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Et pendant ce temps, la vie économique continue. Réservé aux dirigeants de TPE et PME, le réseau national aux cent mille décideurs et aux 94 agences poursuit ses activités relationnelles tant bien que mal. Plutôt bien que mal, par ailleurs. L’antenne de l’Yonne propose ce jeudi 26 mars entre 9 et 11 heures une séance de visio-conférence avec ses adhérents afin de conserver des liens. C’est aussi cela la force d’un réseau…

AUXERRE : C’est sans aucun doute l’un des rares rendez-vous à biffer sur son agenda économique cette semaine. Il émane du réseau professionnel DYNABUY. Un maillage implanté depuis plusieurs mois en terre icaunaise. Pourtant, l’entité qui fédère à ce jour plus de cent mille membres à travers l’Hexagone est déjà très prospère dans plusieurs pays européens.

S’adressant plus particulièrement aux responsables de TPE et PME, la structure, native de la région de Nantes, est pilotée dans l’Yonne par un chef d’entreprise qui intervient dans le secteur de la communication.

Il s’agit d’Alain VIMPIERRE, patron de l’agence « Look Pub ». Une société qui a su faire florès dans son domaine puisqu’exerçant aussi bien dans l’Aube que de l’autre côté de la frontière, en territoire bourguignon.

Jeudi en milieu de matinée, la tête de pont départementale de ce réseau qui se définit comme étant le leader européen du bonheur en entreprise (rien que ça !) organise une rencontre virtuelle entre dirigeants. Une initiative judicieuse, histoire d’humaniser un peu plus les liens professionnels qui en ont sacrément besoin dans le contexte anxiogène du moment.

Evidemment, ce rendez-vous se fera avec l’aide de supports technologiques, via le principe de la visio-conférence.

 

 

Un cycle de deux réunions hebdomadaires si la formule plaît…

 

Pour y participer, le nombre de places est limité à douze personnes. Il faudra nécessairement s’inscrire en ligne avant que ne débute la visio-conférence (pour tout renseignement pour rechercher DYNABUY Auxerre). Les participants à cette première démarche de communication numérique recevront un e-mail contenant un lien. Le précieux sésame leur permettant de valider leur présence.

Bien sûr, cela supposera être installé devant son ordinateur Windows ou Mac quelques minutes avant l'heure indiquée et de disposer d'une connexion Internet, d'une webcam et d'un micro en état de marche. Le téléchargement et l’installation de l’application « ZOOM » (c’est gratuit) sera également indispensable à la réussite de la manœuvre.

Dès l'ouverture de la session, et à tour de rôle, chacun des interlocuteurs disposera de cinq minutes pour présenter son entreprise, ses activités ou ses besoins aux autres participants.

Une fois que toute le monde se sera exprimé, viendra alors en second lieu le temps des questions. Bref : un exercice oral qui pourrait aussi déboucher sur de la prospective et du business. Et actuellement, c’est ce que recherchent tus les entrepreneurs dignes de cette appellation !

 


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Enormément sollicités ces derniers jours, les services de livraison de la marque de prêt à déguster des FESTINS ont du mal à joindre les deux bouts. Tant la hausse des commandes est significative, voire exponentielle en cette période de gestion de crise sanitaire…

AUXERRE : Plus que jamais, et malgré le contexte actuel particulièrement délicat dans lequel nous sommes confrontés, le service de livraison TOQTOQUE est mobilisé afin de garantir l’acheminement dans les conditions optimales requises des déjeuners en entreprise et au bureau.

C’est ce que vient de confirmer le directeur du développement commercial et marketing de la marque propre aux FESTINS de Bourgogne, Matthieu CHAPUIS. La structure doit faire face avec célérité à une très nette augmentation de ses commandes de la part de celles et de ceux qui continuent à œuvrer au niveau professionnel pour le développement économique de notre territoire.

Alors qu’à Sens, le point de vente qui était ouvert le soir à la gare ferroviaire de Sens a été mis entre parenthèse afin de mieux se recentrer sur les services à proposer dans la zone industrielle des Vauguillettes face à la Chambre de Commerce et d’Industrie au Village d’entreprises, l’activité poursuit son essor à Auxerre.

Depuis son lancement il y a déjà deux saisons, la marque déclinée par le spécialiste des réceptions et du service traiteur en Bourgogne propose une formule repas qui s’articule autour de trois plats : l’entrée, le met de résistance et le dessert.

Sachant qu’une sélection est naturellement possible parmi cinq recettes différentes par plat qui se renouvellent ainsi chaque semaine.

 

 

Une marque décomplexée pour sensibiliser le monde des start-up…

 

Des cinquante couverts journaliers qui étaient réalisés jusque-là chaque midi dans la capitale de l’Yonne en période normale, les demandes ont été très nettement revues à la hausse depuis le début de la crise imputable à la propagation du coronavirus COVID 19.

Deux véhicules à l’estampille de la marque sillonnent ainsi les zones d’activité d’Auxerre afin d’y livrer les repas consommés sur place par les salariés des entreprises.  

Côté emploi, la marque TOQTOQUE rétribue trois personnes à temps complet et une apprentie en période normale. Jouant avec volontarisme la carte de la digitalisation afin de décomplexer sa présence vers les start-up, FESTINS a su grâce à cette marque spécifique du prêt à déguster sur le lieu de travail s’ouvrir vers une nouvelle clientèle.

 

 

 

 

Plus à même de découvrir une cuisine gastronomique à coûts accessibles. Aujourd’hui, la tendance en termes de résultat se symbolise par une forte croissance à deux chiffres.

Les évènements actuels traduisent avec pertinence et réalisme le bien-fondé de son usage au quotidien pour celles et ceux qui travaillent et doivent se nourrir…

 

 


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Et maintenant ? Que faire ? Beaucoup d’argent a été perdu en bourse en très peu de temps. Une seule interrogation : quelles perspectives pour l’avenir ? Il est nécessaire de cesser les polémiques et de visualiser celui-ci avec réalisme. Mais, avec un peu plus d’optimisme malgré ce paysage apocalyptique. L’histoire jugera les erreurs des uns et les aberrations des autres. La crise économique, on peut parler de récession, est déjà présente. Le krach boursier prolonge les convulsions économiques. La bourse plonge, le pétrole s’effondre, l’or chute et l’immobilier est rempli d’incertitudes…

TRIBUNE : Où mettre son argent ? Nous insistons sur la béatitude du financier sage : bienheureux le détenteur du Livret A ! A la différence de 2008, la crise d’aujourd’hui est d’abord économique.

La bonne question à se poser est la suivante : j’ai besoin de quoi ? Un complément de ressources ? Donc, il me faut un placement qui rapporte des intérêts, sans aucun risque. Un capital pour l’avenir et dans l’immédiat ? Je n’ai pas besoin de complément de revenus ? Donc, il faut opter pour un placement qui ne rapporte rien…d’autre que le maintien du pouvoir d’achat de mon capital ! L’erreur permanente faite par les salariés est de prendre une fiscalité sur des intérêts dont ils n’ont pas besoin.

Quant au troisième objectif de l’épargne, il est, rappelons-le, la facilité de la transmission de mon patrimoine vers mes descendants. Imaginons simplement un épargnant qui souhaite solder un placement retraite aujourd’hui. C’est tout bonnement impossible puisque cela n’engendrera que des pertes.

La retraite par capitalisation est à proscrire, tout comme l’assurance-vie. Sauf si on doit à tout prix obtenir des liquidités : il ne faut pas vendre les valeurs en chute libre (les portefeuilles de titres, les SICAV, FCP, SCPI…).

Dans un premier temps, il est préférable de suspendre les versements mensuels vers ces placements à hauts risques ! L’orientation de l’épargne, c’est l’objectif assigné. Observons de cette constante : la rentabilité élevée d’un placement s’accompagne d’un risque élevé.

 

Des placements à réaliser avec sagesse et discernement…

 

Ceux qui proposent des placements à 12 ou 15 %, alors que sur les marchés on trouve des taux négatifs, sont des escrocs ! Les placements purement bancaires rapportent peu. Soit, mais ils sont sans risques. Si l’on veut protéger son épargne : la chute de l’or est de courte durée et on peut estimer que les cours repartiront à la hausse.

Certains spécialistes pensent qu’acheter l’once d’or en dessous de 1 400 dollars US, c’est faire une bonne affaire pour l’avenir. Et si ma banque venait à faire faillite ?

Retenons que les comptes de chèques sont garantis jusqu'à 100 000 euros, par personne et par banque. Si vous avez 250 000 euros : optez pour la formule suivante, ouvrez trois comptes dans trois banques différentes. L’assurance-vie est garantie jusqu’à 70 000 euros par personne et par compagnie. La première démarche pour les plus jeunes est d’acheter avec du crédit, sa résidence principale.

