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Les médias nous inondent de publicités qui nous vantent les mérites de voitures pour cent euros par mois, avant même les caractéristiques techniques desdits véhicules. Que cachent ces moyens de financements ? Il ne faut pas oublier que les concessionnaires touchent des commissions sur les contrats de financement, versées par les sociétés financières, parfois liées aux marques. Afin d’accompagner le développement de la voiture électrique, les sociétés financières spécialisées et les banques traditionnelles participent au développement de solutions de financement des automobiles, tant pour les particuliers que pour les entreprises.

 

TRIBUNE: Le crédit est une base fondamentale de nos économies modernes depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le crédit est né de la création des banques depuis plus de 5 000 ans, avant même l’apparition de la monnaie. Il faudra attendre le XIIème siècle pour la naissance du crédit-bail, sous la houlette des chrétiens usuriers, qui contournent l’interdiction du crédit édictée par Rome.

Si les crédits immobiliers sont en berne, la vente de voitures est boostée par les voitures électriques et hybrides. Le prix moyen d’une voiture hybride se situe à plus de 41 000 euros. Une somme conséquente surtout en période de crise économique et d’inflation. On peut noter que la location est en hausse, avec un taux de près de 50 % des acquisitions de nouveaux véhicules. Les formules locatives séduisent de plus en plus et correspondent à un réel besoin.

 

La concurrence effrénée des établissements bancaires…

 

Payer cash, c’est prendre l’argent sur son épargne et ce n’est peut-être pas la meilleure des solutions. Si vous faites plus de 20 000 km par an, vous aurez un coût d’entretien et de réparation important. Attention, bien lire son contrat, les garanties ne couvrent pas tout ! De plus, lors de l’immobilisation du véhicule, il faudra louer et payer le remplacement provisoire. Ces dispositions proscrivent de facto l’achat de véhicules électriques d’occasion : les batteries sont garanties de six à huit ans. Au-delà, le remplacement est à la charge du propriétaire.

Quant au crédit bancaire, les banques et sociétés financières (CETELEM, COFIDIS, YOUDGE…) rivalisent et proposent des taux parfois très bas. Elles se livrent une concurrence effrénée au profit des consommateurs en pratiquant parfois, un dumping sur les taux (1 %). Financer sa voiture avec un crédit présente les mêmes remarques que pour le cash. Tout dépend du type de voiture, de son utilisation et du montant du crédit sollicité. Un crédit à hauteur de 100 % devient moins intéressant qu’une location.

 

 

Les subtilités réservées à la location

 

Les formules de location gagnent du terrain par rapport au crédit classique. Reste à savoir laquelle des deux choisir entre LOA ou LLD lorsque le cas de figure se présente.

La notion de propriété en fin de contrat reste le principal critère qui différencie ces deux solutions de financement. Comme son nom l’indique, la LOA regroupe les deux sortes de clients face à l’acquisition d’une nouvelle voiture. Si vous êtes indécis et préférez reporter votre choix au terme de votre contrat, l’option d’achat est idéale pour ce cas.

La LOA est également parfaite pour vous qui avez déjà planifié à l’avance votre investissement global entre apport, budget mensuel, et surtout prix d’achat de votre voiture, tout en laissant la possibilité de revenir sur votre décision en fin de contrat. En choisissant la LLD, on paie un loyer « à fonds perdu » en quelque sorte, puisque l’on ne devient jamais propriétaire de son véhicule, qui doit impérativement être restitué au terme du contrat de location longue durée.

 

 

La LOA ou location avec option d’achat

 

Appelée souvent « leasing automobile », la location avec option d’achat ou LOA permet de circuler avec un véhicule neuf, mais aussi d’occasion depuis quelques années, moyennant un loyer mensuel, avec possibilité de devenir propriétaire en fin de contrat. Confidentielle il y a une dizaine d’années, la LOA connaît un succès exponentiel sur le marché automobile face à l’achat à crédit. Dans le cadre de la LOA, la société de crédit, qui reste propriétaire du véhicule pendant toute la durée de location, exigera une assurance tous risques. Par ailleurs, les contrats de LOA sont assortis d’un forfait kilométrique (de 10 000 à 30 000 km par an). Des indemnités peuvent être demandées en cas de dépassement.

