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Elle l’aime ce territoire de l’Yonne, la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté ! Et ses colistiers de la liste « Notre Région par cœur » le lui rendent bien ! Tous lui accordent leur entière confiance pour la voir renouveler son bail à la tête de l’institution qu’elle gouverne avec une main ferme contenue dans un gant de velours depuis six ans. Une photo de famille où l’on retrouve des visages connus du sérail politique. A l’instar de Nicolas SORET en chef de file, d’Isabelle POIFOL ou du sortant Gilles DEMERSSEMAN…

 

AVALLON : Satisfaite de se retrouver en un si beau cadre un tantinet bucolique et patrimonial, la présidente de l’exécutif régional ? Visiblement, oui ! Elle n’était d’ailleurs pas la seule à partager cet avis, lors de la présentation officielle de la liste « Notre Région par cœur » qui pourrait peut-être, si les suffrages lui reviennent favorables, la conforter durablement dans son rôle suprême : celui de « patronne » réélue de la vénérable institution.

La candidate socialiste, originaire de Franche-Comté, ne s’est nullement sentie étrangère dans le territoire le plus septentrional de sa contrée de prédilection. Elle y a retrouvé des figures connues et reconnues qui suivent avec passion ses combats depuis tant d’années. Des silhouettes familières qui la poussent à reprendre le leadership des forces de gauche (PS, PC, PRG et société civile) pour une seconde mandature consécutive.

 

 

Fustiger la folle course des alliances trompeuses…

 

C’est dans ce positionnement fédéraliste que s’est présentée celle qui fait nourrir de grands espoirs à toute une frange de citoyens qui se reconnaissent en ses valeurs, fondées sur l’humanisme et l’écoute. Même si la lutte sera âpre au bout de compte, sachant qu’aucune élection n’est jamais gagnée d’avance…

Fédéralisme, c’est l’un des mots clé de cette réunion de campagne. Peut-être l’une des rares qui sera organisée avec la présence d’un public d’aficionados en quantité restreinte car il semblerait que ces échéances électorales proposées dans un contexte sanitaire exceptionnel se fassent sans débats. Hormis, sans doute, ceux conçus sur les réseaux sociaux. Mais, est-ce vraiment la tasse de thé en matière de communication de Marie-Guite DUFAY ?

Fustigeant la folle course aux alliances de ses adversaires (allusion à peine voilée à la liste des Républicains et à son chef de file Gilles PLATRET qui a conclu des accords avec Debout la France et un mouvement écologiste), la présidente de l’exécutif a rappelé l’identité idéologique propre à la liste qu’elle conduit : une liste de gauche, point barre !

Seul bémol pour l’élue bisontine, elle aurait voulu un rassemblement comprenant toutes les grandes composantes de la gauche, unissant socialistes, communistes, radicaux et…écologistes sous la même bannière.

Mais, rétifs, ces derniers ne se rallieront pas à son projet, préférant faire cavalier seul, du moins pour le premier tour de ces élections se déroulant en deux épisodes, les 20 et 27 juin.

 

 

 

« Les Verts désirent vivre leur radicalité, explique la présidente sortante. Puis, se voulant rassurante auprès de l’assistance, « mais les ponts ne sont pas coupés pour autant : je ne désespère pas trouver un accord de principe en vue du second tour… ».

Pourtant, se serait-elle fait un peu prier pour conduire la liste, Madame la présidente ? Ses propos surprennent les observateurs de la sphère médiatique qui assistent à sa prise de parole.

« Je n’avais pas envie d’y aller, souligne-t-elle, mais je me suis sentie une responsabilité au niveau des forces de gauche… ».

Qualifiant son bilan de réussi (« nous avons fait du bon travail » martèlera-t-elle à maintes reprises), Marie-Guite DUFAY évoqua la dure réalité de cette fusion entre ces deux régions voisines qu’étaient autrefois la Bourgogne et la Franche-Comté. Un contexte d’harmonisation difficile qui fut réalisé dans l’intérêt des habitants.

 

 

 

La Région n’a pas à rougir de ses engagements…

 

Réalisant une analyse introspective des six années de mandature écoulée, la présidente de l’exécutif passa en revue les aspects régaliens de l’organisme institutionnel. Avec ce seul credo : harmoniser davantage vers le haut !

