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Maillon naturel de la pédagogie agricole : le CFA des Terres de l’Yonne accède à plus de visibilité et d’attractivité…
novembre 25, 2020Entériné au printemps 2019 par le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, le transfert du centre d’apprentissage agricole de Champignelles vers Venoy eut tôt fait de bouleverser quelque peu le microcosme local. D’autant que la petite localité de Puisaye avait à gérer en concomitance un autre départ : celui de l’Ecole nationale vétérinaire. Force est de constater que depuis son déménagement survenu à l’été dernier, le CFA a gagné en attractivité et en effectifs…
VENOY : Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA), lycée professionnel agricole de Champs-sur-Yonne (LPA), lycée agricole d’Auxerre La Brosse (LA) : il ne manquait à cette photographie éducative déjà éclectique que la présence physique d’un centre de formation d’apprentis (CFA) pour que l’offre pédagogique déclinée par l’établissement de l’Auxerrois soit réellement complète.
A ceci près que le LPA de Champs-sur-Yonne est situé à quelques encablures du vaisseau amiral de l’enseignement agricole icaunais (une distance réelle de quatorze kilomètres), soit un petit quart d’heure de déambulation par la route.
Un établissement fonctionnel depuis 1975…
Jadis, établi en Puisaye au cœur de la commune de Champignelles, le CFA agricole accueillait depuis 1975 celles et ceux de ces jeunes gens ayant une appétence naturelle pour les métiers de la filière verte.
Notamment autour de quatre de ces spécificités les plus représentatives : les métiers du jardinage et du paysagisme, ceux du secteur équestre, de la viticulture et de l’agriculture.
Des cursus qui restent ô combien d’actualité même si le complexe structurel a déménagé entre-temps. Une opération de logistique qui s’est déployée au cours de la dernière période estivale et qui avait l’assentiment de la région Bourgogne Franche-Comté.
De la pure évidence que de regrouper sur le même site, celui des Terres de l’Yonne à Venoy, ce centre de formation quelque peu excentré des grands axes de communication. Un positionnement géographique délicat en fin de compte qui lui aura coûté en termes d’effectifs et surtout en rentabilité.
Des synergies naturelles avec les autres établissements du complexe…
Désormais, accueillie dans un ensemble de structures modulaires mixant ergonomie et fonctionnalité, l’équipe administrative et enseignante du CFA agricole ne souhaite qu’une seule et unique chose : accroître ses effectifs en privilégiant la visibilité.
Une requête d’autant plus facile que l’infrastructure pédagogique est dorénavant située au cœur même de l’édifice du complexe agricole icaunais.
D’où un gain légitime en visibilité et surtout une osmose évidente avec les autres strates enseignantes locales : le lycée agricole La Brosse et le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA).
Les synergies qui vont s’y développer dans le futur ne peuvent être que normales.
S’il n’existe pas encore de section dédiée à l’accueil d’un BTS, les cent-cinquante apprenants qui fréquentent les lieux se répartissent vers d’autres cursus menant à l’obtention d’un CAP ou d’un baccalauréat professionnel.
Communication, qualité et digitalisation : des items synonymes d’avenir…
Les quatre filières demeurent très attractives pour les jeunes gens. Notamment celles qui préparent aux métiers de l’aménagement des espaces verts dont sont friands les collectivités et les entreprises ; celle de l’hippisme avec une corrélation naturelle vers la kyrielle de centres équestres répartis sur les départements de l’Aube, la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne. Du côté du secteur purement agricole, les demandes de contrat d’apprentissage sont toujours importantes au vu des besoins des exploitations.
L’un des objectifs pour la nouvelle directrice de l’entité, Hélène DECULTOT, sera d’obtenir la certification de qualité, QUALIFORMAGRI, en 2021. Reconnu par l’AFNOR, ce précieux sésame attestera de la qualité de l’enseignement agricole public. Il est salué par le ministère de l’Agriculture comme étant un nouvel outil d’amélioration continue.
Si le développement d’une politique de communication accrue figure parmi les axes de réflexion prioritaires de la jeune directrice, l’apport de la digitalisation afin d’encadrer les cours assurés par les enseignants est un autre volet des chantiers à mettre en exergue dès la saison prochaine.
Pour mémoire, précisons que le transfert du CFA agricole aura nécessité une enveloppe budgétaire de 750 000 euros financée par la Région.
En savoir plus :
Pour connaître l’ensemble des activités et des cursus proposés sur le site, un contact :
CFA Agricole de l'Yonne
La Brosse
89290 Venoy
03.86.45.15.23.
Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Thierry BRET
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La générosité n’a pas de prix : GROUPAMA Paris-Val-de-Loire mobilise 25 millions d’euros pour faire face à la crise
novembre 24, 2020Solidarité et altruisme. Humaniste, aussi, l’intervention de l’assureur mutualiste de Paris-Val-de-Loire pour faire face au contexte sanitaire. Une épidémie qui a frappé de plein fouet des pans entiers de notre économie et touchée au cœur des millions de nos compatriotes. En injectant 25 millions d’euros dans de nombreux rouages, le spécialiste de l’assurance-prévoyance n’a fait qu’appliquer à la lettre sa fameuse maxime : « J’agis là où je vis… ».
AUXERRE : L’ancrage territorial demeure l’une des valeurs maîtresse qui explique la stratégie de l’assureur mutualiste sur sa zone de prédilection : les départements de ce grand bassin géographique constitué par Paris-Val-de-Loire. La crise sanitaire inhérente au coronavirus vient une fois encore de le remémorer à nos esprits.
Très investi auprès de ses sociétaires à la moindre turbulence fâcheuse de la météorologie et aux conditions climatiques en surchauffe d’année en année, GROUPAMA n’a pas failli à sa mission première avec l’omniprésence de ce nouveau fléau pathologique qui s’est abattu sur sa zone d’influence.
Etre à l’écoute et au service de celles et de ceux des particuliers, entreprises et collectivités qui ont noué des contacts professionnels utiles avec cette structure dont l’éthique repose sur les principes fondamentaux du mutualisme. Partage, bienveillance et équité…
Au 15 novembre, le montant global de sa mobilisation s’élevait à 25 millions d’euros. Une enveloppe déjà fort conséquente qui ne devrait pas en rester là, somme toute, car c’est sans compter sur les effets induits de la deuxième phase de confinement qui, à date, est encore loin d’être achevée…
Une kyrielle de mesures pour accompagner l’économie…
Dans le détail, la contribution du groupe assurantiel s’est tout d’abord effectuée en faveur de l’effort de solidarité nationale voulu par la gouvernance de notre pays. Soit une somme de 7,4 millions d’euros dont 6,3 millions ont été répartis vers le seul secteur sanitaire. Le reliquat d’1,1 million est venu abonder le fonds de soutien mis en place par l’Etat.
Les entreprises, nerf de la guerre inéluctable dans l’essor du groupe au niveau de ses parts de marché, ont bénéficié pour 800 d’entre elles d’une réduction de cotisations équivalente à 1,1 million d’euros.
Ces mesures de soutien ont été accompagnées d’autres initiatives pertinentes pour un total de 8 millions d’euros aux professionnels. 17 355 sociétaires ont profité de cette manne providentielle. Celle-ci a été attribuée de la manière suivante : 1,2 million d’euros pour le report des cotisations, 1,5 million d’euros de réduction de cotisations à hauteur de 10 %, 1,5 million d’euros pour la réduction de cotisations à hauteur de 50 % au titre de l’année 2020, 758 000 euros de réduction de cotisations à hauteur de 25 % sur l’exercice 2021, 65 000 euros de suppression de franchise en cas d’arrêt de travail pour les professionnels de santé atteints de la COVID-19, 227 000 euros de remise de cotisation automobile à hauteur de vingt euros, 343 000 euros affectés à une enveloppe perte de denrées et 455 000 euros de chèques solidaires commerces.
Signalons pour être tout à fait complet sur le sujet que deux millions ont été destinés à la participation sous forme de prêts au fonds de revitalisation REVI’CENTRE en soutien des TPE et petites entreprises.
Des dons au bénéfice des personnels soignants et de secours…
Filière historique inféodée à la politique de développement économique de l’assureur, le monde agricole via ses 11 230 sociétaires s’est vu octroyé un budget solidaire de 5,4 millions d’euros.
Sa déclinaison en est la suivante : 900 000 euros représentent le report de paiement des cotisations ; 1,9 million d’euros équivaut au remboursement de deux mois de cotisations sur les tracteurs ; 1,9 million d’euros se rapporte à la réduction de cotisations à hauteur de 50 % ; la réduction de cotisations des serres et des centres équestres, très impactés par la crise, s’élève à 400 000 euros.
Quant à l’avance de trésorerie sous forme de prêts accordés aux viticulteurs, elle dépasse la barre des trois cent mille euros (303 000 euros précisément).
Une quarantaine de locataires ont vu l’abandon de leurs loyers pour un équivalent de 142 000 euros.
