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C’est une catastrophe inéluctable pour l’emploi et l’attractivité de l’Yonne. Avec quatre cents postes à la clé qui pourraient être menacés si rien n’est fait pour sortir de ce guêpier qui frappe de plein fouet l’une des références industrielles de l’automobile. Un coup de massue que la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY a dû mal à encaisser. Et pour cause : l’équipementier allemand n’avait pas prévu de fermer le site…

 

MIGENNES : A l’annonce de la fermeture de l’usine BENTELER, intervenue ce jeudi matin à l’issue d’un comité social et économique extraordinaire, le sang de Marie-Guite DUFAY n’a fait qu’un tour.

Demandant au vice-président en charge de l’économie et de l’emploi Nicolas SORET de prendre attache dès que possible avec l’équipe de direction et les salariés, la présidente de l’exécutif régional a décidé de réagir le plus vite possible face à une situation qu’elle a qualifié d’inacceptable.

L’enjeu est de taille. Ce sont quatre cents emplois qui sont ainsi dans la balance. Celle des pertes et profits. Alors que l’équipementier allemand avait confirmé mordicus à l’élue régionale ne pas vouloir fermer le site de Migennes ! En outre, aucun plan de sauvegarde de l’emploi n’avait été envisagé.

D’où l’étonnement de la présidente régionale à la découverte de cette information matinale. Elle qui évoque sa relation avec la direction du site il y a de cela quelques jours encore pour finaliser une possible offre de reprise.

« La Région s’était engagée à accompagner, aux côtés de l’Etat, tout repreneur afin de garantir la pérennité du site et des emplois, ajoute-t-elle.

 

 

Que l’Etat déclenche le dispositif « Choc industriel »…

 

A ce titre, Marie-Guite DUFAY s’est rapprochée de l’Agence Economique Régionale (AER) afin qu’elle puisse redoubler d’efforts dans la recherche d’un possible repreneur d’ici l’ouverture du PSE, le Plan de sauvegarde de l’emploi.

« J’ai interpellé la ministre déléguée chargée de l’industrie, précise la présidente, en la sollicitant pour qu’elle déclenche immédiatement le dispositif « Choc industriel »… ».

Un processus propre au programme « Territoire d’industrie » qui offre la possibilité de bénéficier d’un accompagnement renforcé de la part de l’Etat afin d’aider prioritairement tout projet de développement économique sur le territoire. Pour l’heure, on ne connaît pas encore la réponse d’Agnès PANNIER-RUNACHER.

Toujours est-il que la présidente apporte son soutien aux salariés et demeure à la disposition des organisations syndicales et des élus locaux. Exigeant de l’Etat à l’heure où celui-ci clame haut et fort le principe de relocalisation industrielle, de reconquête et de souveraineté économique qu’il agisse en connaissance de cause au plus vite. « C’est le moment de prouver qu’après les discours il y a des actes ! ».  

 

Thierry BRET

 


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Les mamans devront prendre leur disposition pour ne pas se casser le nez devant les portes closes. Peut-être aussi les papas, également ! Un mouvement de grève d’amplitude nationale devrait contrarier quelque peu le bon fonctionnement des accueils périscolaires dans les écoles maternelles et élémentaires de l’Yonne ce vendredi. A l’instar de celles de Joigny qui ne pourront assurer le service…

 

JOIGNY : On s’attend à des suivis record ! Du jamais vu selon les syndicats qui sont fortement mobilisés. Le mouvement de grève des animateurs du périscolaire devrait affecter bon nombre d’établissements scolaires dans l’Yonne ce vendredi. La plupart des écoles maternelles et élémentaires devraient être touchées par ce mouvement aussi bien dans le secteur public que privé.

Parmi les principales revendications de ces professionnels : de meilleures conditions pour exercer leur métier, la revalorisation des salaires, davantage de formations et une reconnaissance améliorée au niveau des statuts. Rappelons que le secteur peine à recruter de nouveaux personnels.

