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Déclinant un cycle de trois conférences dispensées à l’échelle du territoire régional, les exégètes du cabinet d’experts-comptables de Bourgogne Franche-Comté ont pris soin d’expliciter avec moult détails les multiples facettes de ce nouveau dispositif applicable au 01er janvier 2019. Face à eux, invités dans les salons du Mercure Auxerre Nord, étaient présents des dirigeants d’entreprises et des cadres administratifs soucieux d’en percevoir toutes les aspérités techniques avant que ne survienne la date fatidique…

APPOIGNY : Prévu par la dernière loi de finances, le prélèvement à la source des revenus sera mis en application en France dès le premier janvier prochain. Soit dans un delta temporel de quelques jours à peine, pour les irréductibles réfractaires au changement !

Et celui-ci sera de taille. Du côté des salariés qui disposeront d’une perception plus en phase avec la réalité économique sur le plan de leurs émoluments professionnels. Mais aussi, auprès des entreprises et de leurs services ad hoc qui assument la gestion des paies et des ressources humaines.

Bref, ce charivari administratif de poids inquiète déjà bon nombre de structures entrepreneuriales n’ayant pas fait preuve de beaucoup d’anticipation avant l’avènement du jour J !

L’initiative du cabinet d’expertise comptable s’avérait donc judicieuse à plus d’un titre. Structure certifiée Qualité Iso 9001 depuis plus de douze ans, CAPEC possède en ce sens une solide expérience de l’approche juridique et fiscale de l’entreprise.

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L’éclairage pertinent de trois professionnels maîtrisant leur sujet

Créé en 1957, le cabinet dijonnais (il externe son influence aujourd’hui sur les huit départements que compte la Bourgogne Franche-Comté) a su diversifier ses activités dans la réalisation d’audits et de préconisations de conseils.  

C’est dans ce cadre précis que trois de ses spécialistes animaient cette session conférence accueillie dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel Mercure Auxerre Nord.  

Figurant parmi les tous premiers cabinets indépendants à l’être au niveau national, CAPEC se prépare depuis plusieurs mois à cette étape qualifiée de fondamentale dans la perception de l’impôt en France. Le désir de concocter des conférences départementales s’est vite imposé afin de rendre claire et limpide l’information, sous une forme participative, fluide et intelligente.

Aidant à mieux comprendre les arcanes techniques de ce nouveau dispositif, Karine BON, responsable de la filiale CAPEC RH, Yves PATHIAUX, conseiller auprès des entreprises CAPEC et Thomas CHARBONNIER, expert-comptable stagiaire CAPEC, ont fait preuve de pédagogie pour transmettre les informations capitales sur ce sujet qui l’est tout autant.

Apportant leur éclairage pertinent, à partir d’exemples concrets, les spécialistes de CAPEC ont évoqué le rôle de l’employeur, celui du salarié, de l’administration fiscale, au centre de ce nœud gordien, et surtout de la mise en œuvre pratico-pratique de ce fameux prélèvement à la source dont on parle tant. Sans omettre de réaliser un focus distinctif sur l’année blanche…qui ne l’est pas tant que cela in fine !

 

 


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Alors que l’antépénultième projet d’électrification de la ligne ferroviaire reliant Auxerre à Laroche-Migennes avait été validé de longue date par l’ensemble des acteurs de la classe politique régionale, la récente décision de la Région d’en abandonner son principe a abasourdi les représentants de l’Union de la Droite et du Centre de Bourgogne Franche-Comté, opposé unanimement à ce refus. Quant aux élus de l’Union pour l’Auxerrois (UPA), ils se disent profondément scandalisés par l’anéantissement de ce projet prioritaire aux conséquences importantes pour le développement économique du territoire…

AUXERRE : « C’est absolument inacceptable pour l’Auxerrois : la décision de ne pas donner suite à l’électrification de ce tronçon ferroviaire qui relie sur une vingtaine de kilomètres la capitale du département à la gare de Laroche-Migennes représente une véritable hérésie. Nous ne pouvons pas l’admettre… ».

Se sentant groggy, voire K.O. debout, trois des élus de l’Union pour l’Auxerrois (UPA), l’opposition à l’actuelle majorité de la municipalité, ne comprennent pas le rejet de ce projet, « pour le moins surprenant ».

Elisabeth BILLEBAULT, Michèle BOURHIS et Jean-Pierre BOSQUET essaient tant bien que mal d’assimiler cette décision irrévocable. Nonobstant, elle leur reste en travers de la gorge. Avec un désagréable goût d’amertume bien ancré au fond du palais.

« Ce projet structurant et indispensable pour apporter une dynamique supplémentaire au bassin économique de l’Auxerrois a été abandonné sans aucune compensation, explique Jean-Pierre BOSQUET, porte-voix de ce trio d’élus qui se sent lésé par cette décision arbitraire, alors qu’au même moment, la Communauté d’agglomération de l’Auxerrois engage 35 millions d’euros d’investissement dans la zone d’activité d’Appoigny. Paradoxe : une enveloppe de 36,2 millions d’euros était affectée à la conceptualisation de ce projet ! Comment peut-on décemment remplir cette future zone d’activité sans mettre à la disposition des investisseurs et des dirigeants d’entreprises une ligne électrifiée fluide, rapide et sans interruption à Laroche ? ».

Les trains à hydrogène : une solution encore hypothétique…

S’insurgeant contre l’absence de concertation de la part des élus de la majorité auxerroise, Jean-Pierre BOSQUET enfonce le clou. Quid du nombre d’emplois perdus pour des territoires mieux desservis ?

« Nous ne souhaitons pas avaliser cette vision qui renforce l’isolement de notre territoire au détriment de son attractivité, renchérit l’élu UPA, ce qui prime avant toute chose, c’est le bien-être des habitants et leur sécurité. Car, pas ce biais, l’automatisation de la signalisation a été également rejetée… ».

Et l’élu de préciser lors de cette conférence de presse que « le futur ouvrage construit pour supprimer le passage à niveau de Jonches n’est pas prévu avec une hauteur suffisante pour implanter des caténaires… ».

Quant à la perspective de voir circuler un jour des TER à hydrogène (la solution de remplacement préconisée par la Région-voir notre article), elle ne semble pas emballer les élus de l’UPA, réfractaires à la pertinence immédiate de son fonctionnement.

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« Tout ceci est extrêmement hypothétique, ajoute Michèle BOURHIS, certes, ces trains sont déjà expérimentés en Allemagne. Mais, personne n’imagine qu’ils puissent être réellement opérationnels en France avant une douzaine d’années. Cela devant induire un coût d’installation très élevé… ».

Pourtant, la Région Bourgogne Franche-Comté a consenti de budgétiser une aide d’1,33 million d’euros à la création d’une station de stockage à hydrogène afin d’alimenter le réseau de bus de l’Auxerrois.

« On n’a rien contre l’hydrogène qui représente peut-être l’avenir des transports ferroviaires, concède Jean-Pierre BOSQUET, mais en l’état actuel des choses, nous ne disposons pas d’éléments suffisants pour en appréhender la parfaite maîtrise à tous les niveaux. Selon les estimations de spécialistes, plus de 50 millions d’euros devraient être nécessaires pour équiper en rames cette seule ligne entre Auxerre et Laroche-Migennes. Cela a horizon 2022/2025… ».

Et se faisant l’avocat du diable, l’élu de rajouter avec une pointe d’ironie dans la voix : « et en admettant que cela fonctionne correctement et après homologation de la part du réseau Sécurité SNCF ! ».

Quant à l’accueil de cette typologie de trains en gare de Paris Bercy, il coulera beaucoup d’eau sous les ponts avant que l’infrastructure de la capitale puisse être équipée convenablement.

