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Libérer du temps pour le praticien en lui évitant de se perdre dans les méandres parfois nébuleux et complexes de la gestion administrative ! La belle affaire que tout représentant des professions libérales et autres indépendants aimeraient volontiers se soustraire dans leur quotidien. Voilà ce que proposent de commun accord le Conseil départemental de l’Yonne et la Caisse Primaire d’Assurance Maladie. Comment ? En promouvant et en finançant une nouvelle formation, celle de l’assistanat médical…

 

AUXERRE : Le chiffre semble très élevé et cependant il correspond bel et bien à une implacable réalité vécue dans l’Hexagone : 35 % du temps de travail exercé par les médecins généralistes correspond à de la gestion purement administrative ! Autant dire, qu’il pourrait y avoir davantage d’auscultations (peut-être un plus approfondie par ailleurs sur les patients) et de dépistages salvateurs dans les cabinets médicaux qu’aujourd’hui où le praticien a plus les yeux rivés sur l’écran de son ordinateur et de son clavier que sur les mesures indiquées par le tensiomètre !

Pour y remédier, il faudrait soustraire ces diplômés ayant suivi de longues études de médecine, voire de spécialisations, de ces tâches subalternes et d’un intérêt plus que modique en les confiant à des assistant(e)s. Partant de ce postulat, et voulant se positionner comme un territoire modèle en termes d’attractivités médicales, l’Yonne vient de s’engouffrer dans la brèche, pour tenter à sa manière de trancher ce nœud gordien qui prévalait jusque-là.

Unissant leurs efforts mais aussi leurs neurones hyper réactifs, les représentants de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et ceux du Conseil départemental de l’Yonne ont décidé de promouvoir une fonction aussi vieille que celle engendrant le serment d’Hippocrate, l’assistant(e) médical. Ou, selon les cas, favoriser le retour en grâce que cela existait jadis dans les cabinets de la secrétaire médicale.

En charge du portefeuille « Santé » au sein de l’assemblée départementale, le vice-président Gilles PIRMAN est catégorique par rapport à ces choix politiques, assumés par le chef de l’exécutif icaunais, Patrick GENDRAUD.

« Le médecin généraliste veut de la collégialité et de la coordination dans sa manière de pratiquer son art, précise l’élu du Sénonais, bref, de s’entourer d’un précieux auxiliaire, un assistant(e) ou d’une secrétaire… ».

Et surtout, en filigrane, le praticien a grandement besoin aujourd’hui de se libérer du temps dans son quotidien, histoire d’honorer plus de rendez-vous avec une patientèle de plus en plus pathogène et vieillissante. De 15 à 20 % de mieux sur l’emploi du temps, assène Gilles PIRMAN.

 

 

Ayant planché longuement sur la question avec le concours des têtes pensantes de la CPAM, le vice-président devenu un esthète es affaire sanitaire a proposé au sein de l’hémicycle pyramidal du Département de financer, en partie, la formation des assistants médicaux dont les généralistes de l’Yonne auraient grandement besoin dans leurs cabinets. Un véritable choix politique que revendique Patrick GENDRAUD dans l’intérêt de tous les habitants de l’Yonne, jeunes et vieux !

Dans les faits, un groupement d’employeurs a été créé avec la bénédiction de la vénérable institution. L’idée étant de résoudre le maximum de tracas administratifs rencontrés par les praticiens de l’Yonne.

« Dans le cas présent, c’est zéro tracas à la sortie, s’amuse Gilles PIRMAN. Même si pour y parvenir, il y a eu beaucoup de blablas ?!

Montant de  l’enveloppe budgétaire assortie au projet : 200 000 euros à dispatcher sur trois ans. Le prix à payer, selon Patrick GENDRAUD, pour devoir venir en aide aux Icaunais en souffrance de consultations médicales depuis tant d’année.

