Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Que ce soit dans la capitale de l’Aube ou sur les anciennes terres des ducs de Bourgogne, l’exercice s’est répété par deux fois, à quelques jours d’intervalle. Il est vrai que cette pratique oratoire, coutumière pour le staff de l’établissement financier, a du bon. Non seulement, elle satisfait les journalistes qui peuvent apprécier dans leurs moindres détails les arcanes fonctionnelles de ce poids lourd de l’économie régionale. Mais, en outre, elle offre l’opportunité de tâter le pouls côtés tendances et innovations…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’exercice sied à ravir à l’héritier intellectuel de Jacques KERMARREC. Dans les pas de son prédécesseur qui savait le manier avec une similaire dextérité, Emmanuel VEY, directeur général du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, sait trouver les mots justes pour expliquer le contexte dans lequel se meut aujourd’hui son établissement.

Une situation qui n’a rien de sibylline à ses yeux tant le devenir économique semble plutôt probant à bien des égards, après cette crise sans précédent vécue par l’humanité.

2020 met en exergue ce sentiment de mission accomplie pour le responsable de l’entité financière mutualiste. Malgré le profil en dents de scie de la sphère économique et de tous ses acteurs. Un terme linguistique pourrait résumer cela à lui tout seul : la présence.

Présent le Crédit agricole au  plus près de son territoire de prédilection ? Au-delà des mots, ce sont des images défilant à rythme soutenu lors de la diffusion d’un clip vidéo qui l’attesteront à travers moult exemples. Le tout servi par un générique qui en dit long sur la question, introduit par la voix du regretté Charles AZNAVOUR : « You are the one for me, for me, formidable ! ».

Alors sont-ils si formidables ces fameux professionnels de la banque au presque sortir de la crise sanitaire ? Au vu des séquences visuelles proposées, le premier financeur de l’économie territoriale n’a, certes, pas à se voiler la face à l’énoncé de son bilan.

Douze mille exploitations agricoles, installées en Champagne-Bourgogne, ont bénéficié de la pléthorique offre de services de la structure bancaire à l’identique des collectivités, entreprises et autres particuliers. La solidarité a été poussée à son paroxysme, entre altruisme et générosité, puisque des aides se sont concentrées en faveur des EPHAD mais aussi de deux cent cinq associations qui ont pu profiter pleinement de subsides accordés dans un souci solidaire par l’établissement.

« On ne s’est jamais senti plus utile durant cette période en soutien des activités économiques de notre clientèle, lâche Emmanuel VEY, bien conscient que le premier « bancassureur » de la région a assuré grave, comme le dirait la jeune génération. Et justement, puisqu’il faut évoquer la jeunesse, parlons-en ! Celle-ci n’aura pas été oubliée par le staff décisionnel du groupe. Entre recrutements en nette progression, malgré l’atonie de la situation, et l’accueil de jeunes entrepreneurs, à la tête de start-ups aux contours dynamiques au sein du fameux concept iconoclaste, « Village by Crédit Agricole », un réseau d’accélérateurs de compétences et d’initiatives qui booste les talents : que dire de plus ?

 

 

Des mesures d’accompagnement répondant aux réels enjeux…

 

Si ce n’est, comme le réaffirmera le quinquagénaire directeur général, doublement diplômé d’un MBA obtenu à la Chicago Booth GSB et d’un DEA en économie internationale à Paris Sorbonne, que le Crédit agricole a su démontrer son appétence à l’adaptabilité et à la transformation afin de pouvoir réagir au mieux face à un contexte si spécifique.

Renforçant ainsi la méthodologie inhérente à cette banque qui puise ses ressources dans le sens de la relation à l’autre. Ainsi, dans les faits, plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) ont été consentis par l’organisme financier pour un montant de plus de 400 millions d’euros. Des mesures d’accompagnement répondant à la hauteur des véritables enjeux.

Reports d’échéances de crédits aux entreprises, mise en œuvre de dispositif contractuel inédit de soutien (le geste mutualiste assurance), aides apportées aux métiers de la viticulture et de l’agriculture : le Crédit agricole Champagne-Bourgogne n’a pas ergoté sur les moyens.

8 800 clients professionnels ont pu en bénéficier au moment le plus opportun de leur existence. Près de 2,6 millions d’euros ont répondu aux attentes de plus de 630 clients pour le dispositif de soutien mutualiste.

L’accélération de la digitalisation aura été effective parmi les priorités avec un global de soixante millions de connexions enregistrées sur le site de la banque !  

