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On connaissait la formule usuelle « du producteur au consommateur ». En voici une nouvelle variante qui aurait pu se traduire ainsi lors de la visite de la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté au Pôle Formation 58/89 et à la Maison de l’Entreprise de l’Yonne par ces quelques mots : « du financeur à l’utilisateur ». En déplacement sur notre territoire, Marie-Guite DUFAY a eu tout le loisir de s’immerger sur ce site qui prépare les jeunes générations à l’industrie de demain…

 

AUXERRE : Rencontre intéressante qui était proposée là dans l’une des salles de réunion de la Maison de l’Entreprise/Pôle Formation 58/89 en fin de semaine dernière. La venue de la présidente de l’exécutif régional ne pouvait laisser indifférent à l’heure des messages favorables à la ré-industrialisation de l’Hexagone. Et de cet impérieux besoin de former davantage de compétences en sensibilisant les plus jeunes mais pas que pour répondre aux enjeux vitaux des entreprises.   

Soutien financier de l’infrastructure, la Région Bourgogne Franche-Comté a pris soin, via des échanges nourris de sa présidente avec un public composé de demandeurs d’emploi en cours de reconversion, de mieux saisir ce qui se pratiquait réellement au sein de cet établissement à cheval dans sa zone d’influence sur deux départements limitrophes, la Nièvre et l’Yonne. Ce qui n’est guère commun dans le paysage local.

Attentive à la moindre remarque de l’auditoire, répondant aux interrogations du public, évoquant en guise de credo la qualité de ces métiers qui sont porteurs d’avenir, Marie-Guite DUFAY rappela aussi que le secteur industriel avait des besoins forts en matière de recrutement.

 

 

 

 

Un outil pédagogique au service de l’industrie de demain…

 

Dans un premier temps, Olivier LASSAUSSE, directeur général adjoint du Pôle Formation 58/89, accompagné de la responsable de la formation continue et insertion, Laure MINCHENEAU, présentèrent, slides à l’appui, les grandes lignes directrices de l’établissement dirigé par le délégué général de l’UIMM de l’Yonne, Claude VAUCOULOUX. Au détour de toutes ses subtilités (IFAG, ITII, etc.).

Un Claude VAUCOULOUX particulièrement satisfait de cette visite de la « patronne » de la Région qui apporte sa contribution financière à la construction de l’industrie de demain.

« Voir à quoi sert l’argent que nous recevons est important, expliqua-t-il, d’autant que nous concevons au quotidien dans cette maison un véritable outil pédagogique servant à l’industrie de demain… ».

Puis, la présidente de l’exécutif régional eut droit à une découverte des nouvelles installations du site, celles-ci comprennent un atelier de chaudronnerie-soudure, une ligne de production 4.0, un atelier d’usinage, etc.       

« Ici, ajouta-t-il, nous développons des technologies connectées au service de l’homme… ».

Rassurant, quant à l’éthique proposée !

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Elle avait 32 ans, se prénommait Angélique, maman de deux jeunes enfants de 5 ans et 18 mois. Elle a été abattue par son ex-compagnon à l’arme de chasse, un vendredi de presque été, le 11 juin 2021, à Monéteau. Occupant depuis et pour l’éternité, la 52e place du sinistre calendrier des 122 victimes de féminicides enregistrées cette année-là…

 

MONETEAU : Il faisait bon se promener ce dimanche sous les frondaisons du parc Colbert à Monéteau. A la sérénité des lieux se mêlaient les souvenirs d’enfance teintés de rires, quand sous la charmille aujourd’hui disparue, se déroulait la remise des prix marquant la fin de l’année scolaire, où les courses en sacs et autres distributions de glaces des festivités du 14 juillet…

Comment imaginer qu’à quelques pas de là, il y a tout juste deux ans aujourd’hui, une jeune femme se faisait tuer sous les yeux de son bébé, par l’homme qu’elle aima un jour, devenu bourreau, attisé par la haine et la colère depuis leur séparation ? Cet après-midi-là, un petit garçon de 5 ans attendit longtemps sa maman à la sortie de l’école. Qui eut la force et le courage de lui dire qu’elle ne viendrait plus jamais… ?