Un projet désapprouvé par les sages du CESER…

Les élus de l’UPA ne sont d’ailleurs pas les seuls à émettre des réserves sur la pertinence de ce dossier. Le CESER de Bourgogne Franche-Comté a fait état de son avis au terme d’une séance de travail où la vénérable institution n’approuve pas l’expérimentation de l’hydrogène sur cette ligne (Auxerre/Laroche-Migennes) en raison des délais de mise en œuvre. Quant à la FNAUT, elle rappelle que le transport ferroviaire demeure essentiel à la mobilité des cadres et dirigeants d’entreprises depuis Paris pour optimiser l’essor de ce territoire.

« Ce qui est réellement inquiétant derrière cette décision, ajoute Elisabeth BILLEBAULT, c’est que les usagers se trouvent en position d’otages. Les déplacements depuis Auxerre par le ferroviaire sont complexes par manque de fluidité. Une ligne directe, bénéficiant de l’électrification afin d’être raccordée au réseau classique, éviterait toute interruption du voyage, davantage de sécurité et de confort, en occultant les problématiques de correspondance… ».

L’abandon de ce projet d’électrification apparaît comme un coup dur porté au développement économique.

« Il est inimaginable qu’en 2018 les Auxerrois ne soient pas encore reliés de manière directe à Paris, martèle Jean-Pierre BOSQUET, les Auxerrois attendaient la concrétisation de ce projet depuis plus de dix ans. C’est une véritable déception ».

Du point de vue écologique, le Diesel bi-mode semble s’installer pour longtemps sur cette ligne d’une autre époque qui comporte de nombreux arrêts subalternes. Poussant derechef les voyageurs à choisir leur automobile pour se rendre dans la capitale. Un comble !

 


 


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Une vingtaine de jeunes scolaires, issus des classes de troisièmes des collèges Paul Bert et Saint-Germain à Auxerre, ont été immergés parmi les salles de cours et les ateliers de la Maison de l’Entreprise et du Pôle Formation des Industries technologiques Nièvre Yonne. Cet exercice de communication représente une excellente manière de promouvoir la filière et ses opportunités auprès des jeunes générations…

AUXERRE : Accompagnés de leurs enseignants, une vingtaine de collégiens ont eu la faculté de découvrir les formations et les métiers proposés par la filière de l’industrie technologique. Ils se sont retrouvés, en guise de préambule, dans l’amphithéâtre du Pôle Formation afin d’y découvrir les cycles pédagogiques dispensées par l’établissement.

Là, plusieurs surprises les attendaient. Dont la présence de « Pepper », le robot humanoïde avec lequel ils purent réaliser des « selfies » à satiété. Une autre vision de l’industrie technologique du futur fut assurée par la découverte de la réalité virtuelle.

Cette plongée dans un modernisme bien tangible fut l’occasion de pouvoir appréhender le mode de conception des objets grâce à un casque proposant la 3D. La visite des ateliers et lignes de production complétera ce parcours passionnant où les jeunes visiteurs prirent le soin de poser de nombreuses questions. La projection de court-métrages, conçus par des apprentis sur le lieu de formation, clôtura cette découverte d’un monde corporatiste passionnant.

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Des séquences pédagogiques pour favoriser le parcours Avenir…

Expérimentée depuis 2017 dans la Nièvre, mais également dans le département limitrophe de l’Yonne, l’action a pour finalité de convaincre le jeune public scolarisé de la bienséance de cette filière. Loin des préjugés habituels.

La formule plaît manifestement auprès des jeunes. Ainsi, le 06 décembre prochain, ce sont 44 élèves du collège des Loges qui sont attendus au Pôle Formation de Nevers. Quelques jours plus tard, le 16 du même mois, seize élèves du collège de Marzy vivront une aventure similaire. Il en est de même côté Icaunais.

