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Six ans de mandature pour imposer sa griffe et son style, tout en poursuivant l’œuvre de son prédécesseur qu’il considérait comme son mentor. Le nouvel homme fort de la Chambre départementale d’agriculture vient de prendre possession du fauteuil de responsable de l’organisme consulaire. Bien entouré d’un bureau dont il connaît ses membres sur le bout des ongles…

AUXERRE : C’est en présence de Patrice LATRON, préfet de notre territoire, qu’a eu lieu la session d’installation de la Chambre d’agriculture de l’Yonne ce lundi 04 mars. Un rendez-vous ô combien important pour la vénérable institution puisqu’il y était question de procéder à la désignation par voie de scrutin du président. Le successeur d’Etienne HENRIOT devant prendre le poste sur une durée de six ans.

Compte tenu des résultats de la précédente élection professionnelle (janvier), les jeux étaient quasiment faits à l’avance pour le digne héritier de l’ancien président. Sans effet de surprise, l’agriculteur de Thury recevait le plébiscite qu’il escomptait de la part de ses pairs. Arnaud DELESTRE aura à cœur d’assurer la gouvernance de cette institution qui possède toujours du poids dans le sérail de l’agriculture.

Spécialiste de grandes cultures et adepte de la diversification – il est également producteur de noix-, Arnaud DELESTRE possède une très solide expérience de l’arcane consulaire. Et ce, depuis trois mandats. Un dénominateur commun qu’il partage avec les cadres de son bureau, Nadine DARLOT, première vice-présidente sortante (élevage) et Jean-Baptiste THIBAUT, second vice-président, viticulteur à Beines. Précisons que l’apicultrice Christine BUSSON consolide cet exécutif en occupant le poste de troisième vice-présidente.


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L’opération s’est déroulée le 01er mars en présence du directeur régional SNCF mobilités TER Bourgogne Franche-Comté, Eric CINOTTI. Elle aura permis à la présidente de la Région, Marie-Guite DUFAY, accompagnée de son vice-président en charge des transports, Michel NEUGNOT, de dévoiler les nouvelles couleurs pelliculées des TER Régiolis, en référence à MOBIGO Bourgogne Franche-Comté. Cette présentation officielle s’inscrivait dans le cadre des investissements que porte la Région Bourgogne Franche-Comté en matière de matériel roulant…

DIJON (Côte d’Or) : Demain, c’est-à-dire en 2020, vingt-quatre de ces machines, composées de quatre voitures, circuleront sur les axes ferroviaires de la Bourgogne Franche-Comté. A ce jour, dix-huit TER Régiolis électriques sont désormais opérationnels.

Mais, le programme Régiolis ne date pas d’hier. Convaincue de sa pertinence, la Région Bourgogne Franche-Comté s’est intéressée dès 2013 à ce matériel roulant. Neuf premières motrices fonctionnant à l’électricité ont ainsi été commandées pour une enveloppe de 57,9 millions d’euros. Parallèlement, l’adaptation de ce matériel aux besoins techniques de sa nouvelle forme d’énergie nécessita des travaux en atelier de maintenance (1,3 million d’euros).

Deux ans plus tard, et s’étant engagée sur un projet global de plus de 170 millions d’euros, la Région consent à ajouter sept autres TER dans son escarcelle. Soit un débours déjà prévu de 48,9 millions d’euros et de 2,2 millions d’euros permettant d’assurer l’adaptabilité du matériel.

Le terme de ce programme à arborescence fut atteint en 2017. Huit autres machines vinrent grossir les rangs de ce parc, qualifié de performant. Pour une ultime tranche financière de 56,2 millions d’euros, à laquelle il fallut adjoindre 4,8 millions d’euros d’adaptation et de maintenance.

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Une quarantaine de Régiolis circuleront d’ici la fin de 2021…

Or, les deux premiers engins, portant les couleurs de MOBIGO Bourgogne Franche-Comté, proviennent précisément de cette dernière commande, sortie des unités de production de chez ALSTOM sur le site de Reichshoffen (Bas-Rhin).

Déjà présente sur plusieurs autocars du réseau, l’estampille chromatique de MOBIGO BFC suppose un investissement de 300 000 euros pour le coût du pelliculage, sur la base de huit TER. Une future commande de seize nouvelles machines, composées de six voitures, devrait être validée lors de l’assemblée générale plénière régionale le 29 mars à Dijon. Ce qui porterait alors le nombre de TER Régiolis à quarante d’ici le terme de 2021.

Cette nouvelle commande nécessitera une enveloppe financière de 224,2 millions d’euros. Somme qui avait été votée au mois de décembre lors de la présentation du budget primitif 2019.

Quant au coût de l’habillage complet des seize futures rames – cela comprend aussi la mise en place des couvertures vertes en toiture-, il s’élèvera à 1,1 million d’euros.


