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Confiant, Gian-Marco AMENDOLA n’en démord pas. Faisant fi des habituelles tracasseries administratives qui ont retardé son projet d’implantation dans l’Yonne – qui n’en subit jamais dans ce beau de France lorsqu’il désire entreprendre ! –, le franchisé de la célèbre enseigne de restauration rapide américaine (Kentucky Fried Chicken) espère accueillir ses premiers clients d’ici décembre. Explications…

SENS : La phrase, il l’a martèle à maintes reprises durant l’entretien qu’il nous a accordé. « Le KFC sera opérationnel à Sens d’ici la fin de l’année 2019… ». Méthode Coué, certitude absolue ou volonté inexpugnable de rendre fonctionnel au plus vite son outil de production ?

Quoi qu’il en soit, le franchisé de la future enseigne de fast-food, attendu avec grande impatience par toute une frange de consommateurs en pénitence de ne pouvoir savourer les spécialités de poulet frit à la sauce made in USA, a des fourmis dans les jambes.

Il a surtout hâte de démarrer au plus vite l’aventure : celle qui procure de l’adrénaline et de l’enthousiasme, à tout bon entrepreneur qui se respecte !

Le professionnel de la restauration (il évolue dans cette bulle depuis plus de deux décennies) joue la carte de l’optimisme : les premiers coups de pioche devant contribuer à la prochaine édification du bâtiment seront donnés d’ici la fin de ce mois. Celui-ci recevra ensuite en ses murs le fonds de commerce. Le bâti, érigé sur une surface d’environ 300 mètres carrés, pourrait accueillir ses premiers visiteurs avant le terme de l’année.

Gian-Marco AMENDOLA possède déjà une autre vitrine commerciale à l’estampille de KFC. Celle-ci est implantée dans la capitale du Cher, à Bourges, depuis 2016.

« Je souhaitai me développer vers la région Centre, voire un peu plus à l’est, confie le chef d’entreprise qui a jeté son dévolu sur le Sénonais. L’attractivité et la dynamique de ce territoire m’ont convaincu de poser mes jalons ci… ».

Dans un premier temps, le dirigeant s’était intéressé à l’Auxerrois. Mais, le manque de possibilité foncière telle qu’il la concevait et la proximité avec l’Ile-de-France l’ont très vite ravisé sur son choix initial. C’est finalement la ville emblématique des Sénons qui a obtenu son onction.

 

 

Une stratégie de conquête mûrement réfléchie…

 

Toutefois, Gian-Marco AMENDOLA n’occulte pas la possibilité à moyen terme de venir tâter de nouveau le pouls de la faisabilité opérative d’Auxerre. Pour valider l’installation d’un troisième point de vente.

Aujourd’hui, le projet nécessite un investissement budgétaire qui oscille entre 1,5 million et deux millions d’euros. Même si cette boutique serait moins importante que celle ouverte à Bourges (Sens ne possède pas l’attractivité comptable de la ville de Jacques CŒUR), le restaurant bénéficierait du décorum de dernière génération de KFC.

Ce dont profiterait volontiers la centaine de clients pouvant se sustenter en même temps dans l’établissement.

L’un des sponsors atypiques de l’équipe de France de football championne du monde est devenu en l’espace de plusieurs années un poids lourd de la restauration rapide.

Ses principaux concurrents demeurent BURGER KING et Mc DONALD’S, déjà implantés dans le département. Précisons que BURGER KING s’installera à Saint-Denis-les-Sens au premier semestre 2020.

Avec cette ouverture, KFC comptabiliserait environ 250 établissements en France. Sachant que le groupe américain envisage le doublement du nombre de ses magasins d’ici cinq ans.

Ciblant en priorité les familles et les adolescents, amateurs patentés de fast-food à longueur de saisons, Gian-Marco AMENDOLA ne dédaigne pas s’orienter dans sa stratégie merchandising vers les professionnels. Notamment la clientèle au profil commercial de type VRP.