Assuré sur le territoire, le programme de 90 heures de formation devrait débuter d’ici peu pour préparer ces nouveaux collaborateurs que les praticiens attendent comme des papillotes sous le sapin de Noël ! Quant au profil de recrutement, il est simple : posséder le baccalauréat, ou être infirmer, ou déjà secrétaire médical. Avis aux candidates et candidats : il y a des opportunités pour faire carrière dans le médical dans l’Yonne, qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 


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Au fur et à mesure que son mandat avance dans le temps – c’est l’une des prérogatives de l’institution départementale -, il en a fait son cheval de bataille. La santé, via le prisme de l’amélioration de l’offre de soins et l’accueil de nouveaux praticiens, représente l’une des préoccupations majeures du président Patrick GENDRAUD. Quoi de plus naturel, en somme, de le retrouver à l’ouverture des travaux des 5èmes Journées nationales des CPTS aux côtés de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LEBODO au parc des expositions…

 

AUXERRE : Face à plus de sept cent congressistes, venant des quatre coins de l’Hexagone, il ne peut que jubiler intérieurement, le président du Conseil départemental de l’Yonne/ Juste avant de prendre la parole.

Pour un territoire qui souffre de désertification médicale – l’Yonne semble néanmoins se revigorer depuis quelque temps en se positionnant davantage dans une forme tonique de « revitalisation » comme le qualifierait si bien avec ses mots, repris dorénavant par tout le sérail institutionnel et politique, le préfet Pascal JAN –, c’est presque un comble de voir autant de professionnels de santé (et de praticiens par déduction) dans une salle mise à disposition par Centre France Parc Expo, pleine comme un œuf !

Des médecins au mètre carré, il y en a donc dans les estrades ! Alors, accueillir pour la première fois un tel congrès, en présence de la ministre déléguée en charge de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LE BODO, représente du pain bénit pour un Patrick GENDRAUD qui se démène au quotidien comme un beau diable avec ses équipes – on pense volontiers à Gilles PIRMAN en charge de la santé au CD 89 ou au docteur Bernard CHARDON – pour que les choses bougent enfin sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

« Dans l’Yonne, affirma l’orateur, nous préférons le mot « redynamisation » à désertification lorsque l’on évoque la santé. Ce n’est pas la même démarche. Redynamiser, c’est engager une nouvelle dynamique en entrant dans l’action. C’est cela que nous devons privilégier à présent, une fois le constat effectué… ».

 

Les CPTS s’intègrent parfaitement à l’échelle des bassins de vie

 

Seul à son pupitre, s’inspirant parfois de ses notes posées devant lui, écouté très attentivement par David GUILLET, président national des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) déjà sur le plateau, Patrick GENDRAUD brossera ensuite un tableau concis des différentes actions entreprises par l’organe institutionnel qui se coordonnent sur le terrain.

Puis, de renchérir par la formule suivante : « Puisque nous sommes novateurs à notre échelle, nous étions faits pour nous rencontrer, lancera avec boutade le président de l’exécutif départemental, se tournant alors vers le responsable national des CPTS.  

Appelant à l’optimisation de l’offre de santé de tous ses vœux, l’ancien édile de Chablis rappela que celle-ci se construisait ensemble et fédérée, « loin de la logique de concurrence ou celle de clocher ».

Un temps de pause, avant de reprendre le discours : « Nous avons tous un rôle à jouer dans cette partition, souligna Patrick GENDRAUD, à l’échelle départementale, mais aussi à l’échelle des bassins de vie. Ces communautés professionnelles territoriales de santé s’intègrent parfaitement dans cette réalité de terrain, en atteste ce qui se passe avec le CPTS Nord Yonne… ».

Satisfait par la pertinence et le mode opératoire de ce modèle, l’élu de l’Yonne poursuivit en précisant que l’ensemble du territoire devrait être ainsi couvert par ce dispositif au cours du premier semestre 2024.