Permettre aux collégiens et lycéens de ces deux départements de se faire une opinion réelle de la filière industrielle demeure la priorité absolue de cette animation. Elle représente un vecteur inéluctable en matière d’employabilité. Chaque année, les professionnels peinent pourtant à pourvoir des postes stratégiques au sein de leurs entreprises, faute de prétendants.

Pour parvenir à l’effet inverse, le parcours « Avenir » répond à ce besoin. Il s’adresse à tous les élèves de la sixième jusqu’à la terminale. Ce dispositif concerne chaque niveau y compris les sections d’enseignement général et professionnel adapté (SEGPA) au collège et les unités localisées pour l’inclusion scolaire (ULIS).

Le but est le suivant : faire comprendre aux élèves que le monde économique et professionnel offre des possibilités diverses d’emplois. Conséquence : bien connaître les métiers et leurs formations favorise en fait la projection que les jeunes gens peuvent s’en faire avant de procéder aux choix de l’orientation scolaire et professionnelle. Un choix qui sera déterminant dans le cadre d’une future carrière.

 


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Gérée pour sa partie fonctionnelle par la Mutualité Française Bourguignonne mais construite sous la houlette du service développement et rénovation urbaine de l’Office Auxerrois de l’Habitat, la future résidence Jules LEBOEUF devrait accueillir ses premiers habitants d’ici vingt-trois mois. Estampillé « Village Bleu », le concept résidentiel sera le deuxième de la sorte à être érigé dans le département de l’Yonne après celui de Quarré-les-Tombes. L’ensemble immobilier s’inscrit dans le cadre du plan de cohésion sociale. Il comprendra in fine vingt logements et six lots en accession implantés sur la commune de Monéteau.

MONETEAU : Quelque peu ému lors de sa prise de parole, Robert BIDAUT, maire de la commune bénéficiaire de ce nouveau projet, n’a pas dissimulé sa fierté devant le devoir accompli. Imaginé il y a presque une décennie, le projet qui trottait à l’époque dans sa tête, et chez certains de ses conseillers municipaux, se présente enfin de manière concrète face à lui.

Certes, le démarrage du chantier ne date que du mois de mai. Avec les travaux de terrassement et d’assainissement d’usage qui ont déjà été effectués. Nonobstant, l’esquisse matérielle de la future salle commune qui se positionnera à terme au centre du projet prend déjà forme. D’où le respect de la sacro-sainte cérémonie protocolaire, celle de la pose de la première pierre, qui officialise réellement la teneur participative du concept.

Ainsi, tous les acteurs clés, partenaires institutionnels et financiers de l’opération immobilière, se donnaient rendez-vous dans le quartier de la rue des Prés Hauts, afin d’y vivre ces instants solennels.

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Favoriser la cohésion sociale intergénérationnelle…

En sa qualité de président, Michel MARTIN représentait la Mutualité Française de Bourgogne. Il ne tarissait pas d’éloges sur ce concept des « Villages Bleus » qui se répandent petit à petit à travers la contrée.

« Non seulement, ce type de résidences destiné à l’accueil de seniors favorise la création d’emplois locaux, ceux des services à apporter à ces personnes, devait-il expliquer, mais en outre, le positionnement du concept au cœur d’une localité renforce la cohésion sociale et les liens de manière intergénérationnelle. En ce sens, « Village Bleu » représente une excellente alternative de confort et de tranquillité pour les seniors qui souhaitent rester sur leur lieu de vie ».

Vivre chez soi parmi un ensemble d’habitations regroupé comme un micro-village au cœur d’une bourgade séduit de plus en plus les personnes âgées. D’où le succès rencontré par ces « Villages Bleus » dont le premier modèle vit le jour en 2011 à Châtillon sur Seine (Côte d’Or).