Tandis que les mesures de soutien aux particuliers (100 400 sociétaires) se sont approchées de trois millions d’euros (2,7 millions avec exactitude) : elles ont permis l’obtention d’une remise de vingt euros sur les cotisations du poste automobile par ménage.
Pour clore ce premier bilan chiffré de la gestion de crise, il ne faut pas omettre les dons effectués au nom du principe vertueux de la solidarité à divers bénéficiaires, en particulier les personnels soignants et de secours mais aussi les syndicats professionnels.
Ainsi, l’obole consentie par l’assureur régional s’élève à 337 000 euros. Une aide financière appréciable qui sera convertie en fait à l’achat de masques, gel hydro-alcoolique, blouses, visières, plateaux repas, matériels informatiques, et même des fleurs…Un clin d’œil agréable et bucolique dans ce monde incertain ?
Thierry BRET
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L’an 1 de la mutualisation : des noces de coton qui augurent de belles réussites pour CERFRANCE BFC
novembre 18, 2020Dans quarante-huit heures, l’association de gestion et de comptabilité procèdera à sa première assemblée générale post-regroupement. Officialisé le 01er janvier dernier, le mariage entre les entités de Bourgogne et de Franche-Comté (quatre départements au total), voulu dans le cadre d’une stratégie de mutualisation réfléchie, se traduit par des engagements forts au niveau du déploiement opérationnel. Les assemblées de territoire dont celle de l’Yonne qui s’est tenue récemment permettent de cerner les enjeux d’une fusion, profitable à tous…
AUXERRE : Celles de la Côte d’Or et de la Haute-Saône purent se dérouler en présentiel. C’était sans compter sur le rebond de l’épidémie de coronavirus qui aura contraint les dirigeants de la structure régionale de revoir leur copie, en l’adaptant au contexte conjoncturel du moment.
Les assemblées de territoire, prélude à la future assemblée générale prévue le 20 novembre, n’ont donc pas eu le même traitement de faveur au plan logistique et organisationnel d’un secteur géographique à l’autre.
Dans l’Yonne, il aura fallu toute la sagacité et la concentration des suiveurs pour y prendre part derrière un écran d’ordinateur ; ce qui n’est jamais facile. La visioconférence est devenue le lot commun désormais de bon nombre d’entreprises et d’institutions qui poursuivent ainsi leur travail.
Dans ce registre, l’animation déclinée par CERFRANCE n’aura pas démérité. Loin s’en faut, avec en maîtresse de cérémonie la vice-présidente Aurélie CALMUS qui aura assuré la transition entre les intervenants du jour, qui pour certains, slides à l’appui, déroulèrent leur sabir en étayant leur propos de chiffres clés.
Directeur délégué pour le département de l’Yonne, il revenait à Franck NEZET d’ouvrir le bal. Celui-ci brossa méthodiquement la physionomie de ce territoire où le spécialiste du conseil et de l’expertise comptable (surtout auprès des acteurs du monde agricole) intervient.
Un éclectisme à bon escient dans la sphère professionnelle…
Grâce à ses huit agences et ses 220 collaborateurs (le groupe en compte plus de trois mille à l’échelle de son implantation régionale sur la Côte d’Or, la Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’Yonne), CERFRANCE gère les problématiques quotidiennes de milliers de clients. Dont 6 700 sont issus des filières agricoles de la grande culture et de l’élevage.
Toutefois, contrairement à une idée reçue, le milieu de l’agriculture ne constitue pas le seul périmètre d’action de la structure. Sa présence auprès des entrepreneurs de l’artisanat et du commerce (environ 1 700 adhérents) n’est pas négligeable ; tout comme l’est le suivi auprès de clients issus des professions libérales, des services ou du BTP. Un rappel tactique judicieux de la part de Franck NEZET qui démontre ainsi l’éclectisme de cet acteur, membre de la filière des métiers des chiffres et du droit.
Mais, l’un des éléments moteurs de cette puissante armada qui possède une vingtaine de vitrines administratives et commerciales sur sa zone de chalandise, reste bien évidemment la gestion des paies. Rien que dans l’Yonne, ce sont aujourd’hui 1 800 entreprises qui ont recours à ses services. Sans omettre par capillarité le suivi des embauches et des fins de contrat.
Une entité qui pèse 28,2 millions d’euros après la fusion…
Objectivement, ce mariage entre les quatre départements bourguignons et franc-comtois aura donné naissance à un groupe qui présente de solides atouts. Il suffit de se plonger dans la lecture de l’organigramme pour mieux en saisir toutes les subtilités.
