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Février qui débute aujourd’hui peut d’ores et déjà s’apparenter à une période capitale pour le devenir du groupe postal. D’ici quelques jours, son président directeur général Philippe WAHL dévoilera les articulations du nouveau plan stratégique de développement devant définir les choix décisionnels de l’entreprise à horizon 2030. Un plan dont il a déjà esquissé les grandes lignes lors de sa rencontre avec les élus de la CDPPT Yonne…

AUXERRE : Le numéro un du groupe La Poste, Philippe WAHL, accueilli dans les bureaux auxerrois, pour y deviser lors d’une séance de travail instructive de plus d’une heure avec les représentants de la CDPPT et de l’AMF 89 : cela se déroulait il y a quelques jours dans l’Yonne.

Rare sur notre territoire, ce grand capitaine de l’entrepreneuriat à la française, à la tête d’une entité aux 26 milliards d’euros de chiffre d’affaires qui emploie plus de 249 000 collaborateurs, a rendu une visite plus que de courtoisie aux responsables de la Commission départementale de la présence postale sur le territoire (CDPPT). Un organe représentatif et opérationnel des liens étroits qui unissent les collectivités locales aux professionnels de La Poste.

Un déplacement qualifié de « fructueux » par le PDG du groupe qui a pu évoquer en toute simplicité son attachement à l’ancrage territorial. Et à sa volonté d’y demeurer.

Avant d’honorer une série de rendez-vous prévus dans l’Yonne selon un itinéraire dûment établi, Philippe WAHL eut le loisir de pouvoir échanger avec le président du département Patrick GENDRAUD et le préfet Henri PREVOST.

Ce n’est qu’au terme de cette journée fort studieuse que le PDG du groupe retrouva le président de l’Association départementale des Maires de France, Mahfoud AOMAR, et le président de la Commission départementale de la Présence Postale sur le Territoire (CDPPT), Xavier COURTOIS.

 

 

 

Ensemble, ils abordèrent parmi les grands thèmes de réflexion celui du renforcement relationnel entre les collectivités et l’entreprise qui a distribué des millions de colis en 2020 en vue de dynamiser l’attractivité territoriale.

« Nous souhaitons participer aux côtés des collectivités à cet essor, résuma Philippe  WAHL.

 

Le partenaire le plus ancré sur les territoires…

 

On ne peut être plus explicite sur ses intentions. Partenaire indiscutable des collectivités avec son bras armé bancaire (La Banque Postale est le premier des établissements du sérail à financer les projets des élus), La Poste se positionne comme l’un des acteurs essentiels de l’économie dans l’Yonne. Il est vrai qu’au niveau de ses effectifs, plus de 900 personnes y exercent leur savoir-faire.

Pour autant, l’avenir avec sa vision déclinable à 2030 était également au centre des discussions. Le groupe s’est donné pour objectif d’accélérer sa transformation en continuant sa politique de diversification. Avec comme louable ambition de devenir la première entreprise de services de proximité humaine pour tous et partout.

De septembre à novembre, une grande consultation nationale auprès de l’ensemble des parties prenantes (clients particuliers, entreprises collectivités, élus, associations, fournisseurs, partenaires…) a été lancée. Une démarche participative qui n’avait d’autres vocations que de collecter de précieuses informations sur les besoins et les attentes de tous ces utilisateurs.

 

Améliorer les services qui seront proposés pour demain…

 

De là, et après analyses, seront peaufinés les services de demain. Ceux qui entreront en vigueur dans le nouveau plan stratégique 2030. Au total, 136 983 personnes ont constitué ce panel consultatif.

Commentaire de Philippe WAHL : « La Poste de 2030 doit se construire en restant utile à la société toute entière et pour y parvenir, il était indispensable d’être à l’écoute des différentes parties prenantes afin de mieux améliorer les services que nous proposerons demain… ».

Les responsables de la CDPPT de l’Yonne ont eu droit à un premier aperçu de cette feuille de route qui sera évoquée en ce mois de février 2021.

 

Thierry BRET

 


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Plus de 5 200 personnes en établissements de santé et médico-sociaux ont succombé au coronavirus en Bourgogne Franche-Comté depuis le début de l’épidémie. Un fléau qui nous a affecté il y a presque un an de cela. Avec un taux d’incidence de 238 pour cent mille habitants en population générale, le territoire n’échappe pas à la hausse constante observée au niveau de la circulation du virus. Inquiétude persistante : les variants se propagent partout sauf dans l’Yonne…

DIJON (Côte d’Or) : Présents dans les départements du Jura, du Doubs, de la Côte d’Or et en Saône-et-Loire, les variants identifiés en Angleterre et en Afrique du Sud ne semble pas avoir atteint le territoire de l’Yonne à ce jour.

