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Le geste se situe bien au-delà des symboles. Ceux de l’altruisme, de la générosité, de cette solidarité sans borne qui caractérise le plus souvent le bien-fondé d’un club service. Douze mille euros. Ni plus, pas moins. Une somme rondelette dont bénéficie désormais le service hématologie du Centre Hospitalier Universitaire de Dijon. Une obole conséquente, affectée à la recherche et à l’espérance. Celles des malades qui entrevoient la guérison au bout du tunnel…

 

DIJON (Côte d’Or) : Apporter son concours à une œuvre sociale, c’est la résultante d’une action menée tambour battant sur le terrain, ensemble et dans un esprit collectif, pour essayer de glaner les sommes nécessaires à sa réalisation.

Or, il est vrai qu’au vu de la configuration imputable à la pandémie de coronavirus, les opérations déclinées vers le grand public et leur sensibilisation à cette fameuse œuvre sociale se sont réduites à peau de chagrin depuis déjà une très longue période. Pas de soirée de gala officielle pourvoyeuse de gains appréciables ! Exit les habituelles manifestations populaires qui permettent de récolter des fonds indispensables au remplissage de la caisse dédiée ! Oubliées les animations ludiques qui nourrissent les bas de laine utiles lorsqu’ils sont redistribués à bon escient.

Bref : en un mot comme en cent, ce fut Waterloo morne plaine pour la plupart des clubs service qui interviennent sur l’Hexagone au nom du sacro-saint principe vertueux de l’entraide et de la solidarité. Un paradoxe alors que dans le même temps, et au vu de la conjoncture sanitaire et sociale, les besoins n’ont jamais été aussi importants.

 

 

Concrètement, comment ont-ils fait les membres du KIWANIS Club d’Auxerre en remettant un chèque de 12 000 euros au service hématologie du CHU de Dijon ? Ils ont tout bonnement puisé parmi leurs réserves. Certes,  celles-ci ne sont pas insondables. Mais, elles traduisent de l’efficience d’une structure associative qui a su, besogneuse, au fil des ans conserver une poire pour la soif et se garder de tout écart financier démesuré durant cette interminable période d’atermoiement.

Car mine de rien, il faut les posséder ces fameux douze mille euros dans sa cagnotte. D’autant que les clubs service, par coutume et éthique, ne bénéficient d’aucune subvention aux origines municipales…

Bien sûr : 12 000 euros dans la corbeille d’un centre hospitalier de l’envergure de celui de la capitale des ducs de Bourgogne ne représente qu’une modeste goutte d’eau dans un vaste océan à traverser avec son esquif pris dans les tourments de la tempête. Mais, c’est avec les petites rivières que l’ont fait les grands fleuves qui s’écoulent ensuite vers l’immensité de zones aquatiques navigables.

 

 

 

Tous les dons sont les bienvenus pour faire progresser la recherche…

 

 

Le geste du KIWANIS Club d’Auxerre n’a rien d’anodin. Surtout pas aux yeux du responsable du service concerné, le docteur CAILLOT. Car, le nerf de la guerre dans ce combat implacable contre ces maladies demeure…l’argent. Pour accroître les potentialités et les progrès de la recherche. Pour améliorer la qualité de vie des personnes traitées au quotidien dans cet immense complexe que représente le CHU. « Un don tel que vous le faites aujourd’hui nous est tout à fait bénéfique, ajouta le praticien, nous allons promouvoir ainsi nos recherches dans tous les compartiments de l’hématologie maligne… ».

Chiffres à l’appui, le spécialiste lâchera quelques données statistiques pour étayer ses propos. Des chiffres chargés d’optimisme afin de réinstaurer la confiance auprès de celles et de ceux qui souffrent. Parfois dans la solitude et en silence.

 

 

 

« En 1981, renchérit le thérapeute, il y avait moins de 5 % des personnes qui guérissaient de leucémies aigües. Aujourd’hui, la fourchette de guérison se situe entre 40 et 80 % selon les cas… ».

