Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Visite symbolique que celle qui a été effectuée par le Premier ministre dans la zone industrielle de Saint-Florentin, vendredi en fin de matinée. Avant de poursuivre son court périple en terre de l’Yonne du côté de Sens où l’attendaient les équipes de France Télévisions pour le JT de 13 heures, le chef du gouvernement a fait une halte chez l’un des fleurons de l’extrusion de profilés en aluminium de France, le groupe AFE.

 

SAINT-FLORENTIN : Muni de sa coiffe de protection et d’un gilet fluorescent de couleur…orange ( !), le représentant de l’Etat s’est rendu dans l’antre de l’extrusion de profilés en aluminium de l’Yonne, afin de tâter le pouls d’une entreprise industrielle dont les résultats sont à la hauteur des espérances. Histoire aussi d’observer au plus près du terrain que le plan de relance n’a pas été distribué en vain et qu’il aura grandement aidé des structures professionnelles dans leur quête à remplir leurs carnets de commandes.

Alors, un Premier ministre en visite chez AFE (Aluminium France Extrusion), c’est nécessairement un fait sociétal qui n’est pas passé inaperçu auprès des deux cents collaborateurs que compte le site. Près de 360 salariés si l’on y ajoute la seconde implantation de la société, celle qui est située dans la Somme, à Ham.

L’héritier de Péchiney et d’Alusuisse occupe une place extrêmement privilégiée dans le secteur du traitement de l’aluminium aujourd’hui. AFE n’est autre que la seconde entité industrielle de l’Hexagone à extruder des profilés à la qualité reconnue utilisés ensuite dans les secteurs du bâtiment, des transports, de l’automobile et de l’industrie.

 

 

 

Près de 200 000 euros d’aides au titre de France Relance…

 

Flanqué sur ses talons du ministre en charge des PMI/PME et du tourisme, Jean-Baptiste LEMOYNE, de Nicolas SORET, vice-président de la Région en charge de l’économie et de l’emploi et de Yves DELOT, président de la CC Serein et Armance, Jean CASTEX a écouté avec beaucoup d’intérêt les explications des dirigeants de l’entreprise, Hervé PELCERF, directeur général et du responsable du site d’exploitation locale, Christian BEAUMEL.

AFE qui avait déjà accueilli en février 2021 le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, a bénéficié de 200 000 euros de subventions dans le cadre du plan France Relance afin de moderniser certains équipements indispensables à son développement. En particulier, ceux qui se rapportent à l’activité de laquage.

Des investissements qui ont pour résultante à terme de créer de nouveaux emplois et de pouvoir diversifier les commandes en les augmentant.

Pour mémoire, rappelons que la société, dont le propriétaire n’est autre que la holding d’investissement OPEN GATE CAPITAL depuis 2013, exporte à date 12 % de sa production de profilés en aluminium vers une dizaine de destinations. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de près de 104 millions d’euros en 2021.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’ombre de Darry COWL, génial interprète du « Triporteur », n’est pas très loin. Surtout quand on examine de plus près ce nouveau mode de locomotion dont va faire usage désormais La POSTE. En développant le principe du vélo-cargo, testé depuis le 01er février à Sens, l’entreprise innove en garantissant une livraison « propre » des colis. La réponse appropriée à la transition écologique !

 

SENS: Est-ce que les facteurs, habilités à piloter ce nouvel engin de la mobilité douce, après en avoir reçus les rudiments en matière de formation, devront s’habiller de la célèbre tenue vestimentaire arborée par le loufoque comédien de ce film à succès datant de 1957 ?

Inspiré de l’ouvrage de l’écrivain bourguignon René FALLET (auteur entre autres de « La Soupe aux choux »), « Le Triporteur » avait été mis en lumière par un jeune cinéaste débutant, Jacques PINOTEAU, offrant ainsi l’un de ses premiers grands rôles de comique à ce clown facétieux et zézayant de Darry COWL. Sa vêture, un pull marin que l’acteur vedette porte tout au long de ses péripéties, lui apporta aussi la gloire.

Depuis le début de ce mois, un triporteur au profil ergonomique un peu spécial circule dans les rues de la cité la plus septentrionale du département. Affichant les couleurs jaunes traditionnelles de La POSTE que l’on ne présente plus !

Mais, là, s’arrête la comparaison avec le personnage fictif d’Antoine. Il s’avère que ledit triporteur se nomme vélo-cargo et qu’il répond aux besoins de l’entreprise de livrer les colis en mode doux dans la sous-préfecture de l’Yonne.

 

 

Un appareil à assistance électrique maniable et facile à stationner…

 

Explications fournies par Samuel CADON, responsable de l’excellence logistique du groupe postal en Bourgogne Franche-Comté : « ce moyen de locomotion permet d’augmenter l’emport de colis grâce à sa capacité et son agencement intérieur tout en garantissant un niveau de sécurité maximale… ».

Plus que jamais, La POSTE fait de la logistique urbaine l’une de ses priorités. Pour se faire, le groupe utilise des véhicules à faible émission et optimise ses circuits de distribution. Dans le respect des attentes de ses clients, particuliers et professionnels.

Lancé le 01er février, le vélo-cargo triporteur, placé sous la tutelle administrative des services Courrier et Colis de Saint-Denis-les-Sens promène sa silhouette si caractéristique au gré des rues de l’hyper centre de Sens. Maniable, ce véhicule à assistance électrique emprunte les voies cyclables et achemine ses colis en passant par les zones piétonnes. Un gain de temps pour les facteurs qui peuvent stationner avec facilité leur engin.

Le groupe postal a intégré les pratiques de dépollution et de décongestion des cœurs de villes parmi ses axes stratégiques en matière de transition écologique. A l’échelle de la région, La POSTE possède une flotte de plus de 2 600 véhicules afin de desservir plus d’1,7 million de foyers. L’acquisition de cinq vélos-cargos est une réponse appropriée pour adopter une logistique urbaine novatrice et efficiente en termes de résultats.

D’un volume utile minimal de 1 200 litres, cet engin que les Sénonais découvrent désormais dans leurs rues peut contenir jusqu’à 130 colis et parcourir son périple à la vitesse maximale de 25 km/h. En ce qui concerne l’autonomie, l’énergie est suffisante pour une tournée de 4h30 avec cent kilos de charge.

Le groupe possède également 1 819 véhicules automobiles électriques sur le territoire régional, des « Staby » (en lieu et place de scooters cause de trop d’accidents) au nombre de 249 et 24 quads électriques.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il fait beau en ce mardi de février. Un vol de grues passe au loin dans le ciel bleuté. Bien qu'elles ne disposent pas encore d'Internet, on peut penser que leur retour annonce la fin de la froidure hivernale, qui hélas n'a pas vraiment eu lieu d'ailleurs. Bientôt midi, et l'assurance en poussant la porte d'une des meilleures tables icaunaises, de se régaler une fois de plus. Bienvenue au Rive Gauche à Joigny…

 

JOIGNY : C'est feu  Michel LORAIN (trois étoiles au Michelin en 1986), surnommé le chef bâtisseur par ses équipes  qui contribua à la construction de ce bel établissement, voici une trentaine d'années. Sa dynamique fille, Catherine, en fut longtemps à la tête, la laissant désormais peu à peu, à un véritable binôme de professionnels : Anne-Claire JOUBERT, côté salle, et son mari, Jérôme en cuisine.

La salle est confortable. Quant à la terrasse surplombant la rivière, elle semble cligner de son œil taquin, en  nous susurrant « à bientôt » ! Edwige est la souriante maître d'hôtel de la maison. 

Cette ancienne élève du lycée des métiers Vauban à 'Auxerre arriva gamine ici, et sut y gravir les échelons à la force du poignet. En 2020, sous la férule de chef « Jéjé », elle contribua largement à cette belle seconde place, lors de l'exigeant  concours national de la meilleure brigade de France, après avoir durant les entraînements découpé moult poulardes de Bresse.

A peine le temps de le commander au menu, qu'un impeccable « américano » surgit avec d'onctueuses gougères. Durant ce laps de temps, arrive un quatuor de copines souriantes. Pauline y est la reine du déjeuner, fêtée dignement, en trinquant avec un « coteau du Layon ». L'aînée de la tablée ouvre alors son enveloppe de feuille de paie : « quoi 168 heures alors que j'en ai fait 170… se plaint-elle, rapidement consolée par une rasade de vin moelleux !

Pendant ce temps, Edwige et sa mini-équipe installent les nouveaux arrivants. Tiens, un trio de mise en bouche atterrit sur cette table bien dressée !  Le chef aime les poissons bleus (maquereau ou sardine en saison), il y en a ! Un mot sur l'excellent pain fourni par la boulangerie locale « La Gerbe d'or ». C'est quand même autre chose que l'industriel  « coup de pâte » auquel trop de tables ont  désormais hélas succombé.

 

 

Le délice des sauces qui accompagnent les produits de la mer…

 

L'entrée est aussi fine que délicate : marinade de Saint-Jacques et céleri boule, avec une rémoulade de radis d'hiver et de baies roses (clin d'œil au soleil des tropiques !). Une belle alliance avec le bourgogne blanc générique de la côte de Beaune, choisi par notre maître d'hôtel.

Trois amies arrivent ensuite à la table voisine. Elles sont pressées, très pressées évidemment. Voyons ! Lorsque l'on est quelqu'un d'important : c'est ainsi ! A la commande, elles déconstruisent tous les plats, avec force rasade de ce soda made in USA que je ne citerai point ! L'une d'entre elles est en arrêt maladie, mais a plutôt bon appétit. Comme le disait feue ma grand-mère : « l'appétit,  c'est la santé ! ». Alors…

Demeurant dans l'océan, par table jovinienne interposée, c'est au tour d'un délicieux ragoût d'encornets et de crevettes grises, sauce chablis de s'attabler ! Un plat qui a de la mâche, mention spéciale pour la sauce, aussi onctueuse que goûteuse. On le sait, mais passé antan par de belles tables étoilées (« Le Père Bise » à Talloires, « Stéphane DERBORD » à Dijon...), le chef Jérôme JOUBERT est un véritable saucier, pour le plus grand plaisir de la clientèle. 

 

 

Un établissement « délaissé » par le Michelin : une hérésie !

 

Le plat suivant est un peu un historique de la jeune maison. Pas pour l'entrecôte-échalotes, impeccablement saignante, mais pour son accompagnement que l'on doit à Chris, l'un des fidèles seconds de cuisine. Il s'agit d'un aligot filant, spécialité du jeune papa.

Que les puristes aveyronnais me pardonnent : certes  sans tomme  fraîche de Laguiole. Ce jour-là, ce véritable délice fut servi au comté. Parfois Chris le prépare au soumaintrain, voir en annexe la recette de ce fils de restaurateurs bordelais !

Le dessert est l'œuvre de Céline, la chef pâtissière : un tiramisu bourguignon dans lequel l'acidité du cassis vient se confronter à la douceur sucrée du biscuit. C'est bon le cassis ! Et pas uniquement en kir ! Pour Noël, je fus très agréablement surpris par la bûche marron-cassis de la pâtisserie QUIRIE, sise à Malay-le-Grand.

Toutes les tablées de copines sont parties. A mon tour d'en faire de même, après un bon déjeuner, gentiment servi ! Et je l'écris à nouveau : « Le Rive Gauche » est une table injustement délaissée par le guide Michelin, qui l'a depuis 2021, supprimée honteusement de sa sélection. D’ailleurs, on aimerait mieux en comprendre les objectifs actuels,  entre les cités de D1 (Lyon, Courchevel, Cannes...) et l'immense restant du territoire de France !

 

 


En savoir plus :

 

Les + : table confortable et de qualité. Chambres à l'unisson et au goût du jour.
Les - : jadis, au « Rive Gauche », les tables  étaient nappées. C'était joli. Oui mais ça, c'était avant ! Comme nombre d'autres établissements, ce bon restaurant a désormais succombé au moderniste set de table. Ben, tant que l'on ne nous impose pas la serviette en papier, assortie de couverts en plastoc, dignes d'un plateau éco de compagnies aériennes !

Premier menu à 29 euros avec un verre de vin et café.

La recette de l’aligot au soumaintrain

Pour quatre personnes :

1kg de pommes de terre à chair ferme

300 g de soumaintrain au lait cru

500 g d’emmental râpé de bonne qualité

Beurre et crème fraîche

Faire cuire les pommes de terre à l’eau salée, les égoutter puis les écraser en purée et en y ajoutant crème et beurre,

Tailler le soumaintrain en très fines lamelles, puis à feu doux l’ajouter à la purée avec l’emmental râpé en mélangeant avec une spatule en bois.

Mélanger la masse jusqu’à l’obtention d’une pâte lisse qui se détache des parois de la cocotte en faisant des fils.

 

 

Contact :

Le Rive Gauche

Hôtel/restaurant

Chemin du Port au bois

89300 JOIGNY

Tel : 03.86.91.46.66.

Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. www.hotel-le-rive-gauche.fr

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

L’évènement devrait marquer les esprits. Une convention nationale à Auxerre, cela n’arrive pas tous les jours, à vrai dire ! Mais, quand elle est portée par l’une des structures les plus dynamiques qui évolue dans l’Hexagone, on peut déjà en subodorer le résultat. Réussi, c’est certain ! Pour y parvenir, la Jeune Chambre Economique doit compter sur le soutien de partenaires investis. Des collectivités et des entreprises, prêtes à relever le défi !

 

AUXERRE : Les dates, tout d’abord, sont à biffer d’ores et déjà sur les agendas. Du 23 au 25 juin 2022. Trois  jours de réflexions, de travail mais aussi de moments festifs et de réjouissances. Au-delà des conférences et des surprises que nous promettent déjà sur le papier les membres de la JCE Auxerre, cette convention nationale devrait donner des couleurs chatoyantes à l’agglomération auxerroise à l’amorce de ce futur été.

Pensez donc ! Plus de huit cents congressistes, en provenance des quatre points cardinaux de notre territoire, convergeront vers la capitale de l’Yonne pour s’y retrouver lors d’un évènementiel de haute facture. Pas budgétaire, certes, mais bel et bien synonyme de rayonnement et de coup de pouce espéré pour l’aura de ce département.

Pour en savoir un peu plus sur les opportunités et les belles rencontres à faire lors de ce rendez-vous, synonyme de business et d’échanges, la commission ad hoc, présidée par Laurianne BELLIER (la jeune et talentueuse dirigeante de la société ELANTHIA qui a su faire son chemin dans le paysage du conseil patrimonial) propose un évènement la semaine prochaine. Précisément, à la date du 17 février, au cellier de la préfecture de l’Yonne, lieu coutumier de bon nombre de manifestations réalisées à la sauce JCE !    

Objectif de cette soirée qualifiée de gala : la présentation en long, en large et en travers de ladite convention nationale. Via toutes ces possibilités, en termes de partenariat et de retombées économiques pour ses futurs soutiens. De la pure logique lorsqu’il s’agit d’une JCE à la baguette !

Un évènement taille patron, assortie d’un repas, à la dimension des entreprises et des collectivités qui ont encore foi à l’investissement de cette jeune relève, prête à en découdre en balayant les aspérités de l’existence, afin de créer et pérenniser des projets. Elle n’est pas belle la vie ?!

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« KITSUNE ». Etymologiquement, ce mot tout droit emprunté du vocabulaire nippon signifie le renard. Toutefois, en approfondissant quelque peu la recherche autour de ce terme venu de l’archipel du Soleil Levant, on découvre un autre sens, propre au folklore local. Il définit un personnage polymorphe, un étrange animal qui se meut sous la forme d’un esprit surnaturel. Un être fantomatique dont est friand la littérature japonaise. Que met en lumière la plasticienne Ursula KRAFT.

 

AUXERRE : Sans doute, apportera-t-elle plus amples explicatifs à la réalisation de son travail ? Ce sera en tout cas l’un des objectifs de cette singulière rencontre avec l’artiste d’origine allemande, Ursula KRAFT, native de Stuttgart qui a élu domicile depuis 2019 en Bourgogne après un très long séjour à Paris.

Quoi de plus naturel en somme, pour clore le cycle de projections dont nous a habitué la galerie Hors Cadre que de rencontrer l’artiste trentenaire (le bel âge pour repousser les retranchements de l’imaginaire le plus loin possible) et lui poser toutes les interrogations qui vous trottent dans la tête !

C’est à cela que vous convie la toujours dynamique Nathalie AMIOT, qui pèse de toute sa créativité et de son énergie pour renouveler sans cesse les belles trouvailles devant être exposées au 49 de la rue Joubert, juste en face du théâtre auxerrois.

Ainsi, le terme de ce cycle de projections « Des Lumières dans la Nuit », jolies lucioles tourbillonnantes qui ravivèrent les cœurs emplis de tristesse de la première période de confinement – la culture était en deuil de son manque d’évènements – se fera ce samedi 12 février aux alentours de 18 heures avec la réception de la jeune créatrice d’outre-Rhin.

Forcément, elle dévoilera les arcanes de cette intrigante vidéo, projetée depuis la fin janvier sur les fenêtres de la galerie, un court-métrage onirique et troublant mettant en scène un « KITSUNE » : une femme renard venue hantée nos nuits hivernales. Un message typiquement shintoïste puisque ce personnage mythique a souvent été associé à une divinité, INARI, en qualité de messager.  

 

Thierry BRET

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil