Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Avant de rencontrer les fournisseurs d’énergie mardi soir à Bercy pour qu’ils « aident de manière plus significative les petites entreprises confrontées à la hausse spectaculaire des tarifs du gaz et de l’électricité », Bruno LE MAIRE a été le destinataire d’une question écrite dans la journée par le parlementaire du Rassemblement National Julien ODOUL à propos des mesures d’urgence à adopter pour sauver les professionnels de la boulangerie. Ce dernier fustige le gouvernement qui ne protège pas assez les artisans…

 

PARIS : Le ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle Bruno LE MAIRE s’est vu remettre une question écrite dans l’hémicycle du Palais Bourbon ce mardi après-midi. Une interpellation épistolaire à l’estampille du député RN Julien ODOUL alors que dans le même temps il demandait aux fournisseurs de gaz et d’électricité de « faire davantage, de faire mieux et de le faire tout de suite » pour soutenir les professionnels en proie à de sérieuses difficultés. Dans le viseur de ces métiers en extrême tension sont ciblés les artisans, les TPE, les PME. Parmi les artisans, les boulangers vivent une situation à la limite du catastrophisme.

C’est justement en prenant fait et cause envers les professionnels de la boulange que le député de l’Yonne Julien ODOUL a alerté le ministre du gouvernement BORNE. Appelant à la prise de mesures d’urgence et immédiates pour sauver la corporation.

 

Le risque d’une vague de faillites sans précédent en France…

 

Aujourd’hui, après une année 2022 déjà désastreuse pour bon nombre d’artisans, les hausses du coût de l’énergie atteignent des sommets allant parfois jusqu’à 1 000 % !

Julien ODOUL réagissant à cela est catégorique : « La mesure gouvernementale qui consiste à prendre charge une petite partie de la hausse ne suffit pas à faire face à ce tsunami financier. Aujourd'hui, nos artisans et en premier lieu les boulangers se retrouvent au bord de la fermeture avec le risque d'une vague de faillites sans précédent en France… ».

Face à la situation ubuesque, le parlementaire du Rassemblement National en appelle le gouvernement à agir vite et de manière concrète en prenant des mesures sérieuses ; « à commencer par la sortie du marché européen de l'énergie qui force les Français à acheter leur propre électricité aux tarifs du gaz hors de prix ».

Pour lutter contre l'explosion du prix des matières premières (beurre, œufs, farine) et la hausse phénoménale de l'énergie, les boulangers ont été sommés d'augmenter leurs prix de 5 % pour essayer de survivre, faisant ainsi passer la baguette de 1,05 à 1,10 euros. Pas suffisant pour certains qui entrevoient déjà la fermeture sine die de leur établissement, licenciements secs de leur personnel à la clé. Les exemples commencent à se multiplier comme des petits pains aux quatre coins de l’Hexagone.

Triste constat, en vérité.

 

Sortir des règles européennes de fixation des prix de l’électricité…

 

« Les 35 % d'aides de l'État n'auront finalement pas été suffisantes pour ces artisans, qui ont tout perdu, explique l’élu de l’Yonne. Certains boulangers qui ont vu leur facture flamber de 1 800 à 6 000 euros tentent de tenir bon en limitant le nombre de jours d’ouverture. Ils ferment la semaine et accueillent la clientèle que le week-end. Une situation qui est une véritable menace pour l'artisanat et démontre une nouvelle fois que le gouvernement est incapable de protéger les petits commerçants français… ».

Quant à la mesure d'amortissement des prix de 20 % pour les professionnels, elle est loin d'être suffisante pour le député bourguignon, voire « totalement déconnectée de la réalité ».

Julien ODOUL a donc demandé explicitement au ministre de sortir des règles européennes de fixation des prix de l'électricité, à l'instar du Portugal et de l'Espagne pour sauver la filière artisanale en profonde détresse.