Des sommes astronomiques sont englouties dans la recherche, chaque année. Mais, ces investissements ne sont pas vains. Ils se traduisent par des succès progressifs sur l’adversité. Des victoires réelles, là où les causes semblaient perdues d’avance.

« Tous les dons sont donc les bienvenus, devait conclure avec optimisme le docteur CAILLOT au terme de sa prise de parole.

 

 

Près de 2 millions d’euros de dons reversés chaque année par le KIWANIS…

 

A l’initiative de ce don, Didier PHILIPON. Lui-même concerné par la pathologie.

« Je suis soigné depuis de nombreuses années dans ce service, explique-t-il, je ne peux que souligner la rigueur et le professionnalisme de ces soignants qui nous accompagnent… ».

Membre historique du KIWANIS Club d’Auxerre, l’entrepreneur auxerrois porte l’opération au sein de sa structure associative, bénéficiant du soutien de ses adhérents, dont Jean-François FINANCE, l’actuel président en tête.

Réaffirmant sa fierté de remettre ledit chèque au CHU, ce dernier a souligné l’adhésion totale du club et de ses membres à ce projet. Une action qui correspond pleinement au credo de l’association : « Servir les enfants du monde ». Même si les petits n’étaient guère concernés par les soins prodigués dans l’établissement de Côte d’Or, le docteur CAILLOT précisa que bon nombre d’adolescents et de jeunes adultes fréquentaient son service.

Lieutenant-gouverneur de la division Bourgogne Nord, Claude GUILLLEMOT rappela les contours de sa fonction, assimilable à celle d’un président de région. Il retraça un succinct historique du club service depuis ses origines centenaire aux Etats-Unis jusqu’à son implantation en France au début des années 60 (Metz fut la première ville française à accueillir un club en 1965).

 

 

Mouvement international rassemblant plus de 600 000 membres, le KIWANIS (nous construisons dans sa traduction littérale de ce terme de l’amérindien) comprend 230 clubs dans l’Hexagone pour environ 4 000 représentants.

S’en suivit une brève intervention de Joseph MATICOT, ancien gouverneur (président) national aujourd’hui à la tête du club satellite de Dijon. Ce dernier énuméra les actions majeures du mouvement ; des opérations internationales ayant une réelle portée médiatique comme le Tour des France des Jeunes, les baptêmes de l’air, Vaincre la mucoviscidose, les Colosses aux pieds d’argile.

L’une des actions, toujours d’actualité, ELIMINATE concerne l’éradication du tétanos néo-natal, pathologie lourde qui sévit dans les pays émergents. Précisons que le KIWANIS hexagonal dispose de sa propre fondation, rattachée à la Fondation de France. Chaque année, le mouvement composé de « personnes ordinaires pour des actions extraordinaires » comme il se définit verse près de deux millions d’euros aux œuvres sociales dont il est un généreux soutien.

En charge des PME, des start-up, de la recherche et des transferts technologiques, Marie-Hélène JUILLARD-RANDRIAN, vice-présidente de Dijon Métropole, exprimera toute sa satisfaction à être présente au moment de cette remise de chèque, porteuse d’espoir…Elle n’était pas la seule, visiblement…

 

Thierry BRET

 

 


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Le départ de ce monstre sacré de la comédie et du théâtre a inspiré notre chroniqueur Jean-Paul ALLOU. Il lui rend hommage de la plus belle façon, en couchant des mots dans un style poétique. Un au-revoir à l’artiste qui vivra toujours dans nos pensées à travers ses 80 films et pièces de théâtre…

 

TRIBUNE: Les mots nous manquent à tous

Un homme heureux est mort

Icône des trente glorieuses

Et de la France heureuse

Il traverse l’histoire

Du cinéma français

Adulé du public

Des succès populaires

Des films et des cascades

Qui le font rejeter

Des intellos pisse-froid

Des bobos, des gauchistes

D’une intelligentsia

Si loin du cœur des hommes

Honnis des médiocres

Jaloux de son talent

Il va clouer le bec

A tous ces spécialistes

De la pensée unique

Magistral come-back

Avec « Kean » au théâtre

A la fin de l’envoi

Il touche tous les cœurs

 

