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Certes, le vote du budget 2021 sera l’incontournable morceau de résistance de l’ultime assemblée plénière du Conseil régional de l’année. Celle-ci débutera ce jeudi en début d’après-midi en présentiel au Zénith de Dijon. Mais, d’autres dossiers très consistants ne manqueront pas de capter l’intérêt des observateurs : les accords entre l’Etat et la Région, l’élaboration d’une charte de la laïcité et la cession du domaine de Pontigny…

DIJON (Côte d’Or) : Du pain sur la planche attendent les élus du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ces deux prochains jours. Non seulement, le vote du budget 2021, orienté sur la relance économique, tiendra le haut du pavé de ces retrouvailles institutionnalo-politiques, mais d’autres dossiers de grande envergure viendront se greffer parmi l’ordre du jour de ce qui sera la dernière assemblée plénière de l’année 2020.

Parmi ceux-ci, l’un interpelle plus spécifiquement les observateurs de l’actualité icaunaise que nous sommes. Il s’agit bien sûr de la vente du domaine de Pontigny, propriété de la Région depuis 2003.

Abordant le sujet lors de la conférence de presse qu’elle tenait ce mercredi en fin de matinée, la présidente de l’exécutif régional a évoqué les enjeux de la cession de ce bien historique et patrimonial dont l’avenir sera tout tracé au terme de ces deux journées de séance.

A ce jour, deux porteurs de projet se disputent encore le bien. D’une part, la Fraternité Saint-Pierre, congrégation religieuse promouvant la vie apostolique et le droit pontifical qui voudrait redorer le blason de Pontigny en en ravivant sa flamme spirituelle ; d’autre part, la fondation portée par l’homme d’affaires François SCHNEIDER (un industriel de l’agro-alimentaire) qui souhaiterait apporter à ce lieu qui entoure l’une des plus importantes églises abbatiales de l’ère cistercienne une dimension axée davantage sur l’économie et le rayonnement culturo-touristique.

 

 

Deux projets intéressants mais que tout oppose…

 

C’est ce second dossier qui a l’assentiment de Marie-Guite DUFAY et d’une large majorité de conseillers. Instruit par la présidente, il a fait l’objet de concertations entre les élus. La présidente a, en outre, expliqué qu’en cas de validation de ce dossier par l’assemblée régionale, un compromis de vente serait très vite soumis à signature avec le représentant de la Fondation SCHNEIDER. Une vente qui rappelons-le est estimée à 1,8 million d’euros. Elle serait envisagée dans un délai de six mois.

Toutefois, charge à l’industriel potentiellement acquéreur de ce bien, de respecter l’une des clauses suspensives à cette transaction immobilière peu commune. Il lui faudra trouver rapidement un exploitant devant assurer la gestion de la future partie hôtelière du domaine ; soit la clé de voûte du modèle économique annoncé.

Confiante sur ce point, Marie-Guite DUFAY devait conclure ses propos en précisant que « les contacts en ce sens étaient en bonne voie… ».

 


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Un simple contact téléphonique et hop, l’affaire était entendue ! Sans bourse délier ni volumineux dossier administratif à remplir de manière rébarbative au préalable ! Les quatre artisans de l’Auxerrois (une des conditions sine qua non qui justifie leur présence) ont été choisis par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat. Un vrai cadeau de Noël pour profiter de l’extrême visibilité qui est offerte en plein cœur de ville grâce à cette boutique éphémère…

AUXERRE : S’ils ne croyaient plus à la magie du Père Noël depuis fort longtemps, les quatre entrepreneurs auxerrois qui exposent leur savoir-faire jusqu’au 31 décembre en centre-ville pourraient bien revoir leur copie à ce sujet ! C’est un simple contact téléphonique et leur assentiment qui les auront propulsés sur le devant de la scène commerciale au cours de ces trois semaines de la période de l’Avent.

Invités par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté à présenter le fruit de leur travail au public, ces artisans bénéficient d’une exceptionnelle visibilité en l’absence des marchés de Noël, purement et simplement supprimés du calendrier hivernal.

Ouverte depuis aujourd’hui, au 29 place de l’Hôtel de Ville, cette boutique accueille de petits stands qui permettent de faire toute la lumière sur les passions professionnelles et la technicité de ces entrepreneurs.

 Ainsi, ce qui autrefois servait encore de lieu de vente à l’enseigne KOOKAI s’est donc mué en un lieu d’exposition plutôt hétéroclite où le dénominateur commun demeure l’artisanat d’art.