D’ailleurs, prophétique il prévient que « si cette mesure de bon sens n'est pas mise en place dans les plus brefs délais, ce sont près de 33 000 boulangeries et autant d'artisans-boulangers français qui risquent de baisser le rideau… ».

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La jolie Saône-et-Loire a toujours été un vivier natal d'excellents cuisiniers (MM. DUMAINE, DUCLOUX et BILLOUX antan, CARETTE, CHAPUIS, DOUCET, BROCHOT de façon plus actuelle). Nicolas BRELAUD n'échappe donc pas à la règle   puisqu'il est né à Montceau-les-Mines. Après, un parcours éclectique,  provincial puis en étoilé parisien, mais aussi dans des ministères, c'est un peu par hasard,  en cherchant une affaire, qu'il aura un coup de cœur pour la cité du rail icaunais, reine des constructions BERARD, dont les rotondes du temps passé accueillirent jusqu'à deux cents locos vapeur !

 

MIGENNES : L'électrification de l'impériale artère du PLM au lendemain de la Seconde Guerre mondiale vit disparaître les imposants panaches de fumée des majestueuses « Pacific 231 », remplacées par les puissantes « 2D2 », puis « CC 7100 ».

Migennes n'est pas forcément la plus gourmande des cités icaunaises, même si, à la fin du siècle passé,  on mangeait bien à l'hôtel-restaurant « Paris », un établissement distingué fort légitimement d'un « bib gourmand » Michelin,  d'ailleurs !

Au restaurant du Canal, épaulé par son épouse Caroline, notre entreprenant chef se fit rapidement repérer. Trois entrées, plats (poisson, viande et toujours une pâte) et desserts, le tout fabriqué maison, avec un imparable rapport qualité-prix. Il n'en fallut pas plus pour remplir la salle du  restaurant et sa terrasse des beaux jours ! Une pensée émue pour les magnifiques tripes qui firent longtemps la joie des amateurs d'abats, et pas seulement en novembre, leur mois dédié ! Oui mais ça, c'était avant…

 

 

La tête de veau s’est embourgeoisée en cromesquis !

 

Depuis l'automne 2021, Nicolas a déménagé ses fourneaux. Oh ! Pas bien loin cependant. Répondant aux sollicitations municipales, il s'occupe des cuisines du tout nouvel hôtel-restaurant de Migennes, le MITIGANA. Là-aussi, le succès fut immédiat. Pas de hasard, pourra-t-on penser ! Nicolas et sa brigade culinaire ont raffiné la gamme, tout en demeurant fidèles à leurs fondamentaux. Adieu aux tripes. Quant à la tête de veau, elle s'est désormais embourgeoisée...en cromesquis !

Au service, exerce un binôme formidable : Gaëlle et Manu. Ils travaillaient chacun à « Paname ». Le post-confinement leur fit débuter un nouveau chapitre de leur vie. Adieu feux rouges incessants et embouteillages ! Vive la vie provinciale ! La dernière brasserie à avoir employé la dynamique Gaëlle s'appelle « Le Verre de Vin ». L'Yonne apparaît ici, telle une belle évidence ! 

 

 

 

Des croûtons aillés qui croustillent...


Le cadre est lumineux. L’assise est confortable et de fort jolis couverts sur table précédent un goûteux « Américano » ! En entrée, l'œuf et le vin constituent une fort belle surprise : point de faute de goût dans cet œuf bio poché au Chablis (peut-être celui du truculent Daniel SEGUINOT !). Tout y est fort bon, notamment les croûtons aillés qui croustillent (aspect souvent négligé...). Quant à la terrine de pintadeau traité comme un persillé, c'est inattendu et fort bon !
Ensuite, elle fut annoncée la tête de veau en cromesquis, une façon originale de déguster ce mets si légitimement apprécié dans l'Yonne. La bourride de poissons nous amène, l'espace d'un instant, du côté de Sète ! Un plat là aussi aux saveurs étagées et précises, notamment le délicat aïoli.