Une information, certes rassurante au premier degré, mais qui ne devrait pas subsister en l’état. De l’avis de la déléguée départementale de l’Agence régionale de Santé dans l’Yonne, Eve ROBERT, « la circulation de ces variants devrait s’accélérer d’ici le printemps ».

Conséquence : l’organisme sanitaire régional renouvelle ses appels à une discipline individuelle et collective stricte en matière de protection face aux risques de recrudescence de l’épidémie.

Le système de détection permettant aux centres hospitaliers de Besançon et de Dijon de procéder désormais aux séquençages de ce virus confirme la circulation de ces nouvelles variantes.

Ainsi, huit cas ont été observés en Côte d’Or, dans le Doubs et le Jura pour le variant originaire du Royaume-Uni. Trois autres cas de variant dit « sud-africain » sont analysés en Saône-et-Loire.

 

La barre des cinq mille décès a été franchie…

 

Fort heureusement, le « mutant » brésilien n’est observé nulle part dans notre contrée à ce jour. Sa forme considérée comme très virulente et dangereuse perturbe la sphère médicale, au vu de ce qui se déroule à l’heure actuelle dans la région de Manaus où le nombre de décès s’est envolé.

Toutefois, avec un taux d’incidence de 238 pour cent mille habitants en population générale, la Bourgogne Franche-Comté ne peut se permettre le moindre écart en termes de respect des mesures barrières et de la distanciation physique.

Le niveau d’hospitalisation demeure très élevé. Autour de 1 800 patients qui ont été pris en charge pour des formes graves de la COVID-19.

Rappelons que depuis le début de la pandémie, plus de 5 200 personnes y ont perdu la vie : 3 294 décès en établissements de santé et 1 941 disparus en établissements médico-sociaux.

Dans l’Yonne, 195 personnes sont actuellement hospitalisées dans l’un des hôpitaux de notre territoire. Si le taux d’incidence évalué à 187 reste en deçà de la référence régionale (238) et nationale (211), il progresse de matière inéluctable.

Effaçant le taux de 170, arrêté la semaine dernière. L’indicateur est en augmentation pour les personnes âgées de plus de 65 ans, se situant à 257. Quant au taux de positivité, il s’élève à 7 %. Quatorze personnes occupent les lits des services de réanimation.

Le contexte ne flirtant pas avec un optimisme béat, l’Agence régionale de Santé insiste sur le respect des mesures barrières, tout en se faisant tester au moindre symptôme évocateur de la pathologie. Le seul moyen pour endiguer la propagation de ce virus aux multiples variantes, désormais…

 

Thierry BRET

 


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On peut se demander en cette année 2021 s’il était opportun de publier un palmarès. Comme si de rien n'était au niveau de la conjoncture. Ce fut le choix du guide, et c'est ainsi. Le département de l’Yonne compte toujours trois tables étoilées. Voilà trente ans, il y en avait trois fois plus ?! Pourquoi un tel décalage aujourd’hui…

TRIBUNE : « La Côte Saint-Jacques » à Joigny demeure le seul établissement icaunais à posséder deux étoiles. Le restaurant de la famille LORAIN fête cette année un demi-siècle ininterrompu de distinctions.

Petit clin d'œil anecdotique : en 1971, on s'y régalait de tourte de caille glacée à la gelée de Porto, de côtelettes de brochet à la Jovinienne. Sans oublier le succulent tournedos poêlé aux morilles !

Jean-Michel LORAIN décroche aussi cette année une nouveauté : l'étoile verte qui entend valoriser une gastronomie durable et sa stratégie d’entreprise.

Mais, 2021 marque aussi le premier accessit pour « La Madeleine » à Sens de Patrick GAUTHIER ainsi que celui obtenu au Château de Vault-de-Lugny pour le sympathique Franco BOWANEE.

Au total, 36 restaurants de Bourgogne Franche-Comté ont été plébiscités. Quant aux 25 « Bibs gourmands régionaux », ils valorisent les maisons qui développent un bon rapport qualité-prix.

