissance des professionnels de ces métiers. « Celles qui le désirent peuvent même se spécialiser dans la prise en charge du handicap grâce au certificat de qualification professionnelle assistant maternel/garde d’enfants handicap qui a été mis en place récemment, souligna Véronique DELAITRE, la présidente de la même commission.

Déjà une application concrète de ce dispositif dans la Nièvre…

Se qualifier sur les problématiques inhérentes au handicap doit aussi permettre aux demandeurs d’emploi de bénéficier de solutions novatrices. La prise en charge de ces publics fragilisés au domicile intègre le cœur de métier des professionnels de la petite enfance. La création d’un certificat de qualification professionnelle handicap de spécialisation a traduit cette volonté ; d’une durée de 175 heures, il vient compléter les compétences générales sur la petite enfance déjà acquises par les stagiaires au cours de leur formation assistant maternel/garde d’enfants.

« Depuis 22 ans, saluait Anita POUPARD, présidente d’IPERIA L’Institut, nous n’avons jamais cessé de croire en l’importance de renforcer l’attractivité des métiers qui constituent le secteur de l’emploi à domicile : c’est-à-dire assistant de vie, assistant maternel, garde d’enfants et employé familial. Nous avons aussi noué des partenariats constructifs dont le socle repose sur ces certificats de professionnalisation handicap. L’un dans la Nièvre qui concerne un parcours long permettant à des demandeurs d’emploi de suivre un parcours de formation complet (le titre d’assistant maternel/garde d’enfants et le CQP handicap de l’enfant). L’autre en Côte d’Or qui concerne l’obtention du certificat de professionnalisation handicap adulte. Ce cursus se rapporte aux personnes déjà détentrices du titre d’assistant de vie dépendance. Grâce à ces deux spécialisations, les opportunités professionnelles se renforcent et existent mais elles ne rencontrent pas forcément les publics formés… ».

Mais, les choses devraient évoluer positivement à l’issue de la signature de cette convention tripartite puisque les futurs certifiés spécialisés disposeront dorénavant des savoirs et des savoir-faire pour prendre en compte les spécificités de chaque situation de handicap, adaptant au passage leur accompagnement aux besoins des particuliers employeurs ou des enfants au sein de leur domicile.

Enfin, Magali CAZENEUVE, directrice opérationnelle de l’INFA Bourgogne Franche-Comté Grand Est, expliqua le solide partenariat mis en exergue entre les branches professionnelles et IPERIA l’Institut, depuis plus de vingt ans. « Nous dispensons à l’heure actuelle plus de 50 modules de formation. Par exemple, depuis le 25 septembre, une dizaine de stagiaires sont ainsi formés à la Fondation INFA de Nevers au métier d’assistant maternel/garde d’enfants avec un CQP handicap enfance. Ce programme pédagogique est mené à titre expérimental dans le cadre des nouvelles actions co-construites par IPERIA L’Institut, Pôle emploi et le Conseil régional. Il se terminera à la fin du mois de février 2018… ».


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Indépendamment du futur Carrefour des Carrières au Féminin dont elle prépare la vingtième édition le samedi 20 janvier 2018 à APPOIGNY, l’association FETE (Femmes Egalité Emploi) s’interroge sur l’une des graves problématiques qui fleurit à période régulière à la une de l’actualité : la discrimination féminine dans l’emploi. La Maison de quartier de Saint-Siméon accueille jusqu’au 15 décembre une exposition pertinente où est intervenu l’artiste dijonnais Jean-François FONTAINE qui traduit cet engagement nécessaire avec le regard avisé d’un illustrateur de bande dessinée…

AUXERRE : 45 % des représentantes de la gent féminine disent être victimes de discriminations d’ordre professionnelles. Un chiffre consternant qui n’a pas manqué d’interloquer les responsables de FETE, l’association Femmes Egalité Emploi, désireuse de pointer du doigt ces abus inadmissibles dont les médias traduisent de plus en plus la sinistre réalité.

Cette fois-ci, les représentants de ce mouvement associatif défendant les intérêts féminins s’insurgent contre toutes les formes de sexisme et de harcèlement moral qui existent en entreprise grâce à une exposition visible jusqu’au vendredi 15 décembre à la Maison de quartier de Saint-Siméon à Auxerre. Elle y présente en une vingtaine de panneaux les caricatures ô combien significatives et similaires d’une triste constatation : les femmes vivent des situations parfois tragiques dans ce vase clos hermétique que représente le monde du travail.

Sensibiliser le grand public sur une question brûlante de l’actualité…

Handicap, situation familiale, sexisme, déni physique, origine…les causes multiples de ces fâcheux désagréments ont été illustrées avec talent et une pointe d’humour ironique par l’artiste bourguignon. L’illustrateur a su transcrire avec talent la somme de plusieurs témoignages collectés auprès de personnes victimes de ces discriminations.

« C’était le meilleur moyen de sensibiliser le public sur cette question ultra-sensible aujourd’hui ».

Depuis bientôt quatre ans, FETE travaille sur les effets pernicieux engendrés par la double discrimination que vivent certaines de nos concitoyennes dans leur environnement professionnel : sexe et origine. Dès 2014, le mouvement associatif régional recueillait les précieuses interventions de femmes confrontées à ce fléau, en les consignant sur des bandes vidéo. Les témoignages avaient servi de trame à de petites scénettes théâtralisées par la Compagnie EXPONENS. Plus de 250 victimes avaient ainsi contribué à cette collecte d’informations. L’année suivante, de nouveaux ateliers apparaissaient dans plusieurs villes de l’Yonne afin que la mémoire expurge enfin ce lot de mauvais souvenirs : un imposant public féminin des localités de Sens, Joigny, Migennes et Auxerre se prêta au jeu.

« Le pire, confie Claire DUCHET, la coordinatrice de FETE sur le territoire de l’Yonne, c’est que bon nombre de femmes ne savaient pas qu’elles vivaient des actes discriminatoires… ».

Libérer la parole coûte que coûte afin de témoigner…

L’année 2016 a permis d’aborder une étape supplémentaire et constructive pour l’association. Elle développa de nouveaux forums en sollicitant les duettistes de la compagnie EXPONENS. L’exercice fut salué par bon nombre de personnes, soucieuses de faire toute la lumière sur ces actes odieux. C’est à l’occasion du vingtième anniversaire de l’association, célébré au printemps à Dijon, que Jean-François FONTAINE se manifesta aux responsables de FETE.

« Je réalisai des croquis fugaces de la soirée, explique-t-il, lorsque l’idée de créer cette exposition avec FETE est apparue au détour de conversations très nourries… ».

Ayant conçu la plupart des panneaux explicatifs autour de ce thème de la discrimination, l’artiste confirma ensuite son intention de soutenir l’initiative en la présentant aux côtés des donneurs d’ordre lors de séances inaugurales. Après sa venue à Auxerre, l’animation deviendra itinérante à travers la Bourgogne Franche-Comté dès 2018.


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Partenaire privilégié des créateurs et des dirigeants de PME/TPE, les juristes du cabinet d’expertise comptable CERFRANCE ont décortiqué jeudi soir les principes fondamentaux des ordonnances MACRON face aux représentants de la Confédération des petites et moyennes entreprises de l’Yonne (CPME). Conférant une sécurisation optimale des accords collectifs, ces textes ont été adoptés le 24 septembre dernier par les législateurs. Ils régissent aujourd’hui, après quelques modifications, l’univers du travail en France. Leur contenu méritait une explication de texte approfondie au plan juridique, selon le président de la CPME de l’Yonne, Olivier TRICON...

AUXERRE : « Ces ordonnances répondent à un seul objectif : faciliter le dialogue social au cœur des entreprises à l’avenir... ». Sybille BOURGEOIS, responsable des agences d’Auxerre, de Saint-Fargeau et de Toucy, pour le compte du cabinet d’experts-comptables CERFRANCE, résume en guise de préambule avec ces quelques mots les principes vertueux de ces fameuses ordonnances impulsées par le Président de la République, Emmanuel MACRON. Des écrits vedettes au centre de tous les intérêts de cette soirée conférence qui a été organisée au bénéfice des membres de la CPME de l’Yonne.

Ecouter les préconisations et les conseils d’un cabinet spécialiste du droit…

Alors que les thèmes des futures conférences furent très succinctement esquissés par le leader du syndicat patronal, Olivier TRICON, lors de son propos liminaire (le bitcoin, la gestion du stress…des sujets évoqués dès le premier trimestre 2018) ; les participants de ce rendez-vous pratico-pratique s’immergèrent très vite dans le dossier du jour : les subtilités applicatives des ordonnances MACRON avec leurs cas particuliers.

Certes, les deux cents adhérents de la Confédération des petites et moyennes entreprises ne s’étaient pas mobilisés en nombre pour assister à cette intervention instructive et néanmoins vulgarisée mais la plupart des personnes présentes annotaient beaucoup d’informations sur leur bloc-notes dès qu’un renseignement précis trouvait grâce à leurs oreilles.

Spécialistes du droit du travail, gestionnaires de 30 000 bulletins de paie délivrés à l’année, les professionnels du cabinet, se confortant également sur l’analyse avisée de Me Fabien KOVAC, avocat, ont ensuite point par point passé au crible l’ensemble des aspects applicatifs de ces ordonnances. Un exercice de valeur ajoutée qui devait traduire le bien-fondé de cet accompagnement et des conseils prodigués aux entrepreneurs.

Découverte de nouveaux outils pour les représentants de la CPME…

Tour à tour, les trois juristes de CERFRANCE expliqueront cet enchaînement de textes dont chacun des chefs d’entreprise doit s’approprier dorénavant au quotidien. Ces ordonnances, facilitatrices dans le cadre de négociations des accords d’entreprise, engendreront l’avènement du CSE, le Comité social économique. Un autre outil, l’observatoire sur le dialogue social et la négociation pour les PME, opérationnel depuis la fin novembre, devrait progressivement s’étendre à l’ensemble des départements de l’hexagone. Son rôle est d’optimiser les négociations au cœur des petites entreprises, avec un secrétariat général exercé par la DIRECCTE.

Quant à l’intérêt de ces accords d’entreprise, il aura suscité de longs commentaires des participants à cet échange constructif désireux d’en connaître davantage sur l’évolution du Code du Travail en France. Reste que la qualité du dialogue social existant dans l’entreprise demeurera un axiome primordial à la réussite de ces accords…


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