 

 

 

Un des établissements les plus prometteurs de l’Yonne…

 

Même le fromage blanc aux herbes est servi élégamment. Cette élégance est comme une image de cette jeune maison, avant de conclure par un dessert léger à l'ananas.

Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute dans un établissement des plus prometteurs. Quai numéro 2, attention au départ !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : une gougère par personne pour l'apéritif. Peut-être pourrait-on pousser à deux ! Et avec le café, un « p'tit » chocolat ou autre serait le bienvenu.

Les + : le service est dynamique et souriant.

 

 

Contact :

 

Hôtel-Restaurant Le MITIGANA

16, Avenue Roger Salengro 89400 MIGENNES

Tel : 03.58.44.90.11.

Formule à partir de 30 euros.

Sauf lundi et mardi.

  

Gauthier PAJONA

 

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il ne pouvait en être autrement. Logique, au vu du contexte actuel et de la course folle de l’inflation en matière énergétique que l’on nous promet depuis si longtemps ! Dans un souci d’équilibre financier à long terme, et afin de pérenniser un service public sur notre territoire rural non prioritaire pour les autres opérateurs, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne (SDEY) a décidé de passer désormais à un modèle payant pour les bornes de recharge des véhicules électriques. Une application effective depuis le 02 janvier…

 

AUXERRE : Il fallait s’y attendre. Tant les tensions sont palpables et déconcertantes sur tout ce qui touche le volet énergétique dans l’Hexagone depuis plusieurs mois. Mais, il faut bien se rendre à l’évidence. Les choses évoluent selon les soubresauts de la conjoncture et des crises successives qui s’abattent sur le ciel européen. Voire mondial.

Le SDEY, syndicat départemental d’énergies de l’Yonne, n’a eu d’autres choix en effet que de s’aligner sur les évènements qui induisent une forte augmentation du coût de l’électricité dans l’Hexagone. Et encore, nous ne sommes pas à plaindre puisque le bouclier tarifaire voulu par l’Etat a quelque peu réduit la facture énergétique. Qu’elle soit électrique ou gazière en ce début d’année.

Oui mais voilà. A l’instar de bon nombre d’entreprises, de collectivités ou de structures associatives qui désirent exister durablement et apporter de précieux services auprès de nos concitoyens, des ajustements financiers sont indispensables. Ne serait-ce, dans le cadre du SDEY, que pour asseoir dans la durée la notion de service public apporté dans notre département – le développement de la centaine de bornes de recharge pour véhicules électriques – et de préserver pour l’organisme son légitime équilibre budgétaire.

 

Un point de recharge pour quatre véhicules dans l’Yonne grâce au SDEY…

 

Ainsi, depuis lundi, le syndicat départemental icaunais a donc décidé d’opter pour une formule payante, à partir d’une grille de tarification dûment étudiée, dans cette offre de service public que représente ce réseau de bornes, nécessaires à l’alimentation des modèles automobiles électriques ; ces derniers connaissant une nette progression au niveau des ventes sur notre territoire.

On le sait, le SDEY s’est investi sans relâche depuis 2015 pour aménager du mieux possible le département de l’Yonne avec ces fameuses bornes désignées sous le sigle technique « IRVE » (Infrastructures de Recharge des Véhicules Electriques).

A date, l’organisme piloté par Jean-Noël LOURY, président et Eric GENTIS, directeur, exploite près de 40 % des infrastructures ouvertes au public aux quatre coins de l’Yonne. Aujourd’hui, la photographie instantanée prise sur ces appareils est plutôt flatteuse puisqu’il existe un point de recharge pour quatre automobiles dans le périmètre icaunais.

 

Maintenir sa place d’aménageur public principal sur le territoire icaunais…

 

Sachant que différentes variétés de bornes y ont été installées, même dans les communes les plus reculées du département : on dénombre ainsi 109 bornes inférieures à 25 KW, une vingtaine de bornes offrant une capacité de recharge comprise entre 25 KW et 100 KW ; enfin, deux bornes – de vraies « Rolls-Royce » de la recharge rapide ! – ont été posées par le SDEY sur le territoire.