Au-delà de la crise sociétale imprimée par les Gilets jaunes ou celle, plus dangereuse inhérente à la COVID, la Région a dû s’employer à trouver des parades efficientes mais nécessaires pour en juguler les effets désastreux sur la vie économique.  

« On a utilisé différents leviers pour développer les programmes de formation, explique l’intéressée qui revendique cette agilité et cette réactivité dans l’action. Nous avons mis en place des filets de sécurité pour protéger tous les acteurs du tourisme et de l’évènementiel mais aussi les étudiants ».

L’élue régionale rappellera en aparté comment elle a pu négocier l’achat de masques protecteurs dès les prémices de la crise pour les besoins des départements sans omettre l’anecdotique mésaventure de Bâle et de son tarmac où lui furent réquisitionnés par l’Etat lesdits masques !

Parmi les autres arguments positifs évoqués : le doublement de la rémunération des stagiaires, la création du fameux ticket de mobilité pour les salariés résidant en campagne et devant se rendre en zone urbaine pour y travailler, les gestes envers les agriculteurs dont les récoltes furent anéanties par les vagues de chaleur successives.

Reste l’emploi, parmi ces principaux items. Là aussi, la Région sous l’ère DUFAY a su se doter de nouveaux jalons qui forcément seront confortés dans le programme que la liste « Notre Région par cœur » entend bien développer en cas de réélection. C’est le cas notamment de l’hydrogène, des biotechnologies, de la métallurgie, de la mécanique, de l’horlogerie, de l’agroalimentaire.

 

 

Toutefois, la présidente n’en dira pas plus sur la stratégie à venir. Se promettant de revenir dans les huit territoires départementaux afin d’expliquer la méthodologie lui permettant d’amplifier le travail aux côtés de sa nouvelle équipe.

Une liste où se retrouvent des personnalités emblématiques de la politique départementale, à commencer par le premier d’entre eux qui ouvrira le ban en accueillant l’élue régionale, le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et édile de Joigny, Nicolas SORET.

A 40 ans, ce dernier portera l’étendard de la gauche aux côtés de quelques indissociables partisans de cette union sacrée, gage de victoire par le passé.

Ainsi, n’est-on pas surpris de retrouver Isabelle POIFOL, ancienne adjointe à la culture de la Ville d’Auxerre sous le mandat de Guy FEREZ en seconde position, le nouvel édile d’Avallon, Jamilah HABSAOUI qui entre de plain-pied dans ces joutes régionales en quatrième de liste, le communiste et syndicaliste Patrick BLIN ou le conseiller régional sortant Gilles DEMERSSEMAN qui aimerait poursuivre l’aventure aux côtés de sa présidente. Histoire de solidifier un peu plus les liens que Marie-Guite DUFAY entretient avec l’Yonne ?

 

 

La liste « Notre Région par cœur » :

1) Nicolas SORET

2) Isabelle POIFOL,

3) Patrick BLIN,

4) Jamilah HABSAOUI,

5) Gilles DEMERSSEMAN,

6) Nathalie LABOSSE,

7) Christophe BEN ALI,

8) Sylviane TOULON,

9) José DA SILVA,

10) Béatrix ZEPPA,

11) Dominique BOURREAU,

12) Véronique CARRERE,

13) Sylvain QUOIRIN,

14) Joëlle GUYARD.

   

Thierry BRET

 

 

 

 


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Un voile de tristesse couvre le timbre de sa voix. La conversation téléphonique se suspend un court instant. Le temps que l’émotion à fleur de peau ne soit évacuée comme balayée par un zéphyr méridional. Là où se repose durant ce long week-end de l’Ascension l’ancien édile de la bourgade icaunaise qui fait part de son ressenti. Entre désappointement et regrets. Entre colère sourde et espérance que sa candidate de cœur ne l’emporte au soir du 27 juin aux départementales…

 

MONETEAU : Affecté par l’épilogue définitif d’une vie publique bien remplie, vingt-cinq années au service des administrés de la commune périphérique d’Auxerre et autant dans l’hémicycle du Département, ne s’effacent pas en deux coups de cuillère à pot, Robert BIDEAU, d’ordinaire si tranquille, donne l’impression d’être abattu par la décision irréfutable qu’il vient de prendre.

