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Ce mardi 1er décembre devrait être chaud bouillant pour la présidente de l’exécutif de Bourgogne Franche-Comté. Participant au comité de suivi du fonds de développement de l’industriel américain GENERAL ELECTRIC, Marie-Guite DUFAY entend bien défendre le projet de reprise d’activité déposé par les salariés de GE Hydro. Contre l’avis du directeur général de la filiale française…

DIJON (Côte d’Or) : Entre GENERAL ELECTRIC et l’exécutif de la Région Bourgogne Franche-Comté, le torchon brûle. Surtout après l’annonce de nouvelles suppressions de postes dans le cadre de la réorganisation de l’industriel américain. Ce sont 300 emplois qui sont sur la sellette dont 240 affectés au site de Belfort dans la branche du « steam power ». Celle qui conçoit la fabrication des turbines présentes dans les réacteurs des centrales nucléaires.

S’entretenant il y a peu avec le ministre de l’Economie et de la Relance Bruno LE MAIRE, Marie-Guite DUFAY endosse une fois de plus sa vêture de chevalier blanc, en défenseuse toute acquise à la préservation de l’emploi dans sa zone géographique de prédilection.

Favorable à un rachat par EDF et FRAMATOME de l’ensemble de la branche énergie de GENERAL ELECTRIC, ce qui favoriserait la création d’un grand groupe énergéticien aux couleurs nationales, l’élue régionale sollicite pour la énième fois la présidence de la République.

Depuis deux ans, Marie-Guite DUFAY multiplie en effet les contacts auprès d’Emmanuel MACRON afin que ce dernier s’empare enfin du dossier. En vain. Pour l’heure, rien ne bouge et ses demandes restent lettres mortes.

« Sans l’intervention du chef de l’Etat, nous assisterons à la destruction massive d’emplois et de compétences uniques au monde, souligne-t-elle dans un communiqué de presse, les intérêts de notre pays et la filière française de l’énergie sont menacés… ».

 

 

Exit le temps des promesses, des mensonges et des trahisons…

 

Fustigeant l’attitude du géant américain qui n’a pas tenu ses promesses (« depuis le rachat de la branche énergie d’ALSTOM, ce n’est que mensonges et trahisons…), Marie-Guite DUFAY dénonce la stratégie de l’industriel.

Une politique qui touche à la souveraineté industrielle de la France tout en mettant en péril notre indépendance énergétique et notre sécurité nationale à terme.

Il y a un an, GENERAL ELECTRIC s’était engagé après d’âpres tractations à signer un accord pour pérenniser l’activité gaz à Belfort. Mais, aujourd’hui, les négociations ne sont toujours pas abouties.

Quant aux mille emplois promis en France par l’industriel nord-américain, ils se sont évanouis comme par enchantement dans la nature. Laissant la place, en revanche, à de multiples plans sociaux ou de départs volontaires qui se succèdent en cascade.

Enfin, rappelons, qu’au mois de septembre dernier, ce sont 83 salariés de la filière Hydro qui ont été sortis des effectifs au nom d’une restructuration comptable.

Mardi, face à Hugh BAILEY, directeur général de GE France, et contre son avis, la présidente de région soutiendra mordicus les intérêts des salariés de GE Hydro qui consiste en une reprise de leur activité. Une rencontre qui sera certainement « électrique » entre les deux parties…

 

 


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Evocateur, le nom de code identifiant la manifestation de la semaine dernière résumait à lui seul l’importance de l’engagement : « itinérance mémorielle en hommage à nos libertés ». Malgré le confinement et l’état d’urgence sanitaire, mais bel et bien dans le respect des gestes barrières et du port du masque, près de cent cinquante soutiens à l’APA répondirent présents en faveur des droits les plus élémentaires d’une démocratie : la liberté…

AUXERRE : Certes, l’itinéraire initial, une boucle de 2,8 kilomètres à parcourir dans l’hyper centre de la capitale de l’Yonne, aura été quelque peu raboté à la dernière minute ou presque. De neuf centres mètres, précisément, sur ordre de la préfecture. Une décision prise en ce sens, eu égard au contexte sanitaire du moment.

Mais, in fine, de manifestation en plein centre-ville, là où sont implantés les commerces de proximité servant de cause originelle à ce rendez-vous revendicatif populaire, il n’y aura pas !

Le cortège se sera rabattu sur un tout autre périmètre, celui des boulevards périphériques de la ville. Moins pourvus en échoppes artisanales et en commerces indépendants, mais offrant davantage d’espaces à la déambulation de manifestants.

Qu’à cela ne tienne ! Sur un parcours qui ne s’y prêtait guère puisque un peu trop excentré de leur objectif initial, les organisateurs de l’Assemblée Populaire d’Auxerre (APA) auront réussi leur pari de faire converger près de cent cinquante personnes désireuses de se mobiliser contre le cruel manque de liberté.

Utilisant les réseaux sociaux pour faire circuler l’appel à protester en amont, l’APA avait labellisé cette première manifestation déclinée à son estampille sous le sceau de « Gilets Jaunes ». Un clin d’œil ostentatoire au deuxième anniversaire du fameux mouvement populaire qui a rapidement fait tache d’huile dans l’Hexagone à l’automne 2018.

 

 

Des lieux d’arrêt très ciblés pour véhiculer les messages…

 

Le cortège démarra face au cinéma CGR dont les portes sont closes depuis plusieurs semaines. Un geste symbolique pointé comme un index dénonciateur en direction d’un lieu culturel ayant eu à subir la fermeture durant la période de confinement.

Le deuxième arrêt fut réservé à la première Maison du Peuple, près du passage Surrugue, un bâtiment emblématique chargé d’histoire érigé en 1903. Toute une époque !

Les banderoles se déroulèrent bon train durant la déambulation. On pouvait y lire les slogans suivants : « Etat d’urgence = libertés en danger » ou encore « Confinement, couvre-feu, état d’urgence : et nos libertés ? ».

Puis, ce fut au tour du Musée d’histoire naturelle (autre site culturel inactif depuis plusieurs semaines) de faire stopper la progression du cortège. Les restaurants ne furent pas oubliés avec un message déployé devant l’un d’eux, évoquant la mort d’un commerce essentiel à notre lien social…

 

 

Le gilet jaune symbole fort de l’union des colères…

 

Point névralgique de toutes manifestations qui se respectent, le Rond-Point de Paris accueillit les prises de paroles libres de celles et ceux qui souhaitaient s’exprimer en de pareilles circonstances, microphone en main.

Ce fut le cas d’une journaliste, adhérente au SNJ (Syndicat national des journalistes) qui parla notamment du grave recul de la liberté d’information dans notre pays. Une ultime étape avant la dislocation du cortège, place de l’Arquebuse.  

De l’avis des organisateurs, tous se disent très satisfaits de cette opération revendicative. La première en période de confinement.

« Nous avons été touchés par de nombreuses personnes présentes et de leurs remerciements pour avoir organisé cette manifestation. Plusieurs sont venus nous dire que cela les remobilisait au milieu du confinement en leur montrant qu’il nous reste encore quelques maigres libertés d’action. Au-delà la réussite du nombre avec cette mobilisation (145 personnes selon les forces de l’ordre), c’est la diversité des profils des personnes qui nous réchauffe le cœur… ».

En filigrane, on l’aura bien compris pour l’APA, aujourd’hui comme hier, le gilet jaune demeure le symbole fort de l’union des colères.

Des colères qui pourraient bien se manifester de nouveau dans la rue si le contexte sanitaire actuel devait persister un peu trop longtemps…  

Thierry BRET

 

 

 


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Déjà une décennie de présence grâce à deux générations de modèles. Synonymes de succès qui se traduit par la vente de 500 000 exemplaires, dont 180 000 en Europe. Fleuron de la gamme électrique du constructeur japonais, la LEAF plaît aux consommateurs de l’Hexagone. La preuve, ils ont acheté 25 000 de ces véhicules. Un chiffre qui augmentera au premier trimestre prochain avec la mise en vente de la version 2021…

PARIS : C’est l’effervescence dans le réseau des concessionnaires NISSAN. Les commandes de la LEAF 2021 sont ouvertes depuis plusieurs semaines. Afin d’assurer les premières livraisons de la petite dernière issue de la gamme électrique du constructeur nippon et ce, dès le début de la nouvelle année.

Pionnière de la mobilité 100 % électrique depuis 2010, l’automobile a été totalement renouvelée sept ans plus tard. Pour sa nouvelle version, l’ingénierie propose un produit qui accentue sa connectivité en lui apportant des équipements supplémentaires.

Cette berline compacte est toujours disponible en deux versions. La LEAF 150 ch/40 kWh équivaut à plus des trois quarts des ventes et la LEAF e+ 217 ch/82 kWh, commercialisée depuis dix-huit mois.

 

Davantage de technologies embarquées à son bord…

 

La Nissan LEAF a inauguré la conduite assistée « ProPILOT » en Europe. Cela constitue l’étape initiale menant à la conduite autonome. Elle bénéficie également de la technologie « e-Pedal ». Ce qui permet d'accélérer, ralentir, freiner et même s'arrêter avec la seule pédale d'accélérateur dans 90 % des cas. Pour cette version 2021, plusieurs technologies de sécurité s'y ajoutent : un détecteur d'angle mort intelligent et un système de maintien dans la voie qui équipent désormais tous les modèles.

 

 

On l’aura compris : le constructeur choisit de lancer sur le marché l’une de ses automobiles les plus connectées, à l’image de JUKE début 2020. Grâce à l’application spécifique, on peut optimiser de nouvelles fonctionnalités comme le verrouillage/déverrouillage des portes à distance ou l’autonomie et l’état de charge. Les conducteurs peuvent recevoir une alerte si le véhicule sort d'une zone ou dépasse une vitesse préalablement prédéfinie. Cerise sur le gâteau : le Wifi est accessible sur simple abonnement.

 

Innovation particulière : un rétroviseur intérieur ultra intelligent….

 

La plupart des conducteurs en ont déjà fait l'expérience. L'usage du rétroviseur intérieur peut être perturbé par la présence d’un objet volumineux que l'on transporte à l’arrière. Voire par la tête d’un passager. Ne parlons pas des conditions météo parfois très défavorables. Pour garantir la vision optimale dans toutes les situations, NISSAN innove sur la LEAF 2021 en introduisant un rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique.

Celui-ci comporte deux positions : un rétroviseur-miroir traditionnel et un mode écran. Quand le mode écran s’active, il est alors connecté à une caméra fixée en haut de la lunette arrière. Il suffit au conducteur d'actionner une commande située en bas du rétroviseur pour passer instantanément d'un mode à l'autre.

Ce système, déjà plébiscité sur de nombreux véhicules de la marque au Japon et en Amérique du Nord, a su faire ses preuves. Ce rétroviseur intérieur intelligent à affichage numérique sera disponible de série  sur la finition « Tekna » du futur modèle tant attendu en 2021.

Pour conclure, précisons qu’une toute nouvelle couleur de carrosserie s’ajoute à la gamme chromatique. Il s’agit d’un coloris gris argile qui peut aussi se décliner avec la présence de noir sur le toit.

 

 


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Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Même si celle-ci arbore une fourrure de la plus belle des textures. Mais à l’annonce du concept entrepreneurial qui pourrait tomber dans l’escarcelle du Grand-Sénonais à l’horizon 2022, il y a des raisons d’espérer. Si l’appel à projets lui revient favorablement, c’est la plateforme logistique d’un grand groupe européen positionné dans le e-commerce qui s’implanterait alors à Sens. Créant au passage la bagatelle de plusieurs milliers d’emplois…

SENS : Non, il ne s’agit pas du géant américain, AMAZON qui a déjà choisi Chalon-sur-Saône comme point d’ancrage en Bourgogne Franche-Comté ! Mais, ce serait tout comme, si d’aventure le projet venait à se concrétiser d’ici les prochaines semaines.

Les perspectives induites seraient très alléchantes pour le bassin d’emploi du Sénonais. Et par effet gigogne, à l’ensemble des strates économiques de ce territoire, avec en priorité les artisans et les sociétés de service.

L’édification de cette future base logistique – la plus importante dans l’Hexagone pour ce commanditaire européen spécialiste du e-commerce dont l’identité n’a pas été relevée pour l’heure pour cause de confidentialité par le porteur de projet, la société PANHARD– apporterait une embellie durable et circonstanciée à la cause de l’emploi sur le secteur septentrional de l’Yonne.

Un projet qui ne date pas d’hier comme devait le préciser lors d’une conférence de presse permettant de faire toute la lumière sur ce dossier, l’édile de Sens et présidente du Grand-Sénonais, Marie-Louise FORT.

Cela fait deux ans déjà que les fonts baptismaux de ce dossier très attendu par le sérail local ont été posés sur la table des tractations. La Ville de Sens n’avait pas, jusqu’alors souhaité l’évoquer, à l’instar de tant d’autres projets en gestation, parce que sa politique de communication s’articule seulement autour de programmes ayant une chance d’aboutir in fine.

Une entrée en matière explicative très véhémente de l’élue de l’Yonne qui a voulu remettre les pendules à l’heure après avoir été accusée lors du conseil municipal du lundi 23 novembre par son opposition verte de ne pas dire toute la vérité sur ce dossier.

 

 

 

Une motte de beurre dans l’assiette d’épinards du Sénonais…

 

De quoi s’agit-il précisément ? Un major européen de la « supply chain » et de la logistique dans le e-commerce – visiblement originaire d’Outre-Rhin par simple déduction – a lancé un appel d’offres national portant sur la recherche d’une zone d’aménagement en vue de l’installation de son futur centre logistique dans l’Hexagone. Et plus particulièrement sur l’axe Paris/Lyon.

Une quarantaine de sites ont fait acte de candidature dès l’annonce de ce projet qui remonte à vingt-deux mois.

Spécialiste de l’immobilier industriel dont celui de l’implantation de bases de logistique en France, le groupe PANHARD (rien à voir avec feu la célèbre enseigne automobile) est entré dans la danse.

 

Banque Populaire

 

En prenant fait et cause pour imposer le territoire de Sens dans les négociations !

Si à date, rien n’est encore fait quant à l’attribution définitive de cette implantation, il ne resterait plus, aux dires de Jean-Louis LAZUECH, directeur général du développement logistique de la société, que deux à trois sites figurant encore sur les rangs. Dont celui qui intéresse le bassin d’emploi du Sénonais ! Une énorme motte de beurre dans une assiette d’épinards pour le développement économique du territoire !

 

 

Un chantier titanesque avec 150 000 mètres carrés de bâtiment !

 

Dans les faits, le projet est proprement colossal. La plateforme s’étalerait sur 150 000 mètres carrés de superficie dont 50 000 mètres carrés en étage. Ce qui en ferait de facto l’une des plus importantes bases logistique de l’Hexagone !

Son coût reviendrait à 300 millions d’euros, financés pour moitié par le porteur du projet lui-même.

L’investissement humain atteindrait des proportions très conséquentes pour le microcosme local : avec une jauge estimative fixée à près de deux mille cinq cents emplois dont 50 % établis en contrat à durée indéterminée.

Parmi les profils essentiels de ces postes, citons celui des caristes dont la future société aurait grandement besoin pour rendre opérationnel l’ensemble. Les cadres et personnels administratifs seraient accueillis dans douze mille mètres carrés de bureaux.

Sur les trente hectares occupés pour le développement de ce projet, une dizaine serait consacrée à l’aménagement de plan d’eau (deux hectares), de la préservation du biotope, de la plantation de quelques neuf cents arbres et végétaux, de la pose de ruchers.

Bref, un concept résolument vert et écologique qui, pour couronner le tout, se verrait aussi doter de panneaux photovoltaïques sur la toiture de l’édifice. Ceux-ci d’une puissance de cinq MgW pourraient répondre aux besoins en énergie électrique de mille deux cents foyers.

Les abords du site logistique seraient également repensés. Avec à la clé, des accès menant vers la rocade de contournement de Sens. Il s’agirait de rendre plus fluide la circulation des poids lourds, évalués de 400 à 500 véhicules par jour dans ce périmètre.

S’il était retenu, le chantier de construction de cette plateforme de très belle envergure nécessiterait près de vingt-quatre mois de labeur. Auxquels il faudrait ajouter de six à huit mois supplémentaires pour l’agencement du lieu. Quant au recrutement des futurs salariés, il incomberait aux services de Pôle Emploi.

Marie-Louise FORT, tout comme son adjointe en charge de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique Clarisse QUENTIN, se disent confiantes. « Notre dossier est bon, nos arguments aussi… ».

Il n’y a plus qu’à croiser les doigts et patienter jusqu’en 2021 pour que cette nouvelle année vienne égayer de ses lumières (et de l’acceptation de ce dossier) le paysage sociétal sénonais…

 

Thierry BRET

 

 


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Sortir des prisons et des bagnes que l’on construit autour de soi, tel est le propos. On pourrait aussi appeler cela une méthode de résolution de problèmes ! Pompeux et prétentieux, dites-vous ? Peut-être… Alors disons que c’est un moyen pour enlever  nos œillères…

 

TRIBUNE (partie une) : Et pour débuter cette chronique, commençons par un petit exercice !

 

 

Reliez ces neuf points en quatre droites maximum, sans lever le crayon !      Mais, il existe aussi une solution avec trois traits seulement…

 

 

 

 

Deuxième proposition : encore plus fort avec seulement trois traits !

 

 

 

 

………… : un seul trait pour relier les neuf points déplacés !

 

 

L’unique difficulté résulte du fait que l’on s’enferme dans le carré imaginaire délimité par les neuf points. On dit juste neuf points et non neuf points qui délimitent un carré. Pour réussir ce test, il faut sortir du cadre que certains ont inventé. Le cadre ne fait pas partie du problème posé !

Si nous prenons en compte les solutions proposées, la liberté prend sa source dans la créativité. Elle  s’exprime par l’utilisation d’un maximum de ressources, en sortant en permanence d’un cadre qui ne représentait que la contrainte, que nous nous étions inconsciemment imposée.

Elle ne constitue en rien un assujettissement à la problématique réelle. On édifie trop souvent nos bagnes et nos prisons ! De facto, c’est prendre les problèmes et la vie aussi simplement qu’ils se présentent.

Il convient de remettre en question, en permanence, ses croyances, ses dogmes, s’ouvrir à toutes les sources possibles : être inventif, créatif, productif, ingénieux, fertile…

Par exemple, on cherche des réponses à une crise économique découlant de la crise sanitaire. Dans la foulée, on s’enferme dans des solutions connues depuis plus d’un siècle et que l’on sait inopérantes aujourd’hui !

On s’emprisonne dans le passé et dans un système de pensées très limité. On peut aussi se dire que la crise sanitaire est la conséquence de nos crises économiques et de nos modes de productions. Trouver des solutions en imaginant le futur.  Les clefs proposées seront plus innovantes et différentes !  On a coutume à dire que la moitié des solutions se trouvent dans le problème bien posé ! Et Einstein de conclure : « Un problème sans solution est un problème mal posé. ».