Un service favorisant la transition énergétique des automobilistes de l’Yonne qui était jusque-là entièrement gratuit et très sollicité en raison de l’adoption de ce mode de déplacement réduisant les rejets de carbone.

Une sollicitation telle de la part des automobilistes qui induit naturellement une usure prématurée du matériel, augmentant au passage les coûts de maintenance et le risque de devoir remplacer lesdites bornes.

Quant à la proposition tarifaire mise en application au 02 janvier 2023, elle est relativement basse en année 1 pour avoir la possibilité de réviser le prix à la hausse ultérieurement.

La mise en place d’une formule abonnement est concrète pour se rapprocher des modèles économiques d’autres acteurs et opérateurs de ce segment d’activité.

Précisons que le SDEY doit être en mesure d’assumer des coûts importants sans rentabilité à court terme afin d’occuper l’espace et de maintenir sa place d’aménageur public principal de l’Yonne.

 

 

En savoir plus :

925 MWh ont été distribués en 2021 sur les bornes du SDEY.

1 333 MWh ont été distribués sur les bornes du syndicat de l’Yonne entre le 01er janvier et le 30 septembre 2022.

Les tarifs pratiqués :

Puissance inférieure à 25 KW, 0,50 euros du kWh

Plus 0,30 centimes la minute dès la quinzième minute après le temps de charge.

Tarif abonné : 0,40 euros du kWh

Puissance comprise entre 50 et 100 kW, 0,70 euros du kWh

Plus de 0,40 euros du kWh la minute dès 15 minutes après la fin de charge.

Tarif abonné : 0,60 euros du kWh.

Puissance de plus de 100 kW, 0,90 euros du kWh.

Plus 0,50 euros la minute dès 15 minutes après la fin de charge

Tarif abonné : 0,80 euros du kWh.

Quant aux prix et avantages de l’abonnement, ils sont les suivants, 14,99 euros par mois, avec une exonération de la composante « temps », entre 21h et 06 h du matin.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le mandat court sur deux années. Suffisant pour y imprégner sa griffe personnelle et représenté convenablement l’ensemble des banques françaises et étrangères qui exercent sur notre territoire. Succédant à Emmanuel VEY, son directeur général au sein du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne, Laurent HARO – il exerce lui-même les responsabilités de numéro deux dans l’établissement vert – prend les rênes de cet organisme, la FBF régionale, cheville ouvrière de la vie bancaire territoriale…

 

DIJON (Côte d’Or) : La passation de pouvoirs entre ces deux connaissances professionnelles – ils pilotent ensemble aux côtés de leurs équipes la destinée du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne – s’est faite au mois de décembre. Succédant à Emmanuel VEY, directeur général de la banque verte, Laurent HARO s’installe donc dans le fauteuil de président du Comité régional des banques de la Fédération bancaire de France (FBF) de Bourgogne Franche-Comté pour un mandat de vingt-quatre mois qui trouvera son terme en décembre 2024.

Une nomination qui n’est pas une surprise en soi tant ce cadre dirigeant s’est déjà investi au fil de sa carrière, au bénéfice du secteur bancaire.

Elu par le comité régional de l’organisme fédérant l’ensemble des banques hexagonales et internationales qui exercent leurs activités en France, Laurent HARO jouera un rôle représentatif primordial sur les huit départements de la Bourgogne Franche-Comté.

 

Des banques régionales solides et ouvertes à la proximité…

 

Première déclaration de l’intéressé à l’issue de sa désignation : « Je suis honoré de représenter notre profession sur notre territoire régional et de succéder ainsi à Emmanuel VEY… ». Dont il a salué le travail.