Dans l’avenir, les banques seront plus restrictives dans l’octroi des prêts. A la différence de 2019, elles vont se figer sur la règle de remboursements inférieurs au tiers des revenus de l’emprunteur.

Certains conseillers proposent d’acheter en bourse, d’acquérir des options de vente… La sagesse doit conduire à fuir, pour l’instant, tout placement en lien avec les marchés financiers.

Faire confiance aux conseillers financiers des banques requiert de la modération, voire de la prudence ! Au niveau des réseaux, l’expertise juridico-financière des conseillers de clientèle est à écouter par deux fois. 

Un boulanger n’est pas nécessairement un excellent pâtissier et un spécialiste de la confiserie et du chocolat. Pourtant, il propose à ses clients l’ensemble des produits liés à ces spécialités !

Idem pour la banque : on propose des produits bancaires, financiers, d’assurances, d’assistance en sécurité des personnes et des biens, du téléphone mobile, du service de conseils fiscaux et de transmission de patrimoine, sans une compétence éprouvée dans tous ces domaines. Demain, ils nous proposeront peut-être des masques et du gel hydro allergénique !

 

Vivre en autarcie ne serait-il pas recommandable à l’avenir ?

Pour tous les aspects de la transmission du patrimoine, il est impératif de faire confiance au notaire !

Alors, « Adieu, veau, vache, cochon, couvée… comme le disait Perrette munie de son pot de lait dans l’une des fables de Jean de LA FONTAINE ? Pas forcément. On peut imaginer une relocalisation d’un patrimoine emprunt, de bon sens, vers davantage de sécurité, d’autonomie sans le stress de la fluctuation des cours de la bourse.

Visualisons une propriété (plus ou moins importante) avec une surface boisée (fabriquer ses propres granulés de bois aux fins d’alimenter sa chaudière), un maximum de panneaux solaires, un verger (autonomie fruitière), un grand potager (réalisation de conserves stérilisées), un puits, un étang pour le poisson, des poules (qui ne seront surtout pas de luxe !)…, ne serait-ce point le rêve ?

Bref, pouvoir vivre en autarcie, au cas où ? Après la crise du coronavirus, plus rien ne sera jamais comme avant ! Donc, rappelons-nous la formule chère à l’humoriste Pierre DESPROGES : «  L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense donc tu suis » ! » ! A ne jamais oublier de nos esprits !

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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L’heure est au rassemblement. A la concertation, aussi. Mais surtout à l’unité. D’une seule et même voix, l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM) ainsi que trois organisations syndicales représentatives (CFDT, CFE-CGC, Force Ouvrière) se mobilisent pour assurer les modalités d’une reprise progressive des activités industrielles dans des conditions sanitaires optimales…

AUXERRE: Prendre ses responsabilités, c’est l’affaire de tous. Chacun le sait. Dans la filière industrielle, l’initiative initiée par l’UIMM et trois organisations syndicales représentatives (CFDT, FO et CFE-CGC) n’a d’autre objectif que de remettre l’appareil industriel en route. Après quelques moments de flottement, survenus en toute logique la semaine dernière.

Il est vrai que face à l’inquiétude croissante liée au contexte si étrange de la pandémie virale, et après avoir observé une légère dichotomie dans les discours officiels, les quatre alliés de circonstance avaient pu observer le ralentissement, voire la cessation partielle ou totale des activités sur le territoire. Mais, il est essentiel que la vie économique et sociale de la Nation soit restaurée. Dans le droit et le respect sanitaire que chaque salarié peut attendre et espérer.

Comme le précise Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie, « il en va de l’avenir de notre pays et de notre industrie ainsi que la préservation des emplois ».

Conséquence : l’IUMM et ses partenaires syndicaux demandent aujourd’hui que les entreprises identifient en priorité les activités vitales nécessaires à leur fonctionnement, à celles des filières utiles au pays, ainsi que celles intra-filières.

 

 

 

Le respect des consignes pour garantir la sécurité dans le travail…

 

« En concertation avec les salariés et leurs représentants, nous demandons expressément que les entreprises adaptent scrupuleusement leur environnement de travail en mettant en place les mesures organisationnelles, collectives et individuelles, qui facilitent la sécurité sanitaire de tous, ajoute Claude VAUCOULOUX, c’est-à-dire la mise en pratique des distances de sécurité, les gestes barrières, la mise à disposition d’équipements individuels (gants, masques…), de produits désinfectants, du lavage des vêtements de travail, voire d’une nouvelle organisation dans le travail… ».

Sachant que ce plan de prévention est adaptable et suit l’évolution de la situation au jour le jour. Jugées indispensables, ces dispositions permettent selon les quatre partenaires de créer des conditions favorables d’un retour progressif à l’activité.

En conformité avec les instructions qui émanent des ministères de la Santé et des Solidarités, et du ministère de l’Intérieur.

« Notre objectif est d’assurer la sécurité de tous afin de permettre à chacun de retrouver la confiance et la sérénité nécessaires pour travailler, conclut le délégué général de l’UIMM. L’industrie doit, dès que possible et dans de bonnes conditions sanitaires, retrouver un niveau d’activités satisfaisant dans l’intérêt de l’ensemble de nos concitoyens… ».

A court terme, la résorption des difficultés dans lesquelles notre pays se trouve à l’heure actuelle en serait grandement facilitée. Bref : ce plan d’action commun est plus que jamais l’affaire de tous…

 


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Certes, le secteur des travaux publics et du bâtiment continuera après accord avec les ministères concernés à assurer le déroulement des chantiers dans le cadre du service public. Mais, pas à n’importe quel prix ! Faisant état, il y a quelques jours, de sa colère et de sa stupéfaction, le président régional de la Fédération des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté, Vincent MARTIN, réclamait davantage de protection pour les salariés…

DIJON : Irrecevable ! Inconcevable ! Voire irrespirable, aussi, ce souffle de tension qui a éclaté au grand jour le 19 mars dernier, face à l’envolée de boutique des principaux acteurs de la filière du BTP.

Alors que le président de la République demandait instamment à la population de rester confinée chez elle afin de juguler tant bien que mal les effets dévastateurs de la pandémie de ce coronavirus ; dans le même temps, les ministères ayant un attrait direct à la chose économique intimaient l’ordre à celles et à ceux de nos concitoyens pouvant se rendre sur leur lieu de travail de le faire coûte que coûte.

En ligne de mire : le secteur des travaux publics et du bâtiment était l’un des premiers concernés. Car, évidemment, le télétravail ne pouvant s’adapter qu’à de rares exceptions à cette corporation.

Dans un communiqué de presse qu’il devait rendre public le 19 mars, le président de la FRTP (Fédération régionale des travaux publics), Vincent MARTIN s’insurgeait vertement contre ce double langage peu académique.

« Les chefs d’entreprises sont responsables et veulent assurer la protection des salariés et de leurs familles, et participer ainsi à la mobilisation collective pour enrayer la pandémie... ».

Bref, une position mettant en exergue la prise de conscience solidaire des entrepreneurs face aux risques encourus par leurs salariés.

Se refusant de mettre en danger leur personnel, le porte-flambeau de la FRTP demandait au gouvernement, à l’instar des responsables nationaux et régionaux d’autres fédérations professionnelles comme la CAPEB et la FFB, de suspendre les chantiers immédiatement et ce, pour une durée initiale de quinze jours. L’initiative pouvant être étendue à un mois au minimum…

 

 

 

De nouvelles dispositions seront détaillées dans les prochains jours…

 

Au terme d’échanges soutenus ces jours-ci, les représentants des entreprises du BTP et du gouvernement devaient trouver un terrain d’entente, s’accordant sur plusieurs principes permettant de renforcer, dans les prochains jours, la continuité de l’activité du secteur et la poursuite des chantiers.

Différentes mesures devraient être détaillées dès cette semaine pour accompagner les professionnels du secteur.

Dans le cas des chantiers de travaux publics, comme par exemple les infrastructures de transport ou les travaux de voirie, les grands maîtres d’ouvrage au niveau national et les préfets au niveau local coordonneront et prioriseront les chantiers à poursuivre ou à relancer.

Dans le cas des chantiers très complexes, un délai pourra être nécessaire afin de définir des procédures à adaptées. De même, une attention particulière sera portée pour les chantiers au domicile des particuliers. Surtout lorsque ces derniers sont présents, ce qui est majoritairement le cas en cette période de confinement.

Santé et sécurité deviennent donc les mots d’ordre prioritaires à respecter désormais pour les intervenants de ce secteur. Les dispositions mises en place d’ici peu avec l’assentiment du gouvernement seront-elles suffisantes pour apaiser la colère des fédérations professionnelles et rassurer leurs salariés ?

 

                                                                                                                                                                                                     


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