 

 

 

 

 

Une palette représentative du savoir-faire à la sauce locale…

 

Concevant des objets de loisirs créatifs, à partir des techniques du scrapbooking, Valérie BELLOT (SCRAP VINTAGE) propose une kyrielle de petites réalisations originales et attrayantes qui trouveraient leur bonheur au pied du sapin en guise d’étrennes !

Géraldine CARRE (G CREE) n’importe pas de bijoux en provenance de l’Asie du Sud-Est ! Mieux : elle les conçoit avec une facilité déconcertante en puisant leurs formes et structures parmi ses sources d’inspirations personnelles. Le résultat est proprement bluffant !

 

 

 

 

Quant à Manon JARRY-SARFATI, elle prête à sa société, l’atelier MJS Déco, l’opportunité de faire parler d’elle via le relooking de meubles et d’objets façon vintage. Bougies végétales et mobilier peuvent s’apprécier in situ.

Reste le seul homme de ce quatuor (pour une fois, faisant fi de la parité, c’est la gent féminine qui domine les débats !), Cédric LEFEVRE. Coutelier de son état, le garçon use des bonnes pratiques de la forge pour fabriquer de splendides couteaux aux lignes insolites à l’estampille de sa griffe, « TK BLACKSMITH ».

Ces quatre as de la créativité méritent toute votre attention. Non seulement, ils proposent des pièces conçues dans l’esprit de Noël mais en outre ils sont de vrais représentants de cet artisanat que l’on aime, celui 100 % made in Auxerre !

 

 

En savoir plus :

Boutique artisanale éphémère du centre-ville d’Auxerre

29 Place de l’Hôtel de Ville

Ouverture tous les jours du lundi au dimanche (sauf le vendredi 25 décembre)

De 09 h à 19 heures.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Le personnage était truculent. Entier, humaniste et généreux. Déjeuner en qualité de journaliste à la table du maître nécessitait de prendre son temps et de chambouler son agenda de l’après-midi. Même si l’hôte qui vous accueillait avec sa faconde habituelle dans cet antre de la gastronomie que représentait « L’Espérance » (triple étoilé au Michelin) promettait de faire vite. Au détour de quelques plats de sa composition, si simples à ses yeux mais savamment cuisinés. Hommage à ce génie créatif des fourneaux…

SAINT-PERE-SOUS-VEZELAY : Déjeuner à la table de cet autodidacte de la gastronomie française en sa compagnie et de son épouse Françoise supposait impérieusement de ne pas avoir à consulter sa montre pendue à son bras !

D’une part, l’homme, perfectionniste dans l’âme, était d’une rigueur ponctuelle rare et ne supportait pas le moindre retard occasionné lors de ces rendez-vous épicuriens, même s’il fût justifié de quelconques impondérables survenant sur la route.

D’autre part, disserter avec lui de l’avenir de sa grande maison, de politique, de la France, de la vinification de ses vignes ou de sa profonde amitié avec Serge GAINSBOURG qu’il considérait comme son « frère » supposait nécessairement avoir du temps devant soi.

Et aujourd’hui, à l’annonce officielle de son départ définitif sous d’autres cieux plus cléments qui n’assombriront plus les dernières années de sa vie, perturbée par la liquidation judiciaire de sa maison et la maladie, ces instants de bonheur partagés autour de l’une de ses savoureuses spécialités n’en sont que plus réjouissants. Appétissants, aussi, tant pour l’estomac que pour l’esprit.

 

 

Du rêve et de la magie au fond de l’assiette…

 

Subtil, tout en finesse dans ses propos lorsqu’il réécrivait l’histoire, la sienne et celle des autres, Marc MENEAU se dégustait comme l’une de ses succulentes recettes. Sans modération et avec beaucoup de gourmandise. Passionné et passionnant, il vous embarquait après le troisième ou quatrième plat vers des réflexions pertinentes où le temps ne possédait plus d’emprise sur le repas. Lui qui avait côtoyé les plus grands (François MITTERRAND, Helmut KOHL, Mstislav ROSTROPOVICTCH…). Lui qui savait d’où il venait. Lui qui a apporté une nouvelle coloration chatoyante à la gastronomie française. Voire universelle.

Triplement étoilé par la fameuse institution Michelin, cet Avallonnais avait su redonner ses lettres de noblesse à l’artisanat et aux métiers de bouche. Conférant à cette cuisine dont il avait appris les fondements dans les livres une dimension exceptionnelle. Il suffisait de se régaler de ces célébrissimes « huîtres en gelée d’eau » ou de goûter le « cromesquis de foie gras » pour se sentir pousser des ailes !

Inventif, débordant d’imaginaire pour concocter des mets dont il était le seul  à posséder les secrets, esthète des arts de vivre, cet auguste personnage avait su créer à « L’Espérance » une ambiance particulière, faite de douceur et d’onirisme qui réchauffait les cœurs. Utilisant à bon escient les plantes et les légumes issues de son jardin pour en agrémenter ses plats.

 

 

Un chef d’entreprise auréolé par de nombreuses distinctions…

 

Ses titres de gloire sont multiples. Meilleur cuisinier français de l’année 1983, auréolé par le Michelin, nous l’avons dit, et le Gault et Millau avec la mirifique note de 19 sur 20, Marc MENEAU avait été promu chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, avant de recevoir une autre distinction du même acabit : le titre de chevalier de l’Ordre national du Mérite. Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur en 1998.

Le 13 octobre 2014, Françoise, son épouse, eut l’honneur de se voir remettre les insignes de chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur des mains de Paulette LAUBIE, présidente du Conseil européen des Femmes et Entreprises.

Avec son fils, Pierre, Marc MENEAU essaiera en vain de sauver ce vaisseau amiral que fut en son temps « L’Espérance », confronté à un endettement exponentiel et à un avenir de plus en plus incertain.

La perte de ses étoiles lui asséna un sérieux coup. De même que la liquidation judiciaire qui condamna de manière définitive sa société en 2015.

A 77 ans, le grand chef a donc éteint pour la dernière fois ses fourneaux. Parti trop tôt vers cette voie Lactée des grandes toques culinaires qui accueille désormais Joël ROBUCHON, Paul BOCUSE ou Pierre TROISGROIS. Le paradis des cordons bleus pour l’éternité…

Thierry BRET

 

 

 


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Marion peut remercier le « Petit Futé » ! C’est sa collaboration, déjà lointaine, avec le célèbre guide aux mille-et-une astuces touristiques qui lui a donné envie de passer de l’autre côté de la barrière. D’abord, dans l’hôtellerie comme réceptionniste. Puis dans le saint des saints de la promotion de la filière : une agence de développement ayant pour nom Yonne Tourisme. A 26 ans, la jeune femme vit intensément sa passion en charge des relations presse…

AUXERRE : De l’Yonne, elle ne connaissait strictement rien. Ou si peu. Peut-être les vieux clichés usuels qui circulent toujours sans prendre une ride autour de l’AJA, de Guy ROUX et du chablis. Bref, des images surannées aux antipodes de ses aspirations personnelles.

Surtout quand on est originaire de Toulouse, patrie de l’inénarrable Claude NOUGARO et du succulent cassoulet !

Toutefois, l’idée d’en apprendre davantage sur les particularismes et typicités de son nouveau département de prédilection la taraude depuis qu’elle a pris ses fonctions. Celles de responsable des relations presse, entre autres, au sein de l’agence Yonne Tourisme. Un poste ô combien névralgique dans l’organigramme de cette structure qui multiplie les opérations auprès des médias de la presse nationale, régionale et spécialisée. Sans omettre les relais d’opinion à l’international.

L’enjeu est de taille. Marion VERNHES le sait très bien en son for intérieur. Car, elle succède à une tour d’ivoire qui aura tenu la fonction avec sérieux et professionnalisme durant dix-sept ans : Stéphanie WAHL. Aujourd’hui, cette dernière a entamé un parcours formatif lui permettant de se reconvertir vers une toute autre carrière plus artisanale et dans ses appétences autour de la céramique.

Avant de quitter sa fonction, celle qui fut la passerelle obligée pour obtenir la moindre information sur les nouveautés touristiques de l’Yonne aura pris le temps de préparer sa dauphine. Dans les règles de l’art de la transmission de savoir-faire, lui inculquant au passage les trucs et spécificités propres à ce poste d’importance.

Munie d’un bachelor de tourisme dans sa besace, la jeune Marion s’est immergée par le passé au cœur de cette filière. Travaillant dix-huit mois en qualité de réceptionniste dans un établissement hôtelier cinq étoiles place du Capitole au cœur de la ville rose.

 

 

Préparer les outils permettant de lancer la saison 2021…

 

Curieuse, avide de découvertes et de nouvelles expériences, la jeune femme n’hésite pas à postuler à une offre d’emploi. Celle qui mentionne le recrutement immédiat d’une chargée des relations presse dans l’Yonne. Un territoire septentrional, loin, très loin, de la métropole toulousaine, berceau de l’aéronautique.

On connaît la suite : Marion VERNHES débute sa nouvelle carrière le 24 août à Auxerre, dans la touffeur d’une atmosphère caniculaire. Au moins, elle n’est pas dépaysée avec les températures de l’Occitanie !

Passionnée de guitare et d’ukulélé (cela ne s’invente pas !), cette férue de photographie a eu un coup de cœur pour l’Avallonnais et la vallée du Cousin. Désireuse d’en savoir plus sur le produit vedette de notre territoire, elle va suivre une formation œnologique avec le concours du BIVB, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne. Une corde de plus à son arc qui va transformer ce bagage intellectuel en une harpe nettement plus harmonieuse, on l’imagine.

Malgré le contexte actuel, Marion ne chôme pas. Travaillant avec pugnacité sur un dossier de presse spécial loisirs qui devrait assurer la promotion de notre territoire lors du « DEP Tour 2021 », programmé à Paris les 18 et 19 janvier, si tout va bien. Un évènementiel réunissant la fine fleur des médias et professionnels interpellés par la future saison qui s’esquisse. L’Yonne aura bien besoin de la fougue et du savoir-faire de la jeune femme pour figurer en pôle-position parmi les carnets d’adresse des journalistes en quête de nouvelles découvertes..

 

Thierry BRET

 


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Tristesse et désolation se sont abattues sur les épaules déjà endolories des professionnels de la restauration de l’Yonne. Ils ne comprennent plus vraiment le sens pratico-pratique des décisions gouvernementales avec ces fermetures répétitives qui nuisent à leurs chiffres d’affaires et à la pérennité de leurs entreprises. Combien de ces artisans passeront le cap de cette fatidique année 2020 ? Nul ne le sait à ce jour…

AUXERRE : Il est au bord des larmes, le président de l’Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière de l’Yonne (UMIH). Sa voix tremble. Son regard se trouble derrière ses lunettes légèrement embuées. Mais, sa détermination demeure intacte pour continuer le combat. Surtout lorsqu’il évoque le contexte ubuesque et absurde dans lequel sa corporation est tombée. De Charybde en Scylla !

Tout le monde à Auxerre connaît pourtant la bonhommie et la joie de vivre habituelle de ce chef d’entreprise, un garçon qui exprime à cette heure sa colère froide devant la foule, rassemblée sur le parvis de la préfecture de l’Yonne.

Chaleureux, enthousiaste, plaisant : Eric MOUTARD n’est aujourd’hui plus que l’ombre de lui-même. Mal à l’aise devant ce public d’artisans tout aussi malheureux que lui et d’une tristesse incommensurable. A faire pleurer dans les chaumières…

 

 

 

Affecté au plus profond de son corps et de son âme, le président de l’UMIH 89 l’avoue humblement avec ses mots qu’il peine à prononcer : il a failli mourir. Victime de cette saloperie virale qu’il a contractée et qui aujourd’hui le consume jusque au cœur de son entreprise. Sa raison de vivre professionnelle : sa brasserie, place des Cordeliers, qui présente désormais portes closes. Depuis de trop longues semaines à ses yeux, des jours et des jours de fermeture qui ressemblent à une éternité. Une petite « mort » en vérité…

 

 

Du travail et la réouverture des restaurants, un point c’est tout !

 

Alors quand Olivier TRICON, le président de la CPME de l’Yonne, présent à ses côtés, lui transmet tel un relayeur le temps de parole qui lui incombe, Eric MOUTARD se lâche. Sans fioritures et sans rond de jambes : il n’en peut plus de souffrir en silence depuis des mois.

Lui, les aides de l’Etat, il s’en moque éperdument. Ce qu’il veut en guise de revendications est beaucoup simple à comprendre : du travail ! L’ouverture de son établissement « Le Biarritz » sine die et non pas aux calendes grecques comme le prévoit le calendrier gouvernemental à partir du 20 janvier si les conditions sanitaires le permettent pour qu’enfin il puisse renaître de ses cendres, tel le Phénix qu’il est d’ordinaire.

 

 

Du travail pour vivre et redonner espoir à toute une population qui est à bout. Voilà ce que réclame haut et fort le porte-parole de l’UMIH derrière sa banderole. A ce jour, 40 % de son chiffre d’affaires se sont déjà envolés dans les limbes des pertes inéluctables. Triste à pleurer, avons-nous dit…et ce n’est pas fini.

Thierry BRET

 


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