 

Une longue liste de drames qui n’en finit plus…

 

Sur la plaque commémorative apposée depuis au pied d’un arbre par la municipalité en hommage à Angélique CLERE et à toutes les victimes de féminicides, quelques fleurs blanches dessinent des traits de lumière sur le marbre noir. Ce funeste 11 juin 2021, était découvert par les gendarmes, près de Marmande, le corps sans vie d’une femme de 55 ans, poignardée par son ancien compagnon.

Selon les chiffres du Collectif « Féminicides par compagnon ou ex », elles furent 122 cette année-là, à perdre la vie de mort violente, sous les coups d’un conjoint ou ex-conjoint. Autant d’hommes considérant leurs femmes comme un objet leur appartenant, avec pour seule issue, de les tuer lorsqu’elles cherchent à partir. A l’aune de la médiatisation et de l’horreur des faits, certains féminicides restent ancrés dans les mémoires, comme celui de Chahinez DAOUD, brulée vive par son ex-mari en Gironde, laissant trois jeunes enfants orphelins.

La polémique qui suivit le drame fut grande quand on apprit que la victime avait plusieurs fois alerté la police sur la dangerosité de son ex-conjoint mais en vain, ses multiples appels à l’aide n’ayant pas été suivis d’effet. Et plus grande encore la colère de savoir que le fonctionnaire de police chargé de recueillir sa plainte, avait lui-même été condamné quelques mois plus tôt à une peine de huit mois de prison avec sursis probatoire, pour violences conjugales !

 

 

 

Déjà une cinquantaine de femmes, victimes de leurs bourreaux en 2023…

 

Si disputes et séparations représentent plus de la moitié des mobiles des auteurs de violences mortelles au sein d’un couple, le profil des meurtriers est des plus divers, représentatif de tous les milieux sociaux et n’épargnant désormais aucun genre. Pour preuve ce féminicide en mars dernier à Dinan, dans les Côtes d’Armor, où une jeune femme de 28 ans fut mortellement blessée au couteau par sa compagne. Pour autant, la majorité des meurtres relève bien de la seule « gent » masculine. Comme si le fait d’être doté d’un appendice entre les jambes donnait le droit de vie ou de mort sur autrui ! Déjà 50 victimes au « compteur » de 2023, dont une trentaine en contexte de séparation ou de violences connues de tous. Combien seront-elles d’ici la fin de l’année ? Combien d’enfants à s’endormir, sans savoir que le bisou ou le câlin du soir sera le dernier… ?

 

 

Se souvenir en se recueillant et parler à l’amie disparue…

 

« C’est la société qui est malade, il nous faut la remettre d’aplomb et d’équerre par l’amour et la persuasion… ». Comment ne pas se remémorer ces vers du grand Julos BEAUCARNE, à la lecture de la lettre d’une amie d’Angélique CLERE, accrochée avec quelques fleurs, à l’arbre même devant lequel elle perdit la vie ? Quelques mots signés Elodie, évoquant le drame et sa présence tous les onze de chaque mois, pour se recueillir et parler à l’amie disparue… Quelques mots pour se souvenir… Quelques mots pour rappeler qu’envers et contre tout, l’amour sera toujours plus fort que la mort.

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Seraient-ils veinards les dirigeants du club de handball de la capitale de l’Yonne ? La fin de saison tenterait à le prouver ! Après la médaille de bronze glanée aux « Global Games » de Vichy pour certains de leurs représentants, membres de l’équipe nationale de sport adapté, c’est dans l’antre du Stade de France que Raphaël BESANCENOT, le président, a reçu le Trophée de l’Inclusion par le sport.

 

PARIS: Une fin de saison folle, folle, folle ! Remplie d’émotions et de réussite, autant d’éléments positifs qui font la joie des dirigeants du Handball Club Auxerrois, à commencer par le président Raphaël BESANCENOT !

Ce dernier était à Paris il y a quelques jours pour y recevoir une nouvelle récompense, le Trophée de l’Inclusion par le sport, un sésame décerné par l’Agence pour l’éducation par le sport et la fondation « L’Equipe ». Un prix honorifique qui a été remis dans les salons d’honneur du mythique Stade de France (et un, et deux et trois zéro !) en présence des représentants du COJO Paris 2024, les ministères des Sports et du Travail, des champions hexagonaux et des structures sportives en provenance des quatre coins du pays.

« Ces réussites et cette mise en lumière du club viennent récompenser la politique sportive ambitieuse, généreuse et novatrice du club, ainsi que le travail des bénévoles depuis une décennie, précise Raphaël BESANCENOT, un président heureux et fier de ses ouailles, elles mettent aussi en avant la réussite de nos partenariats et de nos collaborations. Ceci reste une étape ! ».

 

 

Un trophée qui fera l’objet d’une cérémonie officielle, assortie d’un cocktail des plus sympathiques, en présence des sportifs le mercredi 28 juin à 18h30 à DOMITYS rue des Montardoins à Auxerre.

Une fin de saison qui augure de belles prétentions et perspectives à l’aune de 2024 où le club reprend la formule olympique si caractéristique pour évoquer son avenir : « nous voulons voir plus haut, plus fort et plus loin ! ».

 

Thierry BRET

 

 


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Il est judicieux, parfois, d’aller à l’encontre de nos « a priori ». De ceux qui s’instillent au plus profond de nos neurones et qui en troublent totalement notre perception. Par exemple, dans le landerneau, le Centre d’Examens de Santé, sis au 25 Rue du Clos à Auxerre. Le fameux « CES » - rien à voir avec l’enseignement secondaire ! - dont on parle peu au final et qui pourtant nous concerne tous ! Ramification préventive de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM), ce lieu est ouvert à tous les publics, bien au-delà des seules personnes éloignées de la médecine…

 

AUXERRE : Il faut en avoir le cœur net ! Et franchir avec enthousiasme les portes de l’un de ces établissements, pourtant ouverts au grand public, afin de se forger sa propre opinion ! Tel est le point de départ du premier acte de ce chapitre « découverte » qui se rapporte à la visite du Centre d’Examens de Santé (CES) d’Auxerre. Un édifice, presque anodin dans sa configuration architecturale et à peine perceptible dans le paysage de la ville, situé à quelques encablures des locaux, entre autres, de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de l’Yonne (CPAM) qui en assure la gestion.

Nonobstant l’absence de qualité patrimoniale de la structure – ce n’est pas vraiment la vocation initiale de l’endroit ! -, ce site devrait être connu et fréquenté de tous, tant son rôle est prépondérant à l’amélioration de la qualité de vie de nos concitoyens, sur un volet qui leur est très cher : celui de la santé !

En mode préventif et diagnostic, essentiellement, avant de passer ensuite à la seconde étape de ce parcours de soin très utile menant aux thérapies.

 

 

Les plus vulnérables de notre société mais aussi les autres !

 

Le Centre d’Examens de Santé. Bien sûr, beaucoup en connaissent l’existence et d’autres l’ignorent. Mais, les « a priori » sont solides et bien ancrés dans les esprits car une large majorité de personnes interrogées alentour pour les besoins de cet article en ont encore une perception éloignée de la réalité.

Ainsi, le lieu serait réservé exclusivement de facto à celles et ceux qui sont les plus éloignés de la médecine, ces personnes en grande précarité et en souffrance, les oubliés de l’existence, les « perdus de vue » de la sphère professionnelle, les décrocheurs, les jeunes, les sans domicile fixe, les migrants, etc.

Bref, celles et ceux qui seraient les plus vulnérables de notre société, ayant des problèmes d’accès à leurs droits les plus élémentaires dont celui de se soigner,  celles et ceux qui sont en carence d’un suivi médical assuré par un médecin traitant dont ils n’intègrent plus la patientèle d’un cabinet par manque criant de praticiens sur notre territoire…

On ne peut rejeter comme l’eau du bain avec le bébé l’ensemble de ces arguments énoncés par les quidams, observateurs croisés au hasard de la rue. Bien sûr, le centre répond à des besoins de santé publique. En arguant comme axiomes prioritaires : la prévention et le dépistage. Mais, qu’on se le dise, cela s’adresse à tout le monde ! Ruraux comme urbains, jeunes et vieux, hommes, femmes et enfants ! C’est donc un élément prégnant de la chaîne sanitaire qui permet de veiller au grain en cas de crises importantes comme celles vécues lors du douloureux épisode de la COVID ou de la grippe.

 

Une immersion pour tester le parcours en qualité de patient…

 

Pour en savoir davantage sur ce qui se pratique réellement à l’intérieur de ce curieux bâtiment, érigé tout en longueur et posé là sur un petit promontoire surplombant un très utile parking afin d’y stationner son automobile, prise de rendez-vous et invitation à se rendre presque dès potron-minet à la porte d’entrée du complexe.

7h45 : c’est l’instant « t » un brin matinal pour s’annoncer à la personne, masque de protection sur le visage, qui officie à l’accueil. Vérification de la convocation et de l’identité, explication du programme (plutôt copieux !) du patient que je suis et  me voilà assis dans le hall d’entrée, avec pour obligation de remplir un questionnaire, inspiré par deux sommités scientifiques de l’université de Montréal, RICCI & GAGNON, se rapportant à une auto-évaluation de l’activité physique.

Suis-je inactif, actif ou très actif ? Une série d’une vingtaine de questions complétée sur le document plus tard, et je suis appelé par une sympathique assistante qui me précède dans une pièce pour un premier entretien où il est question de « Carte Vitale ». Il s’avère que je connais bien la personne que j’ai reconnu malgré le tissu bleu lui couvrant le nez et la bouche – les restes de la pandémie ! - puisqu’il s’agit de l’une de mes voisines !

Commence alors et pour environ trois bonnes heures qui s’égrènent à la vitesse grand « V », un périple sanitaire des plus étonnants, d’une salle d’auscultation à une autre, où l’ouïe, la vue, les dents, la motricité, le cœur – l’électrocardiogramme avec les diodes posées sur le corps -, nécessitent entretiens et inspections des professionnels de santé qui évoluent in situ, avec moult explications.

En guise de préambule, signalons pour celles et ceux que cela rebutent toujours un peu, la partie biologique avec la sempiternelle prise de sang à jeun. Par chance, l’infirmière (elles sont neuf à œuvrer au CES) a des doigts de fée, enfonçant la pointe de l’aiguille avec délicatesse ! Une opération utile afin de contrôler les taux de diabète, de cholestérol, les plaquettes, etc.

 

 

Si le CES n’existait pas, il faudrait l’inventer !

 

Toujours accompagné d’une jeune femme, souriante et sympathique qui oriente la patientèle (un petit groupe d’une vingtaine de personnes dans cette tranche horaire très matinale) vers l’un ou l’autre des différents ateliers médicaux selon leur disponibilité faisant office de parcours de soin, le visiteur suit ce protocole complet et réfléchi, en rencontrant au fur et à mesure de ce « chek-up » éclectique les différentes composantes de cette équipe pluridisciplinaire, rodée à ce schéma parfaitement huilé.

Evoquer l’équipe, c’est saluer le professionnalisme et la gentillesse des six médecins cliniciens, des neuf infirmières, de la personne gérant la partie administrative et logistique, des deux dentistes, de l’assistante dentaire, des quatre techniciennes de laboratoire et de l’aide-soignante. Ils sont aux petits soins pour toutes les personnes qui sont accueillies dans le centre auxerrois.

Avant l’ultime étape qui me conduira d’ici quelques instants dans le bureau du médecin clinicien,  responsable du CES, le docteur Said BROUCHE – c’est à lui de rendre le verdict et de compléter informatiquement votre dossier personnalisé-, c’est avec la psychologue – eh, oui, on peut même s’installer sur le divan pour exprimer en toute liberté et quiétude ce que l’on a sur le cœur dans ce lieu ! -, que je termine ce long cheminement sanitaire qu’il est impératif de fréquenter un jour ou l’autre, histoire de mieux évoquer les dépistages, parler des comportements à risque, connaître les pathologies, surveiller ses douleurs chroniques, renouer, enfin, des liens salvateurs et précieux avec la médecine pour celles et ceux qui en seraient trop éloignés.