Quant à la LLD ou location longue durée, autrefois réservée principalement aux professionnels, elle se développe progressivement pour les particuliers, 11 % l’ayant choisie en 2017 (contre 3 % en 2011). Une croissance ayant poussé les constructeurs à remplacer le tarif de leur automobile par un coût mensuel, voire promu en prix journalier (3 euros par jour pour une Dacia par exemple). Contrairement à la LOA, vous devrez également restituer le véhicule en fin de contrat et n’avez aucune possibilité d’en devenir propriétaire. En clair, la location longue durée sans apport permet de circuler à moindre frais qu’avec un véhicule neuf acheté en crédit classique, tout en sachant qu’il ne vous appartient pas et qu’il faudra le restituer en fin de contrat, ce qui n’est pas le cas avec la LOA.

Attractive donc et ne nécessitant pas toujours un apport, la LLD ne laisse cependant pas le choix des services (assurance, entretien, réparations, assistance…), car cette formule de location comprend exclusivement ceux du loueur.

 

La location, idéale quand on roule peu !

 

La location séduit de plus en plus de consommateurs, et les constructeurs l’ont bien compris. Néanmoins, lorsque l’on souhaite acheter une voiture en leasing, il est tout de même conseillé de rester vigilant vis-à-vis des offres alléchantes chez son concessionnaire ou des nombreuses publicités face à ses capacités financières. Toutefois, la location se révèle généralement intéressante si l’on roule peu et souhaite changer de voiture régulièrement. Si cela comble les flottes de véhicules professionnels en LLD, la LOA (de plus les professionnels récupèrent la TVA sur les loyers), qu’elle soit avec ou sans apport, est la solution parfaite, car elle laisse le choix au détenteur de devenir ou non propriétaire. Ce mode de financement est donc une excellente alternative à l’achat d’un véhicule en crédit classique, grâce aux services qu’elle peut inclure et à des mensualités également inférieures en général.

En résumé, voici les points-clés à retenir sur la LOA et la LLD :

  • La LOA permet de devenir propriétaire en fin de contrat.
  • La LOA est de plus en plus plébiscitée par les particuliers et les professionnels.
  • La LLD impose une restitution en fin de contrat.
  • La LLD est une solution intéressante pour la gestion de flotte automobile professionnelle.
  • La fin de contrat pour une LLD peut révéler un piège : la remise en état du véhicule est facturée de manière souvent exorbitante.
  • Les mensualités de la LOA sont moins élevées que celles de la LLD (Hors apports.

Il faut donc faire le bon choix en toute connaissance de cause et surtout bien lire toutes les lignes des contrats proposés. Les financiers ont complexifié à souhait les possibilités de financements de nos « chères » voitures. « Un financier digne de ce nom ne va pas à la Bourse, il y «vole».» Ambrose PIERCE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Pour l’un de ses ultimes tours de piste sous les projecteurs, il est parfaitement décontracté et rodé à la pratique de l’exercice, le président de CERFRANCE Bourgogne Franche-Comté. Si son alter ego décisionnaire, mais directeur général de la structure, nommé en juillet, Thomas LEMAITRE découvre les arcanes d’une assemblée de territoire, accueillie dans l’Yonne ; lui, Eric COQUILLE ne les compte même plus ! C’est en affichant un large sourire qu’il s’est donc rendu au pupitre de l’estrade de l’espace culturel ayant reçu la manifestation afin de tirer les enseignements de l’exercice 2023, frappé de plein fouet par la crise économique et l’inflation…Avant d’aborder les perspectives.

 

APPOIGNY : Il ne pouvait pas manquer de saluer le travail sérieux effectué au cours de l’exercice écoulé, par l’ancien directeur général, Laurent BEURIENNE, parti au premier janvier 2023, sous d’autres cieux promotionnels du côté de la capitale. Un Laurent BEURIENNE qui aura laissé presque une marque indélébile dans le microcosme tant le personnage jouait sa partition avec maestria au sein de l’édifice CERFRANCE régional ; lui qui désormais occupe une fonction à haute responsabilité, au sein du Conseil national du réseau CERFRANCE, à Paris.

Mais, Eric COQUILLE lorgnant vers l’avenir sera aussi mettre en évidence son successeur, Thomas LEMAITRE, dès les premières minutes d’une assemblée territoriale qui s’ouvrait selon le cérémonial habituel.

Un Thomas LEMAITRE qui aura déjà un rôle prépondérant à jouer en cette période automnale en préparant la succession et l’imminent départ du président Eric COQUILLE.

En effet, ce dernier a annoncé son retrait du poste d’administrateur qu’il occupait depuis plusieurs années, en date du 28 novembre prochain, lors de l’assemblée générale annuelle. C’est-à-dire demain ou presque à l’échelle du temps !

 

Un nouveau président à la tête de CERFRANCE BFC fin novembre

 

Une manière intelligente de préparer l’avenir de la structure en mode résolument binôme, une structure spécialisée dans l’expertise comptable mais pas que puisque CERFRANCE BFC a su ajouter une multitude de cordes à son arc – c’est devenu une harpe au fil des années ! – au service des entreprises et des entrepreneurs dans leurs quêtes de rentabilité et de sécurisation financière.

Pour l’heure, rien n’a donc filtré sur le patronyme exact qui succédera au président COQUILLE en cette journée du 28 novembre. Toutefois, l’orateur profitera de sa prise de parole, face à un auditoire très attentif, pour préciser que le Conseil d’administration de la structure avait fait le nécessaire en amont pour que les deux rouages de cette indispensable courroie de transmission devant pérenniser le travail de ce leader du chiffre et du droit puissent poursuivre leur travail en toute sérénité.

 

 

Le rôle des délégués de territoire, à ne pas oublier…

 

Insistant sur la vie de ce binôme (président/directeur général), Eric COQUILLE n’hésitera pas à tresser des louanges sur ce mode opératoire très fonctionnel et à s’appesantir sur la nécessaire cohésion décisionnelle propre à ce système de gouvernance associative. Tel que l’a pratique avec succès CERFRANCE.

Sur sa lancée, le président évoqua également la réorganisation de l’entreprise – elle s’appuie sur une stratégie de développement ambitieuse depuis la fusion de 2019 – qui sera largement explicitée au cours de la soirée, trombinoscopes et cartographies en sus, avant d’aborder l’engagement politique de l’équipe.

Il sera ainsi présenté dans le détail le rôle des délégués de territoire, véritable articulation de cette société.

Dans cette longue explication de texte permettant de mieux saisir la gouvernance de la structure, Eric COQUILLE ne pouvait clore ce chapitre sans revenir une fois encore sur la nomination au début de l’été de Thomas LEMAITRE dont nous avions présenté le portrait dans l’un de nos précédents articles.

Un nouveau directeur général qui est depuis bien installé dans son fauteuil de dirigeant, choisi parmi une centaine de candidatures à l’origine. Ce qui n’est pas rien et témoigne, comme devait le préciser le président COQUILLE de l’intérêt porté à CERFRANCE par les cadres supérieurs en recherche d’ambitions…

 

Thierry BRET

 


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Et si ce rendez-vous donnait le ton et la tendance de ce que sera l’année 2024 ? Totalement décalée, sans langue de bois, un tantinet humoristique, éthérée, audacieuse…Bon nombre d’acteurs des milieux institutionnels et économiques de l’Yonne (et d’ailleurs) signeraient tout de suite au bas de la page pour que ces douze futurs mois soient placés sous ces excellents auspices ! En invitant l’ancienne ministre de la Santé et des Sports aux vœux 2024 de l’UIMM, MEDEF et de la FFB, Claude VAUCOULOUX souhaite nous offrir un feu d’artifice. Mais, attention, pas son bouquet final !

 

AUXERRE : Pratiquant le jeu du chat et de la souris, il fait durer le plaisir, le délégué général de l’UIMM et du MEDEF de l’Yonne. Prenant son temps dans ses explicatifs, avec une certaine délectation avant de révéler enfin le patronyme de la personnalité qui assurera l’animation de la traditionnelle cérémonie des vœux des milieux économiques.

Déjà, Claude VAUCOULOUX consent à livrer la date de l’évènement. Elle est à biffer sur tous les agendas, dès à présent : le jeudi 25 janvier 2024. Les montres devront être réglées pour 18 heures tapantes, pour le début des festivités !

Surtout, ne tardez pas à vous inscrire ! Les deux cents places que constitue l’amphithéâtre de la Maison de l’Entreprise devraient être prises d’assaut par le public pour être aux premières loges et surtout ne manquer aucune miette que l’on suppose déjà savoureuse du « show », proposé ce soir-là.

 

Un Claude VAUCOULOUX disruptif en 2024 ?!

 

Esthètes de la géopolitique, férus de la croissance économique, gourous de l’intelligence artificielle et de la digitalisation à tout crin, adeptes analytiques de la presse qu’elle qu’en soit la forme…, vous ne tiendrez pas en haleine, une fois n’est pas coutume, l’auditoire d’ordinaire très studieux de la Maison de l’Entreprise, cette année !   

« J’avais envie d’autre chose, commente Claude VAUCOULOUX sans qu’il n’ait lâché la moindre bribe informative sur la vedette devant assurer le spectacle, d’aborder l’actualité économique avec plus de mordant… ». Voire de piquant ?

 

 

Diantre, « ils » nous l’auraient changé, le « Monsieur Loyal » de la future soirée ?! Disruptif et insolent, avec ça !

Que l’on se rassure, Claude VAUCOULOUX aime se renouveler à maintes occasions dans les programmations de ces rendez-vous évènementiels. Il sait aussi qu’avec l’humour et parfois l’autodérision, bon nombre de messages, même les plus importants, peuvent être ainsi véhiculés à bon escient et pénétrer les neurones. Tout ce que possède…Roselyne BACHELOT, puisque c’est bien d’elle dont il s’agit !

 

Entre bons mots et banderilles, l'humour est assuré avec la pensionnaire des « Grosses Têtes » !

 

L’ancienne ministre de l’Ecologie et du Développement durable, sous le gouvernement de Jean-Pierre RAFFARIN, puis ministre de la Santé et des Sports sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de François FILLON nous livrera donc ses impressions (prévisions et analyses ?) sur ce que devrait être une année 2024, sur le papier plus que chaotique, tant au niveau de la géopolitique qu’au plan économique, via de nécessaires ricochets.

Bon, on n’oubliera pas que cette Nivernaise de naissance s’est aussi acoquinée de près après son passage ministériel avec le monde des médias et surtout RTL où elle est devenue une fidèle pensionnaire des « Grosses Têtes » animée par le remplaçant de l’éternel Philippe BOUVARD, Laurent RUQUIER !

Maniant la verve humoristique comme le lancer de banderilles si une chose ou quelqu’un ne lui revient pas, l’auteur de « Ma vie en rose » - son autobiographie – a su résumer sa carrière politique dans l’ouvrage truculent, baptisé « 682 jours », paru chez Plon, dont les bonnes feuilles sont à réserver à tous les amateurs de politique ! Des livres qu’elle dédicacera au terme de sa conférence avec le concours du partenaire de la soirée, la librairie « Obliques », il va de soi !

D’ailleurs, résolument décidé à donner un grand coup de pied dans la fourmilière organisationnelle habituelle, Claude VAUCOULOUX prévient : les vœux économiques 2024 réserveront leur lot de surprises et d’improvisations ! Qu’on se le dise ! Ce sera un véritable feu d’artifice mais pas son bouquet final !

 

Thierry BRET

 


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Avec une certaine solennité, il appose sa griffe au bas du document, sous le regard bienveillant du préfet de l’Yonne Pascal JAN, invité de la session. Une séance peu ordinaire puisque la communauté des « Entreprises qui s’engagent » de l’Yonne s’enrichira d’ici un instant de nouveaux membres dont le responsable départemental du réseau de recrutement, « Mercato de l’Emploi » Philippe BOUVEAU. L’un des nouveaux signataires de cette structure qui, animée par la Chambre de Commerce et d’Industrie, voit progresser son effectif…

 

AUXERRE : Il est un peu crispé, Philippe BOUVEAU ! Le dirigeant du « Mercato de l’Emploi », appellation originale de la société de recrutement qu’il représente sur l’Yonne à l’inspiration sémantique portée sur le football, s’avance à la tribune. Il succède ainsi au précédent signataire de la convention. A ses côtés, Pascal JAN. C’est toujours très impressionnant de poser pour la postérité en présence d’un haut fonctionnaire de l’Etat qui a pour mission de statuer de manière officielle sur l’engagement d’un nouvel impétrant !

Car, c’est bien de cela dont il s’agit. En rejoignant le club des « Entreprises qui s’engagent », illustration départementale de ce qui se décline désormais aux quatre coins de l’Hexagone sous l’impulsion de l’Etat afin de dynamiser l’économie via sa principale courroie de transmission qu’est l’entrepreneuriat, Philippe BOUVEAU sait au fond de lui, et sous le regard d’une salle pleine comme un œuf, remplie de chefs d’entreprises et de représentants des milieux institutionnels que son geste n’est pas fortuit.

 

Privilégier le partage des expériences et les actions communes

 

Comme lui, d’autres viendront tour à tour à la demande du maître de cérémonie habituel, Jean-Pierre LANTERNIER, animateur hors pair de ce club placé sous la responsabilité de la Chambre de Commerce et d’Industrie, parapher ce document officiel. Certains avec une légèreté et le sourire dans l’allure, d’autres comme Philippe BOUVEAU qui demeure plus concentré sur cet instant capital.

Tant pour la structure professionnelle dont il est le porte-voix sur le territoire de l’Yonne depuis peu de temps – le réseau hexagonal « Mercato de l’Emploi », entité organisée en parfaite osmose entre recruteurs et entrepreneurs qui officie dans l’Yonne depuis quelques mois – que pour sa propre promotion.

Signer ce certificat d’engagement possède un certain nombre de valeurs. D’une part, cela oblige le signataire à développer la découverte de l’entreprise vers le plus grand nombre pour bien en informer sur ses tenants et les aboutissants. D’autre part, en qualité d’adhérent du club, la nouvelle structure signataire participe à l’ensemble des réunions – celles-ci sont assurées par la CCI de l’Yonne – en privilégiant le partage et les actions communes. Un espace de coopération à tiroir qui n’est pas pour déplaire à Philippe BOUVEAU, qui souhaite initier davantage de relationnel dans sa stratégie à l’avenir.

 

Jouer un rôle plus citoyen et sociétal avec la réalité économique

 

Le credo de ce dispositif ayant vu le jour avec la bénédiction de l’Etat – un GIP, soit un groupement d’intérêt public - demeure l’accessibilité de l’emploi à tous. Du moins, au plus grand nombre, en vérité.

Aujourd’hui, le club des « Entreprises qui s’engagent » accueille en son sein près d’une cinquantaine de structures professionnelles sur le territoire icaunais qui ont pris pour cible différents domaines de l’inclusion, via des actions menées en faveur de la lutte contre l’illettrisme, l’illectronisme, voire au bénéfice des personnes en situation de handicap ou des réfugiés.

Autre subtilité, et ce n’est pas la moindre, des relations novatrices ont vu le jour entre le milieu entrepreneurial et l’Education nationale. Il était grand temps de construire des passerelles entre ces deux mondes !

Bref, autant d’éléments de premier choix qui résonnent aux oreilles de Philippe BOUVEAU qui ne regrette nullement le fait d’avoir signé un document lui permettant dorénavant de jouer un rôle plus citoyen et sociétal en phase avec la réalité du monde économique…

 

Thierry BRET

 


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L’ensemble des experts-comptables conseille au quotidien près de trois millions d'organisations (sociétés, entreprises individuelles, associations…) en France, de tous secteurs et de tous types. Il les accompagne dans de nombreux domaines : de la gestion à la recherche de financement, en passant par le social (de l’embauche de salariés, à la procédure de licenciement, par la gestion de la paie et de la collecte des cotisations sociales) ou encore le système d’informations… Ce professionnel joue un rôle clé auprès des entreprises, en conseillant les dirigeants sur des sujets stratégiques tels que l’investissement, l’innovation, l’exportation, le recrutement…

 

TRIBUNE : Acteur incontournable de la vie économique, l’expert-comptable est le premier conseiller des chefs d’entreprise. De plus en plus connecté et doté de compétences variées, voici, pour le rappeler, un zoom sur un métier moderne qui évolue avec son temps et la numérisation.

Bien sûr, il gère toute d’activité comptable de l’entreprise, mais il fait bien plus que cela. Il est également conseiller de ses clients, entrepreneur lui-même pour son cabinet et en tant que membre de l’Ordre des experts comptables, engagé au sein d’une profession libérale. Il conseille les dirigeants dans leurs choix stratégiques, alerte, analyse et accompagne les entreprises dans toutes les étapes de leurs développements quel que soit le secteur d’activité. C’est un véritable partenaire soumis au secret professionnel et à des règles déontologiques.

 

Expert-comptable, une profession réglementée 

 

Il appartient à une profession réglementée régie par l’Ordre des experts-comptables qui assure la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession qu’il représente. Soumis à un code de déontologie et à des normes professionnelles, il est obligatoirement inscrit au tableau de l’Ordre des experts-comptables, prête serment lors de son inscription, fait l’objet de contrôles réguliers sur son activité professionnelle, et est soumis à une obligation d’assurance civile professionnelle.

Un expert-comptable détient par la loi une prérogative exclusive d’exercice consistant en différentes missions, à savoir réviser, apprécier mais aussi tenir, centraliser, ouvrir, arrêter, surveiller, redresser ou consolider les comptabilités des entreprises et organismes auxquels il n'est pas lié par un contrat de travail. Il est également habilité à attester la régularité et la sincérité des comptes de résultats.

Autrement dit, si une entreprise ne fait pas sa comptabilité en interne et souhaite la confier à une personne extérieure, cette personne doit être expert-comptable et donc être inscrite au Tableau de l’Ordre. Cette prérogative garantit aux entreprises, à leurs partenaires financiers, à leurs salariés et aux pouvoirs publics, compte tenu de la réglementation qui encadre l’activité des experts-comptables (normes, déontologie, discipline, assurance obligatoire…), des travaux de qualité en matière de comptabilité et de fiscalité.

A défaut d’être inscrit au Tableau de l’Ordre, la personne peut être poursuivie au pénal pour exercice illégal de la profession d’expert-comptable et/ou pour usurpation du titre. La vérification de l’inscription au Tableau de l’Ordre peut s’effectuer en consultant l'annuaire de l'Ordre des experts-comptables. Si le prestataire qui effectue ces missions ne figure pas dans cet annuaire, vous êtes invité à effectuer un signalement à l'Ordre.

 

 

La profession en quelques chiffres

 

21 000 experts-comptables dont 15 000 hommes et 6 000 femmes exercent aujourd’hui en France. Auprès de 3 millions d’entreprises clientes pour 130 000 collaborateurs. Quant au chiffre d’affaires, il est de 11,5 milliards.

L’expert-comptable n’est ni un gourou, ni une « voyante ». Homme de chiffres, il peut établir des comptes prévisionnels, mais ne pourra jamais remplacer le chef d’entreprise. Certains souhaiteraient que l’expert-comptable puisse gérer leur entreprise ou leur personnel à leur place. Nous pouvons établir par exemple les déclarations de revenus fonciers, avec communication des documents ou informations, mais nous ne pouvons pas gérer la gestion des loyers et des locataires.

Nous pouvons par exemple rappeler à nos clients restaurateurs ce qu’est un taux de marge, et le coefficient qu’ils doivent appliquer pour courir les charges fixes. L’expert-comptable n’a pas pour mission de préparer les menus. Si, si cela m’a déjà été reproché !

Nous pouvons accompagner le chef d’entreprise, mais ne pouvons le remplacer. Même pendant les vacances… Une commerçante m’a reproché de ne pas pouvoir gérer son magasin et sa salariée pendant ses vacances d’été !

Nous pouvons vous accompagner dans l’établissement de déclaration de revenus ou de biens immobiliers. Mais nous ne pouvons pas « être dans votre tête ». Si vous ne nous informez pas, nous ne pouvons pas connaître les changements de situation (mariage, naissance…), le détail de votre patrimoine immobilier et de vos revenus locatifs (et des éventuels travaux déductibles).

Sans communication de l’intégralité des documents comptables (seules les factures sont comptabilisables et non pas les bons de commande, bons de livraison et devis) ou des informations (stock, impayés clients…), nous ne pourrions pas vous dire où vous en êtes, en établissant votre bilan comptable, qui doit être « la photo » de votre entreprise à un moment donné.

En conclusion, l’expert-comptable n’est que le conseiller du chef d’entreprise et ne pourra pas le remplacer. Pour pouvoir le conseiller au mieux, l’expert-comptable doit avoir tous les documents et informations en sa possession. Même si le chef d’entreprise attend beaucoup de son expert-comptable, n’oubliez jamais que nous ne pouvons pas « être dans votre tête » et que nous ne pouvons pas vous remplacer…

 

Lionel LEBLANC

 Expert-comptable

 ordre des experts comptables de bourgogne franche comte newsletter

 


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