 

KFC à Sens équivaut à une cinquantaine d’emplois à la clé…

 

Reste l’emploi. La présence de la marque d’Outre-Atlantique sur le Sénonais se convertit en une cinquantaine de nouveaux postes créés. Ce qui est un argument non-négligeable dans le contexte d’aujourd’hui.

La Mission locale, Cap Emploi et Pôle Emploi ont été mobilisés dans cette quête qui consiste à rechercher ces collaborateurs et encadrants.

Comme le confirme Gian-Marco AMENDOLA : « le processus d’embauche, toujours d’actualité, est long, voire complexe. Au-delà des diplômes, je suis davantage sensible aux mises en situation autour des véritables compétences de l’individu… ».

D’où le recours à la MRS, système ayant déjà fait ses preuves chez Pôle Emploi. La méthode de recrutement par simulation est déjà abondamment usitée dans d’autres univers corporatistes tels que l’industrie ou la viticulture. KFC ne pouvait pas faire autrement que d’en bénéficier.

Un article réalisé avec le concours de la Communauté du Grand-Sénonais et de la Ville de Sens.

 


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Le dispositif de retour à domicile pour une meilleure prise en charge d’un patient souffrant d’une pathologie (insuffisance cardiaque, diabète) ou bénéficiaire d’un acte chirurgical s’étoffe. Son déploiement est étendu désormais à de nouvelles situations. Constituant ainsi un panel de nouveautés que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie promeut en cette période de rentrée. Deux nouveaux items élargissent ainsi ce programme instauré depuis 2010 : le PRADO AVC et le PRADO destiné aux personnes âgées…

AUXERRE: Un PRADO peut-il en cacher un autre ? C’est en substance l’interrogation dont on pouvait se targuer de poser à l’écoute des propos introductifs de la direction départementale de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie faisant un point sur cette actualité chaude.

Alors que le volet maternité de ce dispositif demeure le plus ancien et celui qui mobilise le plus grand nombre de bénéficiaires sur notre territoire, soit 1 437 personnes, PRADO (un acronyme signifiant « Programme de retour à domicile ») gagne en compétences. Ajoutant dans son escarcelle deux items supplémentaires : PRADO AVC et PRADO personnes âgées.

Cette dernière application concerne des patients de 75 ans et plus, qui profiteront de mesures d’accompagnement orchestrées avec le concours des services sociaux et ceux des établissements hospitaliers. Bref, il s’agira d’un véritable suivi médicalisé concocté au domicile du patient. Un angle à ne pas négliger ni pour le métabolisme ni pour le psychisme du sujet.

L’impact est même conséquent pour l’individu soigné, chiffres à l’appui à la lecture des expériences vécues autour des trois volets déjà existants : la maternité, la chirurgie et les pathologies chroniques (BPCO, pour bronchopneumopathie chronique obstructive ou l’insuffisance cardiaque).

Le taux de réadmission à l’hôpital chute de 50 % à 20 % pour le bénéficiaire de ce dispositif. Une tendance qui se confirme aussi lors d’un rapatriement express obligatoire au service des urgences.   

 

Un niveau de satisfaction élevé de la part des patients concernés…

 

Commentant ces informations, Thierry GALISOT, directeur-adjoint de la CPAM de l’Yonne, ne peut qu’acquiescer : « notre souhait est que cette patientèle puisse évoluer le plus longtemps possible dans son environnement domestique… ». Insistant de facto sur le devoir impératif de l’accompagner du mieux possible en y mettant les moyens nécessaires côté outils.

D’autres acteurs du segment sanitaire travaillent en étroite osmose avec la Caisse Primaire d’Assurance Maladie à propos de ce dispositif. C’est le cas de la CARSAT qui offre ses appétences à l’évolution sociale du dossier. Mais, ce l’est tout autant avec les professions libérales de santé comme le milieu infirmier. Les passerelles sont si ténues que la signature d’une convention a été rendue formelle il y a peu au plan national.