Président de l’Office Auxerrois de l’Habitat (OAH), Jacques HOJLO ne pouvait discourir autrement. Saluant l’initiative en rappelant que ce projet s’adaptait pleinement aux besoins du territoire, c’est-à-dire celui de sécuriser et maintenir les personnes âgées dans un environnement profitable à leur épanouissement.

Concrètement, la résidence Jules LEBOEUF, érigée selon les principes de la RT 2012 (haute performance énergétique), développera une vie collective autour d’une place centrale (elle accueillera la salle commune inhérente aux échanges et activités de loisirs) et la répartition d’une vingtaine de petites maisons. Des zones de stationnement, sises à proximité, garantiront la parfaite autonomie et indépendance des résidents. Précisons que le projet bénéficiera de l’apport de panneaux photovoltaïques. Ceux-ci seront installés sur la toiture de la salle commune.

Quant à l’enveloppe financière, elle s’éclatera de la manière suivante : 2,4 millions d’euros à la charge de la Caisse des Dépôts, l’Office Auxerrois de l’Habitat pour une valeur de 302 000 euros, la commune de Monéteau (230 000 euros), la Communauté de l’Auxerrois (26 000 euros) et l’Etat, avec un subside de 35 200 euros. Le travail d’architecture de ce projet est mené par l’Atelier JAHEL, basé à Ivry-sur-Seine.

 


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Jusqu’au 23 novembre, une kyrielle d’artistes peintres, sculpteurs et photographes du Continent noir se succèdent dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR à Auxerre et à Monéteau. C’est précisément dans l’antre du SKENET’EAU, l’infrastructure culturelle de la commune périphérique du chef-lieu de canton, que le plasticien Bruce CLARKE a procédé au vernissage de son exposition ce mercredi. Pour la plus grande joie des amateurs d’art…

MONETEAU : Militant anti-apartheid convaincu, Bruce CLARKE éprouve une passion viscérale pour l’Afrique. Auteur d’une sculpture mémorielle sur le génocide rwandais, « Le Jardin de la Mémoire », un projet soutenu par l’UNESCO, l’artiste, blanc, voue un amour sans borne à l’Afrique du Sud, pays dont il n’est pas originaire puisqu’il est natif de Grande-Bretagne. Cosmopolite dans l’âme, il s’est même installé en France après des études aux Beaux-Arts à Leeds. Aujourd’hui, il vit en Afrique du Sud.

Sa visite dans le cadre du Festival AFRIK’AU CŒUR intègre donc l’exceptionnel. Lui qui a fait de son travail de plasticien un engagement politique constant pour dénoncer les douleurs morales de cette planète.

L’œuvre de Bruce CLARKE qui a été dévoilée lors de ce vernissage concocté de main de maître par André HULNET, président du festival, et de son comité d’organisation, vise à stimuler la réflexion sur le monde contemporain. Un devoir de mémoire artistique mais utile pour ne rien omettre des vérités qui doivent se connaître autour de nous.

Privilégier l’informatif plutôt que le décoratif…

Au SKENET’EAU, le public a pu apprécier son travail consacré aux migrants. Dans un ensemble de toiles, baptisé sobrement les « Fantômes de la mer ». Déjà par le passé, l’artiste avait eu à traiter dans ses œuvres des thèmes forts se rapportant à l’esclavagisme, au colonialisme, à la mondialisation.

Photographe, collaborateur périodique de revues africaines, Bruce CLARKE a publié des reportages sur l’Afrique du Sud, la reconstruction lente et délicate du Rwanda et le retour des réfugiés du Libéria.

Se plaçant en dehors de l’art complaisant et décoratif, l’artiste britannique veut s’efforcer de peser sur le cours de l’histoire. Il nous propose sa vision personnelle mais ô combien réaliste de la vie au quotidien. En l’occurrence celle de ces milliers de migrants qui tentent vainement de gagner les côtes européennes sur de frêles esquifs, exposés à tous les dangers. Juste pour nous faire réfléchir sur le sens de leur existence. A méditer…

 

  

   

 


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