Indispensables partenaires et vecteurs de la vie économique de notre région, les banques accompagnent quotidiennement la clientèle de particuliers, de professionnels et de collectivités dans la réalisation de leurs projets.

« Nos banques sont solides, a précisé le nouveau responsable du Comité régional de la FBF, elles ont pour valeur essentielle la proximité… ».

Un atout qui est d’ailleurs reconnu par 89 % des habitants du territoire bourguignon franc-comtois qui en possèdent une excellente opinion selon une étude réalisée par l’IFOP sur les « Français, leurs banques et leurs attentes ».

Avec leurs 10 900 collaborateurs, les banques de Bourgogne Franche-Comté pèsent par leur présence physique avec 1 380 agences et vitrines commerciales tout réseau confondu sur le territoire et injectent chaque année 87 milliards d’euros de crédits en faveur de la consommation et de l’économie.

 

 

En savoir plus :

La Fédération bancaire de France rassemble 334 établissements français et étrangers depuis 2001. Ceux-ci exercent des activités dans l’Hexagone.

Il existe 103 comités régionaux et départementaux qui sont présents sur tout le territoire national.

La FBF dispose d’un bureau à Bruxelles.

Son rôle est d’intervenir sur les questions réglementaires et financières aux niveaux national, européen et international. L’organisme aborde également tous les sujets relatifs à la place de la banque dans l’économie et la société.

Le secteur bancaire emploie plus de 350 000 salariés en France.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« C’est du lourd ». Dans un jargon un peu familier et commun, on peut ainsi qualifier la visite du premier auteur – une autrice pour respecter les nouveaux codes de l’orthographe inclusive – à la librairie OBLIQUES à Auxerre ce samedi 07 janvier. Une ouverture de cycle de conférences grandiose pour bien débuter l’année 2023 qui augure de très belles perspectives pour les adorateurs de belles plumes et de romans qui ne sont pas à dormir debout. La venue de la romancière Véronique OVALDE est en soi un évènement. Elle se rendra dans l’Yonne pour y présenter son dernier opus, édité chez Flammarion, « Fille en colère sur un banc de pierre ».

 

AUXERRE En charge des relations publiques et de la communication – entre autres – au sein de la librairie OBLIQUES auxerroise, Aurélie LAMBERT résume à la perfection ce qui se présente déjà comme un événement marquant dans l’actualité littéraire de cette nouvelle année 2023. Une année qui démarre « très fort » selon elle avec, excusez du peu, la venue dans la capitale de l’Yonne d’une figure de proue de l’art épistolaire hexagonal, la romancière Véronique OVALDE.

Débutant la promotion de son dernier ouvrage, « Fille en colère sur un banc de pierre », l’autrice de « Personne n’a peur des gens qui sourient » et de « Ce que je sais de Véra Candida » - un opus distingué par le Prix Renaudot des lycéens en 2009, prix France Télévisions et Grand Prix des lectrices de « Elle », a choisi de se poser à Auxerre, le temps d’une soirée rencontre avec son lectorat ce samedi 07 janvier, aux alentours de 19h30.

Suivie par les critiques littéraires depuis les débuts de sa brillante carrière, Véronique OVALDE vient de signer l’un des romans les plus en vue de cette rentrée de janvier. Un livre qui fait office de « pépite » selon Aurélie LAMBERT qui en connaît nécessairement un rayon sur le sujet.

Avec une dizaine d’ouvrages dans son escarcelle, Véronique OVALDE a déjà glané pas mal de récompenses. L’un de ses titres, « Et mon cœur transparent » avait obtenu après sa sortie un prix littéraire décerné par France Culture et Télérama ; autant dire des références en la matière.

Le nombre de places étant limité, il est demandé aux amoureux de romans joliment écrits de réserver pour cette soirée qui promet d’être passionnante à bien des égards…

 

En savoir plus

Véronique OVALDE à la libraire OBLIQUES à Auxerre

Conférence débat avec les lecteurs à partir de 19h30.

Entrée libre.

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil