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La nouvelle s’est propagée à la vitesse d’une onde de choc d’un puissant tsunami ce samedi matin, d’abord sur le Sénonais, puis en gagnant progressivement l’ensemble du département. La maire de Sens et présidente de l’Agglomération Marie-Louise FORT nous a quittés à l’âge de 71 ans. Une disparition brutale qui a été confirmée aux alentours de 10h30 par un triste mais lapidaire communiqué de presse, émanant de la direction du pôle communication de la collectivité…

 

SENS : On se surprend à lire à plusieurs reprises le texte, court mais tellement explicite qui apparaît sur l’écran de l’ordinateur, en provenance d’un message e-mail signé du service communication de la ville. En analysant chacun des mots de ces quelques phrases qui sont malheureusement annonciatrices d’une terrible nouvelle. Le décès brutal, survenu dans la nuit du 23 au 24 septembre de l’édile de Sens et présidente du Grand Sénonais, Marie-Louise FORT.

Un silence… avant de réagir et de relire encore le document pour mieux en mesurer toute la réalité qui se fait jour.

« C’est avec une infinie tristesse que le conseil municipal et le conseil d’Agglomération du Grand Sénonais ont appris ce matin le décès de Marie-Louise FORT dans la nuit… ».

L’élue était âgée de 71 ans.

« Nos premières pensées, écrivent les élus et collaborateurs de la personnalité politique disparue, vont à son époux, ses enfants, ses petits-enfants, ses proches… ».

 

 

 

 

 

Un personnage clé de voûte dans le paysage politique local…

 

Aux manettes de la ville de Sens depuis près de quinze ans – elle avait été réélue aux dernières municipales pour effectuer son troisième mandat -, Marie-Louise FORT, incarnait les valeurs des Républicains, sa formation politique de cœur, également via son mandat de présidente de la communauté d’agglomération du Grand Sénonais.

« Une femme de courage, engagée, intègre, dévouée, profondément attachée à son territoire, proche de ses habitants auxquels elle a consacré la majeure partie de sa vie…, poursuit par ailleurs le communiqué officiel.

Un personnage clé de voûte et incontournable dans le microcosme local qui aura eu également son heure de gloire au Palais Bourbon, en siégeant en sa qualité de députée de la troisième circonscription, sous les ors de l’Assemblée Nationale durant une décennie.

Et même si cette battante au tempérament bien trempé mais pugnace dans ses actes avait échoué face à Daniel PARIS, représentant le Parti Radical de Gauche aux échéances municipales de 2008, ce sera pour revenir de plus belle en 2014 afin de reprendre les rênes de cette ville et de cette agglomération qui lui auront tant apporté.

 

Thierry BRET

 

 


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L’endroit se veut paisible. Bordant la rivière, il court sur près de six hectares sous la forme d’une zone boisée. C’est peu à l’échelle des territoires sauvegardés par la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) mais c’est déjà beaucoup pour la seule commune de Bassou. En charge du dossier, le conseiller municipal Nicolas FOULON en a presque des trémolos dans la voix tant l’émotion le gagne. La commune officialise enfin sa petite réserve naturelle qui accueille de belles colonies de chauves-souris et des invertébrés endémiques. Du bonus pour l’essor de l’éco-tourisme !

 

BASSOU : Les abords de l’Yonne disposaient déjà de solides atouts pour conquérir le cœur de celles et ceux qui s’adonnent à la pratique du tourisme vert. De celles et ceux de ses adorateurs de la nature qui aiment flâner dans un joli parc où règnent en majesté de solides marronniers, agrémenté de chemins de promenades pour les amateurs de randonnées bucoliques.

Oui mais ce n’est pas tout. Outre un ponton flottant aménagé depuis peu sur la berge qui favorisera désormais l’accueil de bateaux de plaisance – nous en reparlerons ultérieurement -, permettant à son flux de navigateurs étrangers (britanniques, néerlandais, voire américains) de débarquer in situ afin de se sustenter de délicieux escargots (les établissements BILLOT sont implantés à quelques encablures de là !), la jolie bourgade du Middle Yonne vient de dévoiler un nouvel artifice touristique et environnemental profitable à sa renommée : sa zone refuge naturelle à l’estampille de la LPO.

Six hectares d’espaces boisés où fourmillent à foison selon les inventaires officiels une kyrielle de bestioles des plus sympathiques, dont de belles colonies de chauves-souris, d’oiseaux de diverses typicités et même une cohorte d’invertébrés endémiques, c’est-à-dire des espèces animales que l’on n’observe nulle part ailleurs ! Fichtre !