« Le monde ne s’est pas arrêté du fait de la pandémie, souligne Jean-Yves REMILLET, président de l’établissement régional, nous avons proposé des solutions clefs en main et un accompagnement personnalisé aux artisans, commerçants et professionnels des quatre départements où nous agissons au quotidien : l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne… ».

 

 

Une performance économique réussie malgré un contexte hors normes…

 

Autre preuve relative à ces propos : l’enveloppe de 617 000 euros qui aura été débloquée au profit de 74 structures accueillant un public de seniors. Un fonds de solidarité de 20 millions d’euros, porté par la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement (CASD) au plan national, a favorisé la lutte contre l’isolement des personnes âgées.

Dans l’arborescence des résultats financiers de cette année écoulée, le Crédit agricole Champagne-Bourgogne tire incontestablement son épingle du jeu.

Sa solidité financière s’est confirmée. Quant à la continuité de service, rien n’a pu l’en empêcher. Pas même ce satané virus, sorti de nulle part. Les équipes, mobilisées à distance (1,4 million d’euros investis pour équiper l’ensemble des collaborateurs en ordinateurs portables et en téléphone) ont été fonctionnelles jusqu’au bout pour répondre aux attentes et besoins des 600 000 clients.

L’indice de recommandation client est en nette hausse. Près de 23 000 prospects se sont mués en une véritable clientèle nouvelle au terme de cette année si exécrable pour le moral et la joie de vivre.

Avec un résultat net s’élevant à 74,1 millions d’euros, la Banque verte peut donc envisager l’avenir avec sérénité. Le produit net bancaire conforté à 329,1 millions d’euros rappelle que la performance économique a été solide en dépit d’un environnement hors normes.

Reste l’avenir et les perspectives évolutives, tant en 2021 que pour les exercices suivants. Ce sera l’objet du second volet de cette introspection journalistique au cœur de la Banque verte, celle qui dit « agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société »…Ce qui ressemblerait à la vérité, au vu des chiffres avancés !  

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Prélevés courant mars en forêt de Conches, dans le département de l'Eure, sept chênes majestueux ont été offerts par l’assureur mutualiste à la reconstruction à l’identique de la flèche de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. Une contribution réalisée au nom de la préservation du patrimoine hexagonal et de l’intérêt collectif porté par l’enjeu…

 

PARIS : Ils sont au nombre de sept (tout un symbole au niveau du chiffre) qui seront utilisés in fine par les artisans charpentiers à l’édification de la nouvelle flèche ornementale, placée sur le point culminant du célèbre emblème parisien. Détruite lors du terrible incendie de 2019, la charpente en bois de Notre-Dame-de-Paris ainsi que sa flèche fruit de l’imaginaire de l’architecte VIOLLET-LE-DUC devrait retrouver son lustre d’antan dans le cadre du gigantesque chantier décidé par l’Etat.

Un total d’un millier de chênes sera nécessaire à la reconstruction à l’identique de cette charpente, trop vite consumée dans les volutes de fumée.

 

 

Soucieux de préserver le patrimoine de l’Hexagone, et investi dans de nombreuses opérations de réhabilitation des monuments historiques, à l’instar de plusieurs pièces du Château de Saint-Fargeau dans l’Yonne par sa caisse régionale Paris-Val-de-Loire, GROUPAMA a décidé de prélever sept de ces arbres centenaires dans l’un de ses domaines forestiers privés dont il a la gestion. Soit un équivalent de près de vingt-deux mille hectares en France.

Grâce à ce patrimoine végétal d’importance, l’assureur mutualiste peut ainsi apporter sa contribution pour faire face à la catastrophe qui a frappé le pays il y a déjà deux ans. Un geste utile pour une cause noble…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« J’ai peur de m’ennuyer et je suis prête à faire du bénévolat ! ». Est-elle sérieuse la proposition de la conseillère départementale de l’Yonne ? Elle, qui ne s’aligne pas sur la grille de départ des prétendants aux prochaines échéances électives, pourrait fort bien être recrutée par l’ancien premier adjoint de la Ville d’Auxerre Guy PARIS, responsable de l’association AMIDON 89…Chiche ?

 

AUXERRE : C’est sous le ton de la plaisanterie que Monique HADRBOLEC, conseillère départementale d’Auxerre 4 jusqu’au 27 juin prochain et binôme du président du MoDem de l’Yonne Pascal HENRIAT, a tenu à remercier le responsable de la structure associative, AMIDON 89, en préambule de l'assemblée générale de l’organisme à laquelle elle était conviée.