L'Yonne en recense trois : à savoir, « Les Trois Bourgeons » à Chablis, « L'Auberge du Pot d'Etain » à l'Isle-sur-Serein qui le récupère cette année ainsi que l'excellente « Auberge des Chenêts » à Valloux, dans laquelle Michèle et Bernard GILOT le détiennent depuis la création de ladite distinction en 1997. Suffisamment rare pour que cela soit signalé : c’est sûrement l'un des seuls établissements à posséder la distinction originelle dans toute la France !

 

 

 

De vingt-et-une assiettes à la moitié dans l’Yonne : où est la logique ?

 

Mais le guide Michelin, ce ne sont pas que des étoiles et des bibs gourmands. Même si ces distinctions en constituent quelque peu la figure de proue. Le fait d'être référencé dans ce guide est déjà un gage de qualité pour gourmandes et gourmands. Enfin normalement !

Cela s'appelle une assiette attestant d'une cuisine de qualité autour des produits et du tour de main du chef. Bref, un bon repas tout simplement, dixit le guide pneumatique.

L'Yonne comptait dans la sélection 2020 vingt-et-une de ces assiettes. Elles ne sont plus que douze désormais un an plus tard. Cette injuste et arbitraire suppression constitue, en la matière, une véritable hécatombe. Surtout en cette année de contexte économique si particulier. 

Ont ainsi disparu du Michelin quelques bonnes petites tables valeureuses où l'on épluche les carottes, et dans lesquelles on cuisine.

Ni plus, ni moins. Il s'agit du « Clos des Jacobins » et du « Crieur de Vin » à Sens, du « Rive Gauche » à Joigny qui vient de subir l'incendie de sa chaufferie, du « Rendez-Vous » et du « Bourgogne » à Auxerre, du « Soleil d’Or » à Montigny-la-Resle.

Constat identique dans l’Avallonnais et aux environs avec le « Gourmillon », « Les Fleurs » à Pontaubert, ainsi que « Le Relais Fleuri » de Sauvigny-le-Bois.

Il semble aussi normal que nécessaire qu'annuellement le Michelin affine sa sélection (établissement fermé, restaurant plus au niveau...).

Mais, cette suppression aussi massive n'est pas sans poser quelques interrogations quant à leurs méthodes de travail.

Pour information, en 2020, votre serviteur a déjeuné au moins une fois, dans quatre des restaurants cités ci-dessus.

Tous les convives s'étaient accordés pour dire qu'ils s'étaient régalés d'une cuisine de saison, faite avec de bons produits.

C'est une injustice imméritée pour ces tables, qui en cette année, n'avaient vraiment pas besoin de ça.

 

Gauthier PAJONA

 


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Malgré le contexte délétère, il a décidé d’être heureux. « C’est bon pour la santé ! » philosophait à son époque VOLTAIRE ! Optimiste de nature, le président de la Confédération départementale de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) supporte plutôt bien les soubresauts intempestifs de la conjoncture actuelle. La filière semble être épargnée par l’âpreté économique que d’autres secteurs vivent de plein fouet. Jusqu’à s’en étonner…

AUXERRE : Dubitatif, Jean-Pierre RICHARD ne saisit pas tout de la configuration de la crise sanitaire et de ses répercussions économiques. Dans l’expectative, le président de la CAPEB de l’Yonne s’interroge : où sont les réels effets de la conjoncture sur l’activité quotidienne des entreprises du bâtiment ?

Les carnets de commande sont bel et bien remplis ; la filière n’a procédé à aucun placement de ses salariés en chômage partiel. Les licenciements ne sont pas à l’ordre du jour. Quant aux dépôts de bilan annoncés avec moult craintes, ils sont à date demeurés lettre morte. Un calme peut-être trop relatif qui préfigure un véritable tsunami ?

« Ce qui cloche, concède-t-il un brin amusé, c’est que justement rien ne cloche ! ».

Certes, les artisans ont su s’adapter dès qu’ils l’ont pu aux mesures protectionnistes d’usage afin de continuer à exercer. En cela, le syndicat patronal aura fourbi ses armes dans la lutte contre la propagation de l’épidémie, distribuant gel hydro-alcoolique et masques pour les visages. Nonobstant, le résultat est là : les entreprises du secteur maintiennent le cap, même si elles ont grandement besoin d’aides.

Autre observation émise par le chef d’entreprise qui siège également au Conseil d’administration confédéral aux côtés de vingt-huit de ses homologues, 2020 aura été marquée par la croissance du nombre de créations de nouvelles entreprises. La plupart du temps, elles sont l’œuvre de jeunes professionnels en reconversion. Un signe encourageant dans cette atonie ambiante de la sphère économique.

