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Record de fréquentation battu, une cinquantaine de spectacles : un festival des Rues Barrées pris d’assaut…

« Un trio de ballerines au look très viril a enflammé la rue de Paris en guise de mise en bouche de ce 6ème festival des Rues Barrées qui voit croître d’année en année sa fréquentation. Face à l’affluence record, il fallait parfois savoir prendre un peu de hauteur. Ne faudrait-il pas à l’avenir éviter le phénomène de concentration du public, parfois plusieurs centaines de personnes au même moment au même endroit ? ». « Un trio de ballerines au look très viril a enflammé la rue de Paris en guise de mise en bouche de ce 6ème festival des Rues Barrées qui voit croître d’année en année sa fréquentation. Face à l’affluence record, il fallait parfois savoir prendre un peu de hauteur. Ne faudrait-il pas à l’avenir éviter le phénomène de concentration du public, parfois plusieurs centaines de personnes au même moment au même endroit ? ». Crédit Photos : Dominique BERNERD.

Désormais bien ancré dans le paysage culturel auxerrois, le festival des Rues Barrées a pour sa sixième édition battu tous les records en termes de fréquentation. Près d’une cinquantaine de spectacles au menu et autant de petits bonheurs plébiscités par un public gourmand de rires et de bonne humeur. Belle manière pour certains, de prolonger les vacances et d’effacer des esprits, le temps d’un week-end, la morosité de la rentrée à venir…

 

AUXERRE : A les voir sillonner les artères du centre-ville, le visiteur de passage peu au fait de l’actualité auxerroise, pouvait légitimement penser qu’en cette fin d’été, avait sonné l’heure de la transhumance pour tout ce qui s’apparentait à des transats, fauteuils et autres tabourets pliants ! Mieux valait, en effet, s’être muni du précieux ustensile pour espérer trouver une place assise et assister confortablement aux différents spectacles proposés. La notoriété du festival des « Rues Barrées » ne cesse de croître au fil des années et le public venu en nombre ne s’y trompe pas, communiant dans le rire, la poésie, les arts du cirque ou bien la magie, avec des artistes porteurs de rêves.

 

 

Des « ballerines » toutes de roses vêtues rue de Paris

 

Ouvrant le bal des festivités en ce samedi après-midi, ces « ballerines » en tutu avaient fière allure, toutes de rose vêtues et aux jambes gainées de bas blancs pour mieux cacher une pilosité très masculine ! Mêlant pas chassés et entrechats, entraînant dans leur sillage, rue de Paris, tel le joueur de flûte de Hamelin, tout un flot de spectateurs. Mais gare à l’imprudent qui s’approcherait d’un peu trop près, complice éphémère bien vite entraîné à son insu dans leur danse.

A quelques pas de là, place des Cordeliers, un couple de compères au nom prédestiné, « Garçons, la note », guitare et contrebasse en main, proposait au public leurs chansons à la carte, à partager et déguster sans modération. A peine dix minutes de marche pour rejoindre rue du Pont, Joseph et Eugénie, passés maîtres dans les arts circassiens mêlant acrobaties et jonglerie. Ou comment se reconstruire après un accident du genou en une chorégraphie inspirée par le rythme et la poésie. « Dont’worry », n’ayez pas peur et laissez-vous entraîner par la chanson éponyme qui tisse le décor de leur numéro, « Be happy » tout simplement !

 

 

 

Magie, équilibrisme, humour : la recette de ce festival

 

Dans un autre registre, comment ne pas tomber sous le charme d’Edgar et sa tente à roulettes venue d’ailleurs, « Objet Public Non Identifié » aux allures de cabinet mystère ? Passé par le monde du stand-up, Stéphane AMOS n’a pas son pareil pour se lancer dans une improvisation interactive avec le public, autour de numéros de magie théâtralisés à l’humour décapant. Les festivaliers ne s’y sont pas trompés et les quatre représentations ont fait carton plein de spectateurs. Comment ne pas évoquer également la prestation des acrobates danseurs de la Compagnie « Si seulement », où, autour d’un mât chinois, un homme et une femme défient les lois de la pesanteur, semblant se fondre dans leur univers épuré au seul son des guitares… Ou bien encore ce voyage intérieur proposé par Mira’T, sur le parking de la Tournelle, jouant de sa balance, en quête des limites des lois de l’équilibre, pour mieux nous interroger sur la fragilité de la condition humaine…

 

 

Eviter à tout prix le phénomène de concentration du public

 

Si le choix de la municipalité de déplacer d’une semaine le festival pour le jumeler avec la traditionnelle braderie organisée fin août par les commerçants auxerrois est manifestement le bon et un pari réussi au vu de l’affluence constatée dans les artères du centre-ville ce samedi, les « Rues Barrées » seront-elles un jour victimes de leur succès ?

Pour preuve, les longs moments d’attente, sous le soleil parfois, pour espérer profiter au mieux et dans les meilleures conditions des spectacles proposés, face à une affluence grandissante d’année en année.

Ne vaudrait-il pas mieux programmer des numéros un peu moins longs et les multiplier tout au long de la journée, quitte à les faire se chevaucher, de sorte d’éviter le phénomène de concentration que l’on connaît aujourd’hui, avec parfois jusqu’à plusieurs centaines de spectateurs réunis au même moment au même endroit ?

 

Dominique BERNERD

 

 

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PRESSE EVASION - Mr Thierry BRET

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