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Décembre 2016, le cinéaste auxerrois proposait une approche personnelle de l’agro-écologie, avec un court-métrage « Paysans de demain » produit par l’EPLEFPA des Terres de l’Yonne, et le concours de la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt de Bourgogne Franche-Comté. D’autres partenaires se mobilisaient autour de ce projet ambitieux et novateur à l’instar de la Région et de la Chambre régionale d’agriculture. Ce film de 7’45’’ fut réalisé en présence de lycéens et d’étudiants mais aussi du corps enseignant enthousiaste par la contribution apportée à ce documentaire. « La Bio pour tous », nouvel opus conçu à l’automne dernier, renforce cet engagement que le créateur autodidacte mène depuis plusieurs années en faveur de la cause agricole et de son évolution naturelle vers le biologique…

AUXERRE : Présenté en avant-première devant des élus de l’Yonne, à l’automne 2017, « La Bio pour tous » n’est pas un court-métrage anodin. Relatant les exemples concrets de deux établissements du secteur de l’agro-alimentaire local, la fromagerie de Souilly, VARLET et le moulin BOISNARD, ce reportage d’une dizaine de minutes conçu sans l’once d’une quelconque aide financière tourne en boucle par le canal des réseaux sociaux vers un public de profanes et d’adeptes qui en assure depuis la promotion.

L’agriculture biologique, créatrice d’emplois et vertueuse au niveau sanitaire, est expliquée à travers les débouchés professionnels de ces deux structures qui aujourd’hui se sont taillées une solide réputation parmi un public de connaisseurs, voire de fidèles.

Autoproduit par l’un des pionniers et fervents défenseurs de cette diversification légitime, Jean-Michel DELAGNEAU, l’oncle de Pascal, ancien conseiller général et ancien maire de Gurgy, ce document illustre les enjeux économiques inhérents à la stratégie environnementale de l’univers agricole. D’une manière positive, traduite par les témoignages des responsables de ces unités professionnelles qui ont fait le choix de s’orienter vers cette démarche qualitative et protectrice de Dame Nature.

L’Yonne : un territoire fortement ancré dans les valeurs du bio

Affichant une croissance de 15 % en 2017, la pratique de l’agriculture biologique est encouragée par les instances représentatives de la filière agricole, à commencer par la Chambre consulaire et les différents organes institutionnels de ce milieu corporatiste. Son développement ne date pas d’hier. Les précurseurs ont débuté leurs expériences au sortir des années soixante, dès 1974 avec la création d’un premier groupement d’agrobiologistes qui devait fédérer une dizaine d’éleveurs de l’Yonne et de l’Aube.

C’est en 2015 que le réalisateur Pascal DELAGNEAU s’invite avec ses arguments cinématographiques dans le bal promotionnel de l’agrobiologie. L’ancien correspondant de France 3 Bourgogne, puis journaliste reporter d’images et pigiste pour France 2, réalise pour le compte de la Chambre d’agriculture de l’Yonne, « L’agrobiologie sur sol vivant ». Une première commande qui en appellera d’autres sur ce sujet éclectique et passionnant que le cinéaste affectionne.

Suivront deux autres réalisations à quelques mois d’intervalle, « Pour l’eau cultivons autrement » destinées à la Chambre régionale d’agriculture de Bourgogne et « Bois/Bocage », un document qui illustrera une campagne informative mise en place par la Chambre départementale d’agriculture de la Nièvre.

L’auteur de « La Bio pour tous » aimerait tourner un autre épisode en mettant en exergue de nouveaux producteurs bio, issus de ce territoire en prenant pour exemples les réalisations vécues dans le milieu viticole. L’ouverture à un modèle économique qui engloberait une participation financière des internautes sous la forme de crowndfunding n’est d’ailleurs pas exclue de son raisonnement afin de trouver les subsides nécessaires, finançant l’ouvrage.

Un court-métrage diffusé dans « Ushuaia », un second concourant au festival du film d’art de l’UNESCO…

Auparavant, Pascal DELAGNEAU qui réussit à allier la fiction au documentaire et la tradition à la modernité, avait tourné dans le Cotentin au début du printemps un clip musical esthétique façonné avec le charme poétique des années 1930. L’histoire se déroulant au Nouveau Monde et mettant en scène Oscar Nitu NDOMBASI, chanteur de variétés jazz et membre du groupe OSWANDO JAZZ QUARTET, sur fond de crise sociale.

« Je voulais la liberté », appellation de cet opus remarqué, correspondait à la suite d’une première immersion réalisée à l’été 2014 en Normandie (« Le Grand navire »), conçue par le réalisateur Mike CHEVREUIL, avec la même équipe de comédiens dont la jeune actrice Fanny PHILIPPE.

Le réalisateur Icaunais avait alors su relever le défi de ce concept ambitieux joué en plusieurs actes en imposant sa griffe personnelle.

Il est vrai que l’un de ses documentaires antérieurs (1991), « Une trace au Soleil levant », concocté avec le concours d’un surfer jurassien qui exerçait sa discipline sportive au Japon, eut les honneurs de l’émission culte de la télévision française, « Ushuaia » produite par l’actuel ministre de l’Environnement Nicolas HULOT. Il fut primé à maintes reprises dans des festivals internationaux.

L’année suivante, « Icône 1 », film d’art et d’essai, dévoilait le travail de l’artiste peintre sculpteur Jean-Marie DURET et son combat acharné en faveur de la sauvegarde des livres. L’œuvre devait être retenue parmi la sélection officielle du 17ème festival du film d’art de l’UNESCO.

S’installant au début des années 2010 sur l’île de Beauté, Pascal DELAGNEAU multiplie reportages et prises de vues avec des sujets propres à l’actualité politique, des portraits, mais aussi des illustrations de la vie quotidienne et profonde des insulaires avec lesquels il noue de solides liens d’amitié.

La musique, l’art et la nature intègrent progressivement ses sources d’inspiration sans pour autant qu’il ne s’intéresse encore à des thèmes à connotation économique. De retour dans l’Yonne, le réalisateur est aujourd’hui en quête de nouvelles collaborations, synonymes de créativité et de qualité.


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La nouvelle année débutera au théâtre d’Auxerre avec la représentation assurée par les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O Cirque » le dimanche 14 janvier en matinée. Précisément à 11 heures, un horaire peu commun pour jouer un spectacle. Celui-ci prendra d’ailleurs ses marques dès la semaine suivante sur le site culturel avec plusieurs sessions destinées aux scolaires…

AUXERRE : Du 14 au 18 janvier, les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O » poseront leurs valises dans la capitale de l’Yonne afin d’y présenter leur dernière création, « Love Box ». Ces séances, une petite dizaine au total, se répartiront entre les accès à la culture orientée plus spécifiquement vers le public scolaire et le tout public.

Quant à la thématique du spectacle, elle narre les tribulations de deux êtres qui s’aiment à la folie. Malgré certaines contradictions.

Il est clown, elle est équilibriste et acrobate. Est-ce une raison pour se mettre en boîte ? Oui et plutôt cent fois qu'une !

Partenaires dans la vie comme dans le travail, Joël COLAS et Miriam de SELA ont créé « Love Box » pour nous faire partager le sel de la vie à deux. Ce qui les rassemble ? Le langage du cirque, de la pantomime et de l'objet.

Quant au reste, il diverge : elle aime les courbes, lui préfère les angles. Elle est à son aise sur quelques centimètres carrés quand lui se trouve à l'étroit. Elle aime l'espace libre alors qu'il cherche désespérément à combler les vides.

Dix-huit briques de bois manipulées avec agilité dressent entre eux des murs ou des passages, des îlots et des emboîtements. De tableau en saynète, on voit l'un se mettre à la hauteur de l'autre, épouser son corps ou sa volonté, faire semblant pour lui faire plaisir, quêter son attention...