Lors de l’hommage qui lui a été rendu avant même que ne débutent les travaux protocolaires de la structure de réinsertion par le travail, l’ex-adjointe à l’Exclusion et aux Solidarités d’Auxerre, sous l’ère de Guy FEREZ, a écouté avec beaucoup d’émotion les mots de sympathie prononcés à son endroit par Guy PARIS.

Le toujours dynamique responsable d’AMIDON 89 ne pouvait s’empêcher de saluer le travail effectué durant ces nombreuses années par cette figure incontournable de la vie publique (et politique par ricochet même si elle ne fut jamais encartée au Parti socialiste dont elle appréciait pourtant les valeurs), Monique HADRBOLEC.

Présente parmi l’assistance très restreinte de ce rendez-vous statutaire dont nous vous ferons écho dans un futur article, la conseillère départementale qui ne brigue plus de nouveau mandat électoral fut invitée à rejoindre l’estrade du Phare où se déroulait la séance de travail animée par le président Guy PARIS.

 

 

Une personne de cœur et d’altruisme…

 

Ce dernier ne manqua pas d’adresser des commentaires élogieux à l’intéressée dont le visage se couvrit un bref instant d’un léger voile de tristesse.

« Monique a toujours su faire le bien autour d’elle, avec le cœur…, précisa l’ancien premier adjoint de Guy FEREZ.

C’est certain : comment résumer vingt-trois années vécues au Conseil départemental où elle a connu pas moins de quatre présidents et un très grand nombre d’élus en si peu de temps et une présence remarquée au Conseil municipal d’Auxerre où la solidarité et l’altruisme représentaient ses leitmotivs ?

Celle qui a vécu son ultime séance plénière au Département vendredi, à l’instar de onze de ses camarades qui ne se représentent pas, eut alors cette formule presque magique où elle évoqua un « probable ennui à venir » au fil du temps qui passe et son désir fou de continuer à servir les autres.

Alors pourquoi ne pas répondre à la boutade amusante lancée par Guy PARIS au terme de son intervention de vouloir enrôler l’ancienne conseillère départementale au sein d’AMIDON 89 ? Ce serait assurément une belle recrue ayant du charisme et du cœur…

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On ne se lasse jamais d’admirer des toiles et de belles couleurs. Celles qui transportent l’âme des visiteurs de la galerie Hors Cadre au plus près de ses créateurs. Des peintures qui semblent si simples au premier abord mais qui sont en réalité le fruit d’une expression artistique finement ciselée. Comme celles de l’artiste Annie Paule THOREL.

 

AUXERRE : C’est le retour en grâce, pour  les lieux de culture, fermés depuis plusieurs mois à cause de la crise sanitaire. Certes, les musées et leurs expositions n’ont pas réussi à se hisser hors des griffes du virus. Cependant, depuis le 19 mai, ces endroits discrets mais pas secrets où fleurent bon des odeurs d’encaustique et d’essence de térébenthine qui bercent les plus passionnés d’entre nous peuvent de nouveau rouvrir afin d’y dévoiler leurs œuvres.

La nouvelle présentation de l’artiste picturale Annie Paule THOREL, baptisée de la locution transalpine « Allegro ma non troppo », invite les curieux à contempler le fruit de son travail.

Conçues en collaboration avec l’association Hors Cadre qui a pour but de promouvoir et de diffuser l’art contemporain, les œuvres de cette dernière sont exposées au centre-ville d’Auxerre, au 49 de la rue Joubert.

Dans une ambiance des plus claires, la couleur vive des œuvres règne au sein de la pièce qui accueille l’exposition. Annie Paule THOREL est une artiste âgée de 67 ans. Jusqu’alors, elle jouait avec les formes organiques qui semblaient flotter continuellement dans l’espace. Aujourd’hui, elle se consacre aux lignes et aux couleurs qui sont devenues, selon la directrice artistique de l’association Hors Cadre, Nathalie AMIOT, « les éléments principaux de son vocabulaire ».

Avec un titre d’exposition qui se positionne en point de référence par rapport aux œuvres réalisées, la peinture permet aux visiteurs d’avoir un moment de répit propice à l’évasion. Dès le premier regard, cela paraît tellement facile. Mais, que l’on ne s’y méprenne pas : cette addition d’intervalles colorés n’est pas le fait du simple hasard. Toutes ces toiles ont été longuement réfléchies par son auteure à la couleur près.