Le préavis est uniquement valable sur la seule journée de ce vendredi 19 novembre et concerne tous les agents titulaires, les non titulaires, les vacataires des collectivités territoriales, les animateurs de loisirs, les agents spécialisés d’écoles maternelles (ASEM), les responsables d’animation loisirs, les AVS périscolaires…

 

 

A Joigny : pas d’accueil assuré ce vendredi…

 

Compte tenu de ce mouvement de grève, la Ville de Joigny s’est fendue d’un communiqué de presse pour signaler que les accueils périscolaires du matin et du soir ne seront pas assurés dans les écoles maternelles et élémentaires. Quant à la restauration scolaire du midi, elle continuera à fonctionner. Mais avec un personnel réduit. Aussi, la municipalité incite les parents qui le peuvent à garder leurs enfants durant le temps de restauration. Le repas, c’est une conséquence, ne leur sera pas facturé.

Pour l’heure, si les appels à la mobilisation ont été largement relayés via les réseaux sociaux, nul ne peut prévoir la portée de cette grève qui traduit l’extrême tension vécue au sein de cette filière professionnelle depuis plusieurs mois.

 

Thierry BRET

 


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Le plaisir de se réunir. De se revoir après une très longue période de turpitudes. De se parler, aussi. Autour de nouveaux projets et perspectives. De celles qui ne peuvent immanquablement qu’interpeller les professionnels de l’un des secteurs les plus affectés par cette crise sanitaire sans précédent. Ce tourisme où il est bon de reconstruire des liens. C’était la finalité de ce Salon spécifique aux groupes. Objectif atteint pour Yonne Tourisme…

 

PREHY: Un seul mot d’ordre : redynamiser la corporation ! Affaibli par vingt mois de crise, le tourisme doit renaître de ses cendres tel un Phénix revigoré à la conquête de nouvelles parts de marché. Ce ne sera pas facile. Les férus de déplacements au long cours peinent à reprendre les automatismes ; par crainte de nouvelles péripéties fâcheuses, inhérentes à ce satané coronavirus.

Pourtant, le sentiment qui se dégage de ce deuxième rendez-vous concocté pour les professionnels de l’Yonne qui proposent l’accueil de groupes, c’est l’envie. Envie de bien faire, envie de s’adapter aux impératifs novateurs nés de cette situation ubuesque, entre confinements à répétition et adoption des gestes barrières. Envie de recevoir des groupes. De seniors, associatifs, de comités d’entreprise, d’amis, aussi, puisque chez les particuliers, c’est un peu la tendance d’aujourd’hui.

En cela, ce deuxième évènement décliné par l’agence de développement Yonne Tourisme a répondu aux attentes des participants. Ces derniers ne boudaient pas leur plaisir de se retrouver là en pareille circonstance dans l’une des salles de réception du Domaine BROCARD. Au beau milieu du vignoble, rien de tel pour se ressourcer et parler projets !

 

 

L’après-COVID a redéfini la notion de groupes…

 

La notion de groupes est à revoir, semble-t-il. Plus petits. Moins denses en termes de quantité, obligations sanitaires à respecter. Peut-être y gagnera-t-on  davantage en qualité ? Des acteurs consuméristes près à dépenser plus lors de ces séjours, dits de « passage ». Une nuitée, pas plus de deux. Une halte nécessaire avant de poursuivre vers la capitale de la Bourgogne, Dijon, ou ailleurs. Et puis, il y a l’émergence de ces groupes dits de « tribus ». Ce sont des amis, des camarades, bref des copains qui partent en goguette à la découverte d’un vignoble, d’un évènement culturel, d’une exposition à admirer sans retenue. Presque la fleur au fusil, surtout quand il y a le bénéfice de la jeunesse !