Cerise sur le gâteau : une petite collation est même servie au beau milieu de ce parcours, afin d’humaniser davantage la relation particulière que vit la patientèle avec le monde médical en cet endroit qui, s’il n’existait pas, serait nécessaire d’inventer !

Dans le second volet de ce reportage, après cette mise en bouche découverte, place sera faite aux projets et à la stratégie de ce centre d’examens de santé avec l’équipe directionnelle de la CPAM de l’Yonne, un centre, promis à perdurer dans les mois et années à venir…

 

Thierry BRET

 


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Elle s’est exprimée avec beaucoup d’enthousiasme, Madame le maire de Chablis Marie-Josée VAILLANT. Normal, l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, vécue ce jeudi en milieu de matinée devant un joli parterre d’invités, la concerne au premier chef. Surtout au niveau du rayonnement touristique qui découlera de cette infrastructure, mêlant judicieusement l’accord du patrimoine ancien à celui plus récent qui devrait interpeller les visiteurs à l’avenir…

 

CHABLIS : « C’est une vraie valeur ajoutée ! ». Invitée à prendre la parole lors de la cérémonie protocolaire de l’inauguration de la Cité des Climats et Vins de Bourgogne, sise à Chablis – rappelons pour mémoire que le concept se décline en un triptyque très novateur pour la Bourgogne, tant à Beaune qu’à Mâcon -, Marie-Josée VAILLANT, successeur de Patrick GENDRAUD à la municipalité de Chablis, n’a pas modéré ses propos empreints de fierté de voir apparaître dans sa commune cette nouvelle pépite touristique consacrée à la vigne, au terroir et à ses produits, synonyme d’indéniable attractivité.

Un premier joyau, basé sur l’œnotourisme et sa promotion visuelle qui immanquablement devrait impacter à l’avenir la fréquentation du nombre de visiteurs dans la commune au nom universellement reconnu de par le monde.

« Faire rayonner le chablis et la Cité s’inscrit dorénavant parmi nos nouvelles priorités en matière de communication, devait ajouter l’édile sous les regards approbateurs des personnalités présentes à cet évènement, un rayonnement qui se traduira aussi par le développement économique de la localité… ».

Preuve à l’appui, l’élue de l’Yonne évoquera l’ouverture de nouveaux commerces sur son territoire communal, un fait « à l’opposé de bon nombres d’agglomérations qui constatent la perte de leurs vitrines de proximité ».

La Cité des Climats et Vins est un incontestable atout pour Chablis, reconnaît également la présidente de l’Office du tourisme Chablis Cure, Yonne et Tonnerrois. « On connaît tous la série « HPI », plaisante Marie-Josée VAILLANT, mais Chablis, c’est aussi une ville qui possède un haut potentiel touristique ! ».

 

 

Et comme un bonheur ne vient jamais seul – version cadeau de bienvenue à placer dans la corbeille de la mariée ! -, Marie-Josée VAILLANT devait annoncer que la communication de Chablis dédiée à son nouvel écrin touristique serait ciblée dès la première semaine de juillet dans le métro parisien. Plusieurs couloirs dudit mode de locomotion préféré des Parisiens (!) seront ainsi placardés d’affiches publicitaires vantant les mérites de la Bourgogne septentrionale, de ses vins et de ce nouvel espace qu’il est impérieux de visiter pour mieux en apprécier toutes les subtilités.

Une campagne de marketing basée sur le concept de « L’Yonne en Bourgogne » faisant halte dans différentes stations au doux nom d’Ancy-le-Franc, Tanlay, Chablis, etc. In fine, ce seront cinq affiches distinctes qui habilleront plusieurs couloirs du métro, formant ainsi une invitation sympathique à découvrir la « rame 89 » !

 

Thierry BRET

 

 


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