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Dans un Stade de France, plein comme un œuf, contenant 98 000 spectateurs chauffés à bloc, le combo rock hexagonal de Nicola SIRKIS a battu le record d’affluence du lieu, mieux que les stars internationales de U2, des ROLLING STONES ou de Paul Mc CARTNEY ! Un show mythique de 28 titres, devant se prolonger tard dans la nuit, avec feu d’artifice et messages en cascade, dont ceux destinés à l’Ukraine, qui furent distillés au fil de ces 2h45 de communion…

 

PARIS : La scène, tout d’abord. Elle est en forme de croix – le symbole de ce groupe tricolore apparu dans les années 80 avec « L’Aventurier » et l’hommage rendu à Bob Morane, le héros de l’auteur belge Henri VERNES – et s’étend sur plus de 850 mètres carrés !

Au-dessus trône un immense silo. Sa hauteur est impressionnante, même vu de loin : près de cinquante mètres (45 pour être tout à fait exact) et 1 400 panneaux d’écrans led qui représentent une surface de 2 500 mètres carrés, soit de 68 tonnes de matériel. L’effet est impressionnant.

Côté humain, deux cent cinquante techniciens – de vrais pros ! – sont mobiliser pour assurer ce show époustouflant.

Au fil de la soirée, on y découvrira des effets vidéo puissants, au fur et à mesure où s’égrènent les tubes historiques de la formation dont Nicola SIRKIS demeure le seul membre originel.

Quant au public, toutes générations confondues, il reprend en chœur les paroles et mélodies de ce groupe articulé autour de cinq musiciens.

 

 

Une atmosphère chaleureuse et féérique…

 

De nombreux artistes, à l’instar de « Christine and the Queens » sur le tube « Troisième sexe », les musiciens de la Garde Républicaine, présents sur le morceau « J'ai demandé à la Lune » apportent leurs crédits à des prestations inoubliables. Même Dimitri BODIANSKI, l’un des quatre membres de la prime jeunesse d’INDOCHINE (1981 à 1989) monte sur la scène et réalise des prouesses instrumentales avec son saxophone l'un des morceaux. Signalons également la performance vocale du contreténor Philippe JAROUSSKY, qui donnera de la voix sur le tubesque « College Boy ». Nicola SIRKIS a tapé haut, très haut avec ses musiciens.

Chacun des acteurs de ce show mémorable se déplace sur toute la scène pour faire corps avec un public en liesse. Les jeux de lumière donnent une ambiance tantôt chaleureuse, tantôt froide. Plongeant les spectateurs dans un univers féérique. Durant un court laps de temps, les portables du public s’illuminent, créant une atmosphère onirique. Personne n’oubliera ces instants. Un show qui va engendrer une tournée aux quatre coins de l’Hexagone. Dans les grandes métropoles, exclusivement. Mais, pas en Bourgogne Franche-Comté, dommage !

 

Thierry BRET et Jérôme CASSEGRAIN

 

 


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Elle excelle dans la production de bières fines. A la pression, de printemps, ou en blondes. La micro brasserie gérée par les deux cousins MADELIN, Alexis et Vianney, au pays de la viticulture – Chablis- n’en finit pas de proposer de nouvelles palettes de ce très apprécié breuvage dont l’une des spécificités, EPONA, nom à consonance gallo-romaine, a été dégustée pour la première fois à l’occasion de la première édition de la fête de la Bière Icaunaise.

 

APPOIGNY : Elaborée pour honorer la toute première édition de cette animation festive, la bière blonde « EPONA » se présente aux consommateurs avec un style fermier caractéristique. Une belle bière de saison s’inspirant de l’appellation originelle de la localité qui accueille l’évènement. Il en existe aussi d’autres déclinaisons. Pas mal, non plus !

La « Perle pourpre », « la Blanche à la cerise » avec sa typicité savoureuse aux arômes fruités et acidulés, la « Kéfia » aux fruits des bois, un nouveau nectar produit sans alcool et assez riche en probiotique. Et puis, celle qui revêt cette saveur fraîche et pétillante, la « Maddam ». Tiens, comme le nom de la structure entrepreneuriale qui est opérationnelle depuis janvier 2017.

De formation vini/viticole, Alexis MADELIN décide de créer, après différentes expériences professionnelles, sa société sous la certification d’agriculture biologique (AB) afin de proposer des bières fines et aromatiques. Nom de baptême original : MADDAM. Oui mais pourquoi ?

