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Pourquoi le bio va mal ? Entre les producteurs, les revendeurs, la grande distribution, les consommateurs…quel est le problème majeur de la filière bio ? Dans notre tribune précédente, nous avons examiné les contraintes de l’agriculture bio. Aujourd’hui, regardons de plus près les autres causes de la chute de cette activité, à l’origine prometteuse en termes d’écologie, de santé et d’emploi.

TRIBUNE : Le principal facteur de cette décrue est évidemment l'inflation. Un produit bio reste en moyenne 44 % plus cher que son équivalent conventionnel. A titre d’exemple, la tomate ronde est ainsi 70 % plus chère que la tomate classique. En période d'inflation, peu de foyers peuvent se permettre d'acheter 100 % bio. Ils vont donc réaliser des arbitrages. 2022 a enregistré une baisse de près de 7 % de l’activité et on s’attend à une chute encore plus importante pour 2023. Chez les experts, le « bio » est aussi victime d’une expérience client peu convaincante.

Si les grandes surfaces traditionnelles connaissent un recul de 5,3 % des achats « bio », les magasins spécialisés (BIOCOOP, La Vie Claire…) marquent le pas avec 16 % d’effondrement du chiffre d’affaires ! Aujourd’hui, 54 % des Français déclarent que les produits bios sont bien trop chers par rapport aux bénéfices qu’ils apportent.

 

 

Le bio se relèvera-t-il de la crise de l'inflation?

 

Des producteurs aux consommateurs, tous les voyants de la filière bio sont au rouge. Toute la filière est mise à mal. La crise du bio, c’est le plan « hors sec » et « Defcon 3 » réunis, au point que la filière en appelle désormais la grande distribution à l'aide, après l'avoir pourtant critiquée des années durant. Dans une lettre ouverte, les trois grandes organisations du secteur (SYNABIO, FOREBio et la FNAB) prient les supermarchés de ne pas se désengager du bio.

« Dans ce contexte, vous avez, en tant que leaders de la distribution alimentaire, un rôle clé à jouer pour maintenir une offre bio qui soit visible, attractive et diversifiée, écrivent-elles en chœur. Or, nous constatons que vos enseignes tendent en ce moment à réduire le marché bio ».

Ce qui est le cas. Pour faire de la place aux produits plus accessibles, les grandes surfaces alimentaires s'en prennent logiquement aux rayons bios moins attractifs. En septembre 2022, l’offre avait reculé de 7,3 % sur huit mois, selon IRI. Un recul plus important que la baisse du chiffre d'affaires, relèvent les fédérations. Les acteurs du bio constatent un démantèlement des équipes dédiées au bio, « une dégradation du niveau d’expertise sur les produits et les filières » et craignent « de voir le bio noyé dans des catégories aux contours mal définis, comme l’offre durable ».

 

La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces…

 

Les grandes surfaces seront-elles les fossoyeurs du bio ou sont-elles le bouc émissaire facile d'une crise qui fragilise toute une filière ? Certains groupes de distribution se veulent rassurants. « Il n'y a pas de désinvestissement massif sur le bio chez Système U », assure Dominique SCHELCHER, le PDG de l'enseigne aux médias. « On pense que la baisse est conjoncturelle », déclare-t-il. « La vraie difficulté est celle de ces producteurs qui se sont convertis au bio ces dernières années et dont les débouchés se restreignent. Le coupable, c'est l'inflation qui contraint les gens à arbitrer sur ces produits-là ».

Lancés en 2018 en grande pompe sur un positionnement bio accessible (prix 30 % plus bas), les « Marchés Bio » chez Leclerc visaient quarante magasins en 2019 et 200 en 2022. Quatre ans plus tard, le groupement en dénombre péniblement dix-sept : le concept devrait être abandonné. C’est un projet mal né selon le spécialiste Frank ROSENTHAL : « Quel intérêt pour un adhérent de mettre un « Marché Bio » dans sa galerie marchande quand il a déjà un rayon bio bien fourni ?, s'interroge-t-il. La démocratisation du bio se fait par les grandes surfaces, pas par les magasins spécialisés ".

