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Sujet brûlant que celui-ci ! Les retraites constituent le nœud gordien des politiques de tout poil ! Le principe même de notre système de retraite par répartition repose sur les actifs : ils payent les pensions des retraités. Soit aujourd’hui, 26,9 millions d’actifs et 2,8 millions de chômeurs. Largement insuffisant pour financer les 14 millions de retraités. En 2018, le déficit des retraites était de 2,9 milliards. Une somme plutôt faible au regard des 325 milliards versés. C’est l’avenir qui fait peur : de moins en moins de recettes, de plus en plus de retraités...

 

TRIBUNE : Paradoxalement, certaines mesures comme les réductions ou les exonérations de cotisations sociales, voire les coupes drastiques dans le nombre de fonctionnaires, vont contribuer à la diminution des recettes. Alors, souhaitez-vous des compléments de revenus ? Souscrivez à la retraite par la capitalisation nous affirment nos banquiers préférés !

Le principe est simple : le montant reçu n’est que la redistribution du capital placé. L’argent placé à long terme galope sur les marchés financiers (Bourse, autres produits dérivés…), ce qui est donc très risqué.

La rentabilité d’un placement est inversement proportionnelle au risque : un invariant depuis des siècles ! La retraite par capitalisation se définit ainsi dans la pratique : je touche ce que j’épargne (éventuellement).

Ce type de retraite repose sur deux critères importants : le montant épargné et le taux de rendement dudit placement. La rentabilité devant assurer le maintien du pouvoir d’achat des sommes versées.

Aujourd’hui avec des rendements à taux zéro, plus de revalorisation du capital épargné ! Avec la baisse historique des taux, le système explose.

Certains dépôts de particuliers sont taxés par les banques : la Banque Centrale Européenne (BCE) offre des taux négatifs. Quand on épargne, on paye des intérêts…

 

La retraite par capitalisation : un risque individuel absolu. 

 

La retraite par répartition repose sur une solidarité intergénérationnelle. L’autre paradoxe de la capitalisation est de ressembler à la répartition sur le plan de la disponibilité. Lorsque nous demandons à toucher la rente du placement, il faut que l’organisme de placement détienne les liquidités pour débloquer les fonds demandés.

Si ce n’est pas le cas, la disponibilité sera assurée par les nouveaux souscripteurs ! Comme « Canada Dry », ça ressemble à la répartition mais ce n’est  pas de la répartition !

L’illusion de la capitalisation, c’est de croire que notre épargne aujourd’hui, sera capable d’ici quinze ou vingt ans, de garantir les règlements réclamés et capables de maintenir le pouvoir d’achat, compte tenu de l’inflation !

Du même niveau de croyance que la petite souris, le Père Noël et les œufs de Pâques !

Je préfère encore le « Pari de Pascal » ! Mieux encore : le livret A et les autres livrets d’épargne (comme le LEP à 1 %) : ils sont sûrs et disponibles.

Aujourd’hui, pour les plus jeunes, préparer sa retraite, c’est d’abord faire un prêt pour être propriétaire de sa résidence principale. Economiquement, faire du crédit ou épargner, c’est la même chose.

N’oublier pas la maxime suivante : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre ! ». VOLTAIRE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’apaisement. Ce mot si simple à prononcer et vertueux dans sa signification est devenu un véritable leitmotiv dans sa bouche. Il s’insère très souvent dans l’entretien que le vieux sage de la politique nous a accordé. Robert BIDEAU se refuse à entretenir de quelconques polémiques qui seraient discordantes et néfastes aux intérêts de sa commune de prédilection. Coupant court derechef aux tensions actuelles qui auraient pu encore subsister…

MONETEAU : A 78 ans, l’édile de MONETEAU ne se succèdera pas à lui-même. C’est désormais une évidence. Un choix dûment mûri dont il avait déjà esquissé les contours approximatifs lors de la cérémonie des vœux de janvier 2019. Pour autant, cela ne signifiait le retrait sine die de cet exégète de la politique icaunaise.

Le Conseiller départemental a décidé de soutenir, en figurant à ses côtés, l’une de ses adjointes qui a concocté sa propre liste dans la course des prochaines échéances électorales : Arminda GUIBLAIN…Une décision qui n’a pas été prise à l’emporte-pièce. « Il était temps de passer la main… confie l’élu après quatre mandats de maire.

Plusieurs prétendants devaient par la suite s’engouffrer dans la brèche. Dont la quatrième adjointe aux affaires sociales qui a trouvé grâce par la qualité de son travail aux yeux du maire actuel. Dont également Patrick PICARD, le premier adjoint de la mandature, qui est depuis démissionnaire de sa fonction (voir notre précédent article à ce propos).

 

Pas de systématisation autour de la candidature d’un premier-adjoint…

 

C’est à partir de là que les choses se sont quelque peu gâtées dans la paisible bourgade de la périphérie auxerroise. Arguant de la théorie suivante, c’est-à-dire qu’il revenait à un premier adjoint de pouvoir légitimement se positionner un jour ou l’autre comme le candidat à la stature naturelle au poste de futur maire, Patrick PICARD, suivi par une dizaine d’élus du conseil municipal, acta sa candidature officielle. Faisant de facto dissidence avec la ligne stratégique voulue par Robert BIDEAU qui a placé tous ses espoirs en sa nouvelle égérie, Arminda GUIBLAIN.

Mais, tenir le rôle de premier adjoint avec plus ou moins de brio ne donne pas systématiquement tous les droits selon Robert BIDEAU. Ce dernier est catégorique à ce sujet : « Je ne peux pas soutenir quelqu’un, même s’il a occupé cette fonction, à la tête d’une liste municipale parce que justement il a été premier adjoint de la commune… ».

D’autant que pour corroborer ses dires, la majorité du conseil municipal a accordé son blanc-seing à l’élue en charge des affaires sociales pour que cette dernière endosse la vêture officielle de leader de la future liste des municipales, du côté de la majorité.

Un désaveu, certes, pour l’outsider Patrick PICARD, qui a parlé ouvertement de trahison malgré les années d’amitié qui le lient avec le vice-président du Département.

 

L’amitié n’est pas à remettre en cause…

 

Alors, quel est l’état des lieux précis des relations personnelles entre ces deux stratèges de la vie municipale quotidienne ?

Réponse sans ambages de Robert BIDEAU : « Nous nous sommes encore serrés la main ce matin dans les couloirs de la mairie, plaisante-t-il, il ne faut pas tout confondre et mélanger : l’amitié n’a rien à voir avec des orientations imputables à des choix déontologiques… ».

D’ailleurs, ajoute-t-il un brin goguenard, tout cela se résoudra via les électeurs dans les urnes !

Mais, reprenant son sérieux, Robert BIDEAU stipule que son choix de soutenir tel candidat au détriment d’un autre s’est fait sur la personne qui possédait, selon son intime conviction, « les meilleures capacités intellectuelles à pouvoir diriger la destinée de la commune ».

Puis, il confirme qu’il aurait aimé qu’il y ait une entente entre Arminda GUIBLAIN et Patrick PICARD afin de ne pas envenimer les choses.

Détestant les conflits, Robert BIDEAU souhaite enfin que les tensions s’atténuent et laissent la place à une campagne qui se fasse dans un bon état d’esprit.

Lui qui briguera sans aucun doute un nouveau mandat aux Départementales de 2021 aux côtés de son fidèle binôme, Malikha OUNES, laissera un bilan positif à la future équipe.

Les projets de développement sont multiples. Quant à l’endettement, il a été maîtrisé durant toutes ces années de mandature. Tout le monde ne peut pas en dire autant sur l’Auxerrois !

 

 

 


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On ne pouvait rêver de meilleur invité pour discuter de ce véritable sujet de société lundi soir à la Halle aux Grains à Toucy. Spécialiste des questions sanitaires à l’Assemblée nationale, le parlementaire Les Républicains Jean-Carles GRELIER, député de la Sarthe, effectuera le déplacement en Puisaye à l’invitation e son homologue de la première circonscription de l’Yonne, Guillaume LARRIVE. En saura-t-on davantage sur l’avenir de la santé dans nos territoires ?

TOUCY : L’ouvrage a fleuri il y a quelques jours parmi les meilleures librairies de l’Hexagone. Gageons que ce « Plaidoyer pour l’avenir de la santé », publié aux éditions du Rocher, captera l’intérêt de celles et ceux qui sont préoccupés de près ou de loin par l’évolution des soins dans notre pays.

Elu de la Sarthe, Jean-Carles GRELIER participera à une table ronde ce lundi 03 février en Puisaye dans le cadre des rencontres intellectuelles concoctées par les Ateliers de l’Yonne, laboratoire d’échanges ouvert aux élus du territoire à l’initiative de Guillaume LARRIVE, le parlementaire LR de la première circonscription.

Membre de la Commission des affaires sociales, l’intervenant du soir en provenance de Paris aura eu le temps d’analyser avant sa prise de parole l’état des lieux de la pratique des soins sur la contrée nord-bourguignonne.

Une table ronde territoriale précèdera en effet son intervention. Y participeront Pascal GOUIN, directeur du centre hospitalier d’Auxerre, Patrick BUTTNER, vice-président de la Communauté de communes de PUISAYE-FORTERRE en charge des questions de santé et le docteur Bernard CHARDON, conseiller pour la santé du président du Département, Patrick GENDRAUD.

Ce dernier, présent à cette conférence débat, donnera son ressenti personnel dans une phase introductive aux côtés de Guillaume LARRIVE, maître de cérémonie de ce concept trimestriel qui avait offert lors de la précédente session une conférence passionnante autour de la transition écologique avec Julien AUBERT.

 

 

 

 


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L’exercice d’une prise de parole de cette nature est taillé sur mesure. Pour délivrer des messages forts et percutants qui doivent marquer les esprits d’une assistance à l’écoute du moindre indicateur potentiel. Une sorte de traceur indélébile de ce que pourrait être la conjoncture liée à la nouvelle année débutante et ses perspectives. Et à ce jeu-là, celui qui fut le plus prolixe pour venir s’exprimer à la tribune de la Maison de l’Entreprise lors de la traditionnelle cérémonie des vœux du monde de l’industrie n’était autre que Jean-Dominique DAGREGORIO. Le nouvel homme-lige, patron de la société NOGUES, à la cause indéfectible de l’UIMM et à la défense de ses valeurs. Compte rendu… 

AUXERRE : Bien sûr, il y avait en vedette américaine de ce premier rendez-vous annuel propre à la sphère patronale et économique le philosophe, politologue et essayiste Luc FERRY, ex-ministre de l’Education nationale. Promis à un grand succès d’audience (ce qui se confirmera par la suite) tant le personnage décline son propos avec le verbe facile, une aisance naturelle dès qu’il se place devant un micro et une méthode analytique passionnante et étayée, ponctuée d’un sens de l’humour à tenir en éveil le spectateur même le plus assoupi !

Bien sûr, il y eut l’intervention protocolaire du nouveau préfet de l’Yonne, fraîchement émoulu sur notre territoire, Henri PREVOST, qui petit à petit et à force de contacts officiels répétitifs grâce aux cérémonies de vœux commence à se constituer le réseau idoine et nécessaire dans l’optique de pouvoir gérer de manière optimale ses futurs dossiers.

Il y eut même une courte mais dynamique intervention d’un Guillaume LARRIVE au meilleur de sa forme dans l’entre-deux de la soirée. Le député de la circonscription ne pouvait manquer une telle opportunité de prendre la parole devant un parterre, aussi dense et représentatif de l’entrepreneuriat local, histoire là-aussi de marquer les esprits.

 

 

 

Avec en prime, un petit tacle adressé à la municipalité auxerroise qui selon ses dires n’a toujours pas su prendre la réelle mesure de l’électrification de la ligne ferroviaire reliant la capitale de l’Yonne à la halte obligée de Laroche-Migennes !