 

 

 

Une gouaille féconde

Rejoint le paradis

Des anges et des artistes

Bébel, c’est un sourire

Et l’ami de chacun

L’amant inespéré

Le fils, le père, le gendre

Celui qu’on voudrait être

« Le Magnifique » n’est plus

On peut imaginer

Un cercueil pendu

Sous un hélicoptère

Et une main s’agite

Pour nous dire : au revoir…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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Prolifique, Caroline PANDELE ? Sans doute ! L’artiste photographe plasticienne ne manque jamais une opportunité pour aller à la rencontre de l’autre. Lors de ses interventions en milieux scolaires ou à l’instar des stages et ateliers auxquels elle participe. Jusqu’au 30 octobre, les amateurs d’art contemporain auront la possibilité de découvrir ses œuvres chez Hors Cadre, rue Joubert à Auxerre…

 

AUXERRE: On peut être diplômé de l’école supérieure d’art de Grenoble et se passionner pour des études en criminologie et les sciences pénales ! C’est l’un des particularismes de Caroline PANDELE, plasticienne et photographe originaire de Cognac, qui présente ses nouvelles réalisations dans la galerie la plus branchée de la place, au 49 de la Rue Joubert.

Précisément chez Nathalie AMIOT, qui n’a de cesse d’inciter les amateurs d’art (et ils sont légion sur l’Auxerrois et dans l’Yonne) à pousser de nouvelles portes informelles où culture et intellectualisme font bon ménage.

Programmée jusqu’au beau milieu de l’automne, la nouvelle exposition accueillie dans cet antre de l’esthétisme et de la créativité exacerbée offre une excellente vitrine à Caroline PANDELE de rencontrer son public.

D’autant que l’artiste a conçu son nouveau travail spécifiquement pour ce lieu qui gagne en ampleur de fréquentation de mois en mois.

« Ce qui reste du ciel tombé à la surface de l’eau », la raison d’être de cette expo, dont le vernissage a eu lieu vendredi soir, invite au lyrisme et à la poésie.

C’est l’évocation d’un paysage composé d’éléments colorés, de reflets et de mots oniriques. L’ensemble dessine une ligne, une frontière entre ciel et terre où se réfléchit la lumière…

On peut se perdre de longs instants dans cette contemplation qui fait du bien à l’âme. Et par les temps qui courent, ce n’est pas négligeable d’en profiter à satiété…

 

En savoir plus :

 

Une exposition à découvrir depuis le 04 septembre jusqu’au 30 octobre

Du mercredi au samedi entre 14h et 18 h.

Entrée libre.

Passe sanitaire obligatoire.

 

Thierry BRET

 


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Objectif en ligne de mire : intégrer l’équipe de France des Métiers. Catégorie cuisine pour les huit jeunes prétendants à ce Graal suprême ! Oui mais voilà, là où les choses se corsent, c’est qu’il leur faudra beaucoup de pugnacité et de persévérance pour décrocher la timbale. D’autant que les finales nationales se déclinent en deux phases. La première d’entre elles se joue les 08 et 09 septembre à Auxerre dans le temple de l’excellence pédagogique : le CIFA…

 

AUXERRE : Etre sélectionné parmi l’équipe de France des Métiers de l’artisanat correspond à un symbole fort pour tout compétiteur qui s’y frotte les ailes. C’est représenter le savoir-faire séculaire de la tradition professionnelle tricolore à l’échelle de la planète.

Un exercice qui a su sourire par le passé à bon nombre de jeunes candidats ayant franchi successivement le Rubicon des étapes éliminatoires. Concourant dans l’un des 61 métiers représentés.