 

 

Un inventaire à la Prévert de réalisations pertinentes…

 

Puis, Patrick GENDRAUD éclaira l’auditoire sur le bien-fondé des pactes de territoire. Il ne manqua pas d’apporter plus amples précisions sur le « Pacte Santé 2022/2024 », un concept voté à l’unanimité le 10 décembre 2021 par le Département et abondé de 5,4 millions d’euros.

Et l’orateur d’ajouter en toute transparence : « C’était une décision politique forte de notre assemblée, car cette thématique de la santé n’est pas de notre compétence… ».

A bon entendeur salut ! Puis, après un temps de silence, « ce pacte nous l’avions contracté au bénéfice des Icaunaises et Icaunais auxquels nous devions beaucoup plus que de simples promesses mais des actes ! ».

Aujourd’hui, les actions entreprises par le Conseil départemental portent leurs fruits. L’accueil de la première année de médecine dans l’Yonne dans les locaux de l’IUT Auxerre avec l’Université de Bourgogne, la poursuite du maillage conséquent entre maisons et centres de santé – la dernière en date a été inaugurée il y a peu à CHEVANNES -, la création d’un centre départemental de santé avec le salariat d’un médecin et d’une assistante médicale à Villeneuve-sur-Yonne, le salariat d’un autre médecin et d’une secrétaire médicale à Migennes, c’est encore le déploiement de points conseils et d’une équipe mobile de médiation santé, sans omettre le soutien financier au développement de la pratique numérique en santé dans le cadre des téléconsultations accompagnées, à la promotion du centre santé solidarité, à la mise en œuvre d’un plan marketing territorial santé à l’échelle départementale, au groupement d’employeur des professionnels de santé, et au système de bourse dont celle à destination des infirmiers en pratique avancée…

Bref, un inventaire à la Prévert et autant d’argument énoncés avec fierté par un Patrick GENDRAUD très à l’aise au pupitre et ravi de cette efficience déclinable au service des habitants.

« Restons mobilisés, dynamiques et optimistes pour l’avenir, devait-il conclure, dans cette mission qui est devenue la nôtre. C’est ainsi que nous gagnerons sur le terrain de la santé ! ».

Rideau ! Longuement applaudi, Patrick GENDRAUD pouvait regagner le fauteuil qui l’accueillait pour la première table ronde du jour. Tant qu’il y a des choses positives à dire sur la santé, dans son département de prédilection, le président ne compte pas son temps de présence sur une manifestation !

 

Thierry BRET

 


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C’est un irrésistible pied de nez à l’actualité élyséenne ! Une date qui ne doit absolument rien au hasard. Et pour cause, la journée de grèves et de manifestations annoncée ce vendredi 13 octobre par l’Intersyndicale est lourde de symbole, se déroulant trois jours seulement avant que ne débute la conférence sociale sur les bas salaires, biffée sur l’agenda du Président de la République. Une manière visible de se rappeler à son bon souvenir et de montrer le mécontentement de la rue…

 

AUXERRE : Elle n’a pas été choisie par inadvertance, cette date du vendredi 13 octobre 2023 ! Même si elle a été annoncée dès le mois d’août par les organisations syndicales, réunies comme à l’accoutumée en intersyndicale, elle tutoie à quelques jours près l’actualité présidentielle sur le sujet des bas salaires, prétexte à une conférence sociale organisée au début de la semaine prochaine. A croire que les mouvements protestataires n’attendent pas grand-chose de ce rendez-vous élyséen, ils ont décidé en revanche de renouer avec une bonne vieille tradition sociale, le droit de grève et l’appel à manifester sur la voie publique !

CGT, FO, UNSA, FSU, CFDT, CFTC, Solidaires, CFE-CGC retrouveront le pavé de la rue ce vendredi, à partir de 14 heures place de l'Arquebuse à Auxerre, mobilisés plus que jamais contre l’austérité et tout ce qui s’en suit : le pouvoir d’achat, l’égalité femmes/hommes, la hausse des salaires, pensions et minima sociaux, peut-être en filigrane la réforme des retraites qui n’a toujours pas été digérée après la bordée de 49.3 gouvernementaux.

 

Un SMIC en hausse de 4,8 % pour une inflation qui culmine à 14 %

 

Ras le bol des coupes sombres au détriment des précaires et des salariés : c’est en filigrane ce qui fédère l’ensemble des acteurs de la cause syndicale ouvrière. Chacun des interlocuteurs y allant de son couplet, énumérant la litanie d’injustices et d’éléments négatifs qui grèvent le moral des Français.

« Le gouvernement n’a qu’un seul mot à la bouche, souligne Reynald MILLOT, le porte-parole de Force Ouvrière, c’est l’austérité ! Une austérité qui s’applique dans le budget de 2024. Une austérité qui se poursuivra en 2025 ! Les efforts doivent toujours être fournis par les salariés. Jamais par les grands patrons du CAC 40 qui accumulent les profits ! ».

Tirant un peu plus sur sa vapoteuse, on sent le secrétaire général de FO 89 quelque peu irrité devant le contexte. « Face à l’inflation, il faut le blocage des prix et celui de la TVA ! Et retourner à l’échelle des salaires en les valorisant ! ».

La représentante de la CGT s’engouffre à son tour dans la brèche béante de la discussion revendicative : « La hausse du SMIC de 4,8 % depuis le début de l’année, c’est une plaisanterie ! Quand on sait que la valse des étiquettes sur le prix des denrées alimentaires est de 14 % depuis janvier ! ».

 

 

Des étudiants qui sautent les repas et se prostituent…

 

Maigre compensation, il est vrai ! Le pouvoir d’achat des Icaunais est en chute libre et bon nombre de nos concitoyens sont désormais dans l’obligation de fréquenter les Restos du Cœur et la Banque alimentaire pour prétendre se nourrir. Les retraités ne sont pas mieux lotis. Philippe WANTE, de la FSU, n’est pas en reste pour rappeler que les pensions sont en berne. Et ce, depuis des lustres !

« Alors que les grands groupes se gavent outrageusement, nos retraités voient leur fin de mois dans le rouge… ». Une nouvelle génération de seniors est née ; celle qui vit dans la pauvreté. Quant à l’Education nationale, elle devrait se délester de 1 500 postes d’enseignants très prochainement alors qu’il n’existe pas de phénomène de déprise dans les classes sur-fréquentées qui peuvent accueillir en moyenne de 38 à 40 élèves dans les classes de seconde comme à Sens !

« Ne parlons pas de l’enseignement supérieur ! Les étudiants sautent des repas afin de pouvoir payer leurs études, quand ils et elles ne se prostituent pas face à des situations dramatiques… ».

Le tableau est sombre. Mais, tellement réel, malheureusement selon les témoignages fournis. Pendant ce temps-là, les riches vivent de mieux en mieux ! Et certains employeurs bénéficient des exonérations des cotisations sociales (72 milliards d’euros qui ne rentrent pas dans les caisses de l’Etat) : « c’est un vrai hold-up, lâchent en chœur les participants à cette conférence de presse intersyndicale.

« Nous, on demande une meilleure répartition des richesses, une égalité des chances entre les femmes et les hommes. Un véritable coup de pouce pour les retraites… ».

Une austérité que la France traverse à géométrie variable selon les syndicalistes départementaux, encore écœurés par les fastes de la récente réception de Charles III et de son épouse, Camilla, sous les ors de la République – euh, pardon, ne serait-ce pas ceux de la royauté ! – dans la magnifique galerie des Glaces de l’ancienne demeure des Capétiens dans les Yvelines !

Peut-être que certains des manifestants qui arpenteront les rues auxerroises vendredi oseront crier à l’attention de la gouvernance, « c’est pas Versailles, ici ! ». Chiche ?!