 

 

Une crise sur fond de mise en sommeil…

 

« Faisons le dos rond, les lendemains chanteront ». C'est en substance le discours des pro-bios actuellement. La réalité est peut-être moins idyllique. C'est en tout cas ce que pensent certains observateurs du monde de la consommation. Comme Xavier TERLET, président de « Protéines XTC » qui juge dans une tribune publiée sur le site de « LSA », que le prix du bio était déjà un frein avant la crise actuelle.

« En 2020, le magazine « Linéaires » a analysé les prix moyens en bio et en conventionnel de plus de deux cents familles de produits alimentaires recensées par Nielsen. L’écart de prix est loin de se limiter à 30 % comme on l’évoque souvent mais s'élève à 75 % en moyenne », rappelle-t-il.

« Le mois dernier, j’ai moi-même constaté chez Carrefour un écart de 94 % entre le yaourt nature de Danone et son équivalent bio », poursuit l'expert. « Presque le double ! Une grande partie des consommateurs ne regarde même plus cette offre indécente, réservée aux plus aisés d’entre nous ».

 

Produit bio ou produit bon ?

 

Si le facteur prix est évidemment central dans la désaffection actuelle, il n'est peut-être pas le seul. C'est la relation bénéfice/prix qui pousse les consommateurs à estimer qu'un produit est trop cher et à arbitrer en sa défaveur. Et c'est là, le point nodal du problème avec le bio.

« Ce n'est pas parce qu'un produit est bio qu'il est bon, il peut y avoir des produits conventionnels qui ont plus de goût par exemple », constate Frank ROSENTHAL, spécialiste du marketing de la consommation. « Les experts du bio disent qu'il s'agit du vrai goût des produits, mais si le « vrai goût » c'est de ne pas avoir de goût, les consommateurs ne sont pas satisfaits ».

Payer plus cher (voire beaucoup plus cher) pour un produit qui n'apporte pas plus de plaisir qu'un produit conventionnel passe plus difficilement en période de contrainte sur le pouvoir d'achat. D'autant que la dimension commerciale est souvent négligée, surtout par les enseignes de bio. Offre limitée, mise en scène des produits réduite à la portion congrue, information et pédagogie inexistantes... les enseignes spécialisées peinent à attirer les clients, au-delà d'un cercle de consommateurs déjà convaincus par le bio.

 

 

Y-a-t-il des solutions dans la salle ?

 

Les producteurs de bio disparaissent peu à peu, tandis que les magasins spécialisés perdent des parts de marché. La grande distribution limite de plus en plus leur offre « bio »… Le plus grave, les consommateurs ne peuvent plus s’offrir des produits bios et y trouvent un intérêt moindre pour leur santé…

Certains demandent à l’Etat d’injecter quelques centaines de millions d’euros pour soutenir une filière moribonde. Et les « Verts » dans tout ça : ils ne trouvent pas de solutions pérennes pour affronter véritablement la crise du bio. Ils devraient y réfléchir sérieusement…

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Le top départ de l’épreuve est donné pour une durée de huit heures ! Le 38ème concours de « l’Un des Meilleurs Apprentis de France » (MAF), spécifique au métier de jardinier-paysagiste, se déroule dans la petite fraîcheur matinale de ce vendredi saint, juste derrière les locaux du CFA La Brosse, centre de formation agricole par l’apprentissage. Une opportunité pour les six candidats de se mettre en lumière sous l’œil scrupuleux du jury, avec l’objectif de glaner les médailles des concours départementaux et régionaux…

 

VENOY : Mais il ne s’arrête donc jamais, Marc LABARDE ! Le président départemental de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France de l’Yonne (MOF) s’affaire déjà avec minutie et concentration derrière son écran, pianotant sur le clavier ses premières impressions de ce qu’il a vu extérieurement avec le lancement de ce nouveau concours.

Une double épreuve en vérité puisque s’organisant tant au niveau départemental que régional. Même si le nombre de candidats désireux y prétendre se résumerait presque à la portion congrue, soit six jeunes gens hyper motivés de bien faire et de réussir à décrocher – peut-être – les places qualificatives pour le national de la discipline – le métier du jour qui est concerné est celui des jardiniers-paysagistes - devant se disputer à l’automne quelque part dans l’Hexagone.

Bref, dès potron-minet, ces six là – quatre garçons du CFA La Brosse suivant un cursus en baccalauréat professionnel en aménagement du paysage et deux autres de leurs condisciples en provenance de la MFR de Gron chère à Stéphane PERENNES ! – n’ont pas hésité à braver la température frisquette et humide de ce matin blafard pour se plonger dans l’étude de cas du jour : la réalisation d’une scène de jardin originale et harmonieuse comprenant la création d’un muret conçu en pierre sèche, un dallage, un pavage, des plantations avec arbustes à fleurs, conifères et autres végétaux, un espace vert en gazon de placage.

 

 

 

Valoriser les jeunes apprentis qui osent relever le défi…

 

Un chantier prenant racine sous le regard scrutateur des membres du jury (quatre professionnels des services espaces verts des communes de Chablis et d’Auxerre notamment) et de Marc LABARDE, qui arborant comme à l’accoutumée son immuable écharpe rouge, veillait à la bonne application d’un règlement hyper scrupuleux. Normal, on participe tout de même à l’un des plus beaux concours de prestige réservé aux apprentis !

Pour Hélène DECULTOT-TREMBLAY, directrice du CFA La Brosse, toute heureuse d’accueillir ce concours en ces murs, un tel évènement est indispensable car il permet de valoriser les jeunes apprenants à leur juste valeur, ils sont prêts à relever le défi. Il est vrai que de gagner un MAF dans son existence fait toujours recette sur une carte de visite remise à un employeur, un sésame plus facile pouvant aider à s’insérer dans la vie active…

 

Thierry BRET

 

 


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Forcément, ça tousse un peu dans le quartier de l’avenue des Clairions. Les rares riverains rencontrés par inadvertance par une matinée un peu glaciale voient plutôt cela d’un « mauvais œil ». Même si, sur l’ancien site d’EDF à Auxerre, le nouveau lieu de villégiature des gens du voyage respire la tranquillité et la parfaite discrétion. On dirait même qu’il n’y a pas âme qui vive alentour ! Depuis plusieurs jours, caravanes et fourgonnettes se sont installées à cet endroit. Pour combien de temps, s’interroge-t-on inquiet, dans le proche voisinage…

 

AUXERRE : Une caravane à la couleur immaculée. Une autre, un peu plus loin, près du grand bâtiment, style Pailleron, désormais à l’abandon qui accueillait jadis les bureaux d’EDF. A ses côtés, deux fourgonnettes. Blanches, elles aussi. Quelques voitures stationnent, çà  et là attendant leurs conducteurs. Depuis une dizaine de jours, le parking et le parvis de l’ancien siège départemental de l’opérateur connaît une certaine effervescence avec cette présence pour le moins inattendue. Certes, mais tout cela se vit dans une relative discrétion. On est bien loin du flux de véhicules professionnels au coloris bleu qui circulaient autrefois en ces murs, siège de la délégation départementale d’EDF !

Toutefois, les riverains dont certains ont leurs habitations qui surplombent et jouxtent les grilles de l’ancien édifice de l’entreprise sont encore sous le coup de la surprise. Elle est de taille, il est vrai : ils ne s’attendaient pas à voir débarquer les gens du voyage en ce lieu à l’abandon.

Quelques-uns sont indifférents. D’autres vitupèrent car ils craignent avant toute chose les nuisances occasionnées par cet emménagement intempestif : « c’est impensable de voir tous ces véhicules et caravanes investir la cour de ce site ! Que fait la Communauté de l’Auxerrois pour y remédier ? ».

Sont-ils au « courant » de la situation, sans mauvais jeu de mot lié à l’endroit choisi par les occupants du site d’EDF ?!

 

 

Les aires de moyen passage sont payantes donc inintéressantes !

 

Interrogé par téléphone, le vice-président communautaire ayant la charge de ce toujours très délicat dossier, Dominique CHAMBENOIT, l’est parfaitement, en effet. Sa réponse est on ne peut plus évidente dans le fond : « On ne peut pas les expulser tant qu’on n’a pas le terrain approprié, cette fameuse aire de grand passage que je réclame à la collectivité depuis la prise de mon mandat ! ».

La gestion des gens du voyage ressemble aux feuilles d’impôts que l’on découvre avec agacement chaque année dans sa boîte aux lettres. Immuable et sans solution pour y échapper !

« Bien sûr, ajoute le maire de Chevannes qui connaît le dossier sur le bout des doigts car confronté très régulièrement à cette problématique récurrente, il existe bien des aires de moyen passage sur l’Auxerrois avec moins d’emplacements à pourvoir mais qui ont un coût. Mais, les gens du voyage ne les fréquentent guère parce que les prestations de service proposées y sont payantes… ».

 

 

C’est donc la crise économique même dans cette caste non sédentaire et itinérante de la société hexagonale – celle-ci se compose de tziganes, de gitans, de roms, de roumains, de yougos, de manouches, de forains etc. – qui ne désire pas s’acquitter de la facture d’eau (3,50 euros du mètre cube et des 0,14 centimes d’euros du kW/h) de la facture d’électricité obligatoires, proposées sur les sites d’accueil dédiés.

Sachant aussi que pour avoir accès à ces aires de moyen passage comme il en a fleuri un peu partout dans les grandes agglomérations de l’Yonne, les possesseurs de véhicules (automobiles, fourgonnettes, caravanes…) doivent présenter naturellement une police d’assurance afin d’être dans le respect de la réglementation sur site. Or, dans la plupart des cas, certaines carences existeraient aussi à ce niveau-là !

 

 

Une solution à l’étude trouvée d’ici l’été sur l’Auxerrois : c’est possible !

 

Ainsi, à titre d’exemple, l’aire de moyen passage de la Route de Toucy pourrait accueillir des nouveaux venus. A l’heure actuelle sur la vingtaine d’emplacements disponibles, quatorze restent désespérément vides, faute de tout occupant !

Toutefois, Dominique CHAMBENOIT se veut optimiste. La situation devrait se décanter au cours de ce semestre – il ne reste pourtant plus que trois mois – pour que la Communauté de l’Auxerrois règle les choses, en choisissant un site de 4 hectares qui soit adapté à l’accueil de ces rassemblements en nombre, provoqués par cette population le plus souvent en mouvement.

Des pistes très sérieuses sont à l’étude et devraient aboutir, selon l’élu, avant le terme de la période estivale.

Selon les statistiques de 2021, 570 caravanes dont sont propriétaires les gens du voyage ont donc transité par l’Auxerrois. Deux espaces de moyen passage sont en cours d’aménagement du côté de Toucy et de Sens, pour apporter de réelles solutions.

2023 pourrait donc être la bonne année, avec l’ouverture de cette aire de grand passage sur l’Auxerrois, tant attendue par les riverains et espérée par les gens du voyage eux-mêmes qui galèrent aussi pour pouvoir se poser. Ce serait la meilleure des solutions pour que ces « problèmes de cohabitation issus du voisinage » deviennent obsolètes à l’avenir…

 

Thierry BRET

 


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La raison de son succès se résume en une phrase : « il faut toujours dire la vérité aux clients ! ». Un leitmotiv, façon méthode Coué, que l’entrepreneur Yvan PERRIN, à la tête des « Charpentiers du Morvan », se plaît à décliner selon toutes les typologies de demandes faites par la clientèle depuis 1998. Grâce à son novateur concept de « mini maison », l’Avallonnais a convaincu le jury des Prix Stars & Métiers de l’Artisanat où il obtient le trophée de l’Innovation…

 

HAUTERIVE : Jubilatoire soirée pour Yvan PERRIN et son épouse, la très discrète et émue, Christelle ! Le sympathique dirigeant de la société « Les Charpentiers du Morvan » a, une fois de plus, été plébiscité pour son ingéniosité lors d’un concours, lui valant la remise d’un chèque de mille euros – la belle affaire ! - et surtout la reconnaissance objective de ses pairs, issus comme lui de l’artisanat.

Lauréat du Grand Prix de l’Innovation des Prix Stars & Métiers 2023 – le traditionnel rendez-vous cérémonial annuel à l’estampille de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat, et de la SOCAMA -, le chef d’entreprise avallonnais – sa structure est localisée à quelques encablures de la sous-préfecture de l’Yonne à Magny – ne s’est pas départi de son sourire juvénile lorsqu’il a rejoint la scène où l’attendait la sémillante animatrice, Virginie PERROT. Un échange auquel était convié, sous le feu nourri des projecteurs éclairant la scène, l’épouse de l’heureux chanceux d’un soir.