Départementales, au commencement du parcours. Puis, régionales en montant d’un cran au niveau de la poussée d’adrénaline. Nationales, enfin, pour espérer toucher de l’index la divine providence de la réussite comme Adam, le fameux personnage peint par Michel-Ange au plafond de la chapelle Sixtine du Vatican !

C’est donc bel et bien à un évènement hexagonal auquel nous assisterons deux jours durant au Centre de formation interprofessionnel d’Auxerre. Par le passé, le CIFA avait accueilli des sélections départementales et régionales d’épreuves aussi diverses que variées issues des Olympiades des Métiers ou des concours d’un des meilleurs apprentis de France. Mais, point de rendez-vous rassemblant la quintessence de l’apprentissage qui mène à la pratique des métiers de l’artisanat.

 

 

L’excellence de la cuisine accueillie au CIFA : une évidence !

 

Pour cette 46ème  compétition, l’établissement pédagogique auxerrois mettra à disposition des huit concurrents sa logistique humaine (un commis attribué à chaque candidat), matérielle avec ses fourneaux et démonstrative dans son restaurant d’application, le Com’des Chefs.

Répartis en deux groupes de quatre, les sélectionnables auront le choix de travailler à la conception d’un saucisson brioché et d’une préparation culinaire élaborée à partir d’un sandre (le module 1) ou d’une jambonnette de volaille, assortie de son dessert chocolaté pour le module 2.  

Bref : l’important sera de séduire un jury de professionnels tant dans l’aspect visuel et créativité de la recette qu’au niveau du goût et de la texture des aliments.

A l’issue de ces épreuves de la phase 1, chaque compétiteur se verra attribué une note qui représentera 50 % de la notation finale.

Sachant que la seconde phase de cette finale Cuisine se poursuivra dans la capitale de la gastronomie française : Lyon. La cité des Gaules a été choisie pour accueillir les épreuves internationales en 2023.

Auparavant, l’équipe de France des Métiers se frottera aux meilleurs européens à Saint-Pétersbourg en Russie du 16 au 20 août 2023. Certains auront le privilège de tutoyer les sommets mondiaux lors des épreuves internationales organisées du 12 au 17 octobre 2022 à Shanghai.

Les couleurs de la Bourgogne Franche-Comté seront défendues par le jeune Simon LEFEBVRE, titulaire d’un BTS Cuisine obtenu au lycée des métiers de l’hôtellerie Vauban à Auxerre.

 

 

 

 

En savoir plus :

 

La liste des candidats présents sur l’évènement des WORLDSKILLS ainsi que la répartition des groupes.

Groupe A :

-          Simon LEFEBVRE / Bourgogne Franche-Comté

-          Saïd SOUMAILA / PACA

-          Clarisse ARGOUT-LABBE / Nouvelle-Aquitaine

-          Lilian BAIL / Hauts-de-France

Groupe B :

-          Paul PIBARD / Bretagne

-          Mathieu Weiss / Ile-de-France

-          Lucas REMOND / Auvergne-Rhône-Alpes

-          Arthur LOUIS / Grand-Est

 

Thierry BRET

 


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L’intitulé de l’évènement se veut un tantinet provocateur. Sans doute pour faire réagir les consciences de tous les acteurs de l’économie vis-à-vis d’une thématique au demeurant cruciale. Environnement, enjeux sociaux, flotte de véhicules propres, implication dans les territoires, loyauté des pratiques, droits de l’homme… : nul ne peut plus ignorer la pratique de la RSE. Et vous, serez-vous présents pour en savoir davantage sur ses bienfaits ?

 

AUXERRE : L’année dernière, les enjeux de la transition énergétique à travers le prisme de la mobilité avaient planté le décor évènementiel de la rentrée. Cette fois-ci, les instigateurs de ce premier grand rendez-vous concocté dans la sphère économique et entrepreneuriale de l’Yonne mettent l’accent sur un autre item, tout aussi passionnant et d’actualité, la RSE et ses pratiques.

Autant dire un sujet qui ne manquera pas de témoignages (une douzaine d’experts et autres spécialistes), de tables rondes (au nombre de deux) et surtout de points d’interrogation ! Multiples, on l’imagine aisément à propos de cette Responsabilité Sociétale des Entreprises !

Comme Monsieur Jourdain qui pratiquait la prose tout en l’ignorant, peut-être sont-ils nombreux ces dirigeants de société et autres capitaines d’industrie à développer des initiatives sans se douter le moins du monde qu’elles intègrent le champ des possibles offert par cette fameuse RSE.   

Un concept apparu dès les…années soixante, en vérité et qui remonte à la surface de nos préoccupations quotidiennes que depuis quelques années seulement !

Aujourd’hui, à l’heure de toutes les transitions (écologiques, environnementales, énergétiques, etc.), la RSE doit fait figure de priorité pour tout entrepreneur qui se respecte.

 

 

87 % des collaborateurs jugent la RSE efficace dans leurs entreprises…

 

55 % des salariés estiment que « l’engagement social ou environnemental d’une entreprise est un critère plus important que le salaire ». 87 % pensent que leur entreprise est innovante en 2020 et que les actions RSE sont efficaces. Mais 51 sur 100 correspond au score des entreprises françaises qui arrivent en troisième position de l’ensemble des pays passés en revue pour leur niveau de management de la RSE.

Bref : le chemin est encore long pour atteindre la plénitude et surtout l’optimum dans la gestion de ce champ d’actions couverts par la discipline : gouvernance, droits de l’homme, social ou sociétal selon les interprétations, environnement, loyauté des pratiques, enjeux liés aux clients et aux consommateurs et implication des territoires. Un jeu de sept familles qui se combinent les unes aux autres dans leur mise en exergue.

C’est pourquoi l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne ont décidé d’appuyer sur l’accélérateur de la prise de conscience collective. En proposant cette conférence qui placera sous la lumière les réussites RSE répondant aux stratégies de certaines entreprises.

 

 

La RSE, vraie levier d’attractivité et de compétitivité pour les entreprises ?

 

Démystifier le sens profond de ces pratiques est l’un des objectifs de cette matinée consacrée à la réflexion. Celle-ci s’articulera en deux temps forts : une table ronde s’interrogeant sur les bénéfices récoltés par les entreprises ayant souscrit à ce concept en matière de compétitivité. Le public profitera des explications de texte fournies par quelques pointures entrepreneuriales régionales comme celles, entre autres, d’Yves CHEVILLON, directeur de l’action régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, de Patricia D’ELLIA, du groupe La POSTE ou de Kildine BATAILLE, en charge de l’engagement sociétal et de la transition numérique à la Région.

 

 

L’heure suivante se projettera sur les réels intérêts des sociétés icaunaises de suivre cette démarche RSE. Parmi les orateurs : KOVERS (Julien MOUCHET), FRUEHAUF (Richard RIHOUET), SIMON SAS (Christophe BERTRAND) ou le consultant Fabrice JOBARD devraient être prolixes sur le sujet…

Co-présidente de la Commission nouvelles responsabilités entrepreneuriales, vice-présidente et porte-parole du MEDEF, Dominique CARLAC’H plantera le décor de cette manifestation, dès 09 heures, à son ouverture.

Visiblement, l’UIMM et le MEDEF ont jugé bon de capitaliser sur les moyens et les intervenants de renom pour démontrer à l’assistance que la RSE était plus qu’un simple sujet d’actualité. Mais, bel et bien, une nécessité implacable à laquelle les entreprises ne peuvent que souscrire…

 

En savoir plus :

RSE Non merci !

Conférence plateau organisée par l’UIMM et le MEDEF de l’Yonne

Dès 08h30 sur le site de la Maison de l’Entreprise

6 Route de Monéteau

Pass sanitaire obligatoire, village d'entreprises, exposition de véhicules.

Inscription gratuite sir www.rse-nonmerci.org

 

Thierry BRET

 


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