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C’est un mois de mars important qui débute pour les élus de la petite localité de la Forterre. D’ici quelques jours, le conseil municipal aura à se prononcer sur le mode opératoire budgétaire à mettre en œuvre dans le cadre du projet d’aménagement du cœur de ce village si pittoresque. En sollicitant des subsides auprès de  l’Etat et de la Région Bourgogne Franche-Comté, les élus ont la ferme intention de glaner des aides à hauteur de 80 % des futurs travaux d’un dossier dont l’investissement global n’excède pas 150 000 euros…

DRUYES-LES-BELLES-FONTAINES : Améliorer et positiver le cœur de village de cette bourgade si typique de l’Yonne s’inscrivent parmi les grands chantiers de l’actuel édile, Jean-Michel RIGAULT.

Et comme l’a précisé dernièrement le maire de cette commune aux trois cents âmes de ce territoire occidental de l’Yonne, quoi qu’il en soit, ce dossier devra être finalisé avant le terme du mandat électoral. Sachant, pour mémoire, que les prochaines municipales se dérouleront au printemps 2020.

De quoi s’agit-il précisément ? L’équipe en place souhaite optimiser tant au plan logistique et structurel que sur le développement de l’économie interne l’essor de la localité. Tout en le pérennisant.

Soutenir les acteurs de l’économie locale…

Celle-ci rayonne bien au-delà de sa zone d’influence naturelle (Ile-de-France) par son approche touristique (elle bénéficie de plusieurs labels de qualité qui en valorise sa découverte) et par la présence de plusieurs artisans d’art.

Jean-Michel RIGAULT désire aller encore plus loin dans cette quête utile, faisant d’une pierre deux coups dans ce projet d’aménagement. Non seulement, la commune facilitera l’accueil de ses futurs visiteurs en créant de nouvelles aires de stationnement et en se dotant d’infrastructures ludiques supplémentaires, qui permettront de grossir l’offre de loisirs.

Mais, en outre, il entend bien booster l’activité économique intra-muros en prenant soin de soutenir les professionnels de l’artisanat d’art (potiers, céramistes, peintres, sculpteurs, producteurs de recettes et denrées du terroir…). Ceux-ci pourront bénéficier indirectement de cette manne qui n’a rien de providentielle.

Dans les faits, ce concept s’articulera peut-être en deux tranches de travaux à budgéter sur les prochaines années à venir. Il valorisera certains espaces de la commune. L’idée serait d’utiliser l’ancienne cour de l’école pour y implanter un espace arboré et créer ainsi de nouvelles possibilités de stationnement.

Quant au parking existant, il verrait ses capacités à accueillir des véhicules se prolonger.

L’essentiel des investissements de 2019…

Côté agrément, diverses infrastructures à caractère sportif, à l’instar d’un terrain mixte de volley-ball et de badminton, conféreraient une dimension ludique au projet. Il y serait rajouté un terrain de jeux de boules. 

Les artisans d’art qui créent une plus-value attractive du fait de leurs activités seraient dotés de petits chalets en bois – on parle de trois à quatre points d’accueil -, mis gracieusement à leur disposition au centre de la commune.

Enfin, et pour être tout à fait complet sur la configuration de ce projet, cette dernière se réserverait le droit de construire un bâtiment en bois, dans le même esprit que celui de l’actuelle guinguette au bord du plan d’eau, pour y entreposer divers matériels dans un souci de stockage. L’installation d’un jardin participatif représente aussi une option envisageable.

Une chose est sûre, avant que ne soit décidé par le conseil municipal de l’opportunité ou pas de lancer les demandes de subventions en bonne et due forme auprès des services de l’Etat et de la Région, ce dossier aux multiples ramifications constituera l’essentiel des investissements réalisés par la commune de Forterre cette année.


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Le retour de la belle saison, à l’amorce du printemps, peut s’avérer fatale pour certaines espèces animalières. C’est le cas des amphibiens. Sortant de leur cachette hivernale, les batraciens cherchent à rejoindre leur lieu de reproduction (mare, étang, fossé, plan d’eau…). Un périple qui comporte son lot de dangers. Surtout lorsque ces animaux doivent traverser des axes routiers. Spectaculaires, les migrations concernent plusieurs milliers d’individus qui traversent les routes sur quelques centaines de mètres. Entraînant une forte mortalité de l’espèce. Or, à l’initiative de sociétés d’histoire naturelles, des actions se déploient sur le territoire bourguignon pour que cesse cette hécatombe…

AUTUN (Saône-et-Loire) : Les amphibiens sont de sortie ! Et pour éviter qu’ils ne se fassent écraser par milliers sur les routes, la Société d’histoire naturelle d’Autun vient nous rappeler les règles existantes à respecter lorsque l’on est un automobiliste citoyen.

Durant la période de reproduction, ce ne sont pas moins de treize actions de sauvetage qui sont mises en place en Bourgogne par différentes associations et structures prônant pour la sauvegarde de la nature et de l’environnement.

Multiples et hétéroclites, ces actions se traduisent par le ramassage en soirée des batraciens téméraires ou la déviation temporaire d’une route traversée par le flux migratoire des amphibiens.

Plusieurs communes de la Bourgogne consentent à organiser ces interventions. C’est le cas d’Appoigny, Beine, Bellechaume, Bussy-en-Othe, Chamoux, Malay-le-Grand, Marsangy, Saint-Julien-du-Sault et Vergigny pour l’Yonne. Le succès de ces opérations est possible grâce à la mobilisation de bénévoles, amoureux de la nature. Et des grenouilles et autres crapauds !

Le signalement des zones de traversées s’impose…

Naturellement, avant toute intervention, il est fondamental de signaler les portions de routes sur lesquelles ont été observées des amphibiens. L’objectif de ce chantier est d’identifier le maximum de zones d’écrasement à fort potentiel en Bourgogne. Afin de les répertorier sur la cartographie officielle réalisée par les spécialistes de la faune en Bourgogne. Ces informations peuvent également être transmises, grâce à l’outil de saisie en ligne E-Observations sur le site http://faune.bourgogne-nature.fr ou en renvoyant les observations par mail.

Il existe de nombreuses données d'amphibiens sur les routes dans la base de données régionale, la Bourgogne Base Fauna (BBF). Certains de ces sites présentent un enjeu potentiel vis-à-vis de la problématique d'écrasement des amphibiens, mais il manque des informations pour estimer l'enjeu réel du site. C'est dans ce sens que les citoyens peuvent être amenés à aider les protecteurs de la nature en effectuant des inventaires précis sur certains de ces secteurs.

Vous trouverez plus d’informations sur la page du SOS Amphibiens de Bourgogne, sur le site de l’association Bourgogne-Franche-Comté Nature…


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Elle se refuse à toute concession intellectuelle face à l’envahissement chronique du « global english » dans notre société. Un sabir, le « globish », dont elle est réfute, avec une pointe d’ironie, l’utilisation abondante à toute les sauces, y compris dans la sphère économique. Invitée de l’animation culturelle, « Le Cercle Condorcet fait son printemps ! », ce jeudi 07 mars au Théâtre , la philologue, philosophe et académicienne, fervente admiratrice des œuvres du poète grec Homère, nous réserve sans aucun doute de belles surprises orales au cours de l’entretien public qu’elle accordera à la rédactrice en chef de « Sciences Humaines », Héloïse LHETERE. Une discussion à bâtons rompus autour du réel pouvoir des mots et de la sémantique dans notre environnement actuel…  

AUXERRE : Rare représentante de la gent féminine à occuper un fauteuil d’immortel à l’Académie française, Barbara CASSIN, si elle est une esthète en la matière pour évoquer le sens des mots et leur utilisation, n’en n’est pas pour autant une ardente défenseuse de la langue de Molière. Elle qui s’accommode fort bien des textes homériques de l’Antiquité grecque !

Auteur de moult ouvrages consacrés à la philosophie (le sophisme, notamment), la directrice de recherches au CNRS (Centre national de la recherche scientifique) fera une halte remarquée, jeudi prochain, à Auxerre dans le cadre d’une manifestation culturelle siglée par le Cercle Condorcet local.

Conviée à venir sur la scène du théâtre auxerrois pour s’y exprimer sur les dangers de l’anglicisme à tout crin, cette spécialiste de la traduction aura à cœur de s’opposer farouchement à ce « global english » qui inonde nos consciences année après année. Avec, comme il se doit, de nouveaux termes à ajouter à notre vocabulaire à chaque saison.

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Il n’y a pas un langage, mais des langues…

Interrogée par la journaliste Héloïse LHETERE, rédactrice en chef de la revue « Sciences Humaines », l’helléniste devrait nous conseiller de ne pas céder à la tentation de véhiculer ces mots à connotation anglaise à trop forte dose. Leurs valeurs sont contestables à bien des égards.

Se préservant de tout protectionnisme de la langue, la philosophe souhaite par-dessus tout défendre la diversité linguistique et lutter bec et ongle contre ce formatage de la pensée. Et comme elle aime à le préciser au détour de ces interventions : « Il n’y a pas un langage, mais des langues… ».

Face à l’uniformisation de cette pensée unique vers laquelle on veut nous modeler, il existe une arme noble et efficace : la traduction. N’a-t-elle pas, par ailleurs, produit un imposant « Dictionnaire des Intraduisibles » dans lequel elle examinera plus de 1 500 mots du langage philosophique confrontés à la difficulté de pouvoir les expliquer dans une quinzaine de langues ?

D’ouvrage en ouvrage, Barbara CASSIN, faite Chevalier de la Légion d’honneur et détentrice de la médaille d’or du CNRS en 2018 (la plus prestigieuse des distinctions à la recherche nationale), décortiquera lors de cet entretien public la construction du langage, ses codes politiques mais aussi le pouvoir des mots. Et par extension, combien la diversité linguistique nous enrichit si nous faisons l’effort de construire des passerelles…

« Ce que peuvent les mots », entretien avec Barbara CASSIN.

Théâtre d’Auxerre, grande salle.

Jeudi 07 mars à 18h30. Entrée libre.


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