 

 

Un concept totalement révolutionnaire, baptisé les « minimaisons»…

 

« Le seul établissement qui a soutenu mon projet dès le départ, c’est la Banque Populaire, soulignera Yvan PERRIN, qui plaça immédiatement les remerciements d’usage dès la phrase introductive de sa prise de parole, je leur dois beaucoup… ».

Créée en 1998 – il y a déjà un quart de siècle, comme le temps défile vite ! -, l’entité positionnée dans la construction de maisons à ossature bois fit effet de précurseur dans le landerneau – on s’en souvient encore -, habitué à faire appel aux « bétonneux », comme le précisera notre chef d’entreprise radieux.

Que de chemin parcouru, donc ! Aujourd’hui, « Les Charpentiers du Morvan » proposent un concept de maison en bois, prête à vivre et peu usuelle, les mini maisons dont la marque a été déposée, sous l’appellation logique mais simpliste au plan marketing de « minimaison », une enseigne qui commence à faire florès en Bourgogne. Notamment à Saulieu, en Côte d’Or, où deux de ces réalisations déclinables en modèles de 20 m2 et 30 m2 viennent d’être installées dernièrement.

 

 

 

Un nouveau trophée qui en appelle d’autres…

 

C’est sans doute cet argument essentiel qui a dû séduire les membres du jury des Prix Stars & Métiers 2023, ces derniers ayant choisi d’attribuer le sésame suprême par les mains de Jean-Pierre RICHARD, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne – le garçon est aussi président de la CAPEB Yonne – à Yvan PERRIN.

Une démarche éco responsable bien dans l’air du temps qui demeure la marque de fabrique de cette belle PME du bâtiment et de l’immobilier de l’Yonne – cocorico ! -, employant dix salariés, et lauréate en 2002 du Trophée de l’Artisanat de la Chambre consulaire. Un nouveau trophée à mettre dans son escarcelle qui en appelle d’autres, assurément…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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C’est simple comme bonjour ! On télécharge l’application gratuite via son « Play Store » ou « Apple Store » sur son portable – on peut flasher le « QR Code » associé -, et le tour est joué ! Une fois l’itinéraire enregistré, partez en balade en compagnie d’Ondine, la fée de l’eau de la rivière Druyes et du ruisseau d’Andryes, dans de belles aventures touristiques ! Mais avant cela, une phase de test va être réalisée. La municipalité recherche cinquante personnes désireuses se prêter à cet essai…

 

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : A fond la gomme sur le tourisme, dans le peut-être futur « village préféré des Français » édition 2023 si les votes des férus de l’émission de Stéphane BERN lui reviennent favorables ! En attendant le verdict audiovisuel, la municipalité a décidé d’optimiser les aspects pittoresques de l’endroit – et ils sont légion avec le plan d’eau, l’église, le lavoir, le château de la comtesse Mahaut de Courtenay, parente du roi Philippe-Auguste, le moulin à tan, les trois moulins, la campagne et la forêt environnantes, etc. – en créant une balade insolite et didactique à vivre à l’aide des smartphones.

Nom de baptême de ce programme à vocation éducative et ludique comprenant quizz, vidéos, mini jeux, captation à 360 degrés et informations : « La mémoire de la fée des Belles Fontaines ». On en salive d’avance rien qu’en lisant l’énoncé !

 

 

D’une durée d’une heure et demie environ, ce parcours – son point de départ se situe devant la mairie – correspond à une large boucle pédestre qui permet de découvrir tous les lieux emblématiques de ce village de Forterre, précédemment cités.

Toutefois, avant qu’il ne soit lancé, ce concept élaboré avec « LEGENDR » – un guide touristique du patrimoine en réalité virtuelle conçu par RENDR et ORANGE – devra encore être testé en grandeur nature. La municipalité drogienne recherche ainsi cinquante personnes qui souhaiteraient se prêter au jeu afin de connaître leurs avis et critiques lors d’une balade initiale.

Pour y participer, rien de plus facile : il suffit de s’inscrire auprès d’une référence téléphonique, le 06.12.16.33.07. Excellente promenade !

   

Thierry BRET

 

 


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