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Chantre du libéralisme, l’économiste et essayiste Nicolas BOUZOU était l’invité de l’assemblée territoriale de CERFRANCE BFC qui s’est tenue à Auxerre. Habitué des plateaux de télévision et des conférences-débat, il a pendant près de deux heures, captivé le public en délivrant sa vision sur le contexte économique actuel et les grands défis qui se présentent à nous… 

 

AUXERRE : Que l’on partage ou non les propos de l’orateur, il est une chose établie : l’homme ne manie pas la langue de bois. Quitte à appuyer parfois là où cela fait mal ou à faire fi de certains discours entendus : pénurie de matières premières (« on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années… »),  les problèmes des entreprises (« nombre de secteurs où les salaires sont trop bas et le management pas bon … » ; le chômage (« il faut aller plus loin en matière de réforme et rendre les indemnités dégressives au bout de douze mois… » ; le problème du pouvoir d’achat (« c’est en fait un problème de salaires… »).
A l’instar de tous les observateurs économiques, Nicolas BOUZOU pensait que l’on sortirait exsangue de la crise sanitaire. La réalité est toute autre, avec une croissance si forte que les facteurs de production ne peuvent plus suivre : « il y a un an, on aurait signé des deux mains pour un tel scénario ! ».

 

Toutes les problématiques vont finir par se résoudre…

 

Le résultat à ses yeux, d’une réelle protection de l’économie, particulièrement en France avec le « quoiqu’il en coûte » : « bien pensée et bien exécutée ». Avec à la clé un nombre d’emplois salariés en équivalent temps plein, supérieur à ce qu’il était avant la crise, mais           avec pour revers de la médaille, « une économie qui a redémarré trop rapidement, aujourd’hui en surchauffe et sur le point de s’arrêter faute de matières premières, de porte-containers et de gens dans les ports. On manque de tout ! ».

La conséquence aussi d’une pandémie qui a laissé des traces en matière d’organisation, mais pas question de s’alarmer pour autant : « cela va tellement bien se résoudre que l’on peut imaginer une surabondance de l’offre dans quelques années, notamment sur le marché des semi-conducteurs car on construit des usines partout… ».

Citant pour exemple les quarante usines de vaccins bâties en un an en Europe, signe de « la puissance économique de notre civilisation ».

 

 

S’ajuster au niveau des pays socio-démocrates scandinaves…

 

A contrario, Nicolas BOUZOU juge plus inquiétants les 3 à 5 % de personnes ayant quitté le monde du travail pendant la crise pour tenter de subvenir à leurs besoins par le chômage ou la solidarité : « on peut tourner le problème comme on veut, être aussi bien-pensant, aussi démago que l’on veut, il y a un réel souci ! ». Appelant à ce que chacun prenne sa part de responsabilité là où il a failli, que ce soit au niveau des entreprises, « il est des secteurs où les salaires sont trop bas et les managements pas bons » ou des pouvoirs publics, « en incitant les gens à suivre des formations correspondant aux besoins de l’économie et des entreprises ». Mais se déclarant partisan d’aller plus loin en matière de réforme de l’assurance chômage et de rendre dégressives les indemnités au bout de douze mois : « ce qui en termes de violence sociale, nous mettrait au niveau des pays sociaux-démocrates scandinaves. Ce qui n’est pas me semble-t-il, insoutenable, au regard de ce qui se fait dans le monde… »  

 

L’Etat français possède un gène dépensier extrêmement actif…

 

Parmi les grands défis de demain, celui visant le social, avec des salaires qui ne correspondent plus aux attentes nées de la crise et des espoirs engendrés par la relance : « les gens après un tel traumatisme, aspirent à vivre mieux. Il faut des augmentations de salaires, notamment pour les plus bas. Mais avec 1 % de croissance annuelle, ça ne passe pas, il faut au moins doubler et passer à 2 %... ». Et selon le directeur fondateur du cabinet d’analyses économiques ASTERES, outre les gains de productivité, faire que les gens travaillent plus nombreux et plus longtemps. Comme un petit air déjà entendu, de « travailler plus pour gagner plus »… 
L’ère inflationniste qui se profile, combinée à une hausse de la dette publique pourrait faire craindre le pire, mais par chance pour l’Etat, dans un contexte de taux d’intérêts très bas, voire à certains moments négatifs : « un truc de dingue ! L’explosion de l’endettement de l’Etat a amélioré sa situation financière ! Comme disait Napoléon, avoir de la chance à ce niveau-là, ça frise le génie ! ». Une dette qu’il faudra néanmoins rembourser et n’en déplaise au contexte pré-électoral, il faudra faire attention au carnet de chèques : « notre pays a un gène dépensier relativement actif ».



