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500 000 vies en jeu : Gaza crie famine !

« L’intolérable se vit au quotidien pour les habitants de la bande de Gaza, confrontés à une famine sans nom depuis plusieurs mois. 500 000 personnes, soit un Gazaoui sur cinq, sont condamnées à mourir de faim si rien ne change urgemment dans le territoire palestinien où les aides humanitaires sont bloquées aux frontières… ». « L’intolérable se vit au quotidien pour les habitants de la bande de Gaza, confrontés à une famine sans nom depuis plusieurs mois. 500 000 personnes, soit un Gazaoui sur cinq, sont condamnées à mourir de faim si rien ne change urgemment dans le territoire palestinien où les aides humanitaires sont bloquées aux frontières… ». Crédit Photo : Save Palestine (IA)/ PIXABAY.

Il ne se passe pas une journée, une heure, sans que les écrans cathodiques et les outils digitaux ne déversent aux heures de grande écoute ou en continu leurs flux d’images répugnantes et horrifiques qui ne peuvent que soulever le cœur et faire phosphorer, peut-être, nos consciences. Que l’on soit chrétien, protestant, orthodoxe, juif, musulman, bouddhiste, animiste ou… bien simplement athée !

Mais, qui, in fine, se soucie véritablement du sort des malheureux Gazaouis, confrontés depuis des mois à une guerre atroce dont ils sont les victimes collatérales car ils ne sont pas nécessairement des soutiens du Hamas, ayant procuré des milliers de morts parmi les enfants, les femmes et les hommes de la société civile palestinienne, devant faire face désormais au pire fléau qui ne peut s’abattre sur l’Humanité : la famine !

Les reportages au fil de l’eau des équipes journalistiques de la planète entière sur place sont choquants. Voire si troublants si l’on s’en réfère à l’Histoire. Ils rappellent d’étranges souvenirs. De curieuses impressions de déjà-vu. Nauséabonds et ignobles pour la condition humaine, parqués dans les camps de la mort…

Des souvenirs honteux dont ceux de ces femmes et de ces hommes, de ces enfants, aussi, aux regards apeurés et creusés par la faim tenace qui dévore l’estomac que l’on pensait sortir d’un autre temps, d’une autre époque, d’un autre monde. Que l’on pensait ne plus jamais voir dans ce premier quart d’un vingt-et-unième siècle devant être celui de la prospérité, de la technologie, des progrès de la science et de la médecine, de la liberté de pensée…Un monde moderne, qui vacille de plus en plus au fil des jours et aux quatre coins de la planète…Tout cela en s’accélérant comme à la vitesse d’une année-lumière. Pauvre de nous !

 

Pendant ce temps-là, le monde s’en fout !

 

Du haut de leur tour d’ivoire, posée sur le sol méridional de Manhattan à New York, les technocrates des services administratifs des Nations Unies (ONU) se contentent de tirer la sonnette d’alarme et réaliser des statistiques – elles ont au moins le mérite d’exister et de faire réagir dans les chaumières -, via des rapports les plus alarmistes les uns que les autres, publiés depuis plusieurs semaines sur le naufrage de la bande de Gaza.

Un naufrage ? Que dis-je, un véritable abysse humanitaire qui va conduire plus de 500 000 personnes civiles (soit un Gazaoui sur cinq) vers une mort certaine si rien n’évolue ni ne change sur le registre politique et interventionniste dans le bon sens du terme, pour sauver enfin cette population.

Un Gazaoui sur cinq est ainsi condamné à mourir de faim en cette année 2025 où l’on célèbre le retour de Tom CRUISE et de Robert de NIRO sur les marches du Festival de Cannes, où Donald TRUMP vient de se voir offrir un somptueux aéroplane ayant coûté 450 millions de dollars au Qatar tout en engrangeant de juteux contrats, où les préoccupations des Français demeurent encore et toujours sur le départ de l’âge de la retraite à prendre à 62 ans ou à 64 ans et de préparer du mieux possible les ponts et les vacances, où d’ergoter sur les chances de victoire de  LOUANE disputant le concours de l’Eurovision et de savoir si celles-ci sont enfin fondées pour faire oublier notre fiasco perpétuel observé depuis 1977 et le fameux titre, « L’Oiseau et l’Enfant » d’une légendaire Marie MYRIAM, passée depuis dans la case des oubliettes  !

 

 

Une diplomatie de l’insulte et de la gâchette

 

Un peuple est en train de crever, voire d’être exterminé à la vue de tous puisque les mots « génocide » et celui « d’épuration ethnique » ont été prononcés officiellement par les plus hautes instances universelles dont les Nations Unies – une grande majorité d’Israéliens fait aussi le même constat désormais malgré les actes odieux commis le 07 octobre 2023 inexcusables en terre d’Israël, y compris auprès des militaires qui ne comprennent plus le positionnement jusqu’au-boutiste de leur gouvernement – et personne n’agirait en conséquence ?!

Eh oui, nous sommes bien au XXIème siècle sur cette planète Terre, totalement chamboulée au niveau des comportements et des mentalités, et les homélies pacifiques du nouveau souverain pontife, Léon XIV, depuis le Saint-Siège du Vatican n’y changeront rien, malheureusement, malgré leurs bienveillances.

Pas plus, d’ailleurs, que les atermoiements d’un président de la République hexagonale qui a pourtant tancé les agissements supra-belliqueux de la gouvernance israélienne du moment, et qui s’est fait traiter de suppôt du terrorisme en retour ! Circulez, il n’y a plus rien à voir du côté de la diplomatie qui se pratique dorénavant à coup d’invectives et de noms d’oiseaux ! Quand ce ne sont pas les armes qui prennent le relais avec cynisme et ironie comme dans certaines régions de l’Europe de l’Est…

 

L’Histoire est un éternel recommencement…

 

Aujourd’hui, il faut le savoir : Gaza crie famine, des dizaines de milliers d’enfants vont peut-être mourir de faim dans les jours et les semaines à venir, dans une parfaite indifférence mondiale, alors que les aides alimentaires existent et sont irrémédiablement bloquées à la frontière égyptienne de la bande palestinienne dévastée et quasi rasée de la surface du globe. Mais, comme le suggère si bien Donald TRUMP dont son plan de paix a été aussi confronté à l’échec ici au Proche-Orient, « on peut réaliser de belles choses et faire un bon travail si je m’en occupe ! ».

Allez-y, « Mr Président », vous avez carte blanche et toute la latitude inimaginable pour agir à bon escient et faire que cette catastrophe humanitaire de très grande ampleur, digne des fléaux humanitaires du siècle dernier époque de la Seconde Guerre mondiale dont les Juifs furent pourtant les principales et malheureuses victimes, ne se reproduise pas…L’Histoire n’est-elle pas un éternel recommencement, en somme ?

 

Thierry BRET

 

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