 

Une méthode où se constitue sa propre gamme chromatique…

 

Côté technique, la peinture n’est pas appliquée directement sur la toile mais sur des modules qui permettent à l’artiste de choisir une taille spécifique à ce qu’elle souhaite faire ressentir comme émotions aux spectateurs.

L’emploi de ces modules lui offre la possibilité d’utiliser des pigments purs à la cire sans avoir peur que l’altération de celle-ci s’invite sur l’œuvre. Ainsi, grâce à ce procédé, la couleur demeure intacte et contracte à la fois une qualité supérieure mais aussi une certaine texture assemblée à la profondeur. En adoptant cette méthodologie, Anne Paule THOREL crée ainsi sa propre gamme chromatique en s’éloignant des standards initiaux. De ce fait, les œuvres présentent des mariages de coloris qui n’auraient pas été pensés de façon primaire.

 

 

Un effet de superposition de couches colorées très surprenant…

 

En cheminant dans la galerie, on s’aperçoit que certaines œuvres possèdent un travail de superposition de couches picturales grâce à la méthode de ces fameux modules. Les couleurs que perçoivent les visiteurs en surface sont alors liées aux couleurs qui se trouvent en dessous de ces dernières.

L’œuvre étant faite avec une première couche de couleur, en y ajoutant d’autres intensités, elle créée alors sa propre musicalité.

De ce fait, la peinture à l’encaustique sur bois, « Etretat », intègre ce processus créatif avec ses lignes de couleurs aussi opposées les unes que les autres. Les lignes faisant penser à un piano, chacune d’entre elles joue alors une note de musique différente.

D’autre part, le titre de l’exposition « Allegro ma non troppo » qui signifie « vite mais pas trop » fait lui-même référence à la musique, un univers dont l’artiste connaît particulièrement bien les rouages, ayant travaillé longtemps à la radio.

Les œuvres d’Annie Paule THOREL offrent cette touche de musicalité originale tout en cherchant la profondeur rythmée des espaces.

 

En savoir plus :

Exposition Annie Paule THOREL

Chez Hors Cadre

Jusqu’au 17 juillet

Entrée libre

Du mercredi au samedi de 14 à 18 heures

49, rue Joubert à Auxerre

 

Jordane DESCHAMPS

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La première levée de fonds, initiée début 2020, s’est close avec le résultat escompté. Soit une coquette somme de 250 000 euros, permettant d’assurer le lancement du premier étage de la fusée « MUGI » ! Depuis, la SARL via son enseigne commerciale « METIS MINING » a fait l’acquisition d’une parcelle de deux mille mètres carrés en Puisaye. Elle y inaugurera de manière privative le 26 juin son premier Datacenter…

 

TOUCY : Leur petite entreprise ne connaît pas la crise ! Normal, jamais l’intérêt des investisseurs n’aura été autant exacerbé par les progressions fantasmagoriques offertes par ces crypto-monnaies qui défraient depuis un certain temps la une des chroniques !

Même si l’une de ces monnaies virtuelles ambassadrices de tout l’édifice, le bitcoin, a enregistré un sérieux coup de mou la semaine dernière du fait de quelques turbulences venant de Chine, les tendances expansionnistes demeurent résolument orientées vers le beau fixe pour celles et ceux qui croient en ces nouvelles valeurs monétaires. Et leurs gains potentiels à réaliser en bout de course !

C’est donc dans cet état d’esprit que l’équipe de la SARL MUGI procèdera à l’inauguration de leur premier Datacenter sur la parcelle de terrain qu’ils ont acquise à Toucy. L’évènement se déroulera le samedi 26 juin de manière quasi confidentielle en Puisaye-Forterre, contraintes sanitaires oblige.

 

 

Grâce à ces premières unités de calculs informatiques, qualifiées de très performantes, le quintette assurant la gestion et le développement de ce concept insolite mais prometteur (Fanny VIAUT, Maxime CHERY, Mickaël CHAPOTIN, son frère Raphaël et Alexandre TEINTURIER) devrait connaître une nouvelle phase d’expansion en renforçant l’infrastructure et en achetant un nouveau terrain.

La SARL qui se positionne différemment des rares autres structures évoluant sur ce segment (elle propose un service clé en main sous la forme d’une solution technique d’investissement spécifique aux actifs numériques), a créé une ferme de minage mutualisée. En optant sur la mise en commun des fonds de ses clients afin de créer un outil technique capable de lever de la valeur.

La structure est également soutenue par un pool de treize actionnaires piloté par le président de METIS Invest SAS, Francis MOREAU.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil