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En cette période de disette professionnelle pour le secteur de la restauration, voilà un peu de baume au cœur qui fait du bien au moral ! En décernant une étoile verte à l’établissement de Joigny, l’une des deux maisons gastronomiques en Bourgogne Franche-Comté à obtenir la distinction, le Guide Michelin dans son édition 2021 a fait deux heureux : Karine et Jean-Michel LORAIN. Investis depuis de nombreuses années à la cause de l’engagement environnemental…

JOIGNY : Un nouveau pictogramme à la couleur verte espérance, celle de la sauvegarde et de la préservation de notre planète, fleurira désormais sur la devanture du fameux restaurant gastronomique de l’Yonne. Il est l’unique à avoir obtenu sur notre territoire la nouvelle distinction de l’incontournable Guide Michelin qui dévoilait ses accessits ce lundi 18 janvier.

Cette fois-ci, ce ne sont pas de nouvelles recettes et les subtilités culinaires concoctées par les grandes toques qui ont été annotées par les célèbres inspecteurs anonymes de la Bible de la gastronomie internationale. Mais bel et bien les actions engagées par les chefs dans une démarche salvatrice, toute acquise à la cause de l’environnement.

Imaginée l’an passé, la délivrance de ces nouveaux sésames met en exergue les efforts accomplis par les établissements en faveur du développement durable à travers leur approche de la gastronomie.   

 

 

Un travail favorable à la planète entamé depuis de nombreuses années…

 

Et dans ce registre, le nouveau bénéficiaire icaunais de cette récompense sait de quoi il parle ! Karine et Jean-Michel LORAIN ont su prendre en considération ces problématiques environnementales à leur compte pour améliorer la qualité de leurs prestations.  

La distinction vient ainsi saluer tout le travail accompli depuis plusieurs années autour de cette thématique capitale pour notre planète. La Côte Saint-Jacques a multiplié ses échanges avec les producteurs locaux, privilégiant l’essor des circuits courts dans le cadre de ses approvisionnements.

 

 

Les légumes dégustés à la table des différents univers de restauration de l’étoilé proviennent du jardin potager créé de toute pièce en 2018. Les nectars qui agrément les mets sont dans bon nombre de cas issus de producteurs favorisant l’élevage naturel et bio.

Quant à la gestion des déchets, elle se décline de manière intelligente et raisonnée puisque le recyclage concerne près de 80 % des produits.

 

Une association pour sensibiliser les enfants à l’environnement…

 

Que dire également de la structure associative, promouvant la défense de la biodiversité et de la faune sauvage (« Dessine nous un Avenir ») qui s’affaire sur tous les continents aux côtés d’associations engagées !

Fondée en 2019, l’entité se réfère aux maximes de Saint-Exupéry qui n’ont rien d’oniriques pour en expliquer les orientations en sensibilisant les enfants.   

Autant de critères qui entraient donc en ligne de compte pour l’obtention de ce prix. Sachant que le Michelin examinait aussi toutes les bonnes initiatives prises par les chefs sur les produits achetés sans emballage, la saisonnalité absolue des fruits et légumes, la cueillette en nature ou l’utilisation de l’eau micro-filtrée.

A ce jeu-là, seuls trente-trois établissements de l’Hexagone ont pu décrocher la timbale au coloris verdoyant cette année.

Notons que notre territoire n’en recense que deux, hormis celui de Joigny, avec Le Saint-Cerf à Besançon, tenu par Xavier CHOULET.

 

Thierry BRET

 

 


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L’association culturelle dirigée par l’inventive Nathalie AMIOT poursuit son cycle de projections de court-métrages dans le cadre du programme « Des lumières dans la nuit » débuté la semaine dernière. Jusqu’au 23 janvier, les promeneurs matinaux et autres rares noctambules pourront admirer les vidéos d’Annelise RAGNO diffusées sur la façade de la galerie d’art auxerroise de la rue Joubert.

