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Le Crédit agricole de Champagne-Bourgogne accueillait 268 398 sociétaires en son sein au 31 décembre 2019. Des chiffres qui donneraient le tournis à bon nombre d’entreprises en quête d’un portefeuille solide à exploiter ! Quoi qu’il en soit, la Banque verte entame en ce mois de février un long cycle de rendez-vous incontournables, ses assemblées générales de caisses locales qui prendront leurs termes le 18 mars…

 

DIJON: Prendre le pouls des sociétaires tout en leur présentant bilans et perspectives. Voilà en une phrase résumée les objectifs de ces séances plénières obligatoires qui sont imposées par les statuts de cette banque coopérative régionale. Ces réunions s’égrèneront au cours de ces prochaines semaines sur le double territoire de Champagne et de Bourgogne.

Au total, ce sont 85 assemblées générales de caisses locales qui seront ainsi programmées sur les quatre départements formant la caisse régionale de notre territoire : Aube, Côte d’Or, Haute-Marne et Yonne.

On estime à plus de 13 000 sociétaires qui y participent. Ce qui est loin d’être négligeable en matière de logistique et de sécurité.

Bref, ces moments riches en rencontres et échanges directs entre les élus, les administrateurs et les dirigeants du groupe prennent ici toutes leurs dimensions.

 

 

 

D’autant qu’elles permettent d’élire les administrateurs de chaque entité locale, d’apporter un éclairage pertinent sur la réalité économique du secteur couvert géographiquement, et de pouvoir mieux appréhender les rouages opérationnels d’une banque en perpétuelle croissance.

Précisons que bon nombre d’initiatives locales sont également valorisées à travers les projets soutenus par la Fondation Agir en Champagne-Bourgogne.

Quant à la mère de toutes les assemblées, celle qui est régionale, elle se déroulera le 24 mars au Palais des Congrès de Dijon où plus de six cents personnes sont d’ores et déjà attendues !

Retrouvez toutes les dates des assemblées générales 2020 sur : http://bit.ly/ag-cacb

 

 


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C’est le 23 avril prochain que seront décernés à Lons-le-Saunier les prix régionaux du challenge « Initiatives Associations », porté chaque année par la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté. Mais, pour y parvenir, il fallait obligatoirement franchir le cap sélectif de la phase départementale ; celle-ci a eu lieu récemment à Auxerre…

AUXERRE : Ils étaient 23 dossiers de candidature à se présenter sur la ligne de départ de ce PIA 2020, le fameux « Prix Initiatives Associations ».

Du disparate et de l’éclectique, à coup sûr parmi ces challengers potentiels qui n’avaient qu’un seul et unique objectif pour celles et ceux de leurs responsables à les avoir inscrit : remporter la mise !

C’est-à-dire la précieuse obole de mille euros offerte par la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, instigatrice de ce concours. Celui-ci a pour vocation chaque année de désigner la structure associative la plus méritante selon des critères précis.

S’adressant à des entités impliquées dans l’un des six domaines suivants (culture, environnement, patrimoine, solidarité, sport amateur et éducation), le challenge national qui se répercute parmi les caisses régionales de l’établissement financier permet de mettre en lumière une association qui se distingue dans l’un de ses projets.

Ce sont in fine 18 lauréats départementaux qui bénéficient de ces récompenses et du coup de projecteur médiatique apporté à leur projet.

Dans l’Yonne, Bouchons 89 et REPAIR CAFE Auxerre ont eu les faveurs d’un jury composé d’acteurs institutionnels et économiques de notre territoire.

 


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Le Fonds de dotation de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté sait se montrer généreux envers les structures associatives qui favorisent l’insertion sociale à travers l’emploi. La preuve ? Il vient de remettre à l’association SITAPHY une jolie somme de 3 000 euros nécessaire à l’aménagement de ses locaux. Objectif : créer un espace de douze mètres carrés pour accueillir la production spécifique d’arbalètes et d’épées en bois…

AUXERRE : Parfaire l’accessibilité des locaux pour que ceux-ci puissent accueillir de manière optimale les personnes en situation de handicap répondait en fait à cette action solidaire, déclinée par l’établissement financier.

En construisant, un nouvel atelier, pourvu du mobilier et de matériaux de construction adéquats, la Fondation de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté a su faire des heureux, lors de la remise de cette précieuse obole.

D’une valeur de trois mille euros, le fac-similé du chèque a été remis par Catherine MARTIN, directrice des relations institutionnelles en charge de la RSE au siège dijonnais de la banque.

Elle était entourée pour accomplir ce geste altruiste par la présidente de la SLE (Société locale d’épargne) d’Auxerre, Estelle DULION (une entrepreneuse bien connue dans le sérail de l’artisanat de l’Yonne) et de Bénédicte POTHIER, responsable de l’animation crédit et RSE sur le bassin de l’Auxerrois.

 

 

Des valeurs philanthropiques au service de l’insertion professionnelle…

 

Deux personnes devraient être affectées dans ce nouvel atelier. Il facilitera la conception des fameuses pièces de bois, ces jouets qui ont fait la renommée de SITAPHY depuis sa création en octobre 2001.

Présidée par Gérard MAITRE, et dirigée par Jean-Pierre THIBAULT, l’association allie synergie d’insertion et formation des travailleurs handicapés. Ces derniers participent à cette aventure professionnelle intéressante en bénéficiant de contrat à durée déterminée de douze mois. Ils contribuent ainsi à la fabrication de 33 000 produits à l’année.

 

 

Quant au Fonds de dotation du réseau bancaire, il rayonne sur les huit départements que compte la Bourgogne Franche-Comté. Ses valeurs philanthropiques permettent de soutenir des initiatives d’intérêt général.

Depuis le 24 avril 2018, date à laquelle il a été créé, cet organe propre à la Caisse d’Epargne régionale a pour objectif de lutter contre toute forme d’exclusion grâce au financement de projets solidaires portés par les acteurs du tissu associatif local.

Précisons que la thématique retenue lors du premier appel à projets concernait précisément le handicap et l’aide apportée aux aidants…

 

 

 


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Penser l’économie et partager les richesses ne sont pas des idées nouvelles. D’abord, en Mésopotamie vers 4000 avant JC. Puis, avec le Code d’Hammourabi (1700 av JC). Enfin, en Inde, grâce au Chânakya (340 av JC). Ces principes abordent la répartition des richesses et parlent du bien-être (précurseur du B.N.B., le Bonheur national brut). A travers l’histoire, n’oublions pas aussi les dogmes religieux et philosophiques : Ancien et Nouveau Testament, le Coran, Xénophon et Aristote, Pline l’Ancien, Marx, Keynes, Friedman…L’argent et sa répartition, le patrimoine, le travail, la production : ce sont autant d’éléments qui focalisent l’attention des responsables des états depuis les toutes premières civilisations…

 

TRIBUNE : Aujourd’hui, la répartition des richesses et les inégalités sociales conduisent aux discussions et autres revendications. La stratégie économique et financière des états en dépend. Des chiffres qui sont proprement vertigineux : 83 % du patrimoine mondial est détenu par 8,4 % de la population. Tandis que les 1 % des plus fortunés contrôlent 46 % dudit patrimoine…

Pour la France, la fortune de Bernard ARNAULT (101 milliards de dollars US) pourrait financer deux fois le déficit de la Sécurité sociale. 10 % des plus riches détiennent 50 % du patrimoine de l’Hexagone…

Ces chiffres étonnants soulignent les inégalités dans le monde, sans aucune volonté de stigmatiser les plus riches !

La richesse créée et  à partager se définit via le fameux P.I.B. (Produit intérieur brut, généré par les agents économiques). Chaque activité (sociétés, commerçants, artisans…) rédige tous les ans une déclaration fiscale. Le but de la comptabilité en France est de calculer le montant de l’impôt à payer. Entre le chiffre d’affaires déclaré et le bénéfice imposable, on met en valeur quelques soldes intermédiaires de gestion.

Le plus important de tous demeure incontestablement la valeur ajoutée. La somme de ces valeurs ajoutées équivaut au P.I.B. Celle-ci correspond au total de la production vendue – le total des consommations (matières premières consommées, achats marchandises…).

Ensuite, vient la répartition de la valeur ajoutée. Qui « profite » de cette dernière et qui la finance ? Qui en réclame le plus ? Il s’agit d’un rapport de force pour déterminer ce qui est le plus important !

 

L’implacable règle de l’euro investi et de l’euro gagné…

 

La suite de la liasse fiscale nous éclaire sur la répartition. Les salariés déclarent que sans eux, l’entreprise n’existe pas (salaires, charges sociales, formations, participations…).

Quant aux actionnaires (dividendes versés), ils justifient leur rémunération : sans le capital qu’ils investissent, il n’y a pas d’entreprise ! L’Etat (impôts) édicte ses règles. Les banques, quant à elles, pratiquent les agios, les intérêts d’emprunts. Parfois, les investissements sont impossibles si elles ne suivent pas.

Enfin, du côté de l’entreprise, il y a la part des bénéfices non distribués, les dotations aux amortissements et les provisions : sans une structure juridico-sociale à la clé, l’activité n’est pas envisageable.

Le débat reste toujours ouvert : il n’est d’ailleurs pas prêt de se refermer.  Aujourd’hui, la priorité est donnée aux actionnaires.

Dans certains modèles de calculs,  le taux de croissance des dividendes futurs est réputé constant sur un horizon infini. De plus, afin d’encourager les actionnaires, le délai de retour sur investissement (pay-back) court sur une période de douze mois.

Lorsque l’entreprise investit un euro, elle doit gagner un euro (plus le coût du financement !) au bout d’un an. Avec des taux d’emprunts très bas, le coût bancaire du financement des investissements devient moins coûteux que le taux du dividende versé : c’est à méditer !

Entre alors en ligne de compte, les arbitrages. Coût du capital et coût de la banque. Les salariés attendent alors une hypothétique augmentation de salaire. Les plus pauvres cherchent un abri et les consultants modélisent la répartition des richesses.

Alors à quand, l’instauration du Bonheur national brut ? « La richesse n’est pas la quantité d’argent mais la façon dont on l’utilise… ». Comme l’a si bien écrit l’auteur brésilien Paulo COELHO.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Sujet brûlant que celui-ci ! Les retraites constituent le nœud gordien des politiques de tout poil ! Le principe même de notre système de retraite par répartition repose sur les actifs : ils payent les pensions des retraités. Soit aujourd’hui, 26,9 millions d’actifs et 2,8 millions de chômeurs. Largement insuffisant pour financer les 14 millions de retraités. En 2018, le déficit des retraites était de 2,9 milliards. Une somme plutôt faible au regard des 325 milliards versés. C’est l’avenir qui fait peur : de moins en moins de recettes, de plus en plus de retraités...

 

TRIBUNE : Paradoxalement, certaines mesures comme les réductions ou les exonérations de cotisations sociales, voire les coupes drastiques dans le nombre de fonctionnaires, vont contribuer à la diminution des recettes. Alors, souhaitez-vous des compléments de revenus ? Souscrivez à la retraite par la capitalisation nous affirment nos banquiers préférés !

Le principe est simple : le montant reçu n’est que la redistribution du capital placé. L’argent placé à long terme galope sur les marchés financiers (Bourse, autres produits dérivés…), ce qui est donc très risqué.

La rentabilité d’un placement est inversement proportionnelle au risque : un invariant depuis des siècles ! La retraite par capitalisation se définit ainsi dans la pratique : je touche ce que j’épargne (éventuellement).

Ce type de retraite repose sur deux critères importants : le montant épargné et le taux de rendement dudit placement. La rentabilité devant assurer le maintien du pouvoir d’achat des sommes versées.

Aujourd’hui avec des rendements à taux zéro, plus de revalorisation du capital épargné ! Avec la baisse historique des taux, le système explose.

Certains dépôts de particuliers sont taxés par les banques : la Banque Centrale Européenne (BCE) offre des taux négatifs. Quand on épargne, on paye des intérêts…

 

La retraite par capitalisation : un risque individuel absolu. 

 

La retraite par répartition repose sur une solidarité intergénérationnelle. L’autre paradoxe de la capitalisation est de ressembler à la répartition sur le plan de la disponibilité. Lorsque nous demandons à toucher la rente du placement, il faut que l’organisme de placement détienne les liquidités pour débloquer les fonds demandés.

Si ce n’est pas le cas, la disponibilité sera assurée par les nouveaux souscripteurs ! Comme « Canada Dry », ça ressemble à la répartition mais ce n’est  pas de la répartition !

L’illusion de la capitalisation, c’est de croire que notre épargne aujourd’hui, sera capable d’ici quinze ou vingt ans, de garantir les règlements réclamés et capables de maintenir le pouvoir d’achat, compte tenu de l’inflation !

Du même niveau de croyance que la petite souris, le Père Noël et les œufs de Pâques !

Je préfère encore le « Pari de Pascal » ! Mieux encore : le livret A et les autres livrets d’épargne (comme le LEP à 1 %) : ils sont sûrs et disponibles.

Aujourd’hui, pour les plus jeunes, préparer sa retraite, c’est d’abord faire un prêt pour être propriétaire de sa résidence principale. Economiquement, faire du crédit ou épargner, c’est la même chose.

N’oublier pas la maxime suivante : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre ! ». VOLTAIRE.

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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