Les groupes peuvent s’articuler autour de corporatismes, de filières, de métiers. On entre là de plain-pied dans une autre dimension. Non pas la cinquième chère aux adorateurs de science-fiction mais celle plus tangible et rationnelle du monde entrepreneurial. Ce que l’on appelle nommément les voyages d’affaires. Voilà une thématique qui mérite tout l’intérêt des hébergeurs et restaurateurs de l’Yonne.

 

 

Tourisme d’affaires : une piste vers laquelle s’engouffrer dans l’Yonne…

 

Sous le fallacieux prétexte de se retrouver pour développer la cohésion d’entreprise et aiguiser les connaissances entre cadres, ces séjours business s’organisent depuis Paris et l’Ile-de-France. Forcément, l’environnement verdoyant de l’Yonne représente une réponse adéquate à cette quête du retour sur soi, afin de mieux juger les aptitudes et l’acceptabilité au sein d’un groupe. Une approche insolite mais tellement efficace du management moderne !

Activités pédagogiques, itinéraires à parcourir à bicyclette : le tourisme d’affaires connaît un regain d’intérêt non dissimulé sur notre territoire. Certains des acteurs de la filière touristique, à l’instar de la société France Vélo, se sont pleinement engouffrés dans une brèche de niche qui se veut lucrative.

 

 

Changement de rythme pour ce rendez-vous : il deviendra biennal…

 

L’autre innovation de ce salon qui a reçu la visite de près de soixante-dix professionnels concerne sa future cadence. Sa précédente édition avait vu le jour en février 2020. Pile poil, juste avant le début de la COVID ! L’évènement avait bénéficié d’un cadre enchanteur et patrimonial : le château de Tanlay.

Il faudra toutefois patienter jusqu’en 2023 désormais pour assister à son troisième épisode. Car, naturellement, cette carte maîtresse placée dans le calendrier des professionnels sera reconduite mais de manière biennale. Sans doute dans la partie septentrionale de l’Yonne. Avec comme arrière-pensée, l’accueil de professionnels de Seine-et-Marne, de l’Aube, du Loiret.

Un choix correspondant à la ligne stratégique que veut impulser la nouvelle présidente de l’agence de développement Yonne Tourisme, Isabelle FROMENT-MEURICE.

L’élue du Département, elle a en charge en sa qualité de vice-présidente le dossier des affaires culturelles et du tourisme qui vont de pair, considère ce salon comme une excellente vitrine du savoir-faire des professionnels icaunais. Une vitrine à l’équilibre au plan budgétaire. Une note positive non négligeable…

 

Thierry BRET

 


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Prise de parole intéressante du parlementaire de l’Yonne ce mardi après-midi à la tribune du Palais Bourbon. Le député Les Républicains de la première circonscription est intervenu lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité. Objectif de son propos : positionner Auxerre en qualité de candidate en vue de l’installation d’un centre 15 18 (pompiers et SAMU) tel que le prévoit l’article 31 de la loi. Une manière réaliste de circonscrire définitivement l’incendie ?

 

PARIS : Se battre jusqu’au bout dans l’intérêt des Icaunais ! Déterminé et volontaire, Guillaume LARRIVE s’est exprimé à la tribune de l’Assemblée nationale ce mardi 17 novembre après-midi lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité.

Se faisant le porte-voix des 4 300 élus de notre territoire ayant choisi par une délibération favorable l’implantation d’un centre 15 18 dans la capitale de l’Yonne, l’élu Républicain a précisé que « la ville d’Auxerre était candidate à l’accueil de ce dispositif, mutualisant les appels aux sapeurs-pompiers (les rouges) à ceux destinés au SAMU (les blancs) ».

Un acte de candidature solennel prononcé dans l’hémicycle qui entre de plain-pied dans ce que prévoit l’article 31 de cette loi. En effet, celui-ci stipule que « dans plusieurs départements, des plateformes communes permettront de mutualiser les appels aux pompiers et les appels au SAMU, en composant un numéro unique, celui des appels d’urgence, à savoir le 112 ».