« C’est très simple, explique le chaleureux chef d’entreprise, MADDAM correspond aux trois premières lettres de la raison sociale de l’entreprise – MAD – ainsi que les trois dernières prises à l’envers. Cela forme un palindrome… ». Plutôt futé, cet Alexis MADELIN !

C’est aussi le nom des deux créateurs de la société réunis sous la même enseigne, Alexis et Vianney, deux cousins qui s’entendent à la perfection.

 

 

Une brasserie qui n’en finit plus de surprendre…

 

La brasserie de Chablis n’a pas hésité à s’aventurer vers d’autres arômes dans la conception de ses produits. Comme le thème oriental qui évoque une infusion de thé noir, de menthe poivrée et de menthe verte. La souche de la bactérie permettant l’élaboration de cette bière (« Kéfia ») provient de la région du Caucase.

L’élevage, parlons-en ! MADDAM conçoit ses bières en les élevant dans les récupérations de fûts de chêne, appelés pièces bourguignonnes, soit une contenance de 228 litres. Le procédé consiste à mettre de la bière dans le fût pendant huit à dix mois avant de les encapsuler.

Depuis ses origines, la brasserie de Chablis s’est fait une renommée, rayonnant dans nos terroirs et sur le marché hexagonal. L’un des établissements gastronomiques de la famille ROBUCHON, « Les Climats », les ont adoptés.

Côté export, les bières fines se dégustent au Maroc, au sud du royaume comme à Marrakech mais aussi en Asie du Sud-Est (Japon, Singapour) ou en Turquie. Naturellement, on les trouve aussi au niveau des bars, restaurants, cavistes et magasins bio de la région.

Rappelons à toutes fins utiles que la bière peut se servir entre une température de 4 à 5 degrés. Au-delà, la dégustation peut varier pour en révéler la véritable complexité aromatique entre 8 et 9 degrés.

Enfin, MADDAM a glané plusieurs titres au Salon international de l’Agriculture à Paris, remportant au passage des médailles d’or, d’argent et de bronze entre 2017 et 2019. Et cela ne semble pas être terminé !

 

Thierry BRET et Merouan MOKADDEM

 


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Faute d’un accord de coalition avec les autres formations classées « ultra droite », quelles sont les chances pour le parti « Reconquête ! » de décrocher des sièges aux prochaines législatives, après la défaite d’Éric ZEMMOUR aux présidentielles ? Ils seront au total 550 candidats à se présenter sur la ligne de départ, issus pour certains des Républicains et du Rassemblement National. Mais, aussi de la société civile, à l’image des trois engagés en course dans l’Yonne…

 

AUXERRE : Marie DUMOULIN le confesse tout naturellement : « Mon expérience politique est très limitée… ». Pas de quoi freiner la jeune femme de 33 ans aux attaches icaunaises qui se présente sous les couleurs de « Reconquête ! » dans la deuxième circonscription de l’Yonne.

« Là, où sont mon cœur et mes racines » pour cette parisienne d’adoption où elle réside et travaille. Son engagement récent pour Éric ZEMMOUR est né explique-t-elle, de sa volonté de participer « à la renaissance de la droite depuis l’effondrement du parti des Républicains, la vraie droite, que seule « Reconquête ! » incarne aujourd’hui et créer une réelle alternative à ce face-à-face stérile entre les Marcheurs et le Rassemblement National… ».

 

Le retour à une vraie droite patriote dans le pays…

 

Même credo pour Laurence LOUIS-STOKOBER, à la conquête du siège de député de la troisième circonscription, dans le nord du département. Cette enseignante, résidente depuis une dizaine d’années sur le plateau du Gâtinais, appelle, elle aussi, au retour d’une « vraie droite patriote », avec pour fil conducteur « les valeurs liées au mérite », en réponse aux modifications qui s’opèrent à travers le pays, jugées « alarmantes, particulièrement dans l’Yonne à travers le développement de la précarité et de l’appauvrissement de la population, mais aussi de l’insécurité, avec des chiffres supérieurs à la moyenne nationale… ».

C’est à l’automne dernier que cette habituée de l’engagement associatif s’est lancée pour la première fois dans la sphère politique en sillonnant le département pour collecter des parrainages et contribuer à la présence du polémiste maurassien aux élections présidentielles.

 

 

Lutter contre le grand déclassement dans les territoires ruraux…

 

A la tête d’une entreprise de neuf salariés, de retour dans l’Yonne depuis une quinzaine d’années après une enfance vécue à Maillot, Paul TEQUI, 46 ans, tentera dans quelques semaines de ravir la première circonscription au député sortant, le Républicain Guillaume LARRIVÉ. Premier investissement politique pour lui aussi, plus habitué à l’engagement associatif, notamment sportif, pour s’être occupé de l’entraînement des plus jeunes au Rugby Club Auxerrois pendant sept ans.

Réfutant toute qualification d’extrême droite ou ultra droite, lui aussi se veut représentant de la « seule droite », en première ligne pour lutter contre ce qu’il qualifie de « grand déclassement de nos territoires ruraux… ».

Il évoque au passage l’une des théories favorites d’Éric ZEMMOUR qu’est le « grand remplacement » : « Je suis quelqu’un ancré dans le réel, je vois les difficultés. On ne peut nier aujourd’hui ce grand remplacement, 70 % des Français le reconnaissent, il n’y a que les politiciens qui ne veulent pas le voir… ».

Il est aussi attaché à l’écologie oui, mais « une écologie réelle, pas utopique. Ma femme a une voiture électrique, en milieu rural, c’est une catastrophe ! ».

Novices en politique, les trois néo-candidats n’en partagent pas moins une certitude, lorsqu’est évoqué un éventuel désistement en cas de défaite au soir du 12 juin prochain : « Nous serons présents au second tour ! ».

C’était justement ce que professait déjà un ancien prétendant au trône présidentiel qui avait pour nom Éric ZEMMOUR…

 

 

En savoir plus :

Les trois candidats de « Reconquête ! » Marie DUMOULIN, Paul TEQUI et Laurence LOUIS-STOKOBER auront pour suppléants dans cette course à la députation, respectivement, Vincent RÉGNIER, Dimitri RODOR et Mathieu LASNIER.

 

Dominique BERNERD

 


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Point besoin d'un hectare de terre (10 000 m2) ou plus modestement d'un are (100 m2) pour planter quelques pieds de tomates chez soi. D'autant que c'est la période idoine de les cultiver même sur un balcon !

 

AUXERRE : Petit retour en arrière ! La tomate, ce beau légume-fruit, nous vient tout droit d’Amérique du Sud, plus précisément du Mexique et du Pérou. C'est Hernan CORTES, conquistador parti d'Espagne au XVIème siècle, qui contribua à sa rougeoyante découverte. Il la rapporta à la cour à son retour. Elle arriva peu après en Italie. En France, ce fut au début du siècle suivant.

D'abord considérée comme une plante d'ornement, il faudra attendre le milieu du XVIIIème siècle (avec peu à peu la naissance, puis l'essor des restaurants, caractéristique de l'époque) pour qu'elle gagne initialement les cuisines provençales,  par le biais des Italiens, puis peu à peu, celles d'autres régions.

Depuis lors, la tomate a été adoptée par les Français, au premier rang desquels les jardiniers des potagers, qui contribuèrent amplement à la faire connaître,  et savourer.

 

 

Des recettes goûteuses mettant en valeur la tomate…

 

Voici quelques exemples de plats, non exhaustifs comme de bien entendu, juste histoire de rendre hommage à ses centaines de variétés.

Une bonne salade de tomates, c’est excellent ! Il n'y a encore pas si longtemps,  elle n'avait pas forcément besoin d'être acoquinée avec miss Mozzarella !

On peut également citer des œufs brouillés à la tomate, des tomates à la provençale, une bonne tarte à la tomate, la sauce tomate…histoire d'accompagner quelques pâtes, le rougaïl-tomate (clin d'œil à l'hémisphère Sud), en gratin avec courgettes et pommes de terre,  en ratatouille...

Sans oublier, LE plat représentatif de notre belle de l’été : j'ai nommé les tomates farcies, un mets savoureux aux moult recettes.

 

 

Eviter de la manger hors saison : ce n’est plus de la tomate !

 

Ce légume-fruit correspond à une saison, de juillet à septembre environ. Sauf que, sans vergogne aucune, la grande distribution en commercialise toute l'année. Ce sont des trucs sans goût, sans odeur, venus d'on ne sait trop où (les Pays-Bas notamment). Mais, ne nous y trompons pas : la vraie tomate n'est pas celle-ci ! Elle n'a de tomate que le nom, ce qui est déjà  beaucoup trop d'ailleurs.

Nos marchés Icaunais comptent nombre de pépiniéristes ou de maraîchers les vendant par pieds. « Rose de Berne », « Cœur de bœuf », noire de Crimée, olivettes, Marmande, Marianne ou autres sauront ravir votre palais. Car rien de tel qu'une tomate de pleine terre, gorgée de soleil estival (enfin normalement !) pour en savourer le goût. Ces quelques plants de tomates embellissent toute surface potagère. Et quel sain régal ! Bon appétit et allez l'AJA !

 

 

En savoir plus :

 

La tomate a forcément droit de citation dans ce site culinaire, simple, précis et bien fait. Des recettes cuisinées de mère de famille, à l'intention de  tous, tout simplement. On y voyage aussi. Certes, nous y sommes  loin de « Top Chef » ! Cela n'a rien de très bobo non plus !  Point de photos artistiques, ni de 3D ! Se nourrir, juste, bien et bon.  Son nom : « Les Recettes de cuisine de Pascale » (au féminin). Via le net. Un site qui corrobore la maxime suivante : « On ne peut pas faire de cuisine, si l'on n'aime pas les gens ».

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Précurseur, le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne ? Oui, assurément. Sur un registre de plus en plus vaste, par ailleurs. Celui qui concerne la transition énergétique, sa véritable raison d’être au quotidien. La signature d’une convention de partenariat avec l’Université de Bourgogne et la SATT SAYENS l’atteste : le SDEY souhaite booster sa politique de recherche et développement avec les laboratoires universitaires. Incitatif pour accueillir des start-up régionales…

 

VENOY : C’était l’un des évènements majeurs parmi cet évènement. Eclectique dans son approche, entre la présence d’exposants et une trentaine de stands, et un plateau de conférences d’une pertinence aigue sur le sujet – les réels enjeux de la transition énergétique -, le Salon de l’Innovation 2022, porté par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) comprenait un autre temps fort, haut en symbole au plan des retombées économiques à venir : la signature d’une convention de partenariat – plutôt un protocole d’accord-cadre avec exactitude – portant sur la coopération scientifique et technique avec l’Université de Bourgogne et la SATT SAYENS (Société d’accélération du transfert des technologies).

Soucieux d’impulser une réflexion s’appuyant sur la recherche et le développement, la fameuse « R&D » qui stimule d’ordinaire les industriels, le SDEY a voulu se rapprocher de ce pôle universitaire régional, qui englobe parmi ses ramifications plusieurs laboratoires. Des outils où les neurones et les expériences carburent à bon escient sur le sujet de prédilection de l’organisme institutionnel.

 

 

 

Les véhicules autonomes, l’une des priorités de ce partenariat…

 

Le contenu de cet accord se veut pragmatique. Il s’agit pour ses signataires de définir un cadre de coopération, de concertation et d’échange d’informations mais aussi de promotion et de suivi d’activités. Celles-ci se rapportant à la recherche, la formation, l’expertise et le renseignement scientifique définis sur un certain nombre de thématiques.

Les items, dans les grandes lignes, sont au nombre de quatre : l’amélioration de l’autoconsommation collective des bâtiments – cela induit la production, le stockage et les batteries -, le stockage des énergies et la réinjection sur les réseaux, des actions de développement à relayer au niveau du territoire, et, dernier point, tout un volet de réflexions sur l’optimisation des véhicules autonomes. A l’instar de ceux qui devraient être usités sur la commune de Vézelay.

Une louable intention de la part du SDEY qui possède un deuxième objectif derrière la simple signature de ce protocole, permettant de faire converger les esprits et les actes. Le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne aimerait devenir le partenaire idoine de start-up régionales, désireuses de croître et de prospérer. Un lieu pour les accueillir est déjà tout trouvé : les locaux que possède le SDEY à Migennes. Le Syndicat d’Energies en business center au service de la transition énergétique ? Rien d’impossible, en somme !

 

 

En savoir plus :

 

La signature de cet accord-cadre de coopération scientifique et technique a été ratifiée par Catherine GUILLEMIN, présidente de la SATT SAYENS, Vincent THOMAS, président de l’Université de Bourgogne et Jean-Noël LOURY, président du SDEY.

SAYENS a accès aux compétences et innovations des 6 500 chercheurs, 4 000 doctorants issus des 140 laboratoires de recherche publique répartis sur les régions Bourgogne Franche-Comté et Grand-Est (Lorraine, Sud Champagne-Ardenne et Troyes).

 

Thierry BRET

 


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