AUXERRE : Deux œuvres filmées de la diplômée de l’Ecole nationale supérieure d’art de Dijon Annelise RAGNO seront présentées dès ce 16 janvier et ce pour une période de sept jours dans les encadrements de fenêtres de la galerie d’art auxerroise. Celle-ci fait renaître la culture dans un climat conjoncturel hostile malgré les rigueurs du couvre-feu.

L’idée est séduisante. Le concept s’y prête bien. Il suffit pour les lève-tôt d’Auxerre (tranche horaire de 7 à 8 heures 30) mais devant aussi respecter impérativement les nouvelles contraintes du couvre-feu (visibilité entre 17 et 18 heures) de flâner quelques instants devant la galerie d’art au 49 de la rue Joubert pour en apprécier le résultat.

Première des deux vidéos à être soumise à la sagacité curieuse du public, « Inlassablement ». L’œuvre représente un homme âgé qui court dans un cadre champêtre. Son buste passant du côté droit au côté gauche de l’écran permettant de se mouvoir d’une fenêtre à l’autre. Une course vers l’infini dont on ne semble jamais atteindre les limites.

 

 

La seconde fiction montre des chutes d’arbres au sein d’une forêt. Par intermittence, des troncs traversent l’écran avant de tomber alors que des feuillages et des branches s’agitent avec frénésie. La vidéo se nomme sobrement « Lever les yeux/forêt », elle date de 2017.

Des visions artistiques agréables qui peuvent nous rendre espoir : la créativité n’est pas morte avec ce satané virus. Hors Cadre, en accueillant ces artistes à l’imagination fertile, en demeure le bienveillant porte-étendard.

 

Thierry BRET

 


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La chose semblait pourtant entendue. Et ce, de manière définitive au terme de la dernière assemblée plénière du Conseil régional. Soit le 11 décembre dernier. Date à laquelle l’important domaine de 9,5 hectares de l’abbaye cistercienne devait être cédé pour un montant d’1,8 million à la Fondation du mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER. Depuis, le RN ne désarme pas. Ses élus appellent à la mobilisation générale pour éviter la privatisation du site…

DIJON (Côte d’Or) : La trêve des confiseurs n’étant déjà plus qu’un lointain souvenir, on pensait que le feuilleton relatif à la cession du domaine de la fameuse abbaye cistercienne de l’Yonne avait connu son épilogue définitif après la vente de ce dernier à la Fondation SCHNEIDER.

Une transaction qui avait nourri de ses débats enflammés l’hémicycle du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté lors de l’ultime séance plénière organisée le 11 décembre 2020.

Souvenons-nous : le mécène et homme d’affaires François SCHNEIDER accédait enfin à son désir d’entreprendre dans l’Yonne : celui d’acquérir ce site patrimonial pour la coquette somme d’1,8 million d’euros. Il coiffait au passage l’autre prétendant à ce rachat pour le moins singulier, la Fraternité Saint-Pierre qui avait poussé la surenchère à 2,1 millions d’euros.

A l’époque, seuls les élus du groupe Rassemblement National avaient de manière très véhémente fait entendre leur discordance avec la teneur de ce projet. Lui reprochant par ailleurs son orientation trop mercantile, articulé autour de la construction d’un hôtel haut de gamme, d’un restaurant gastronomique et d’un centre d’art contemporain. Sachant que le prestataire de ce futur complexe hôtelier restait encore à trouver pour finaliser ce concept.

Si les Républicains s’étaient abstenus dans leur grande majorité au moment du scrutin, les représentants de Marine LE PEN avaient signifié leur désapprobation absolue en votant contre cette cession.

 

Les dangers d’une vente à un groupe privé…

 

Or, rejetant toujours le principe que l’une des plus grandes abbayes cisterciennes de France ne bascule vers la privatisation, les élus du RN remontent en ce mois de janvier au créneau pour empêcher que cette transaction ne se fasse réellement.

Dans un communiqué de presse, daté du 12 janvier, le parti « bleu marine » dénonce le choix voulu par la présidente de l’exécutif régional Marie-Guite DUFAY, de sa majorité mais aussi de la gauche et de la droite qui, selon lui, ont succombé aux chants des sirènes de l’industriel François SCHNEIDER en lui cédant ce bien séculaire.