 

 

Des dispositifs incitatifs et une bulle francilienne pour doper le marché…

 

Mais, le regain d’intérêt des investisseurs franciliens pour l’immobilier dans l’Yonne, tant pour les résidences secondaires que principales, ne trompe pas. Une bulle d’activité s’est réellement créée dans le landerneau avec une conséquence directe qui impacte le chiffre d’affaires des sociétés artisanales de la filière. Les plus-values sont au rendez-vous et personne ne s’en plaindra !

D’autant que les conditions d’octroi des crédits ont été quelque peu assouplies à destination des néo-propriétaires. Grâce à l’application d’un taux d’emprunt qui s’est raffermi, passant de 33 % à 35 % dans les négociations avec les milieux bancaires.

Les mesures d’accompagnement nationales visant à soutenir le secteur n’ont pas été vaines. Jean-Pierre RICHARD le reconnaît volontiers : « Il n’y a qu’en France que les coups de pouce aux entreprises ont été aussi importants en Europe… ».

Le droit à la prime RENOV, dispositif qui favorise l’engagement de travaux dans la réhabilitation énergétique des bâtiments, se veut très incitatif pour le consommateur qui, s’il en est bénéficiaire, peut déclencher un CEE, un crédit d’économie d’énergie.

Serein, le président de la CAPEB de l’Yonne dispose aussi de solides soutiens partenariaux qu’ils soient bancaires comme institutionnels (GROUPAMA, MAAF, Crédit Agricole, BDS ou KPMG) pour préserver l’employabilité et le développement de ses adhérents.   

Si la sortie de crise n’est pas encore pour demain, le responsable patronal sait cependant que 2021 sera une année charnière à plus d’un titre. Notamment à l’automne, avec la redistribution des cartes représentatives à pourvoir dans les chambres consulaires du fait des élections.

A moins que celles-ci soient différées à l’année suivante ?

 

Thierry BRET

 


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Pas facile de s’y retrouver pour les organisateurs de manifestations revendicatives dans les rues de la capitale de l’Yonne à l’heure actuelle ! De quoi y perdre son latin. A défaut de ses libertés ! Preuve à l’appui, pour la énième fois, Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) qui propose une marche des Libertés à Auxerre ce samedi 30 janvier dès 13 H30 a dû modifier à la dernière minute son parcours à travers la ville…

AUXERRE : Entre ras-le-bol et désarroi ! Alors que les manifestations protestataires se peaufinent de longue date dans les têtes de ses organisateurs, le schéma pratico-pratique de son application s’en trouve systématiquement chamboulé à quelques heures du jour J. Du fait d’un changement d’itinéraire de dernière minute qui vient perturber toute la logistique de l’édifice.

Samedi 30 janvier, l’organisation d’une marche des Libertés, proposée par le collectif Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) sera une nouvelle fois contrariée par ces volte-face imputable aux derniers échanges avec les services de la préfecture.

Ainsi, l’itinérance de ce rassemblement citoyen en faveur des libertés (les Français en sont sevrés en ces moments délicats de pandémie) aurait dû partir depuis le parking des syndicats. Soit à l’intersection entre le boulevard Vaulabelle et le quai de la République à 13 heures.    

Si l’horaire initial est maintenu, c’est bien le lieu qui s’en trouve désormais changé. La manifestation prendra son envol depuis le parking de l’Arquebuse. Occasionnant ainsi une sérieuse remise en question du travail préparatoire effectué en amont par ses auteurs.

Déjà le 21 novembre, APA avait choisi une déambulation en centre-ville dans le but de marquer un soutien aux commerces et aux lieux culturels impactés par la crise sanitaire. Au lieu de ce programme plutôt explicite dans les intentions, le cortège avait été déplacé sur les boulevards extérieurs, beaucoup plus anecdotiques quant à la présence de commerces et de sites culturels. Une déception, évidente.

Aujourd’hui, Assemblée Populaire d’Auxerre considère qu’il est problématique de pouvoir organiser une manifestation de nature à satisfaire ses représentants. D’autant que d’autres organisations syndicales pâtissent aussi des mêmes méthodes.

Ce fut le cas de l’association ONE VOICE le 23 janvier qui a vu son rassemblement être déplacé de la Place Surugue au début de la rue du Temple.

Ces nuisances créent de réelles difficultés pour informer au plus juste les citoyens quant au côté pratique des choses. Des entraves supplémentaires au droit à manifester et aux libertés des citoyens qui ne font qu’accentuer les motivations des protestataires !

 

Thierry BRET   

 


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