Au fond, il existe mille et une manières d'habiter un espace si petit soit-il et autant de façons de s'aimer, pourvu que les esprits soient aussi agiles que les corps.

Cette comédie si fine et attachante est aussi un condensé de malice et d'ironie, un petit bijou muet comme le cinématographe d'antan, mais coloré et ô combien parlant ! Bref, une quête ordinaire de l’amour imaginée avec beaucoup de fantaisie autour de deux personnages qui rêvent de filer la parfaite harmonie…

Une programmation à noter sur les agendas : le dimanche 14 janvier à 11 h, le lundi 15 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mardi 16 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mercredi 17 janvier à 10 h / séance scolaire et 18 h 30, le jeudi 18 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, studio / à partir de 5 ans.


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Profitant d’une visite il y a quelques années d’un sanctuaire de la faune animale à Prétoria, le chef d’entreprise de Sens, co-gérant de la société de communication « NET.COM », a eu l’immense privilège de rencontrer Kevin RICHARDSON, le plus grand spécialiste au monde de l’étude comportementale des lions. Depuis, Thomas ne cesse de se rendre régulièrement en Afrique du Sud afin de défendre la cause du roi des animaux, élevé dans des parcs spécifiques avant d’être livré en pâture lors de safaris où le félin est impitoyablement abattu par des chasseurs nord-américains et asiatiques qui n’hésitent pas à débourser près de 60 000 dollars pour obtenir un trophée. Un ouvrage, paru en février 2017, « Tsavo le résilient » aux Editions du Net, tiré de la plume incisive de l’entrepreneur sénonais, témoigne de cette triste réalité…que chacun doit découvrir avant qu’il ne soit trop tard…

SENS : Disponible depuis l’hiver dernier sur toutes les plateformes numériques ainsi que chez les libraires de l’Yonne, « Tsavo le résilient » se présente sous la forme d’un gros pavé, très agréable à la lecture. Derechef, sa couverture surprend le curieux avide de connaissances. Une magnifique tête de lion au regard profond orne celle-ci et sensibilise le futur acquéreur à poursuivre sa quête. Elle sera exhaussée : son contenu ne peut laisser indifférent. Il nous fait prendre conscience que notre monde ne tourne plus vraiment bien rond en ce début de XXIème siècle et que la cupidité et l’argent maîtrisent les idéaux des sociétés dites modernes et bien pensantes. Au détriment de la nature, de l’environnement, du climat, de la cause animalière…et en bout de chaîne de l’humain lui-même…

Une première œuvre qui induit beaucoup de réflexions…

Et s’il n’est guère facile aujourd’hui de pouvoir se faire éditer, le comité de sélection de cet ouvrage, les Editions du Net, n’a pas tergiversé une seule minute en acceptant de publier la première œuvre de ce chef d’entreprise, inféodé à l’essor de la communication digitale et de haute technologie.   

Sensible à la cause écologique et animale, le comité éditeur a eu raison de soutenir l’initiative de l’entrepreneur Sénonais, âgé de 41 ans qui a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la sauvegarde du roi de la savane. Parfois d’une grande brutalité mais avec tellement de réalisme, l’auteur nous entraîne à travers les lignes de cet opus remarquable dans un monde à faire froid dans le dos sur les intentions réelles de l’homme envers les animaux.

L’histoire se résume ainsi : depuis des millénaires, l’homme se répand sur toute la surface de la Terre, de manière incontrôlée et sans un regard pour les autres formes de vie qu’il massacre, le sourire aux lèvres. Aujourd’hui, la planète identifie ce comportement comme celui d’un parasite qui colonise et détruit son hôte, et face à sa mort prochaine elle décide d’éradiquer ce fléau. L’antidote s’appelle « Tsavo ». C’est un lion aux proportions démesurées et aux capacités tout à fait singulières. A ses côtés, un immense groupe d’êtres humains que la vie et les hommes eux-mêmes ont broyé de leur violence sans limite : les résilients. Tapis dans l’ombre de nos civilisations depuis une éternité, ils sont en attente de l’appel de « Tsavo » : prêts au sacrifice de cette incontrôlable humanité pour sauver la planète et toutes les autres espèces.