 

 

Le transfert du centre 15 d’Auxerre à Dijon : l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire…

 

En annonçant de manière officielle la candidature de la ville dont il est le député dans le cadre de ce projet, Guillaume LARRIVE entend bien obtenir gain de cause une bonne fois pour toute sur cet épineux dossier. Et aboutir par ce biais à sa résolution.

Déjà le 24 septembre dernier, il avait obtenu du Premier ministre Jean CASTEX alors en déplacement dans le nord de la Bourgogne qu’il suspende la décision de l’Agence Régionale de Santé (ARS), désireuse de la suppression du centre 15 à Auxerre. Afin de mieux le transférer vers Dijon !

Au nom des 103 députés membres du groupe Les Républicains à l’Assemblée, Guillaume LARRIVE s’est montré favorable à ce texte de loi qui est le fruit d’une véritable coopération entre les différents groupes de l’hémicycle. Sans omettre la concertation sénatoriale.

Espérant une application rapide et effective de cette proposition de loi, le parlementaire a évoqué ensuite les faits relatifs à l’Yonne. « Un exemple de ce qu’il ne faut surtout pas faire sur le plan administratif et qui doit amener à réfléchir sur ce qu’il faut réussir à faire au plan politique tous ensemble dans les mois qui viennent… ».

 

 

L’attitude bornée et bureaucratique d’un seul homme…

 

Puis, Guillaume LARRIVE de relater toutes les péripéties rocambolesques de ce dossier kafkaïen imputable à « l’attitude bornée du directeur général de l’Agence régionale de Santé » de l’époque. Un bras de fer qui aura duré in fine deux années.

« Il se trouve que j’ai été haut fonctionnaire avant d’être député, souligne l’orateur, et que jamais je n’ai rencontré un tel bureaucrate ! Il voulait absolument supprimer le centre 15 de régulation des urgences de l’hôpital d’Auxerre pour le transférer à Dijon…». En voilà un qui est habillé pour les quatre saisons !

Qu’ils soient de gauche, du centre, de droite, 4 300 élus de l’Yonne, ont protesté comme un seul homme contre ce projet de suppression farfelu.

« Ils se sont même battus pour qu’une plateforme physique commune au 15 et au 18 voie le jour dans la capitale de l’Yonne, unissant les rouges et les blancs. Peine perdue… ».

Il faudra attendre l’intervention de Jean CASTEX pour enrayer le jusqu’auboutisme du directeur général de l’ARS !

« Nous nous réjouissons de cette aide, poursuit à la tribune Guillaume LARRIVE.

Quant à la possibilité pour Auxerre d’expérimenter les vertus applicatives de cette plateforme commune 15 18, Guillaume LARRIVE dit banco.

« Nous y sommes prêts, y compris sur le plan budgétaire qu’il s’agisse de l’agglomération d’Auxerre, du Département ou encore du conseil d’administration du SDIS 89 ».

Comme qui dirait l’autre, il n’y a plus qu’à. Auxerre peut devenir assurément le poisson pilote expérimental de l’article 31 de la nouvelle loi. Personne, vu de notre chapelle, ne s’en plaindra puisque l’on parle d’altruisme et de sécurité…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ras-le-bol de cette téléphonie défectueuse qui vous lâche en pleine conversation sans crier gare ! Ras la frange de ces outils numériques censés être ultraperformants, et vous relier avec le reste du monde qui rament et tournent dans le vide sidéral ! Seraient-ce les joies de vivre à la campagne ? Que nenni ! D’autant que même dans les zones urbaines, le phénomène de coupures intempestives ne cesse de s’accélérer au grand dam des utilisateurs depuis plusieurs mois.

 

TRIBUNE : Trop, c’est trop à l’heure de la mondialisation à outrance, de l’attractivité territoriale que l’on nous sert à toutes les sauces, matin, midi et soir !