 

 

 

 

« Les intentions de l’homme d’affaires sont apparues au grand jour le 17 décembre lors d’une conférence de presse (cf : elle fut organisée dans les locaux de la Maison de l’Entreprise à Auxerre en présence de Patrick GENDRAUD, président du Conseil départemental de l’Yonne et de la sénatrice Marie EVRARD) où le nouveau propriétaire a clarifié sans nuance ni détour que ce serait une forme de privatisation où il serait indispensable d’intégrer l’abbatiale pour réussir le projet… ».

Dès le 26 novembre, en amont de la décision finale, les conseillers régionaux Julien ODOUL et Jacques RICCIARDETTI avaient mis en garde sur les dangers de cette vente du domaine régional en interpellant la ministre de la Culture Roselyne BACHELOT. En vain, visiblement.

 

Sauver Pontigny, le nouveau leitmotiv contestataire du RN…

 

Dès lors, les élus du Rassemblement National n’ont eu de cesse de dresser  le flambeau contestataire contre cette opération en multipliant les appels à la mobilisation de l’ensemble des acteurs nationaux et locaux.

L’objectif étant d’éviter que ce joyau du patrimoine culturel, religieux et historique de l’Yonne ne tombe dans l’escarcelle de la fondation.

Arguant que ce lieu historique demeure la propriété de la commune et qu’il est encore à l’heure actuelle affecté au culte, les conseillers régionaux du Rassemblement National veulent par leur initiative sauver Pontigny. S’insurgeant que ce soit un propriétaire privé qui décidera à l’avenir des conditions d’accès, tant en termes de prix que de temporalité, des visiteurs sur ce site emblématique. Un combat qui ne fait que commencer selon eux…

 

Thierry BRET

 


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Un lauréat d’origine franco-colombienne résidant en Belgique après s’être immergé en Suisse, en Espagne et en Hongrie pour y faire des études européennes, qui travaille de surcroît pour le compte de l’Agence allemande de la coopération internationale : on ne pouvait rêver d’un meilleur profil pour décerner l’un des seize prix du Concours concocté par le Réseau international des Maisons des Francophonies, « Ma minute francophone » ! Brillant vainqueur, Chani DECROUX, auteur d’une œuvre filmée remarquable, a été plébiscité par l’antenne régionale de Bourgogne…

AUXERRE : Il y a une certaine de forme de musicalité qui résonne avec flamboyance dans le timbre de voix si expressif du jeune garçon.

Posée, réfléchie, la diction de Chani DECROUX retentit de manière presque suave et harmonieuse dans la pièce où se pressent avec grand intérêt le comité restreint de la Maison de la Francophonie en Bourgogne.

Par écran interposé (vive la magie de la visioconférence !), ces derniers peuvent faire connaissance et discuter à bâton rompu dans les conditions du direct avec l’un des seize lauréats de ce premier concours conçu par le Réseau international des Maisons des Francophonies (RIMF), récemment porté sur les fonts baptismaux.

Intitulée « Ma minute francophone », l’épreuve aura permis depuis le 15 septembre dernier de promouvoir une francophonie plurielle et inclusive ainsi que la valorisation de la langue française de par le monde.

Proposant un concours ludique s’adressant à tous les francophones et francophiles de tout âge, le RIMF exigeait de ses participants (ils furent plus de 217 provenant de 42 pays) qu’ils évoquent à l’aide d’un court-métrage d’à peine deux minutes leur amour inconditionnel de la francophonie et de ses valeurs. En saupoudrant le tout d’un zeste d’originalité, de prouesses artistiques et pourquoi pas, de poésie !

Et à ce jeu-là, incontestablement, l’œuvre enregistrée par le Bruxellois d’adoption Chani DECROUX a su faire mouche !