Bref, on savait que la vie était paradisiaque dans la localité administrée par Dorothée MOREAU, mais de là à en faire un jardin d’Eden pour espèces noctambules et insectes grouillants dans les sous-bois !

 

 

Une première étape qui devrait déboucher sur le projet de « territoire engagé pour la nature »…

 

C’est donc un sacré bon point pour la commune qui a choisi de convier ses habitants la semaine dernière à l’occasion de la double cérémonie inaugurale, celle de ce refuge made in LPO et ce ponton flottant, profitant de la présence d’un bel aéropage de personnalités de la fameuse association dont le président régional, Bernard MARCHISET – il n’aura pas hésité à effectuer les trois cents kilomètres le séparant de ce nouveau site référentiel pour en admirer la configuration – et de plusieurs élus de notre terroir ; à commencer par le député de la circonscription, deuxième du nom, André VILLIERS et Marie EVRARD, qui en sa qualité de conseillère départementale représentait le sénateur Jean-Baptiste LEMOYNE.

On notera aussi la présence du vice-président de l’Association des maires ruraux de l’Yonne, Jean-Luc LIVERNEAUX, venu en voisin – Gurgy est aussi une étape de plaisance sur l’autre rive de l’Yonne ! – et Kevin LEGENDRE-BONIFACE, porte-voix de l’UDI et de sa sénatrice Dominique VERIEN.

Lors de sa prise de parole, Madame le maire vanta toutes les qualités émérites de ce site naturel de bel aloi. Un lieu qui passionne les enfants de la commune et leurs enseignants. Mais, aussi un lieu susceptible d’attirer des chasseurs de photographies animalières, des artistes, des promeneurs, des sportifs. Bref, de l’éco-tourisme pur jus que Bassou souhaite ajouter à sa corde d’activités potentielles pour se faire connaître et rayonner bien au-delà de son périmètre.

« Ce n’est qu’une première étape dans notre stratégie, confia Nicolas FOULON, l’élu municipal en charge de ce dossier environnement, la suivante consiste à devenir un « territoire engagé pour la nature », avec davantage de mesures de protection en faveur de la biodiversité… ».

Un verger conservatoire a vu le jour malgré des conditions météo estivales peu propices aux plantations. Quelques noyers ont déjà pris racine sur le terrain qui est affecté à cette création. D’autres arbres fruitiers (de vieilles essences en termes de variétés) viendront étoffer cet espace qui comportera également un parcours pédagogique, où l’ombrage protégera les promeneurs.

Bassou, petit paradis naturel dans l’Yonne ? Ce n’est pas Dorothée MOREAU et son équipe municipale qui apporteront la contradiction !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Il arborait le plus souvent un large sourire avant d’entamer une réunion. Possédant le sens de la relation à l’autre, toujours à l’écoute et prenant des notes afin de conserver la trace de toutes les doléances et avis dont il recevait les échos – on se remémore les séances plénières parfois animées de la chambre d’agriculture -, le directeur départemental des Territoires de l’Yonne tire donc sa révérence après sept années de bons et loyaux services dans l’intérêt général de ce département.

 

AUXERRE : Son visage nous était familier. Sa courtoisie, tout autant. Personnage clé du département icaunais, Didier ROUSSEL a donc fait valoir ses droits à la retraite, mettant ainsi un terme à une fonction qu’il occupait depuis sept années dans notre contrée. La fonction de directeur départemental des territoires de l’Yonne (DDT).

Un poste où il s’était impliqué avec beaucoup de volontarisme et d’enthousiasme, intervenant sur des axes stratégiques importants issus des politiques publiques dont le logement, l’urbanisme, les transports, l’agriculture et la prévention des risques naturels.

 

 

Mercredi en fin d’après-midi, le préfet de l’Yonne Pascal JAN a tenu à saluer le professionnalisme de l’intéressé, en présence des agents des services de l’Etat, des représentants du corps préfectoral et de plusieurs élus du territoire.  

Manuella INES, jusqu’alors directrice adjointe de la DDT, succède à Didier ROUSSEL. Elle a été nommée officiellement le 19 septembre.

 

Thierry BRET

 


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Trop tôt disparu, le regretté Grégory LEMARCHAL, « petit prince éphémère de la variété française », en était la plus charismatique des incarnations. Une étoile filante, qui au-delà de chansons emplies de grâce et d’émotivité, eut tôt fait de sensibiliser l’opinion publique sur les combats bienfaiteurs menés par « Vaincre la Mucoviscidose ». Combat auquel souscrit le KIWANIS Club d’Auxerre qui propose son « Green de l’Espoir » ce dimanche 24 septembre, près de Dijon…

 

AUXERRE : S’il existe bien un moyen de motiver tous les adeptes de la discipline golfique en cette proche journée dominicale du 24 septembre, celles et ceux qui souhaiteraient s’investir au profit d’une noble cause, c’est bien de découvrir les tenants et aboutissants de leurs implications quant aux effets bénéfiques de la trithérapie dont ils soutiennent la mise en valeur par leur présence aux « Green de l’Espoir ». Une trithérapie dont les malades de la mucoviscidose sont les bénéficiaires.

 

Mucoviscidose : l’amélioration de la qualité de vie des patients…

 

Ces manifestations golfiques organisées un peu partout sur le territoire hexagonal pour la bonne cause par des clubs services, à l’instar entre autres du KIWANIS, depuis près de trois décennies permettent grâce aux subsides récoltés de rendre perceptibles les progrès de la recherche médicale et leurs bienfaits sur les patients.

En ce sens, la publication du Registre national de la mucoviscidose, se rapportant au bilan de l’année écoulée, est formelle. Grâce à ces dons, récoltés ici et là lors d’une multitude d’animations, la qualité de vie des personnes malades s’en trouve améliorée : allègement des traitements, baisse drastique des recours à la greffe, augmentation de l’âge moyen de la population atteinte par la pathologie, meilleure fécondité.

Un constat plus qu’encourageant, certes, mais qui ne doit pas faire tomber la mobilisation des participants à ces rendez-vous d’automne pour une juste cause.

Dimanche, au Country Club de Dijon près de Norges-la-Ville, les membres du club service auxerrois – le KIWANIS -, accompagnés de leurs amis du club « satellite » de Dijon, mettront sur pied ce nouveau rendez-vous à caractère altruiste destiné à tous les publics férus de la petite balle.

Une opération importante car la recherche si elle a réalisé d’énormes progrès en l’espace de quelques années pour soulager les malades doit se poursuivre pour qu’une large majorité de patients profitent enfin d’une solution thérapeutique efficiente.

 

 

Un outil de communication pour rayonner le plus largement possible…

 

Participant il y a peu au Forum des Associations, le club service auxerrois connaîtra en outre une période assez riche en évènements. D’une part, la passation de pouvoirs se déroulera le 01er octobre dans un cadre spécifique, le restaurant d’application de l’ESAT, plaine des Isles.

L’opportunité pour Lucille BEAULIEU de prendre les rênes de ce club apparu en 1980 en qualité de présidente en succédant à Jean-François FINANCE. D’autre part, place de l’Arquebuse à Auxerre, il sera question de l’animation vide-greniers/vide-dressing où devraient converger bon nombre de chineurs et autres collectionneurs du sérail, habitués à ce type d’évènement, le 16 octobre.

Pour couronner le tout, le club qui cherche à recruter de bonnes volontés pour accroître ses effectifs, publie sous l’égide de l’un de ses piliers Didier PHILIPON le premier numéro de sa newsletter, une communication trimestrielle à destination d’un large public. Un document dont vous aurez la primeur en cliquant sur le lien suivant pour en découvrir toute la substance…

 

 

En savoir plus :

 

28ème édition du « Green de l’Espoir » le dimanche 24 septembre 2022 au Country Golf de Dijon à Norges-la-Ville sur la journée.

Vide-greniers et vide-dressing le dimanche 16 octobre 2022 place de l’Arquebuse de 07h30 à 17 heures.