Le chèque inflation : une fausse bonne idée qui crée de l’inflation !

 

Si Nicolas BOUZOU préfère à une baisse des taxes sur le carburant, l’octroi d’un chèque de 100 € à une partie de la population, comme l’a annoncé la semaine dernière Jean CASTEX, « politiquement c’est astucieux, économiquement ça se défend… ». Gare aux effets pervers du système en cas de hausse inflationniste pérenne : « l‘Etat peut continuer chaque année à distribuer ainsi un bout de revenu pour compenser l’inflation, mais ce chèque est financé comment ? Par la dette, elle-même financée par les achats de la Banque Centrale. Avec pour impact de générer de l’inflation… ». C’est le serpent qui se mord la queue : « il ne faut surtout pas le dire aux Français pour ne pas les déprimer, mais avec un tel scénario, le chèque-inflation sera totalement absorbé par l’inflation qu’il aura lui-même créé ! ».

Autre enjeu à venir, celui de la décarbonation de l’économie, basée aujourd’hui encore, essentiellement sur les ressources fossiles. Avec pour objectif à l’échelle mondiale, de passer de 50 milliards de tonnes de CO2 émis annuellement, à zéro à l’horizon 2050. Misant pour cela plus sur un effort d’investissement que sur les seules économies d’énergie : « bien sûr qu’il faut de l’éolien, du photovoltaïque, de l’hydrolien, mais il faut avant tout garder le nucléaire, le développer et ne surtout pas le fermer. Vous ne pouvez pas imaginer plus absurde comme idée d’arrêter quelque chose qui marche, surtout si en plus vous pouvez le vendre à l’international ! ». Refusant toute idée de transition écologique qui passerait par une décroissance généralisée, source de baisse du PIB et des revenus : « mon sentiment est que les populations préféreraient le réchauffement politique aux conséquences sociales d’une telle politique… ».

 

 

 

Nouvelles technologies : la France est encore à la traîne…

 

La troisième révolution industrielle est en marche et s’est même vue accélérée par la crise que nous venons de traverser : biotechnologies, numérique, intelligence artificielle, robots font désormais partie de notre lot quotidien. Pour preuve l’usage renforcé du télétravail dans les entreprises depuis dix-huit mois. Mais la France reste à la traîne en matière de production de ces nouvelles technologies : « nous ne sommes pas bons ! Apple, Amazon, Google, Tesla, Spacex sont toutes des entreprises américaines même si ça nous agace ! ». Une défaillance d’autant plus regrettable selon Nicolas BOUZOU, dans ce contexte de nouvelle guerre froide entre Américains et Chinois, tirant plus sa substance sur la conquête technologique que sur le terrain militaire. Face à cela, deux stratégies pour l’Europe : « se laisser dériver et devenir un sous-traitant de ces deux pays ou tenter des « trucs » même si on a du retard, avec des secteurs comme l’hydrogène vert. Peut-être une idée d’avenir grâce au nucléaire, là où les Chinois en fabriquent encore avec du charbon… ». L’économiste et essayiste a sans nul doute déjà fait son choix !

           

Dominique BERNERD

 


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Performante pour assurer la collecte des productions agricoles des territoires du Centre et du Nord de l’Yonne, la coopérative YNOVAE l’est également en matière de mobilité écologique. La structure vient d’adopter une nouvelle manière de faire circuler sa flotte de poids lourds. A l’aide d’un carburant végétal 100 % made in France baptisé OLEO !

 

VERON : L’initiative est géniale. Quant aux premiers chiffres annoncés, ils séduisent ! Ils affichent des réductions d’émission de gaz à effet de serre équivalent à 60 %. Du côté de la diminution des particules, c’est encore mieux. Les analyses des bureaux d’étude sont formelles : le gain est de l’ordre de 80 % ! Et tout ceci pour un coût identique à celui du gazole…

Depuis peu, les poids lourds de la coopérative agricole de l’Yonne roulent en mode « écologie ». Grâce à un carburant obtenu à l’aide de colza, l’OLEO 100.

Responsable des transports, David ROUSSEL se veut enthousiaste : « Dans notre démarche d’accompagnement pour la production de céréales à haute valeur ajoutée, il nous semblait indispensable de modifier certaines habitudes de consommation. L’utilisation d’un biocarburant pour faire rouler notre parc de poids lourds représentait une réelle opportunité… ».

 

 

Un projet au double effet « Kiss Cool » économique…

 

En substituant le carburant fossile par le liquide issu de végétaux (une démarche initiée par le groupe AVRIL et sa filiale SAIPOL), YNOVAE réalise une belle opération à effet gigogne.

Non seulement, le projet contribue à brève échéance à utiliser les productions des agriculteurs adhérents à la coopérative. Mais, en outre, d’en assurer la fabrication à peu de distance de là, de l’autre côté de la frontière auboise sur le site du Mériot. Soit une économie plus que substantielle pour la coopérative qui évite ainsi de se faire livrer du gazole venu du Moyen-Orient !

Le choix stratégique voulu par la direction a nécessité cependant quelques aménagements structurels. A commencer par la pose d’une cuve sur un terrain entièrement stabilisé près de Sens.

Equipée d’un automate fonctionnant à l’aide d’un badge, la station-service alimente ainsi les treize camions de la flotte.

Précisons que c’est le groupe CHAROT, spécialiste des ballons d’eau chaude sanitaire et des cuves qui a assuré la fabrication et la pose de celle de très grande capacité accueillie sur le site.  

 

 

 

En savoir plus :

 

L’OLEO 100 est un carburant uniquement destiné aux véhicules diesel homologués de plus de 7,5 tonnes.

Ce carburant représente à ce jour la seule alternative envisageable aux carburants fossiles, capable d’offrir une autonomie équivalente à celle du gazole et sans changement majeur à apporter sur les flottes de véhicules.

Ce biocarburant n’est pas distribué en station-service accueillant le grand public.

On peut en savoir davantage sur ce carburant en consultant le site : https://oleo100.com.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Connu et apprécié dans la région pour son golf et son hôtel 4 étoiles, le domaine du RONCEMAY a ouvert le 27 août dernier un spa rutilant de 850 mètres carrés. Un atout majeur supplémentaire, mettant en valeur le site de l’Aillantais, tout aussi appétissant que les plats gastronomiques qui sont servis à la table de son restaurant par son chef Pascal GUELLEC. Découverte plus que de courtoisie…

 

CHASSY: Envie d’un massage, d’un soin du visage ou d’un moment de détente à vivre en parfaite sérénité en suivant le parcours sensoriel dans l’eau ? Cathy CISSOKO, directrice de l’établissement aquatique, accueille sa clientèle avec son équipe au quotidien. 

Le Domaine de RONCEMAY dispose désormais d’un nouveau joker commercial : un spa ! Il a été inauguré le 21 octobre par les propriétaires des lieux, Jeanne FRANGIE et Thierry GARRET.

Une centaine d’invités parmi lesquels des partenaires, élus, représentants institutionnels, médias, entreprises ont pu admirer le complexe réalisé par des entrepreneurs du cru.

 

 

Des soins destinés aux grands comme aux plus petits…

 

Un mot sur ce parcours sensoriel flambant neuf. Il propose pendant deux heures des possibilités diverses de relaxation : hammam, brumisateur, sauna, bain bouillonnant, seau en cascade, douche quatre saisons, et un très beau bassin. Ce parcours est accessible en semaine pour 39 euros et les week-ends (du vendredi au dimanche) au tarif de 55 euros.

A l’étage, vous pouvez également profiter des massages classiques (amincissant, jambes et dos, pierre chaudes, énergisant,…) mais plus particulièrement : du massage signature du Roncemay.

Il s’agit d’un soin du corps comprenant des étirements, de l’effleurage, du pétrissage, des frictions mais aussi de la vigueur énergisante.

Crée par Cathy, ce massage de 90 minutes a la particularité d’être élaboré à partir d’huile de pins du domaine.

Autre spécificité à découvrir sans modération : le rituel de la signature du Roncemay by KOS (marque vendu). Il se compose d’un gommage aux sucres mauriciens ou sel marin, d’un massage et d’un soin du visage avec les produits de la marque KOS, notamment « l’élixir des légendes ».

 

 

Les plus petits ne sont pas oubliés : ils peuvent également profiter de leur massage d’une demi-heure.

Différents soins du visage sont également proposés, avec la possibilité d’avoir un diagnostic de peau personnalisé.

Quant aux coffrets cadeaux, ils sont proposés à la vente. Parmi les formules attrayantes, la possibilité de devenir membre du spa en bénéficiant d’avantages exclusifs avec un droit d’entrée de 295 euros par personne.

La première formule cadeau comprend un accès de deux heures au spa et un déjeuner au bistro du lundi au jeudi pour la somme de 59 euros. 

Enfin, signalons qu’une salle de fitness est disponible pour les clients de l’hôtel et aux membres du club.

 

Maryline GANDON

 


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Le plan de relance européen s’est invité aux « Entretiens de CHAMPIGNELLES » ce mardi. Une thématique ambitieuse comme le souhaitait Jacques GILET, instigateur de l’évènement. Non, il n’était pas question de philosopher sur la théorie du ruissellement et c’est bien heureux ! L’occasion fut donnée au vice-président en charge du développement économique à la Région Nicolas SORET de pouvoir apporter des éclaircissements sur les aides apportées par l’organisme.

 

CHAMPIGNELLES : Vice-président en charge du développement économique au Conseil Régional Bourgogne Franche-Comté Nicolas SORET est le premier des intervenants à avoir pris la parole et à dissiper toute envie de sieste !

D’entrée de jeu, il asséna que la Région intervenait peu en direct « pour les trains et les lycées » et beaucoup en faveur du développement économique « par l’appui des initiatives locales ». Il précisa que « toute demande d’un élu icaunais est assurée d’un bon accueil ». Les participants ont écouté les propos de manière studieuse.

 

Une longueur d’avance sur les secteurs de pointe…

 

Le président de la CC du Jovinien et élu de Joigny exposa ensuite que « la Région était à la pointe dans des divers domaines économiques : le bio-médicament, les nanotechnologies, le luxe et autres secteurs d’activité ».

Lui-même a pu visiter le site industriel automobile de Sochaux. Il a clamé avec fierté que trois voitures françaises sur quatre sortaient de ces ateliers. Dès 2022, plus de la moitié de la production sera électrique et non plus thermique.

En ce qui concerne l’équipement de notre territoire, Nicolas SORET insista sur l’effort effectué par la Région en faveur de la fibre. Tout de suite, ajouta-t-il. Mettant l’accent sur les « usages » car l’élu local revendique la prise en charge de tous les besoins, y compris celui d’une familiarisation avec l’outil informatique.

 

 

La balle au bond pour aider les TPE et PME à grandir…

 

L’économie de proximité est une priorité pour Nicolas SORET. Il veut aider les petites entreprises à grandir.

« Vous connaissez les entrepreneurs tandis que nous, à la Région, nous connaissons les grandes entreprises » précisa-t-il avant d’inviter les maires à s’adresser aux conseillers régionaux du secteur, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI et Gilles DEMERSSEMAN.

Prenant la balle au bond avec sa verve coutumière, le président de la CCPF a rappelé à tous que « l’argent injecté par la Région servait les intérêts de la Puisaye-Forterre ».

Très écouté, il se tourna ensuite vers Nicolas SORET et évoqua le bâtiment du CFA qui se dégrade de plus en plus à CHAMPIGNELLES.

Il fit une allusion à l’accord intervenu l’été dernier dans le cadre des « Estivales de Puisaye », et surtout de cette autre convention qui a permis l’installation de la poterie NORMAND au pôle d’excellence rurale.

« Il faut s’inspirer de ce dernier modèle d’accord pour permettre au bâtiment du CFA de redevenir un atout de développement » devait-il souligner.

 

 

Un aperçu autour des aides émanant de l’Union européenne…

 

Puis, Olivier RITZ, directeur général adjoint chargé des fonds européens au Conseil régional, insista sur l’expertise des services et la rigueur des contrôles imposés par les règles de fonctionnement de l’Union européenne.

Sébastien GUENAND, en charge des politiques publiques à la préfecture de l’Yonne, expliqua le rôle de ses équipes. Il évoqua un point essentiel : leur disponibilité pour toute information ou recommandation préalable.

Il a ensuite invité les élus à regarder les informations disponibles sur le site de la préfecture, confiant aux maires son adresse électronique.

 

Thierry CARABIN

 


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Mais jusqu’où peut mener réellement la passion ? A soulever des montagnes même les plus élevées vers le ciel pour se faire violence afin d’aboutir coûte que coûte à un projet ? A vivre avec enthousiasme quelque chose d’extraordinaire pourtant aux antipodes de votre existence ? A se faire plaisir et à prendre conscience de ses véritables potentialités ? C’est un peu tout cela qui vient d’animer le parcours de vie de l’apprenti écrivain Guillaume GARNIER, auteur d’un ouvrage consacré à Djibril CISSE et à ses maillots !

 

AUXERRE: Publier un livre sur l’un des héros footballistiques de sa prime jeunesse, il n’en revient toujours pas, le Dijonnais Guillaume GARNIER ! Et pourtant, ce spécialiste de la vente de cuisines dans le monde profane vient de se révéler en pleine lumière en qualité d’artisan scriptural.

Un exercice qu’il a pu mener avec la complicité de celui qui lui a mis la puce à l’oreille dans la réalisation de ce projet, son ami Emeric FOSSE, grand amateur de prises de vues sportives. Ses clichés illustrent abondamment l’opus.

« Moi, je ne suis pas un littéraire, précise-t-il avec un zeste d’humour, ma formation pédagogique c’est plutôt de posséder une maîtrise en biochimie ! ».

 

 

Un collectionneur de maillots portés à la base…

 

Oui, mais le résultat est là ! Il se duplique d’ailleurs en 250 exemplaires, les premiers d’une peut-être longue série si le bouquin trouve son public et rencontre le succès.

La genèse du projet remonte à novembre 2020. En pleine crise sanitaire et la énième période de confinement. Lassé de ces épisodes négatifs à répétition, Guillaume GARNIER prend la décision à 45 ans (un tout jeune senior selon les codes rigoristes de l’INSEE !) de faire quelque chose d’utile pour s’occuper l’esprit.

Et pourquoi ne pas narrer les aventures de l’un de ces sportifs préférés, Djibril CISSE, issu de l’un de ses clubs de prédilection (l’AJ Auxerre car le garçon est un pur natif de l’Yonne) dans un bouquin ?

La question, il se la pose nécessairement. D’autant que Guillaume est un collectionneur à la base de maillots portés par les joueurs. En l’occurrence ceux de l’ancien international !

En deux coups de cuiller à pot, l’idée germe dans sa tête avant de faire son petit bonhomme de chemin. Il en parle avec son camarade Emeric : cela tombe à pic ! Ce dernier a de quoi garnir de manière iconographique le futur ouvrage avec un panel de clichés.

Les maillots de Djibril CISSE que les supporters de cœur de l’AJA n’ont jamais oubliés deviennent ainsi le prétexte de ce livre original, et racontent l’histoire de celui qui les a honorés.

De Liverpool à l’Olympique de Marseille, de l’AJ Auxerre à l’équipe de France : ce panorama textile nous apprend à l’aide d’anecdotes et de commentaires avisés tous les aspects sportifs liés à ces vestiges vestimentaires de ce prince du football.

Durant tout ce temps, Guillaume GARNIER s’immerge dans le fruit de sa passion. Il s’équipe de logiciels pour traiter et travailler les visuels en les fignolant, s’improvisant au passage graphiste et maquettiste.

Son rêve qui prend forme petit à petit le pousse à faire enregistrer son livre auprès des services de la Bibliothèque nationale. Puis de mener à bien ses tractations avec l’imprimeur. De contacter également la presse qui trouve une source d’inspiration sympathique à ce projet né de nulle part mais bel et bien abouti !

Peut-on le soupçonner d’avoir entrepris cette démarche pour l’appât du gain ? Que nenni ! Rétorque-t-il de sa bonne foi (et on en peut que le croire). Même si le prix de vente est de 15 euros. Mais, comme le dit l’adage : tout travail (et celui-ci est respectueux) mérite salaire !

 

 

Son désir le plus fou : croiser Guy ROUX et sa source d’inspiration, Djibril CISSE !

 

Pour ce vivre les yeux grands ouverts ce rêve de gosse, Guillaume va jusqu’à sacrifier sa belle collection de chasubles sportives à des aficionados de Djibril CISSE histoire d’avancer les frais !

« Ce projet m’a aidé à progresser, explique-t-il, à mieux me cerner ! A multiplier aussi les contacts et les rencontres auprès de collectionneurs, de professionnels. De découvrir un autre univers parallèle à mon existence… ».

Une sorte de thérapie introspective où le plaisir reste le maître mot en vérité !

A 45 ans, le lointain parent d’Emile MARTIN, l’une des figures emblématiques de l’AJ Auxerre, est donc allé droit au but dans sa quête de l’absolue comme on dit sur la Canebière ! En endossant le rôle d’un écrivain et en le faisant savoir autour de lui, fier du travail accompli.  

L’auteur du livre sera en séances de dédicaces au Bar de la Gare à Auxerre le samedi 06 novembre de 10 h à 12 heures. Puis à l’Espace culturel du Centre E.LECLERC de 17h30 à 19 heures. Ses livres seront en vente également chez CULTURA.

La boucle sera ainsi bouclée pour cet iconoclaste de l’écriture. Il ne désire plus qu’une seule et unique chose à vivre lors de ces deux rendez-vous face au public : croiser sur son chemin un certain Guy ROUX et pourquoi pas Djibril CISSE en personne…

 

Thierry BRET

 

 


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