Bien sûr, il y aura nécessairement la prise en main de cette soirée concoctée devant un amphithéâtre plein comme un œuf (Luc FERRY n’était pas revenu en de telles circonstances dans l’Yonne depuis 2011) par Claude VAUCOULOUX. On l’a déjà dit et écrit mais le délégué général de la Maison de l’Entreprise, du MEDEF et de l’UIMM, possède une faconde particulière dans sa manière à animer ce type d’évènementiel. Toujours avec élégance, minutie et tact, mettant à l’aise ses interlocuteurs en sachant maîtriser le temps.

Bref, si un jour, il doit se reconvertir, Claude VAUCOULOUX n’aurait aucun mal à faire carrière dans cette approche physique et visuelle de la communication orale, un exercice qui lui sied à ravir !

 

 

 

 

Le recrutement : le mouton noir de l’actualité économique icaunaise…

 

Si Etienne CANO, président du MEDEF départemental, écourta son intervention, préférant laisser aux branches professionnelles le soin de pouvoir s’exprimer, Xavier PAPIN et Jean-Dominique DAGREGORIO usèrent davantage d’arguments oratoires pour présenter le bilan de la saison écoulée et les perspectives de leurs secteurs respectifs d’activité.

L’un, le premier, en sa qualité de président de la puissante Fédération départementale du Bâtiment. Le second, et c’était sa grande première en qualité d’orateur officiel – il a succédé à André BEX à ce poste en juin dernier – réalisa un baptême du feu de belle facture dans cette salle à la contenance de près de 300 places.

Pour Xavier PAPIN, l’exercice lui aura servi de répétition. Quelques jours avant l’organisation d’une cérémonie similaire qui sera donnée dans les locaux de la fédération rue de l’Ocrerie.

 

 

Mettant l’accent sur la fragilité des entreprises et la faiblesse de leurs marges avec de surcroît des trésoreries difficiles, le président de la FFB ne put cacher son désarroi face à la situation symptomatique de l’Yonne où un tiers des logements n’a pas été mis en chantier par rapport à l’exercice antérieur.

« Il serait grand temps, lâcha-t-il, péremptoire, que les donneurs d’ordre prennent enfin conscience qu’il est nécessaire de faire travailler les locaux s’ils veulent soutenir le développement de l’économie dans l’Yonne… ».

Un pavé dans la mare qui espérons-le fera quelque peu bouger les lignes dans un avenir proche.

 

 

A quand l’entente parfaite autour du programme « Territoire d’Industrie » ?

 

Quant à Jean-Dominique DAGREGORIO, il déplora tout de go le manque de solutions à court terme à apporter sur l’un des sujets les plus récurrents et alarmistes qui préoccupent les chefs d’entreprise aujourd’hui : celui du recrutement. Nous y reviendrons dans le détail par ailleurs en développant son intervention.

Il salua également le concept « GISAéro », rassemblant des entreprises de la région ayant comme dénominateur commun la filière aéronautique. Une vraie réussite, à ses yeux, à poursuivre sans renâcler.

Le dirigeant de NOGUES eut un mot de conclusion dur mais tellement réaliste sur la convention « Territoire d’industrie », programme de développement initié l’année dernière sous la tutelle de l’Etat et de la Région qui n’a pas encore reçu d’écho favorable dans l’Yonne.

 

 

Ce texte indispensable pour être éligible aux financements facilitant le développement économique territorial n’a toujours pas reçu l’onction nécessaire des forces vives de notre territoire !

Rageur dans ses arguments, le président de l’UIMM a invité les élus du département à oublier « leurs notes discordantes à deux sous » afin de s’entendre et rendre désormais plus attractive une zone géographique en déshérence qui en a grand besoin. L’année 2020 peut désormais débuter avec cet espoir…

 

 


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Idéalement, le concept devrait être opérationnel dès les premiers jours de septembre. Logique, car il faudra alors répondre avec célérité aux attentes et besoins de celles et ceux qui travaillent au quotidien dans la zone artisanale et industrielle la plus développée du Sénonais. Eriger une crèche au beau milieu d’une zone d’activité économique ne semble donc pas utopique en soi. Le projet, encouragé par l’Agglomération et les acteurs institutionnels qui agissent dans le secteur de la petite enfance, nécessitera un investissement d’un million d’euros. Et, il va sans dire, il sera créateur d’emplois…

SENS : Son sourire illumine son visage. Il traduit un optimisme rayonnant qui fait plaisir à voir. Celui d’une jeune femme de 36 ans, farouchement déterminée à atteindre ses objectifs professionnels.

Heureuse d’apporter un service concret qui résout l’épineuse problématique de la garde d’enfants lorsque les parents actifs travaillent, Christina NGOUMBI ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

A peine la crèche « COPAINS CABANA », sortie de terre il y a peu à Paron, que déjà elle se projette sur la seconde phase évolutive de sa société, une SAS, qu’elle pilote à la perfection.

La Sénonaise sait parfaitement ce qu’elle veut. Et aujourd’hui, son regard et ses choix stratégiques se tournent vers la zone industrielle sise en bordure est de Sens : celle des VAUGUILLETTES.   

Si tout se passe pour le mieux, septembre coïncidera avec l’ouverture du deuxième établissement qui accueillera les bambins des actifs s’affairant chaque jour dans les entreprises de ce secteur géographique.

Une opportunité que ne pouvait qu’encourager les stratèges du développement économique locaux. Demain, la zone se muera en zone d’activités d’intérêt régional (ZAIR) dans le cadre du programme « Territoire d’Industrie », auquel le Grand-Sénonais a décidé d’adhérer.

 

Le plébiscite des acteurs économiques et institutionnels…

 

Et pour faciliter l’accueil de nouvelles entreprises et forces vives sur la zone septentrionale de notre département, nul n’est besoin d’être un prophète en son pays pour considérer que l’apport de services spécifiques supplémentaires sera du pain béni pour accroître l’attractivité d’un secteur et faire la différence vis-à-vis d’autres contrées de l’Hexagone.

Or, parmi les projets d’extension de qualité auxquels les décideurs politiques, institutionnels et économiques croient dur comme fer, la prolifération de services communs intègre ces priorités. Dont la présence de crèches à proximité des structures entrepreneuriales !

Or, c’est peu dire que le concept déjà fonctionnel de Christina NGOUMBI (entrepreneuse soutenue par le réseau Entreprendre Bourgogne-elle en a été lauréate officielle- et l’accompagnateur INITIACTIVE 89 qui lui a consenti un prêt d’honneur) sur la localité voisine de Paron, interpelle en haut lieu.

Validé par la Communauté d’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens, le dossier est désormais en bonne voie de concrétisation.

D’autant que le Conseil départemental et la Caisse d’allocations familiales (CAF) pourvoiront à son développement. Même si la société porteuse est sous statut privé.

 

Les entretiens d’embauche débuteront en mars…

 

Dans l’absolu, le second élément à ajouter au futur triptyque de ce programme ambitieux (on sait déjà qu’un troisième établissement verra le jour au nord de Sens un peu plus tard) créera de nouvelles embauches.

Des salariés au profil professionnel, certes classique pour exercer dans cette filière mais ô combien nécessaire à l’essor de l’entreprise : auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, titulaires de CAP petite enfance…

Déjà, les candidatures affluent sur le bureau de Christina. Les premiers entretiens s’effectueront courant mars.

Avant que n’ouvre la nouvelle structure, la jeune dirigeante aura pris soin de multiplier les contacts avec les services DRH des entreprises de cette zone, bien pourvue, mais aussi ceux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Rappelons que l’institution occupe une position éminemment stratégique avec son Village d’entreprises.

Une vingtaine de berceaux devraient être mis ainsi à la disposition des parents d’une soixantaine de familles dès cet automne. Un plus indéniable pour optimiser la gestion du quotidien et le rendre plus facile pour les parents…   

 

Un article réalisé en partenariat avec l’Agglomération du Grand-Sénonais, la Ville de Sens et INITIACTIVE 89.

 

 

 

 


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