 

Nous sommes prisonniers de notre étroitesse d’esprit…

 

Ce petit test nous montre combien nous sommes les prisonniers, volontaires ou non, d’une étroitesse d’esprit. Cette même étroitesse qui nous conduit vers des aprioris, des intégrismes idéologiques de tout poil : religieux, politiques ou philosophiques. Finalement, les neuf points nous entraînent vers le rêve et la libre pensée…

Quelles applications aujourd’hui ? Un vaccin contre la COVID-19 : c’est en bonne voie !

Le plus préoccupant reste dans les aspects économiques et sociaux actuels. Comment sortir du terrorisme et de l’insécurité prégnante dans nos villes et nos banlieues, sans pour autant céder à la tentation du tout répressif ou de l’amalgame « religion musulmane » et « intégrisme musulman politique ».

Dans ce cas, les réactions purement émotionnelles, populistes et démagogiques sont vouées à l’échec. Elles nous laissent très loin de l’une des devises de la France, gravée sur le fronton des édifices publics : la « FRATERNITE ».

La liberté est mise à mal par les décisions gouvernementales et aliénées par les extrémistes de tout bord, l’égalité devient de plus en plus illusoire face à la croissance exponentielle des plus riches et devant l’impossibilité de nos dirigeants d’assurer l’équité ! Alors que reste-t-il ? La fraternité !

Cette fraternité qui unit les hommes quel que soit la couleur de leur peau, leurs convictions religieuses, leurs préférences sexuelles, leurs engagements politiques.

Un aspect important de la crise économique consécutive à la crise sanitaire, focalise l’attention de tous : les commerces « non indispensables » des centres villes !

Au-delà des manifestations et des appels à la révolte, voire des élus qui forcent l’interdiction à coups « d’arrêtés municipaux » aussitôt annulés par le Tribunal administratif sur demande d’un préfet. Petite précision au passage, le préfet n’a pas le pouvoir d’annuler, seul, les arrêtés municipaux.

Bon, toutes et tous à nos copies : Etat, communes, Chambres de Commerces et d’Industrie, Chambres des Métiers et de l’Artisanat, étudiants, commerçants, artisans, agriculteurs, syndicats professionnels, associations spécialisées, amateurs motivés et même les clients…

 

 

Se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain…

 

 

La résolution de ce problème est non seulement vitale mais urgente, compte tenu de la succession de crises sanitaires qui risquent, hélas, de polluer notre environnement et nos économies.

Il faut envisager des solutions pour contrer également une concurrence, incontournable, celle des GAFA ! A nos stylos et nos blocs de papier ? Peut-être pas, ne nous enfermons pas immédiatement dans une contrainte qui n’est pas dans la donne de départ.

« Si on vous traite d’amateur, dites que ce sont des amateurs qui ont construit l’Arche de Noé et des professionnels le Titanic. La suite, on la connaît, alors croyez en vous… a précisé Morgan Freeman.

Il est nécessaire de se vider de soi pour aborder les défis d’aujourd’hui et de demain, pur de toute contrainte afin d’aborder la recherche des solutions sans a priori. La seule « contrainte imaginable » est celle de mettre en valeur et en exergue la fraternité qui doit circuler entre tous les protagonistes décelés.

La fraternité change tout. La justice sans fraternité rend impitoyable ; la vérité sans fraternité rend critique ; le savoir sans fraternité rend présomptueux ; la responsabilité sans fraternité rend autoritaire ; l’intelligence sans fraternité rend calculateur ; la mémoire sans fraternité rend rancunier ; la gentillesse sans fraternité rend hypocrite ; l’honneur sans fraternité rend orgueilleux ; la richesse sans fraternité rend avare ; le don sans fraternité rend amer. Quant à la foi sans fraternité, elle rend fanatique…

Jean-Paul ALLOU

 


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