 

Thierry BRET

 


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Il a le regard malicieux, Régis MERARD. Il dégage de ce garçon une force tranquille. Bienveillante qu’il met à la disposition de celles et ceux qui sont interpelés par les ressources humaines et tout ce qui a attrait au recrutement. A la tête d’un cabinet spécialisé dans les évolutions et transformations professionnelles, MJ CONSULTING, l’accompagnement qu’il propose, lui et ses équipes, est prioritairement centré sur l’humain. Cela tombe à pic : l’humain doit redevenir le cœur de cible de tous les recruteurs potentiels…

 

AUXERRE : Bilan de compétences, bilan de potentiel individuel et technique, VAE, mobilité, transition professionnelle via les mutations, reclassements et autres outplacements : ce sabir, parfois un peu engoncé dans la technicité, se décline pourtant comme du petit lait dans la tête bien faite du chef d’entreprise qui tout sourire nous ouvre sa porte afin de faire plus ample connaissance ! Bienvenue chez MJ CONSULTING ! Une structure qui possède pignon sur rue au cœur de ville de la capitale de l’Yonne.

Gérant de l’entité, Régis MERARD promène sa silhouette et sa faconde lors de tous les évènementiels un peu « branchouille » de la place icaunaise, afin d’y parfaire la notoriété de son cabinet et assurer le SAV : il prend forme dans le cas présent en déclinaison de relations publiques. Le chef d’entreprise est sympathique et son aura lui permet de croiser sur son chemin tous les acteurs de la sphère économique ; cela lui est profitable, lui, il s’occupe du recrutement et de la mise en valeur des futurs collaborateurs.

 

Donner un nouveau souffle à celles et ceux qui veulent booster leur carrière

 

Indépendant depuis 2014 – eh, oui, dix ans déjà ou presque ! -, Régis MERARD vient de se doter d’un nouvel outil opérationnel, près du boulevard Vaulabelle qui lui offre l’opportunité d’accueillir stagiaires et formateurs qui suivent ses différents programmes. Membre du fameux réseau « Orientaction », il en épouse les préceptes. De quoi s’agit-il en vérité ? Le leader du bilan de compétences sait impulser de nouveaux repères à celles et à ceux qui veulent ainsi donner un nouveau souffle à leur carrière.

Comment, question liminaire posée à Régis MERARD ?

« C’est simple, rétorque ce dernier, nous aidons celles et ceux qui se sentent pousser des ailes en identifiant leurs compétences, leurs aspirations et objectifs professionnels. Bref, nous les préparons à leur reconversion professionnelle ! ».

Bon, il est juste de dire que Régis, côté expérience dans les ressources humaines, il en connaît un sacré rayon !

« Cela fait plus de quinze ans que j’ai multiplié les diverses expériences professionnelles et personnelles dans ce domaine d’activité, confie-t-il, tant en qualité de coach individuel que collectif… ».

 

 

Tourne-toi vers le soleil, l’ombre sera derrière toi !

 

Durant une décennie, Régis en sa qualité de coach de haut niveau aura construit et élaboré des projets de développement dans les milieux associatifs, au service du sport collectif. Un brin éloigné de sa formation…d’urbaniste !

« Je suis quelqu’un qui est toujours à l’écoute des autres, souligne-t-il, et un incorrigible optimiste ! Moi, j’accompagne les gens uniquement pour qu’ils puissent réaliser leurs envies profondes… ».

Il faut croire que cela porte ses fruits. Aux côtés de sa huitaine de collaborateurs, Régis multiplie les missions pour le compte des collectivités territoriales. A commencer par le Département de l’Yonne ou la ville de Joigny. La phase expérimentale du nouveau RSA vu de l’Yonne – le département sera choisi à l’instar de dix-huit autres territoires de l’Hexagone pour cette phase de test-, c’est lui qui s’y colle !

« Nous avons proposé une plateforme pour traiter cette population (huit mille allocataires du RSA environ sur l’Yonne) afin d’en accompagner une certaine frange vers le retour à l’emploi… ».