Entre les zones blanches omniprésentes qui tapissent notre environnement et les incohérences technologiques qui nous privent de tous les usages de la modernité et du lien social, c’est une colère froide et sourde qui envahit les consommateurs que nous sommes, tous !

Parce qu’au final, la facture de toutes ces prestations et services non assurés reste la même ! A acquitter au centime d’euro près à l’instar des heureux bénéficiaires du système qui eux peuvent en jouir à satiété ! Parce que vivant sur des secteurs de couverture technologique privilégiée…

Petits et grands, jeunes ou vieux, professionnels ou retraités, inactifs ou femmes au foyer, valides ou handicapés : la moutarde nous sort par les trous de nez devant ces pannes chroniques à répétition qui jalonnent notre ordinaire au goût d’amertume !

Une feuille tombe d’un arbre, une branche se brise d’un arbuste, trois gouttes de pluie mouillent la route, le vent balaie deux nuages ou le soleil fait grimper un peu à l’excès la température : et voilà les effets gigognes qui en résultent en cascade dans toute leur splendeur.

 

 

Retour vers le Moyen-Age pour les ruraux privés des liens de communication…

 

Avec leur litanie habituelle de noms pour en qualifier les conséquences, faite de coupures, pannes, plus de réseaux, autarcie, solitude, privation, et emmerdes à venir toutes catégories confondues pour gérer la crise !

On nous parle de cohésion sociale et de progrès technologiques ! Foutaise alors que sans téléphone et ordinateur, l’humain de la campagne se retrouve plongé comme au temps suranné du Moyen-Age ! Dépourvu de tout !

Impossible de travailler, de s’instruire, de jouer, de discuter, d’être en relation avec l’autre, de pouvoir, et ceci est nettement plus grave, se soigner ou de joindre son médecin !

Et si pendant ces pannes insupportables, il arrivait à ces habitants de zones dites reculées de faire un malaise. Voire pire de subir les foudres d’une attaque cardiaque parce que trop excédé par la tournure de ces évènements qui font fulminés les esprits et chauffer le sang à blanc. A qui en incomberait la faute ?

A pas de chance, à la goutte de pluie, à l’incompétence, aux retards emmagasinés depuis tant d’années par les gouvernances, quelles qu’elles soient qui n’ont pas su prendre le train en marche du modernisme, à la lenteur administrative dont on se repaît depuis des siècles pour prendre la moindre des décisions ?

 

 

Une fracture numérique toujours présente dans la France de 2021…

 

A quoi bon avoir en sa possession  des smartphones de dernière génération, des routeurs de dernier cri pour amplifier les ondes, des ordinateurs au design de Rolls-Royce, de la 4 G, 5 G, haut débit en veux-tu en voilà, de la fibre optique et tutti quanti pour arriver in fine toujours au même résultat : dans les zones rurales, tout cela ne fonctionne pas !

A six mois des échéances présidentielles, peu de candidats (pour ainsi dire aucun) n’évoque ce fléau crucial qui mine nos jolis territoires de villégiature : la fracture numérique et technologique.

C’est pourtant l’un des enjeux prioritaires de cette France rurale qui ne demande qu’à profiter des mêmes attraits technologiques que les villes et leurs périphéries. Au nom de l’égalité, chère à nos esprits patriotiques.

Une chose est sûre : compte tenu de ces difficultés pour trouver ENFIN les solutions idoines devant s’appliquer très vite à la résolution de ces sempiternels problèmes devant pourrir l’existence des Français de plus en plus nombreux à choisir la campagne plutôt que la ville, force est de constater que la France se divise en deux.

Celle des villes et celle des champs. Comme l’aurait si bien narré en son temps et avec poésie le fabuliste Jean de La FONTAINE.

Mais, maintenant, cela suffit : nous autres, les ruraux, n’avons plus envie de boire de cette eau trouble qui sent le soufre…et attendons avec impatience de lire les programmes des candidats de tout bord qui s’intéressent réellement à ce problème de fond. Pour que les choses changent vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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