Celle de sa démission du conseil municipal qui a été annoncée ce lundi 10 mai en son absence. Et qui a provoqué dans la foulée l’intérêt de la sphère médiatique ; le contraire eut été étonnant.

D’autant que cet adieu du conseiller départemental de la majorité acquise à Patrick GENDRAUD ne s’est visiblement pas effectué dans la légèreté. Ni dans la cordialité la plus probante. L’intéressé s’en explique lui-même dans une missive rédigée de sa plume qui a été lue dès le début de la séance municipale, se déroulant dans l’enceinte du SKENET’EAU lundi soir. Un courrier qui a aussi circulé abondamment dans le landerneau et été largement commenté par les habitants eux-mêmes.

 

Le « grand âge » de l’élu serait au centre des outrages…

 

L’élu aux quadruples mandats, ils se sont succédés entre 1995 et 2020, fait part ouvertement de sa profonde amertume et de sa rancœur envers celle qu’il a accompagnée pour « assurer la continuité de l’immense travail accompli ».

Un courrier résolument à charge, donc, contre l’actuel édile Arminda GUIBLAIN qui a succédé à Robert BIDEAU en 2020.

Le corps du texte est limpide comme de l’eau de source. Robert BIDEAU y parle de « blessure », « d’ingratitude à son égard », de « révolte » mais aussi de « confiance trahie ».

Bref, l’ancienne adjointe aux affaires sociales, qui occupe désormais le fauteuil de maire depuis la dernière échéance électorale, n’a pas besoin de se rendre chez un couturier pour refaire sa garde-robe. Elle est habillée pour la saison printanière et les suivantes des pieds à la tête !

 

 

Le fond du litige fait référence à des outrages oratoires, qui selon l’ancien élu, se sont avérés à la suite de propos des plus déplacés se rapportant à son « grand âge ». Ces paroles auraient été tenues en réunion municipale. Une motivation impérieuse qui aurait alors précipité Robert BIDEAU vers la sortie. Par la petite porte…mais dans une peine ô combien palpable.

A l’instar de la célèbre série « Aux Frontières du réel », la vérité est ailleurs, semblerait-il. La mise sur la touche de Robert BIDEAU, sans passer par la case départ pour y toucher les vingt mille euros de bonus (règle élémentaire du « Monopoly ») serait imputable, d’après lui, aux échéances départementales et à ses multiples enjeux.

 

Un soutien sans faille à son ancienne équipière Malika OUNES et à Patrick PICARD…

 

L’ex-moitié du binôme qu’il formait jusque-là avec la conseillère sortante Malika OUNES ne se représentera pas in fine pour briguer une nouvelle mandature sur le canton d’Auxerre 2. Contrairement aux tendances qui avaient pu alors circuler courant février. C’est d’ailleurs l’ancien candidat aux municipales Patrick PICARD qui lui fut opposé qui a repris le flambeau de ce binôme constitué avec la candidate sortante.

En revanche, ce tandem retrouvera bel et bien en face de lui et contre toute attente d’après l’ancien maire, le ticket formé par le duo Arminda GUIBLAIN, associée au maire d’Appoigny, Magloire SIOPATHIS.

De l’action qu’il a menée durant cette période de six années au sein de l’institution départementale aux côtés de Malika OUNES, Robert BIDEAU en tire cette conclusion heureuse : « Notre collaboration a été empreinte de loyauté et de confiance dans le seul intérêt du territoire et de ses habitants…».

Des arguments qui suffisent pour lui renouveler son total soutien lors de cette nouvelle campagne qui ne fait que débuter pour la vice-présidente de l’exécutif icaunais en charge du développement numérique et de son coéquipier Patrick PICARD.  

Arguant d’un bilan qu’il juge positif durant toutes ces années de mandat, Robert BIDEAU rappelle que le binôme qu’il formait alors avec Malika OUNES avait fait barrage efficacement contre le Front national de l’époque en 2015, totalisant 63,35 % des suffrages obtenus au second tour contre 17,21 % pour la liste des candidats bleu marine.

Des chiffres que les 11 500 inscrits du canton nord-auxerrois ne devraient pas extraire de leur mémoire selon l’ancien édile qui souhaite encore peser de tout son poids et de son influence pour faire pencher la balance électorale en sa faveur. Verdict le 27 juin au soir !

 

Thierry BRET

 


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Premier indice qui explique ce rendez-vous proposé à la presse pour faire plus ample connaissance : la raison d’être de ce mouvement souhaitant plus qu’une simple transition, une « véritable transformation sociétale ». Si quelqu’un doit se mouiller pour prendre de bonnes initiatives afin de faire bouger les lignes, ce sera eux ! Eglantine BORGNAT, Charisse NGOUMBI, Olivier BOURGEOIS et Rachid EL IDRISSI, seul candidat de ce team newlook à être inféodé à une formation politique, celle des « Nouveaux Démocrates » dont il est le porte-étendard départemental…

 

AUXERRE : C’est la liste du « territoire en mouvement ». Dans sa parfaite globalité, son éclectisme absolu et son universalité réaffirmée. Ici, le projet ne s’oriente pas à grands coups d’étiquettes politiques. Encore moins à l’estampille politicienne, le « gros mot » à ne pas prononcer !

Les candidats de cette liste résolument humaniste et citoyenne concourant sur le canton d’Auxerre 3 veulent être bercés par le chant des sirènes du pragmatisme et de l’efficience. Au service des autres, pour qu’ils aient le bénéfice d’un avenir meilleur, équitable et surtout plus juste.

Alors de là à évoquer quels seraient les soutiens potentiels accordés par les formations politiques à leur endroit, la question est balayée d’un large revers de la main par la tête pensante de ce collectif, qui croît au fil des jours sur les pages des réseaux sociaux, Rachid EL IDRISSI.

Les « Gens d’Ici », une appellation que ne pourrait renier le faiseur de mots Etienne RODA-GIL sur une mise en musique de Julien CLERC dans l’un de ses succès de 1975 (« This melody »), ne portent pas d’étiquettes, ne répondent qu’à leur seule vision du monde (peut-être un peu trop utopique ?) et clament leur indépendance d’esprit vis-à-vis de l’intelligentsia habituelle !

 

 

Un référentiel d’idées qui distille une trentaine de propositions…

 

Beaucoup peuvent se retrouver derrière ces mots. Où il est question de liberté, de paix, de préservation de l’environnement, d’initiatives collectives et participatives en faveur de la nouvelle économie.

Pas celle trop productiviste des libéraux à tout crin, mais celle qui, au contraire, encourage le développement de proximité avec ses circuits courts, l’auto-partage ou l’alimentation saine. En somme, en étant respectueux d’une éthique et de la qualité de la vie. Axiomes que recherche dorénavant tout être humain bien-pensant en cette période de crise.

Trente propositions constituent ce programme plutôt digeste qui est dévoilé parfois avec moult détails par leurs thuriféraires.

On y valorise le volet social. On y favorise le renforcement des échanges avec Paris dans les domaines de l’enseignement, de la culture, des affaires. On y marque l’identité viticole de ce territoire où les crus regorgent. On y parle de la « Cagnole », cette valeur numéraire locale permettant de payer des prestations dites de proximité. On y recycle les friches industrielles pour y accueillir des artistes et des intellectuels. On y soutient les jeunes désireux se lancer vers l’emploi. On y remodèle l’existence pour les citoyens du monde que nous sommes tous !

 

 

Bref, c’est une noria de préconisations vertueuses ne demandant qu’à faire consensus et florès auprès du plus grand nombre.

L’une de ces idées maîtresses, défendue depuis très longtemps par le leader des « Nouveaux Démocrates », reste l’instauration du revenu universel. L’ex-socialiste Benoît HAMON en avait parlé en son temps lors de la présidentielle 2017. Une idée que s’arroge à l’échelle départementale le très déterminé Rachid EL IDRISSI sur cet item.