Premier numéro de la newsletter du club service auxerrois à consulter sur la référence suivante :

https://drive.google.com/file/d/14t6ON0bMnMFSMdV7hosU_OT6q2PjOlHf/view

 

Thierry BRET

 

 


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Il leur faudra une bonne paire de chaussures. Celles dont on apprécie le confort et la souplesse sur des parcours de longue randonnée. Et une volonté sans faille. Attention : le défi est à la hauteur des ambitions ! Concourir sous les couleurs du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne en jouant de la boussole et d’un rapporteur topographique sur les pistes ensablées du grand sud marocain ! Particularisme de ce rendez-vous qui se disputera du 27 octobre au 01er novembre : ce trek d’aventure au féminin se vivra par équipe de trois. Au service d’une noble cause : celle que défend « Ruban Rose » qui milite en faveur d’une meilleure prévention du cancer du sein…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’épreuve se nomme le « Rose Trip Maroc ». Elle possède également une déclinaison similaire, qui se vit un peu plus au sud en Afrique, du côté du Sénégal. Ces deux rendez-vous constituent des challenges d’endurance où la pugnacité et le volontarisme font foi. Des défis physiques et mentaux que des femmes engagées pour de belles causes sont prêts à relever. C’est le cas de trois d’entre elles. Des collaboratrices du Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne. Elles se nomment Sophie VETTORETTO, Pauline BELAIR et Alexandra METOR. D’ici quelques semaines, elles se mueront en « Roses Trekkeuses » pour participer à ce raid 100 % féminin et résolument solidaire. Foulant ainsi les grands espaces naturels du royaume chérifien durant cinq longues journées dont trois favoriseront le lâcher prise et le dépaysement total. Une expérience initiatique exceptionnelle pour ces trois jeunes femmes ? Incontestablement ! Elles nous expliquent leurs motivations dans un long entretien…

 

 

Quelles sont les motivations personnelles vous ayant poussé à participer à cette aventure ?

 

Un challenge sportif, une aventure humaine entre collègues, se prouver aussi qu’on est capable de se dépasser, de collaborer, d’apprendre ensemble et de le faire dans le cadre associatif faisait encore plus sens pour nous.

 

Est-ce la première fois ? Avez-vous déjà été engagées sur ce type d’épreuves à vocation humanitaire ?

 

Pauline : non jamais pour ma part.

Sophie : pas dans une épreuve sportive mais je me suis déjà impliquée dans le passé dans différentes associations (famille d’accueil pendant les vacances avec le Secours Populaire, aide aux élèves en difficulté avec l’association Cast’ailes).

Alexandra : Moi ? Non jamais !

 

J’imagine que vous êtes toutes les trois des sportives de bon niveau. Expliquez-moi votre parcours…

 

Pauline : Je suis très active en salle de sport avec des sessions de renforcement musculaire, du body-attack… et sur des trails depuis 2018. J’adore courir en pleine nature et me confronter à du dénivelé ! Dernière aventure vécue : les chemins de Stevenson, une randonnée de 272 kilomètres entre le Puy-en-Velay jusqu’à Alès en treize jours.

Sophie : Je suis sans doute la moins sportive de la « team » mais en réalité je possède des dispositions à l’endurance ! C’est dans la randonnée et dans le pilates que je m’épanouie sportivement.

Alexandra : moi, je cours, je cours et je cours ! De la course essentiellement sur route. J’ai participé au marathon et au semi-marathon de Paris !

 

 

Comment conciliez-vous votre préparation physique avec votre quotidien qu’il soit personnel ou professionnel ?

 

Pauline : c’est assez simple, le sport fait partie de mon quotidien. Je pratique une activité sportive avec régularité après le travail, pendant le week-end ou pendant les vacances. J’arrive donc assez facilement à trouver du temps pour la préparation. J’avais conscience en m’engageant dans cette aventure qu’il faudrait arriver à trouver un équilibre entre vie professionnelle et personnelle. Mais, ça fait partie du défi et de l’aventure ! J’ai la chance d’avoir une super équipe sur qui m’appuyer en cas de besoin.

Sophie : je suis une maman solo et je m’organise en m’accordant du temps tout en restant bienveillante avec moi-même.

Alexandra : moi, je suis souvent sous l’eau, sur mille volts ! Ce fut un peu compliqué de tout concilier mais depuis deux ans, le sport fait partie intégrante de ma vie. En couple, avec mon club, entre amis ou en famille, c’est devenu primordial de s’accorder du temps pour la préparation physique.

Dès mars 2022, nous avons bloqué nos agendas pour faire en sorte qu’à chaque évènement sportif qui retenait notre attention, l’une de nous trois représente les « Walking Roses ». Nous avons participé à une quinzaine de manifestations sportives, dont trois sponsorisés par le Crédit Agricole de Champagne-Bourgogne.

 

 

Présentez-vous toutes les trois : que faites-vous dans la vie ?

 

 

Pauline : j’ai 29 ans et je suis la blagueuse de l'équipe ! Je pratique avec passion le trail, la randonnée et la salle de sports. Ma motivation est la suivante : « L'enthousiasme est la base de tout progrès », une phrase d’Henry FORD.

Sophie : j’ai 44 ans et maman solo mais pas que ! Ma pratique sportive est le pilates et un abonnement récent à la salle de sport. Ma dernière grande aventure a été un voyage à Bamako (Mali) avec ma fille pour voir sa marraine qui travaille dans une ONG. Ma motivation : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j'apprends.. ».

Alexandra : J'ai 33 ans, je suis pacsée et j'ai un chat ! Bien que branchée sur mille volts, je suis la force tranquille de l'équipe. A la fois dotée d'un caractère bien trempé mais aussi d'une certaine sensibilité émotionnelle, complètement assumée. La famille, le respect, la liberté sont des valeurs qui me sont chères.

 

 

 

Un tel périple au Maroc suppose une excellente condition physique, quel est votre programme nutritif, êtes-vous encadrés par un coach tant sur le plan mental que sur la bonne gestion de votre corps ?

 

Non, nous avons augmenté la fréquence et l’intensité de nos séances de sport mais pour le moment rien sur le plan nutritionnel. Il n’était pas question pour nous de s’astreindre une hygiène de vie trop drastique, celle que nous avons correspond aux exigences du trek. Nous ferons le plein de sucres lents une semaine avant, ce sera bien.

 

Il est question de lâcher prise, de déconnexion avec ce genre de discipline dans le désert. Justement, à quoi allez-vous penser durant ces trois jours d’épreuve ?

 

Oui, en effet, nous n’aurons d’ailleurs pas de wifi sur place. Les téléphones sont acceptés pour prendre quelques photos mais pas d’accès à Internet. Ces quatre jours vont nous permettre de se ressourcer, de vivre l’instant présent, de partager entre nous avec l’ensemble des participantes.

 

 

Ce rendez-vous repose aussi sur la solidarité notamment avec les associations aidant les femmes atteintes du cancer du sein. Est-ce une cause qui vous mobilise ? Cet aspect « humanitaire » est le catalyseur de votre inscription ?

 

En tant que femmes, la cause nous tient à cœur, d’autant plus que la sœur d’Alexandra a été touchée à l’âge de 35 ans. Fort heureusement, elle est en rémission. L’aspect humanitaire nous concerne, vraiment…

 

Comme toutes épreuves de ce style, il faut être soutenu par des sponsors. Qui s’est lancé à vos côtés ? Quel est le budget d’un tel projet ?

 

A ce jour, trois sponsors nous soutiennent dans notre projet : le principal, notre employeur, le Crédit Agricole de Champagne Bourgogne. Puis la société d’espaces verts « MB Paysage » à Dijon qui a financé une partie de nos équipements et enfin le club de sport et spa « Le Klube » qui nous accompagne dans la dernière ligne droite de la préparation physique.

Le budget d’un tel projet s’élève à 10 000 euros pour nous trois. Reste à notre charge une partie des équipements, le trajet Dijon-Paris et Paris-Dijon ainsi que la nuit d’hôtel qui précède le décollage et nos cinq jours de congés.

 

Qu’est-ce que vous attendez à titre personnel de cette expérience ?

 

Nous attendons de cette expérience de se dépasser, de sortir de notre zone de confort, d’aller au bout de nos capacités mentales et physiques, se découvrir soi-même, aller à la rencontre d’autres femmes, de partager cette expérience unique avant, pendant et après. 

 

Envisagez-vous de vivre d’autres aventures comme celles-ci à l’avenir ?

 

Pauline : pourquoi pas, la question se posera quand il faudra trouver un nouvel objectif, mais toujours lier l’aspect sportif avec l’aspect associatif. Ma prochaine aventure sera « La Grande Traversée du Jura », avec quatre cents kilomètres à parcourir en trois 3 semaines.

Sophie : et pourquoi pas ?

Alexandra : Pas sous l’angle associatif mais sous l’angle sportif et collectif, j’envisage de faire le Tour du Mont-Blanc en randonnée, soit 170km, 10 000 mètres de dénivelé, le tout en sept jours !

 

Bon vent, les filles ! On ne peut que souhaiter que vous viviez de belles aventures sous le chaud soleil du Sahara ! Un espace naturel idéal pour se reconnecter à soi-même…et rayonner positivement autour de soi.

 

 

Propos recueillis par Thierry BRET

 

 


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