 

 

 

Un lauréat soutenu par une société auxerroise sponsor de cette première édition…

 

Onirique, mêlant tendresse et beauté, le travail de ce jeune prodige du multilinguisme a ravi ses premiers supporters dont le chef d’entreprise auxerrois Gaël ROCHON, partenaire local de la manifestation. Son protégé recevra de la part de sa société CORAIL Patrimoine une bourse d’encouragement de 500 euros.      

Quant à la vidéo, « Ma réalité francophone », elle se découvre sans modération sur la page Facebook de l’organisme régional présidé par Marité CATHERIN.

Universaliste dans l’âme, le jeune homme à la tête bien remplie envisage à l’avenir de développer des projets artistiques autour de la danse, de la poésie et des langues, ses violons d’Ingres. Sans omettre de poser son empreinte dans le milieu de la coopération.  

 

 

 

 

D’ailleurs, il manquait une de ses langues à son répertoire personnel, celle de Goethe : ce sera chose faite prochainement puisqu’il suit à l’heure actuelle des cours afin de mieux la maîtriser !

Satisfaite de cette première édition si prometteuse car suivie dans une quarantaine de pays où la langue française demeure toujours la reine, Marité CATHERIN, figure emblématique de la promotion de la francophonie à travers le monde, a par ailleurs annoncé la réalisation d’un concours francophone où l’économie et la déclinaison de ses projets seraient le fil d’Ariane. Un concept pouvant être porté en 2021.

Un autre pan de la francophonie qui ne se limite pas aux seuls échanges culturels, sportifs et éducatifs, il est vrai…

 

Thierry BRET

 


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Vapeur, brume, gouttes, surfaces miroitantes... L’artiste éprouve une irrésistible fascination pour l’un des éléments essentiels à notre existence : l’eau. Il en résulte un travail de réflexion approfondi qui se manifeste par deux créations originales. Elles sont présentées jusqu’au 15 janvier à Auxerre dans le cadre des « Lumières dans la nuit » concept insolite concocté par Hors Cadre…

AUXERRE : Elle se présente sous diverses formes. Mouvantes, changeantes, parfois se matérialisant en glace ou donnant naissance à de la vapeur. L’eau. Indispensable substance qui est nécessaire à la vie.

La matière aquatique fascine depuis toujours l’artiste originaire de Taïwan. Chia-wen TSAI en a fait sa source d’inspiration pour se projeter dans sa carrière artistique. Lui permettant d’explorer des univers oniriques étranges qu’elle offre à la contemplation lors de ses expositions.

Ce fut le cas à Mulhouse en 2005. Puis à Paris, en 2011 où lors de la fameuse « Nuit Blanche », elle créée une installation sonore et lumineuse à base de projections visuelles dans des piscines et autres bassins.

Une semaine durant à partir de ce vendredi 08 janvier, dès la tombée de la nuit, les Auxerrois auront ainsi la faculté de découvrir le travail de cette créatrice. A travers deux œuvres.

 

Deux illustrations de la créativité débordante de l’artiste…

 

La première est une captation des mouvements de l’eau dans un bassin. On y voit par le prisme de la caméra l’ondulation du liquide à sa surface. Un lancinant mouvement qui rappelle les balancements vécus à bord d’un esquif.

La seconde de ces présentations évoque le résultat obtenu par les impressionnistes sur leurs toiles. L’artiste propose une vision légèrement floue des visages, des vêtements, d’arbres et d’objets qui s’apparentent à des formes évanescentes et colorées. Le résultat est saisissant. Comme si le spectateur avait en face de lui un tableau de maître.

Cette découverte proposée par Hors Cadre en appelle d’autres. Chaque semaine de janvier sera ainsi consacrée à la diffusion d’un programme de vidéos d’artistes. Ces documents seront projetés sur les deux fenêtres de ce lieu culturel, implanté au 49 de la rue Joubert.

La démarche voulue par Nathalie AMIOT, directrice artistique, est évidente : insuffler de nouvelles perspectives culturelles en cette période calamiteuse de privations. L’art et les artistes sont nos lumières dans la nuit. Il suffit de se rendre sur place dès la fin du jour pour en apprécier toutes ses vertus bienfaitrices pour l’âme !

Thierry BRET

 

 


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