Sur cette seule zone d’influence, CERFRANCE possède parmi ses troupes 14 experts comptables, 245 comptables et assimilés, 23 juristes, 51 conseillers en entreprise, 28 collaborateurs spécialisés dans les ressources humaines et 22 interlocuteurs qui possèdent la bosse du commerce !
Un effectif bien rôdé à la gestion des entreprises qui a de quoi satisfaire le directeur général Laurent BEURIENNE.
Adepte de la formation continue, le groupe aux 420 salariés est friand d’apprentis de niveau bac + 2 à bac + 5 (des juristes, des ingénieurs agronomes, des experts) qu’il aura tôt fait ensuite d’incorporer au sein de ses diverses strates professionnelles.
Du côté investissements, signalons l’ouverture récente (le 16 octobre) d’un nouveau point d’ancrage en Côte d’Or, précisément à Pouilly en Auxois. Le numérique prend une place particulière pour accompagner le télétravail, en vigueur avec la seconde période de confinement, et la mobilité. Les agences accueillent toujours leur public sur simple rendez-vous avec une jauge de personnel ramenée à 50 %.
Membre de l’Ordre régional des experts comptables, CERFRANCE BFC a réalisé un premier exercice après fusion évalué à 28,2 millions d’euros de chiffre d’affaires. Une excellente tendance même si une légère érosion du carnet de commandes imputable à la présence de la COVID-19 aura fait chuté de 160 000 euros en l’espace de deux mois ces bons résultats.
Le mot de la fin revint au président Eric COQUILLE. Ce dernier s’attarda longuement sur la fonction de délégué de territoire et leurs différentes missions au sein du conseil d’administration.
Rendez-vous est désormais fixé ce jeudi 20 novembre pour l’assemblée générale ordinaire d’une entité qui rayonne à la fois en terre de Bourgogne et de Franche-Comté. Avec de belles perspectives devant elle…
Thierry BRET
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Paris a adopté le concept : « Les Vingt du mois » de la JCE Auxerre font toujours plus d’émules
novembre 16, 2020Exit les retrouvailles en présentiel ! Comme à l’accoutumée depuis plusieurs mois, la Jeune Chambre Economique d’Auxerre invite les suiveurs de sa fameuse animation à se retrouver derrière l’écran de l’ordinateur le 20 novembre. Ils y apprécieront la convivialité d’une opération qui a su faire florès dans d’autres villes de la région…
AUXERRE : Beaune, Nevers, Nuits-Saint-Georges…et bien évidemment, Auxerre. Toutes ces villes de Bourgogne possèdent un dénominateur commun qui les relient les unes aux autres : l’accueil de l’une des manifestations les plus emblématiques déclinées par la Jeune Chambre Economique, les « Vingt du mois » !
Concept original apparu sur les bords de l’Yonne dès octobre 2017, l’évènement allie les aspects ludiques conférés par la production vinicole du terroir et les retrouvailles en présence physique de dirigeants de la sphère économique et institutionnelle.
Devenu l’un des référents dans le paysage des « after work » du territoire, le rendez-vous a gagné en maturité de fil en aiguille, sans se départir de sa simplicité naturelle et de sa vocation première.
Ainsi, à chaque session mensuelle, ce sont près de trois cents convives qui se rejoignent dans un cadre propice aux échanges. En extérieur comme à l’intérieur d’établissements partenaires.
Certes, avec le confinement, l’animation a vu son mode opératoire quelque peu malmené. Optant vers les outils numériques pour continuer à subsister.
Un excellent condensé de pédagogie et de convivialité…
Ce jeudi 20 novembre, dès 18 heures, divers schémas distractifs seront ainsi proposés aux participants de cette séance, à la fois festive et gustative (de manière virtuelle cette fois-ci !).
Ce sont les vins du domaine POMMIER à Poinchy (Chablisien) qui seront passés sous le feu des projecteurs avec les explicatifs d’usage ainsi que divers produits locaux. Note ludique : des lots sont à gagner.
La vente de box dans lesquelles seront mis à l’honneur les vins du domaine du jour ainsi que des spécialités gourmandes locales apporteront un attrait supplémentaire à la soirée, placée sous le signe du sourire.
Un gastronome chevronné en la personne de Marie SADRON profitera de la lumière faite sur cette manifestation pour y dévoiler les secrets de fabrication des célèbres gougères, avec un défi à la clé : les cuisiner en direct !
Précisons que ce rendez-vous régulièrement fréquenté par les responsables de la vie politique locale a été sélectionné parmi les trois principaux projets initiés par les JCE en France.
Conséquence : Paris succombe depuis peu aux charmes et aux vertus relationnelles du concept. Une antenne spécifique y est désormais fonctionnelle depuis le début de l’année.
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DESTOCK APERO ET VIN réinvente le discount autour des spiritueux : des prix cassés mais une prestation au top !
novembre 13, 2020En cette période de confinement, certains commerces tirent encore leur épingle du jeu malgré le flux important de fermetures. C’est le cas de la jeune boutique, ouverte depuis septembre, qui se positionne dans la vente de vins et spiritueux tenue par Anthony GOULIER. Le professionnel ne connaît pas la crise : mieux, il ambitionne déjà d’ajouter de nouvelles prestations au sein de sa boutique…
MONETEAU : D’agréables petites bulles scintillent à la surface de la bouteille. Parmi ces signes ostentatoires d’une effervescence affirmée, on y décèle d’insolites paillettes couleur or ! Non, on ne rêve pas quand on s’attarde avec minutie sur le contenant qui accueille ce précieux breuvage aux origines magyares.
Ce vin pétillant aux « bulles d’or alimentaire » est selon les avis des consommateurs l’ayant déjà goûté une véritable « tuerie » au palais ! Un de ces nectars rares et très particuliers que l’on peut déguster avec modération dans l’une des nouvelles boutiques spécialisées dans la vente de vins et de spiritueux de notre territoire.
La structure a été portée sur les fonts baptismaux de la création à la plus mauvaise période qu’il soit : entre deux vagues successives d’épidémie de coronavirus ! Soit un acte de naissance qui a été rendu officiel en zone d’activité des Macherins courant septembre.
Un concept novateur de caviste autour du déstockage…
Incorporée dans la caste des commerces alimentaires (somme toute logique puisque l’établissement propose des produits liquides sous diverses variantes), la boutique « DESTOCK APERO et VIN » se présente sous sa forme juridique comme une SARL. Avec à sa tête un spécialiste de la vente et du commerce de longue date : Anthony GOULIER.
Aidé de sa compagne et d’un jeune apprenti soucieux d’intégrer dès que possible le monde de l’emploi plutôt que de perdre son temps à rester cloîtrer dans une salle de cours, le chef d’entreprise ne regrette pas un seul instant de s’être lancé dans pareille aventure.
Malgré le climat délétère de l’instant, malgré cette crise sanitaire sans précédent depuis des lustres qui ne cesse de broyer comme des noix les velléités entrepreneuriales de bon nombre de ses congénères.
Lui, Anthony, a conservé le sourire. Non seulement, ses affaires tournent au maximum. Et son concept novateur de caviste proposant du déstockage de vins et spiritueux en fait le seul et unique représentant de cette filière décalée dans l’Yonne. Voire en Bourgogne Franche-Comté !
Une gamme éclectique de produits à découvrir…
Soutenu par la Banque Populaire, encouragé par le prêt d’honneur fruit d’une intervention efficiente de l’association INITIACTIVE 89, le professionnel de la distribution à prix réduit a également bénéficié de subsides conséquents de la Région afin d’agencer le local où il a posé son activité.
Un investissement global de 40 000 euros qui s’est avéré nécessaire pour rendre opérationnel et conforme à sa feuille de route l’outil dans lequel il navigue avec sextant. Dire que cette jeune société ne connaît pas la crise en cette période particulièrement douloureuse pourrait presque paraître insolent. Et pourtant…
L’espace rhumerie ne désemplit pas. Aficionados de la fameuse boisson (et ils sont nombreux) née aux Antilles et aux Caraïbes fréquentent avec intérêt cet univers où les rhums arrangés aux aromatiques saveurs fruitées côtoient les meilleures références. Ce marché est en plein développement à l’instar de celui qui touche la consommation des whiskys.
La cinquantaine de références vineuses rappelle que l’établissement se positionne aussi avec de jolis atouts sur ces crus du terroir régional mais aussi de destinations vinicoles exotiques telles que l’Afrique du Sud, l’Argentine, l’Australie, le Chili, l’Espagne, l’Italie…
Les grands crus sont dignement représentés : coffrets et magnums de Chassagne-Montrachet, de Saint-Emilion, de Richebourg. Bref, du costaud pour agrémenter sa cave personnelle. Idéal avant les fêtes que l’on soit confiné ou non !
L’avenir se projette autour de l’aménagement possible d’un bar à vins et de l’animation permanente d’une rhumerie, histoire de bien enfoncer le clou avec ce produit déjà en ligne de mire.
Des éléments probants qui devraient conforter le chiffre d’affaires prévisionnel de cette structure commerciale qui espère atteindre d’ici cinq ans 300 000 euros. Impossible n’est pas français, c’est bien connu !
Thierry BRET
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