Lui qui a toujours eu une longueur d’avance dans son vécu professionnel consacré à la cause du digital croit dur comme fer à la pertinence de ce précepte social très altruiste.   

Toutefois, l’accélérateur de projets qu’il aimerait devenir le sait très bien. Derrière cet inventaire à la Prévert pavé de louables intentions, le plus dur reste à faire car désormais il faut convaincre. Sur les réseaux sociaux, évidemment, la crise sanitaire étant si persistante, il faudra donc repasser pour assister cette année à la moindre réunion de campagne…

 

 

 

Une équipe accro à la révolution environnementale et sociétale…

 

Pour se faire, le natif d’Auxerre (quartier Rive-Droite) – le curieux dénominateur commun des prétendants de cette liste des « Gens d’Ici » -- s’est entouré de personnes motivées et combattantes dans l’âme. Certaines sont connues, d’autres sont à découvrir.

A commencer par l’autre versant du sommet de l’iceberg, l’entrepreneure Eglantine BORGNAT, chantre d’une viticulture qualitative et gouleyante. On connaît le passé mâtiné de volontarisme et d’originalité de l’hébergeuse de tourisme, via le domaine éponyme que l’on ne présente plus. La voici qui endosse une toute autre vêture, inhabituelle cette fois, de tête de gondole aux départementales !

Deux remplaçants accèdent à ce dernier carré électoral, composé d’un double binôme. La première se nomme Charisse NGOUMBI. Une personne très investie auprès des Auxerrois depuis une décennie, se disant très « timide » mais qui ne l’est nullement en vérité lorsqu’elle explique, dithyrambique, sa vision des choses pour améliorer le sort de ses congénères.

 

 

Il y a aussi Olivier BOURGEOIS. Le fonceur au tempérament bien trempé, pur produit de la filière rugbystique locale. Lui, il a déjà vécu une expérience d’élu municipal sous l’ère FEREZ il y a longtemps. Il se définit comme un facilitateur de l’émergence d’une filière d’excellence dans le domaine de l’agriculture biologique pour approvisionner la restauration collective et individuelle en encourageant les circuits courts.

La légitimité des Gens d’Ici suinte à fleur de peau à la moindre parole édictée. Leur seule vocation dans cette joute est de fédérer des électeurs flirtant sur un prisme hétéroclite dont le curseur de pensées s’étalerait du centre droit à l’écologie.

Proposant un mix de suggestions basées sur la fraternité et le social, cette liste atypique se veut être le mouvement  représentatif d’un autre entrepreneuriat sur le volet de l’économie.  Au seul bénéfice d’une profonde transformation de la société, plus que d’une simple transition.

Les citoyens qui se rendront aux urnes les 20 et 27 juin seront-ils prêts à tenter l’expérience ?

 

Thierry BRET

 

 


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Sa plume est humoristique. L’idéal par les temps qui courent ! Pendant une quinzaine d’années, celle qui a voulu être comédienne a réalisé son rêve. En fréquentant les planches et plateaux en qualité d’actrice mais aussi d’autrice, d’humoriste et de metteuse en scène. Mais, c’est en écrivaine qu’elle se dévoile à nous du fait de son actualité...

 

AUXERRE : Débuté en avril 2020, après six mois d’écriture, le deuxième opus proposé par ce personnage pétri de talents vient de voir le jour. En faisant abstraction d’une avalanche de péripéties qu’il aura fallu gérer à bon escient ! Problème de stocks, soucis à l’impression avec des chapitres de l’ouvrage absents de ce rendez-vous livresque… : Céline HOLYNSKI aura dû faire montre de patience pour ne pas y perdre son latin !

Scénariste (elle a œuvré pour des séries de la télévision ou pour des documentaires dont le commanditaire n’était autre que Julien COURBET), cette spécialiste des one-man show est une touche à tout ingénieuse qui est même passée durant un temps par les studios de Sud Radio où ses chroniques égayaient l’auditoire amusé.

Auteure de la pièce « Les Bons cons font les bons amis », l’artiste crée sa propre chaîne « You Tube » qui lui permet de partager et d’expérimenter ce nouveau mode d’expression. Grand bien lui en a pris il y a quatre ans puisque Céline accueille plus de 145 000 abonnés et propose l’équivalent de 150 vidéos sur ce média.

« Des tutos ? Je ne sais pas faire explique-t-elle et je n’ai pas le matériel pour réaliser de la fiction ! Alors, au final, je pose des vidéos à vocation humoristique où j’y distille parfois un peu de réflexion. Voire des questionnements existentiels ou rien du tout ! ».

L’humour est son fer de lance. Cela se traduit dans son travail scriptural. Elle aime le rappeler : son meilleur canal de communication, c’est l’écriture. Et ce depuis le collège où une professeure de français lisait à voix haute ses dissertations ! Une véritable révélation !

 

 

 

De l’humour avec quelque chose en plus…

 

En janvier 2020, l’écrivaine publie son premier ouvrage. Le nom intrigue : « Tarot, rupture et confiture ». Un opuscule édité par Larousse. L’héroïne, Camille, va vivre de nouvelles pérégrinations dans un second livre, baptisé de manière tout aussi loufoque : « Biberon, vodka et déambulateur » !

L’objectif de ces deux volets romancés est atteint : faire rire et divertir le lectorat. Mais, un rire auquel elle ajoute des zestes de réflexion.

A travers les pages, l’héroïne est en reconquête d’estime personnelle. On y évoque aussi le temps qui s’égrène et le fait de trouver sa place parmi la société. On y décèle aussi une petite coquille avec deux chapitres 11 dans le même ouvrage : une fantaisie comme une petite tâche de naissance.

L’idée d’une trilogie ? Pourquoi pas ! Un troisième opus existera peut-être in fine, clôturant ces aventures rocambolesques de Camille.

Céline HOLYNSKI se remet également de son immersion intense vécue durant près de trois mois au Brésil. Elle y a rencontré des personnages incroyables, vivant dans les favelas qui ont des parcours de vie anachroniques et qui s’en sortent.

Une extraction de sa zone de confort qui lui a permis de se transformer intérieurement, prétexte sans doute à un nouveau roman ?

 

En savoir plus :

https://www.youtube.com/channel/UC7M__bPGgcxiBzjAG0CZ52w/featured 


Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 

 

 


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Serait-ce enfin l’éclaircie si attendue après plusieurs mois de grisaille persistante ? Il n’y a donc plus une minute à perdre pour la direction du théâtre d’Auxerre avant d’enclencher avec ses équipes tous les rouages organisationnels l’amenant à assurer sa programmation. L’explication de texte sera proposée ce lundi via une conférence de presse…

 

AUXERRE : Le monde culturel retrouve un peu d’air frais lui permettant de mieux réguler sa respiration. Il était grand temps après une trop longue période de déshérence intellectuelle où le milieu artistique souffrait de cette absence de ne pas paraître sous le feu des projecteurs.

Le théâtre d’Auxerre, contraint de vivre lui aussi cette situation pour le moins ubuesque, aura été l’un des symboles de cette mise à l’écart forcée, accueillant régulièrement sur son parvis des réfractaires à ce blocage insolite des spectacles vivants.

On imagine que son directeur, Pierre KECHKEGUIAN, aura donc des choses à dire lors de sa prise parole ce lundi 10 mai aux alentours de 14 heures dans le cadre d’une conférence de presse qu’il accordera après les nouvelles mesures prises par le gouvernement.  A savoir un assouplissement sous certaines conditions pour le monde des arts, et ce à partir du 19 mai prochain.

 

 

L’hôte de ce lieu très prisé par la sphère croissante de celles et de ceux qui vibrent à la découverte d’une œuvre abordera l’occupation du théâtre mais aussi le processus opérationnel lui permettant de rouvrir ses portes.

En outre, le fait est suffisamment rare pour qu’il mérite d’être souligné, Pierre KECHKEGUIAN ne sera pas le seul des orateurs du jour à s’exprimer. La présidente de l’association AIDA, George BASSAN, interviendra également pour véhiculer des messages forts dont elle aura peaufiné le particularisme au cours de ce week-end de commémoration du 08 mai 1945.

Un armistice dans la bataille livrée contre la COVID, synonyme de retour à la normale pour la vie culturelle ?

 

Thierry BRET

 


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