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GEOCHANVRE pourrait produire 300 000 masques par jour : la start-up cherche les aides financières adéquates…

« Validé par les tests de la DGA, le prototype de masques protecteurs à usage non sanitaire pourra être fabriqué par la start-up industrielle GEOCHANVRE dirigée par l’ingénieur Frédéric ROURE. Conçus à base de fibres naturelles de chanvre ou de lin, ces produits répondraient en quantité suffisante aux besoins des entreprises, collectivités et particuliers dès qu’ils seront commercialisés à grande échelle dans l’Yonne… ». « Validé par les tests de la DGA, le prototype de masques protecteurs à usage non sanitaire pourra être fabriqué par la start-up industrielle GEOCHANVRE dirigée par l’ingénieur Frédéric ROURE. Conçus à base de fibres naturelles de chanvre ou de lin, ces produits répondraient en quantité suffisante aux besoins des entreprises, collectivités et particuliers dès qu’ils seront commercialisés à grande échelle dans l’Yonne… ». Crédit photos : Thierry BRET.

Une première machine découpe-laser devrait arriver du nord de l’Italie ces jours-ci. A condition que l’autorisation préfectorale soit suffisante pour faciliter la traversée de la frontière transalpine à cet appareil indispensable à la production. Mais, le dirigeant de la start-up industrielle de l’Yonne Frédéric ROURE est formel. D’autres de ces systèmes seraient nécessaires pour espérer fabriquer jusqu’à 300 000 masques de protection au quotidien. A partir de la fibre naturelle du chanvre…

LEZINNES: Il ne s’agit que d’une simple question de jours. Mais, d’ici peu, sans doute avant la fin de la semaine, le fabricant de géotextiles, toiles de paillages biodégradables et de textile végétal à base de fibres naturelles cultivées dans l’Hexagone sera en capacité de produire en quantité importante des masques de protection pour lutter contre la propagation du coronavirus.

Comme d’autres secteurs de cette filière dans le pays, GEOCHANVRE se mobilise à son tour dans cette quête effrénée à la conceptualisation du précieux ustensile protecteur.    

La PME aux dix salariés travaille activement à la modélisation d’un masque à partir d’intissé en fibres naturelles. L’enjeu est de répondre aux besoins de sécurité dans un cadre non médical.

L’entreprise s’appuie sur une technologie novatrice qu’elle a brevetée dans 140 pays. Celle-ci consiste à lier des fibres végétales par projection d’eau sous haute pression sans avoir recours à des adjuvants. On appelle ce procédé : l’hydroliage. Il favorise la production de manière industrielle des géotextiles intissés 100 % biodégradables.

Pour réaliser ce challenge, l’ingénieur à la tête de la structure entrepreneuriale, Frédéric ROURE, s’est appuyé sur les services de l’Etat et de la Région. Au terme de sa dernière conférence de presse vendredi 03 avril, la présidente de l’organe institutionnel régional Marie-Guite DUFAY devait tresser des lauriers élogieux à l’endroit de l’entrepreneur icaunais pour cette prise d’initiative.

« D’ici une huitaine de jours, avait déclaré l’élue franc-comtoise, GEOCHANVRE sera en mesure de concevoir des masques qui seront destinés à la protection des salariés dans les entreprises… ».

 

 

Les prototypes de masques ont reçu l’aval de la DGA…

 

D’autres partenaires sont entrés dans la danse. La société SO BAG, implantée à Blanzy en Saône-et-Loire et LASERTEC, basée à Arceau en Côte d’Or.

La première est devenue le référent sur la fabrication de « big bag » en France. La seconde est spécialisée dans le marquage, la gravure et la découpe au laser en sous-traitance depuis une vingtaine d’année sur le marché national.

Pour couronner le tout, le dirigeant de GEOCHANVRE a fait également appel aux bonnes volontés des élèves du Lycée professionnel Eugène Guillaume de Montbard (Côte d’Or).

Des tests conduits sous l’égide de la DGA (Direction générale de l’armement) ont conclu à la validation le 30 mars du prototype suggéré par la PME de Lézinnes le positionnant de facto dans la catégorie 2 des masques à usage non sanitaire.

Quinze mille de ces ustensiles jetables 100 % en matière végétale pourraient être conçus dès les premières semaines d’avril. Avant que ne survienne la montée en puissance progressive et logique liée à l’installation du nouvel équipement.

 

 

 

Interrogé par téléphone, Frédéric ROURE confirme que l’entreprise est dans sa phase de réorganisation afin de pouvoir répondre au mieux aux demandes urgentes des entreprises et des collectivités (la Communauté de communes du Tonnerrois en phase de test).

Si elle réussit son pari, GEOCHANVRE qui a déjà acquis une sérieuse notoriété depuis le lancement de sa gamme de paillage en vendant plusieurs centaines de milliers de mètres carrés à des maraîchers, vignerons, paysagistes ou services techniques de collectivités (Paris, Dijon…) remplirait à la perfection son rôle d’entreprise citoyenne. Au moment où on a le plus besoin de ce type d’initiatives dans l’Hexagone.

Mais, pour mieux optimiser son plan de bataille contre le coronavirus, Frédéric ROURE aimerait acquérir d’autres machines de découpe laser à son fournisseur italien. Histoire de renforcer encore plus le potentiel productif de son unité industrielle au quotidien. Mais, il est impératif qu’il obtienne les subsides adéquats.

Au-delà des soutiens de principe de la part des institutionnels, les aides financières sont en revanche toujours à l’étude auprès des organismes ad hoc. Or, Frédéric ROURE sait que chaque minute compte aujourd’hui dans cette guerre sans merci qu’il faut livrer contre la progression de l’épidémie.

Le temps presse alors que les masques de protection sont presque à porter de mains…

 

 

NOUS CONTACTER

PRESSE EVASION - Mr Thierry BRET

Tél. : 06.20.31.05.53.

Mail : contact@presse-evasion.fr

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