L’extension du programme prend corps avec le volet « AVC ». La CPAM a estimé qu’un groupe, comprenant 637 personnes, pouvait potentiellement être sujet à ce type de pathologie dans l’Yonne. Là aussi, l’organisme se montre pionner dans sa démarche d’accompagnement en créant ce dispositif novateur. Quant aux recours aux soins pour les patients hospitalisés après un AVC à domicile, il s’avère faible. Toutefois, le retour vers l’hôpital présente un taux élevé : il est évalué à 36 % dont 19 % vers les urgences.

Adepte d’une stratégie placée sous le sceau du volontarisme, la Caisse Primaire d’Assurance maladie possède avec le programme PRADO d’excellents retours. L’adhésion auprès du public est forte. Quel que soit le volet d’accompagnement.

Précisons que cette offre de suivi à domicile n’est valable que sur une période de six mois suivant l’hospitalisation.


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La région Rhône-Alpes Auvergne a reçu des crédits de l’État approchant les neuf milliards d’euros pour subventionner l’implantation de panneaux solaires. Entre les retraites, les Gilets jaunes qui tentent de nous rejouer l’acte II de la pièce, les élections municipales qui se profilent, les éclats de BOLSONARO, l’affaire FERRAND qui pourrait devenir une nouvelle affaire de RUGY : le gouvernement ne sait plus où donner de la tête. Alors, il y a l’écologie pour nous sauver et surtout, faire diversion. Dans la panoplie « écologico-électorale » s’inscrit donc l’installation de panneaux solaires, hic et nunc !

TRIBUNE : Et les perches, que viennent faire les perches là-dedans ? Pour avoir souvenance des perches, il faut approcher la soixantaine. Les perches ! Il ne s’agit ni des poissons d’eau douce, ni des longs bâtons de ceux qui tentent de sauter très haut. Les perches ; ce fut une marotte d’EDF après 1973. Pourquoi donc ? Faisons un saut dans l’Histoire. En octobre 1973, une coalition de l’Égypte, de la Syrie et de l’Irak franchit le canal de Suez et avança vers Jérusalem. Tsahal, l’armée israélienne se ressaisit et marcha vers Le Caire. L’ONU, les Américains, les Russes dirent : « Les enfants ça suffit. Que chacun retourne sur ses positions antérieures... ».
On croyait que l’affaire était terminée. Pas du tout. Les Arabes se rappelèrent « qu’ils avaient du pétrole sous les pieds ». Et ils multiplièrent le prix du pétrole par trois. Les Européens et, à un moindre degré, les Américains, découvrirent que le pétrole ce n’était pas comme l’air. C’était un bien qu’il fallait payer. Ce fut un réveil brutal. D’autant plus que quatre ans plus tard, ils reçurent un deuxième coup de massue dans les réservoirs de leurs automobiles et dans les cuves de leur chauffage. Le pétrole avait triplé une deuxième fois.


Se soustraire du joug énergétique du Moyen-Orient… 


C’est à cette époque que l’on ferme la parenthèse de cette période unique dans l’histoire économique de l’humanité qu’on appelle « les trente glorieuses »’. Mais à l’époque on n’en avait pas encore conscience. On a simplement constaté que le pétrole appartenait aux Arabes, entre autres, et qu’il fallait le payer.

« Quand on n’a pas de pétrole, il faut avoir des idées », disait-on à l’époque. Donc, des ingénieurs eurent l’idée des perches. Les perches, c’était un système pour pomper les calories des nappes phréatiques. Perches par-ci, perches par-là : on voyait partout des publicités sur les perches. Donc on plongeait hardiment ces appareils dans l’eau et on captait sans retenue les calories.
Seulement voilà, quand on a absorbé toutes les calories d’une nappe phréatique, il ne reste que des frigories ! Ça, c’est un phénomène naturel auquel nos brillants ingénieurs n’avaient pas songé. Et tous les braves « gogos », qui avaient adopté sans retenue les perches, se retrouvaient Grosjean comme devant !

Des perches autrefois, aujourd’hui des panneaux solaires… on a repris la rengaine. Certes, direz-vous, le soleil, ce n’est pas une nappe phréatique. Il va luire encore pendant des milliards d’années. Donc la comparaison n’est pas justifiée. En êtes-vous si sûrs ?

 

Dépendance à la Chine au niveau des terres rares…

 

Savez-vous à partir de quoi fabrique-t-on les panneaux solaires ? À partir des terres rares. D’où viennent les terres rares ? Essentiellement de Chine. La Chine extrait 80 % des terres rares et en raffine 90 %. Donc, à l’heure actuelle nous sommes vis-à-vis des terres rares, totalement dépendants de la Chine. Comme nous étions dépendants des Arabes pour le pétrole lors des crises de 1973 et 1977. Or, nous, les Européens et les Français en particulier nous n’avons pas de réserves significatives de terres rares… guère plus que de pétrole !
De plus, le développement de mines et d’usines métallurgiques de terres rares est aussi complexe que coûteux. En effet, l’extension de la production est bridée par la faible teneur du minerai, qui suppose une extraction extensive, et la difficulté de séparer des produits mystérieux qu’on appelle les lanthanides, (il y en a 15 !) auxquels on ajoute l’yttrium et le scandium.

Et maintenant, le coup de grâce : tout ce processus est très consommateur d’énergie et source de pollution énorme pour l’environnement. Dernière question : que fera-t-on de tous ces panneaux quand ils seront hors d’usage ? Vous voyez, on n’est pas sorti de l’auberge !

Entre perches et panneaux, c’est un véritable imbroglio !

Emmanuel RACINE

 


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La venue d’un médecin généraliste supplémentaire dans ce secteur ouest de notre territoire renforce l’offre de soins destinés aux habitants. Une arrivée qui s’inscrit parmi les prérogatives de l’organisme institutionnel…

CHARNY : Depuis le 15 septembre, le docteur POPESCU prodigue ses soins dans la Maison de santé intercommunale de la nouvelle commune de Charny Orée-de-Puisaye. Le patricien assure des consultations selon un rythme qui n’a rien de définitif. Soit, à l’heure actuelle, trois demi-journées hebdomadaires. Mais, ces plages de disponibilité à la patientèle devraient s’accroître au fil des prochaines semaines. Pour ne devenir in fine que du plein temps.

Interrogé, le président de la Communauté de communes, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, le précise : « la présence de services de santé de proximité est indispensable, voire vitale, au territoire. Nous sommes en lien avec l’Agence régionale de Santé (ARS) et les professionnels de la filière pour mener des actions concrètes dans le cadre d’un CLS, c’est-à-dire un contrat local de santé… ».

La préservation et le développement de soins consistent le nerf de la guerre dudit contrat. Les actions définies dans ce cadre visent à diminuer les inégalités sociales et faciliter à de nouvelles installations. Sachant que l’organisme institutionnel gère à ce jour quatre maisons de santé et un EHPAD, la résultante de cette mission se traduit donc par l’implantation du cabinet du docteur POPESCU dans la localité de Puisaye.


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L’exercice se définissait comme un contact participatif avec les habitants de la capitale de l’Yonne. Articulé autour d’une vingtaine d’items indissociables du quotidien, un questionnaire a circulé via de multiples canaux (Facebook, e-mail, papier…) avant d’atteindre sa cible. Celle qui compose les strates de la citoyenneté. Plus de deux cents réponses ont permis aux instigateurs de cette enquête, les représentants de la majorité présidentielle (AGIR, LREM et MoDem) de récolter de précieux renseignements sur les attentes des Auxerrois à l’aune des municipales. Une somme d’indicateurs devant nourrir leurs réflexions…

AUXERRE : Problématique du stationnement en centre-ville, désir d’une démocratie participative renforcée avec les élus ou souhait de voir booster le commerce de proximité représentent le lot de réflexions, parmi tant d’autres, émis par les Auxerrois se prêtant au jeu de cette enquête d’opinion.