Avec Nicolas SORET et la ville de Joigny, le dirigeant de MJ CONSULTING se positionnera sur un tout autre segment avec deux portes d’entrée : le bilan potentiel jeune et « donner des « elles »» à destination de la gent féminine en quête d’un emploi.

On le constate : Régis et les siens ne s’ennuient pas une seule minute entre leurs diverses missions et la multitude d’opérations déclinables vers les demandeurs d’emploi.

Ah si : il faut aussi s’imprégner de son proverbe préféré : « Tourne-toi vers le soleil, l’ombre sera derrière toi ! ». A méditer pour retrouver la pêche et son enthousiasme…

 

Thierry BRET

 


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S’il y a bien un terme dont il a une sainte horreur et qui lui fait hérisser le poil dans son usage pratico-pratique au quotidien, c’est bien celui de la communication ! Le président de l’Agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre préfère utiliser le mot « information » pour expliquer les avancées des différents dossiers qui se rapportent à la mise en œuvre de l’ambitieux « Projet de Territoire », décliné sur la décennie à venir. Des informations savamment relayées par ses soins, via une lettre officielle qui a été distribuée dans les boîtes aux lettres de l’Auxerrois, couplée à une série de rencontres publiques dans les quartiers de la ville phare de l’Yonne…

 

AUXERRE : Ne lui parlez jamais de « communication » lorsqu’il évoque sa stratégie, car il pourrait voir rouge ou presque, Crescent MARAULT ! Non, lui, ce qu’il aime, ce sont les points d’étape, les focus et autres photographies prises à un instant « t » pour mieux « informer » sur la mise en œuvre de sa politique, applicable sur l’Auxerrois. Toujours dans le cadre de son « Projet de Territoire », la feuille de route initiale qui avait fait l’objet d’un abondant pavé informatif dès le début de son mandat.

Alors, trois années après sa prise de fonction et son installation dans le fauteuil du premier des élus de la capitale de l’Yonne, il n’y a donc rien d’étonnant à ce que le maire-président s’exprime en s’adressant à la population, tant de manière scripturale via une « Lettre aux Auxerrois » de quatre pages en version grand format reçue il y a quelques semaines dans les boîtes postales des habitants, ou de manière orale lors d’un exercice public, décliné en neuf actes dans la ville, les « Rendez-vous avec Crescent ». Un nom de code qui supposerait presque une part d’intimité relationnelle dans ces échanges avec l’interlocuteur !

 

S’il ne se passe rien, alors on ne dit rien !

 

« Expliquer ce que nous sommes en train de faire et non pas nous projeter sur ce que l’on pourrait faire d’ici deux à trois ans » permet de comprendre cette envie d’informer tous azimuts d’un Crescent MARAULT jusque-là disert sur sa politique. D’une part, il est (grand) temps de tirer les premiers enseignements des projets initiés  par son équipe après trois ans de gouvernance. D’autre part, il est judicieux pour l’élu de l’Yonne, de reprendre la main sur ce volet, coupant ainsi l’herbe à toutes les supputations et autres rumeurs, et de dire ainsi « comment se font réellement les choses de manière concrète sur le terrain ».

Un peu comme si Sherlock HOLMES nous gratifiait de sa célèbre formule, « Elémentaire mon cher WATSON ! », sous la plume de Sir Conan DOYLE.

Méthodique et réfléchi, Crescent MARAULT l’est visiblement jusqu’au bout de ses relations publiques ! « Vous savez, s’il ne se passe rien et que l’on a rien à dire, eh, bien on ne dit rien ! ».

Ce n’est donc pas plus compliqué que cela pour comprendre comment fonctionne l’édile auxerrois dans sa stratégie de « communication/information » !

 

 

 

Chacun des administrés doit avoir accès à une information claire et précise

 

Quant au temps politique, il ne joue jamais en faveur des gens trop pressés et avides de tout savoir, avant les autres – tiens, tiens, on dirait qu’il vise les journalistes ! - : « il faut respecter tout un processus qui nous est imposé autour de la mise en place d’un projet dans une collectivité, avec la construction du projet, sa faisabilité, sa validation, la recherche de son budget, sa validation, sa construction, soit une longue période comprise entre deux et quatre ans… ».

Naturellement, plus le projet est complexe, voire kafkaïen à sa réalisation, plus les délais impartis pour le voir se réaliser et enclencher un début d’information seront longs. De la pure logique donc dans la tête de l’ancien maire de Saint-Georges que « tous les élus ayant exercé le pouvoir savent par essence… ».

D’ailleurs, renchérit Monsieur le maire, « c’est souvent à partir de là qu’il y a une incompréhension totale de la part des citoyens qui ne sont pas au fait de ces modalités de fonctionnement et qui supposent que leur municipalité n’agit pas en conséquence sur les projets puisque rien ne se passe ouvertement ni par voie de presse ni par communication inutile ! ».

D’où l’idée, enfin, d’informer en cette période automnale les Auxerrois sur l’avancée des nombreux dossiers en fonction des étapes intermédiaires.

Au fil des quatre pages de cette lettre, pur produit du service de la communication de l’Agglo, qui devrait en appeler d’autres, si l’on suit le raisonnement du maire de la capitale de l’Yonne, la plupart des items évoqués dans le « Projet de Territoire » sont ainsi abordés en toute transparence grâce à des encadrés explicatifs, agrémentés d’une iconographie abondante et de chiffres à l’appui.

« Le but de ce document est simple, souligne Crescent MARAULT, c’est que chacun des administrés puisse avoir accès à une information claire, précise sur les nombreuses actions entreprises par l’équipe en charge de la gouvernance municipale (et/ou) communautaire… ».

 

Après l’écrit, l’oral pour partager la passion pour Auxerre

 

Du devenir de l’abbaye Saint-Germain au développement de la transition mobilité via l’essor du vélo ou du covoiturage, de l’innovation favorisant la transition écologique au changement des 2 300 points lumineux de la ville, sans omettre le renouvellement de l’offre commerciale sur trois ans ou la réhabilitation des logements qualificatifs permettant de revitaliser le cœur de ville : rien ne manque dans cet inventaire non exhaustif qui éclaire sur la nouvelle attractivité que souhaite impulser la gouvernance actuelle. Parmi les autres grands items abordés : l’enseignement supérieur, la réindustralisation, l’eau ou l’hydrogène, évidemment.

« Tout cela répond à un double objectif, insiste Crescent MARAULT : préserver la qualité de vie de l’Auxerrois et attirer sur ce territoire de nouvelles entreprises et de nouveaux habitants… ».

Le bilan de ce mi-mandat étant couché noir sur blanc sur le papier (un couché brillant du plus bel effet pour les puristes !), il était logique dans cette continuité informative de le commenter ensuite en public, en allant au-devant des habitants des quartiers auxerrois.

A cet égard, neuf rencontres sont ainsi programmées d’ici la mi-novembre pour l’élu d’Auxerre qui entend partager sa « passion » de la gestion de la ville auprès de ses administrés.

Une passion qui l’amène à évoquer les changements visant à améliorer au quotidien la vie des quartiers. Mais, aussi sans langue de bois – ce n’est pas le style du personnage ! – ceux qui peuvent occasionner des doutes et interrogations parmi les esprits chafouins : à l’instar de la suppression de la collecte des déchets en porte-à-porte qui suscite depuis sa validation communautaire à cinq voix près, moult remous parmi l’opposition (c’est son rôle) et des habitants amers qui n’adhèrent pas du tout à ce projet contraignant.

Bref, un exercice d’information sans filet mais pas sans courage que Crescent MARAULT aborde seul ou aux côtés de ses élus municipaux, avec pugnacité et volonté de pédagogie afin de convaincre les plus réfractaires à l’adoption de son « Projet de territoire ». Dans un souci de partage d’idées et d’échanges constructifs selon les règles initiales de la démocratie…

 

Thierry BRET

 

 

 


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