Pour la première fois depuis son apparition, l’humain devra s’adapter à une vie sans violence ou mourir. Pour la première fois, il n’aura plus le choix et devra respecter cette Terre qui lui a donné la vie. Ou disparaître, des griffes et des crocs de « Tsavo » et de son armée. C’est la résilience même de l’humanité qui sera sondée…

Ce cheminement initiatique est en fait le prélude à un second volume plus criant de vérité encore que Thomas DA ROVARE a déjà partiellement écrit. « CANNED HUNTING », traduisible par la locution suivante « Chasse en boîte » paraîtra d’ici quelques semaines.

Le sanctuaire de Kevin RICHARSON a valeur de refuge animalier…

« Récemment, le film « Blood Lions » a dénoncé la pratique de la chasse en boîte, précise Thomas DA ROVARE, aux côtés de « L’homme qui murmurait à l’oreille des lions », Kevin RICHARDSON, je me suis personnellement très investi dans cette lutte contre ce fléau. L’idée me concernant n’est plus d’en parler autour de moi mais de m’engager véritablement sur le terrain en étant davantage dans l’action pour faire quelque chose. S’investir différemment, c’est aussi créer cette pierre à ajouter à l’édifice à travers l’écriture... ».

Tous les ans, à raison d’un séjour automnal en Afrique du Sud, Thomas se ressource au gré de ses visites dans le sanctuaire tenu par son ami Kevin RICHARDSON. Trente-sept lions y coulent des jours heureux. Originaires des parcs spéciaux destinés à la chasse, ils ont été accueillis par l’équipe du comportementaliste sud-africain, leur sauvant la vie par ce geste généreux. Aux côtés de 47 hyènes et de quatre léopards voués à une mort certaine : celle donnée par les chasseurs de fauves.

« Ce parc n’est naturellement pas ouvert au public, confie Thomas, mais attention, il ne recueille pas de lions d’ordinaire ; sauf deux spécimens qui ont été remis par un cirque espagnol (dont un animal handicapé et rendu aveugle à cause des flashes des appareils photographiques) parce que condamnés à l’euthanasie il y a trois ans… ».

Une vingtaine de personnes exercent leur talent professionnel dans ce sanctuaire animalier. Une centaine de personnes, membres de l’association CATCH, suivent de très près l’évolution des espèces animales qui y vivent.

« L’objectif de ce sanctuaire est d’assurer des actes permanents de prévention et d’avoir une approche éducative auprès des scolaires et surtout des adultes, explique Thomas DA ROVARE, la sensibilisation est le plus important. C’est expliquer que l’animal issu de la faune sauvage doit le rester. Et que les objets en ivoire sont à rejeter et non pas lieu d’être commercialisés… ».

Le massacre inutile et par plaisir de la faune sauvage en Afrique…

Dans les enclos des parcs spécifiques où les lions sont enfermés, les animaux subissent les effets pernicieux d’une drogue qui leur est administrée. Elle annihile leur volonté de se mouvoir. Relâchés ensuite dans un cadre naturel, très étroitement surveillés par les organisateurs de safaris, les animaux sont alors massacrés en règle. Une poudre fabriquée à partir du corps de l’animal s’expédie en Chine à prix d’or, engendrant plusieurs centaines de millions de dollars pour les industries qui travaillent à cette basse besogne.

« Kevin RICHARDSON dénonce ce massacre perpétré depuis des années contre les lions alors que la population mondiale diminue chaque année. 80 % de l’espèce a été détruite. Dans vingt ans, il n’y aura plus aucun lion vivant dans la nature… ».

Dès lors, avec son ouvrage, l’entrepreneur de l’Yonne souhaite que la société réagisse face à cette extinction programmée. Tout comme celle qui concerne les girafes, les éléphants ou les hippopotames.

« La plupart des dirigeants de la planète se voilent la face dès que l’on évoque ce dossier brûlant, ajoute l’écrivain entrepreneur, comment la première nation du monde, les Etats-Unis, peut être contre l’amélioration écologique et défendre les valeurs intrinsèques de cette chasse destructrice sur le continent africain ? Il existe près de 200 fermes d’élevage de lions en Afrique du Sud qui fonctionnent en parfaite légalité car ce sont des établissements privés, tenus par les blancs de l’Afrique du Sud. Huit mille félins y sont enfermés, prêts à être abattus. L'objectif est clair : proposer aux chasseurs (souvent étrangers) des lions et des lionnes sur catalogue, au nom d’un « sport » qui consiste en fait à abattre un animal drogué, enfermé dans un enclos minuscule sans la moindre chance de survie. Les tarifs varient en fonction du sexe, de l’âge et de quelques autres critères, mais la vie d’un félin s’achète de 7 000 dollars (la lionne) à 40 000 dollars (le mâle de huit ans). Il est à noter que de telles industries existent aussi pour les éléphants, les girafes et les rhinocéros. Près de 1000 lions sont abattus chaque année lors de ces chasses. Sous couvert de développement économique et de création d’emplois, ils bénéficient des soutiens en haut lieu, voire ceux de la communauté internationale… ».

D’ailleurs, la tête de Kevin RICHARDSON est mise à prix depuis plusieurs années. Il vit reclus dans son sanctuaire et le fréquenter n’est pas sans risque.

Quelques pays, à l’instar du Zimbabwe et du Kenya, agissent en faveur de CATCH et d’autres associations de la protection animale. L’ancienne Rhodésie à interdit temporairement la chasse aux lions durant…trois jours ! Tandis que le Kenya devait brûler l’ensemble de son stock d’ivoire.

Thomas DA ROVARE a pris des contacts avec la représentante française de CATCH à Paris pour intercéder en faveur de Kevin RICHARDSON et de sa lutte contre les tueurs de lions. Il aimerait aussi se rapprocher du ministre de l’Environnement Nicolas HULOT afin de le sensibiliser à la connaissance de ce problème qui concerne l’extinction de ces espèces sauvages dont la Terre ne peut se passer.


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Depuis 1992, chaque année au soir du 24 décembre, l’association des Lumières de DRUYES célèbre à sa manière l’avènement de la Nativité, profitant des effets de miroir et des reflets dans l’eau, d’une multitude de bougies qui illuminent de façon insolite un cadre naturel d’exception. Cette vingt-cinquième édition des « Lumières de Noël » ne dérogera pas à la règle et au respect de cette tradition devenue l’incomparable distinction identitaire d’un petit village de l’Yonne qui renoue, entre féérie et poésie, avec la magie authentique de cette fête inoubliable…

DRUYES LES BELLES FONTAINES : Qui se souvient du premier allumage de cette désormais traditionnelle manifestation fleurant bon l’authenticité et les mystères des veillées d’antan ? En 1992, il n’était alors question que d’une trentaine de bougies fichées dans de petits pots de confiture disposés au gré des appétences de chacun dans les rues de la bourgade.

Unique, le spectacle se vit avec un regard d’enfant…

Un quart de siècle plus tard, les choses ont bien changé à l’évocation de la fête de Noël. Sous l’impulsion des membres de l’association des Lumières de DRUYES et de leur volonté farouche de créer un événement quasi incontournable dans le département. Ce sont aujourd’hui plus de 600 bougies multicolores qui constituent l’ossature magnifique et ô combien originale de ce moment de communion partagée entre les habitants de la localité. Mais aussi, avec les nombreux suiveurs qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous presque magique, digne d’un rituel de temps séculaires et immémoriaux.

Déposées à la surface limpide de la retenue d’eau où prennent vie les sources de la DRUYES, dérivant au gré d’un léger zéphyr ou poussées par le courant en s’éloignant de la rive vers la pénombre insondable de la nuit environnante, ces petites lucioles colorées virevoltent tranquilles, accompagnées de belles chansons de Noël anciens. Le spectacle est unique. Et plonge l’observateur adulte vers les réminiscences profondes de sa mémoire d’enfant. Avec un parfum de nostalgie qui le nimbe et ce plaisir d’être là qui, avec la contemplation manifeste de toute cette beauté lumineuse, inonde son âme…

Cette année, la mise à l'eau des premières bougies sera accompagnée par un groupe de folk dirigé par Dominique ROBERT, une figure reconnue dans le sérail artistique.

Musiques sacrées et profanes se mêlent à l’unisson à la fête…

Auparavant, et ce dès 17 heures, un concert proposé dans l’église Saint-Romain, récemment rénovée, mettra en scène une harpiste talentueuse : Anne OROZCO. Dans ce décor surréaliste, éclairée à la chandelle, la musicienne interprètera sur son instrument aux origines ibériques des pièces musicales issues du répertoire des XIIème, XIIIème et XVIème siècles. Des textes de ces lointaines époques seront lus par le lecteur-auteur Jean-Raphaël PRIETO. Le récital se conclura par des extraits emplis de lyrisme, couvrant le XIXème siècle…

Cinquante minutes après ces copieuses réjouissances musicales ouvertes à tous les mélomanes, les traditionnels breuvages de l’hiver (chocolat et vin chauds) se dégusteront aux abords du plan d’eau, agrémentés de ces airs du folklore local joués par la formation de Dominique ROBERT.

Les fameuses illuminations sur le lac graveront ces instants de plénitude absolue dans le temps et l’espace, avant un retour à l'église pour y assister à une célébration œcuménique, à partir de 19 heures, conduite par les ministres des cultes catholiques, protestants et orthodoxes.

Certes, ce Noël 2017 ne sera pas blanc en termes de conditions météorologiques cette année encore. Mais, grâce à l’association des Amis des Lumières de DRUYES et son sens traditionnel de l’évènement, il illuminera longtemps les souvenirs et les cœurs de celles et ceux qui y participeront…


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France, Monaco, Russie, Etats-Unis, Ukraine, Belgique, Pologne…mais jusqu’où ira l’interprète de l’Yonne sur ce chemin de la renommée universelle qui édifie sa prometteuse carrière ? Au fil des années, l’artiste talentueuse dont le buste officiel représente si bien la beauté et la grâce de la gent féminine de notre territoire, multiplie les rencontres les plus belles et inattendues autour d’une représentation donnée aux quatre coins de la planète. La digne interprète de PIAF et de BARBARA ne croit plus depuis longtemps au Père Noël : et pourtant, son existence de professionnelle de la chanson semble lui rappeler à l’envie que les plus beaux rêves demeurent ceux que l’on peut vivre au quotidien les yeux grands ouverts…

AUXERRE : Depuis le premier récital donné en décembre 2012 en mémoire de la fabuleuse Edith PIAF, que de belles aventures sont venues étayées le parcours existentiel de l’artiste interprète de l’Yonne ! Et surtout que d’agréables rencontres exceptionnelles ont rythmé son agenda bien garni !

« Tous ces échanges fantastiques me remplissent et me chargent d’émotions, concède l’ambassadrice de charme de notre territoire, c’est comme ma rencontre avec Jean-Jacques DEBOUT, qui était ami avec BARBARA. L’auteur compositeur lui a écrit onze titres et nous avons passé ainsi un moment merveilleux à évoquer sa mémoire. Idem avec le fils de Jean-Paul SARTRE qui est venu me voir chanter à Paris. Jean-Paul était le mentor de Juliette GRECO, autre grande dame de la chanson française que je chante aussi...c'était magique ! ».

Morceau après morceau, le puzzle apparaît sous nos yeux. Il se reconstitue à travers ces rencontres somptueuses au détour d’un concert donné dans la capitale ou d’un récital joué à l’étranger. Mais, rien n’est imputable au hasard. « Ce sont de magnifiques pièces qui s’agrègent à ma carrière et à la route artistique que je poursuis depuis ces cinq dernières années… ».