Adressé il y a plusieurs mois, le questionnaire instruit par les formations proches de la majorité présidentielle, AGIR La Droite constructive, le MoDem et La République en Marche ainsi que des représentants de la société civile aura recueilli plus de deux cents réponses en un laps de temps relativement court.

Distribué sur les réseaux sociaux, par courrier ou remis à la main, ce document contenait une vingtaine de thématiques. Celles-ci englobaient la sécurité, l’environnement, la propreté, le commerce, le sport, l’économie ou la culture. Analysées, les informations ont été restituées lors d’un point presse en présence de plusieurs ténors de la politique locale, dont deux soutiens inconditionnels aux valeurs de LREM Malikha OUNES et Nordine BOUCHROU, ainsi que le chef de file du MoDem dans l’Yonne, Pascal HENRIAT.

  

Circulation et stationnement : une sinécure à Auxerre ?

 

Si 35 % des personnes interrogées désirent une vraie réflexion autour de sujets qui engagent l’avenir de la ville, d’autres espèrent la recrudescence d’une démocratie plus orientée vers le participatif. Voire une évolution du rôle de l’élu qui pourrait optimiser la communication envers les citoyens.

La lutte contre les incivilités se dégage parmi les arguties prioritaires qui ressortent de cette lecture affinée de ce sondage. Il en est de même de ce besoin sécuritaire que réclament les habitants. Même la propreté de nos rues doit s’améliorer pour 29 % des personnes testées. Curiosité qui ne manque pas de sel : le cas des sempiternelles déjections canines. Elles apparaissent comme un fléau pour celles et ceux qui aiment flâner sur les trottoirs (20 %).

La présence des poids lourds en ville (24 %) nuit à la tranquillité des riverains. Amenant la récurrente question qui se rapporte à la fameuse déviation et son prolongement. Enfin, le stationnement figure en bonne place des priorités à traiter par une municipalité. « Nous ne savons plus où garer nos véhicules ? » constatent 36 % des sondés.

Le volet économique n’a pas été omis. Près de 20 % des testés aimeraient l’accueil plus significatif de nouvelles entreprises sur le bassin auxerrois. Tandis que le petit commerce indépendant trouve encore intérêt et gain de cause auprès de 24 % de ce panel.

Si 34 % de la population interrogée refusent l’idée de nouvelles taxes, 31 % indiquent que le patrimoine et sa réhabilitation constituent un cheval de bataille important dans la préservation des valeurs de la ville.

Le transport (surtout le ferroviaire) interpelle et interroge. 26 % des sondés se plaignent du manque de places assises sur certaines liaisons entre Auxerre et Paris lorsque les trains sont bondés (le dimanche soir).

Un item qui a pour résultante de se pencher sur la mythique électrification de la ligne Laroche Migennes-Auxerre et du devenir de ce nœud gordien ferroviaire, identifié par le passage à niveau de Jonches…

Quant à l’environnement, il occasionne des réponses pertinentes obtenues avec le retour de ces documents. 18 % aimeraient l’installation de panneaux solaires sur les toits des bâtiments publics de la ville. 19 % veulent lutter contre les ilots de chaleur. 19 % disent traiter leurs déchets verts alors que 6 % se disent fiers de la qualité du fleurissement de la cité.

Enfin, l’un des points sensibles de toute projection financière sur l’état de santé d’une collectivité, son désendettement, a également été abordé lors de cette compilation non exhaustive de résultats. La ville a vu ses dettes se réduire entre les deux échéances électorales. De 65 millions d’euros en 2014, Auxerre est passée aujourd’hui à 57,8 millions d’euros de dettes. Une diminution qui lui permet d’être classifier parmi les critères normatifs acceptables.

Gageons que l’ensemble de ces éléments statistiques représentatifs exprimés par une frange, certes minoritaire, de la population auxerroise serve à densifier les bases d’un futur programme porté par une équipe. Celui de cette union hétéroclite, née de la mouvance « la Renaissance » qui arborait les couleurs de la majorité présidentielle aux récentes européennes et qui perdure depuis ?


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