Dans la loge d’un monstre sacré du cinéma mondial : Gérard DEPARDIEU…

Grâce à un ami commun, Christelle a été invitée par Gérard DEPARDIEU à assister le 06 novembre à sa répétition générale lors de son surprenant spectacle « Depardieu chante Barbara » au Cirque d'Hiver à Paris. Le monstre sacré du cinéma français a troqué les plateaux de tournage pour un temps, endossant la simple vêture d’un chanteur passionné de ce répertoire immortel que nous a légué la Dame en noire.

« Il chante BARBARA, je chante BARBARA : nous avons cela en commun mais pas seulement, ajoute Christelle LOURY, lui qui l'a bien connue et a partagé non seulement une grande amitié avec elle mais aussi la scène avec «  Lilly Passion… ». 

Christelle LOURY a eu cet incroyable échange avec la référence cinématographique française dans sa loge. Juste après le spectacle comme elle se l’était imaginée dans un rêve.

« Et, croyez-moi, j'en ai beaucoup des rêves ! Je suis une croqueuse de rêves je crois, plaisante-t-elle, je l’ai croisé aux côtés de célébrités comme Jane BIRKIN et Daniel AUTEUIL, qui attendaient patiemment leur tour et avec qui j'ai pu discuter ! La rencontre fut intense. Nos regards se sont suspendus durant plusieurs secondes sans un mot, mains croisées les unes sur les autres, puis nous avons parlé. Il a une voix si douce et si calme. Je lui ai écrit une lettre que je lui ai remise avec émotion. J'avais besoin de lui dire les choses par écrit. C'est un grand monsieur, un être hypersensible avec ses éclats mais ses douceurs, aussi. Il est si touchant. J'ai appris de nouvelles choses sur la grande BARBARA ; tout cela me nourrit. J’espère sincèrement le revoir. L’avenir nous le dira ! ».

Une plongée parmi les souvenirs d’Edith PIAF…

Peu de temps auparavant, la jeune femme eut le privilège de croiser sur son chemin, et non sans une certaine émotion, Charles DUMONT, l’un des compositeurs attitrés de la « Môme PIAF » à Paris. Mais, intérieurement, Christelle avait gardé espoir de pouvoir un jour faire la connaissance de Marcel CERDAN Junior. Lui qui a incarné son père au cinéma aux côtés d'Evelyne BOUIX, dans un long métrage réalisé par Claude LELOUCH en 1982, « Edith et Marcel ».  

« Mon souhait s’est réalisé le 11 octobre à Paris lors d’une grande soirée hommage à la chanteuse dans le cadre des cinquante ans de l’association des Amis d’Edith PIAF ; cela se déroulait à l’auditorium Debussy/Ravel à la SACEM où j’ai chanté. Après le tour de chant, je me suis entretenue longuement avec ce grand monsieur qui a été boxeur comme son illustre père. Nous avons évoqué la relation qui existait entre Edith et Marcel CERDAN, de sa mère Marinette, et de sa propre relation qu’il avait développé au fil des ans avec Edith PIAF. Il m’a confié une multitude d’anecdotes que j’ai pu ajouter à mon spectacle, « Revivre l’émotion de PIAF », vu par plus de 30 000 spectateurs à ce jour. Ce fut une rencontre très touchante car on ressent tellement d’amour de la part de Marcel CERDAN Junior pour la célèbre figure de la scène parisienne… ».

Au décès tragique de son glorieux père, disparu dans un accident d’avion au-dessus de l’archipel des Açores le 28 octobre 1949, la « Môme » s’était occupée de son fils en se faisant appelé « Tata Edith ». Une grande leçon d’humilité et d’abnégation face aux aléas de la vie. D’amour aussi, comme celui que porte Christelle LOURY à ces dames enchanteresses de la chanson française, éternelles à jamais…


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